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DEMOS

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DEMOS
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Cadre
Forme juridique Sensibilité de l'UNEF
But Défense des intérêts matériels et moraux des étudiants, syndicalisme,éducation populaire, internationalisme, écologie sociale
Zone d’influence Drapeau de la France France
Fondation
Fondation 1993 à Rouen
Fondateur Stéphane Nissant
Identité
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Personnages clés Etienne Mercier, Arnaud Lemoine, Arnauld Champremier-Trigano, Pierre Cattan, Jean-Baptiste Dulos, Benoît Houssin, Frédéric Vigouroux, Jonathan Halimi, Boris Chaumette, Jonas Didisse, Erwan Lehoux, Simon Lahure
Président Erreur Lua dans Module:Wikidata à la ligne 118 : attempt to index field 'wikibase' (a nil value).
Membres Erreur Lua dans Module:Wikidata à la ligne 118 : attempt to index field 'wikibase' (a nil value).
Slogan Pour un syndicalisme durable
Site web http://demosaique.e-monsite.com
Dissolution
Dissolution 18 avril 2013 à l'occasion du congrès de Toulouse

DEMOS (Démocratie étudiante pour une majorité d'orientation syndicale, puis Définition étudiante pour une majorité d'orientation syndicale) était une sensibilité de la Majorité nationale de l'UNEF. Cette sensibilité disparaît en 2013 à l'occasion du congrès de Toulouse, lors duquel ses membres font le choix de rejoindre la nouvelle Tendance pour une Majorité d'Action Syndicale.

Caractéristiques[modifier]

La sensibilité DEMOS rassemblait des proches de certains courants altermondialistes, des militants de plusieurs partis politiques, et des « non-encartés ». Elle se distinguait de la majorité par le choix d'une plus grande souplesse dans l'organisation de l'UNEF, et de l'ex-sensibilité Syndicalisme pour l'Égalité par un ancrage dans la tradition républicaine et laïque. Elle se distinguait de façon générale par une culture profondément ancrée dans les nouveaux types de militantismes issus de l'alter-mondialisme. Enfin, elle prônait la mise en place d'un allocation universelle (c’est-à-dire l'instauration d'un revenu de base permettant de subvenir complètement à l'ensemble des besoins vitaux pour tous, annulant ainsi l'impératif du travail), dont l'allocation d'autonomie ne serait que le premier pas.

Ancrée dans la lutte des classes et attachée à l’indépendance syndicale et au fonctionnement démocratique du syndicat, DEMOS défendait[1] :

  • Une vision républicaine, c'est-à-dire citoyenne, indépendante, laïque, gratuite et publique de l'Enseignement supérieur
  • L'émancipation intellectuelle et globale des étudiants
  • Une écologie sociale et syndicale
  • L'unité syndicale
  • Un syndicalisme de proximité, efficace et accessible à tous
  • Un syndicalisme internationaliste attaché à la construction d'une Europe sociale et la nécessité d'un syndicalisme européen.

Les valeurs de DEMOS sont réaffirmées dans la Charte de DEMOS[2] rédigée et votée par ses membres à le 11 décembre 2010 à Rouen. Cette Charte est officialisée lors du Collectif National de l'UNEF du 30 janvier 2011.

DEMOS éditait le bulletin de sensibilité Demosaïque, anciennement appelé Des Mosaïques. Elle avait précédemment édité la revue La Sentinelle.

Equipes syndicales[modifier]

DÉMOS présidait les AGE de Rouen et du Havre jusqu'au congrès de Toulouse. Elle était également présente sur Tours, Besançon, Bordeaux 3, Châteauroux, Dieppe, Nanterre, Paris 2, Paris 10, Paris 11, Saint-Nazaire, l’IEP de Bordeaux, l’IEP de Lille.

Au niveau national, DÉMOS comptait trois représentants dans les instances de l'UNEF.

Historique[modifier]

Origine fabiusienne[modifier]

Les premiers militants fabiusiens intègrent l'UNEF-ID de Rouen dès le milieu des années 1980. Emmenés par Christophe Bouillon, ils disputent la direction d'AGE aux rocardiens.

Mais, il faut attendre l'automne 1990 et une réunion de la structure jeune du courant fabiusien (Égalité Jeunes Socialistes) pour que ceux-ci décident que le courant doit s'investir nationalement dans l'UNEF-ID. Cette décision fait suite aux réflexions menées conjointement par Jean-Marcel Bichat, conseiller de Laurent Fabius et de Nicolas Ravailhe, responsable national des jeunes fabiusiens. Stéphane Nissant est alors chargé de réunir les militants dispersés, d'en faire venir d'autres du MJS et de les structurer dans une sensibilité qui prend alors le nom de DEMOS pour Démocratie Étudiante pour une Majorité d'Orientation Syndicale. À cette époque, l’UNEF-ID est très marquée par les luttes de courant du Parti socialiste, aussi l’entrée des fabiusiens semble naturelle. Il s'agit de poursuivre sur un autre terrain l'affrontement Fabius Jospin (la majorité de l'UNEF-ID au PS soutient alors Jospin). Toutefois, les militants de DEMOS pensent avoir leur place dans la majorité. Des négociations s'ouvrent donc, grâce à l'entremise des quelques fabiusiens de la MNEF, avec l'équipe de Christophe Borgel. Mais cette dernière les fait échouer craignant de bouleverser ses équilibres internes et en refusant à DEMOS un poste au Bureau national (BN). DEMOS se tourne alors vers le CERES étudiant bien implanté dans l'appareil. Ce rapprochement semble naturel car les deux courants partagent une vision assez proche du syndicalisme étudiant basée sur la volonté de défendre une université laïque et républicaine, favorisant l'égalité des chances réelle. Il s'agit aussi de refuser une évolution consumériste de l'université et une perte d'autonomie de l'enseignement supérieur face aux intérêts des entreprises privées.

De la TUPI à la crise de 1993[modifier]

Mais, à ce moment-là, le CERES cherche aussi à dénoncer la trop grande proximité entre la direction de l'UNEF-ID, cambadéliste donc ralliée à Jospin, et la direction jospiniste du Parti socialiste. Cette volonté, se traduit par un rapprochement avec les autres opposants et donne naissance à la Tendance unité par l'indépendance dite TUPI. DEMOS participe donc à la TUPI et c'est avec elle que les fabiusiens font leur entrée officielle dans le débat national de l'UNEF-ID, à l'occasion du congrès de 1991. Mais ils peinent à trouver leur place dans cette alliance dominée par l’extrême gauche. Toutefois, cette stratégie leur permet d'obtenir, pour Stéphane Nissant, le poste au BN que Christophe Borgel leur avait refusé. À cette époque, DEMOS en s'appuyant plus ou moins sur le MJS selon les circonstances préside les AGE de Rouen, Le Havre, Limoges et Brest, la sensibilité est aussi implantée à Toulouse où elle dirige le Comité d'action syndicale (CAS) de Science Po (Arnauld Champremier-Trigano et Jérôme Trinquier le présideront successivement) et à la MNEF. Mais, durant ses trois ans (1990-1993), DEMOS évolue. La sensibilité commence à s'éloigner des réseaux fabiusiens pour se concentrer sur un travail plus syndical que politique. DEMOS attire alors un petit groupe de poperénistes venus notamment de Nantes et Paris conduit par Étienne Mercier et Arnaud Lemoine.

En 1993 une scission dans la majorité (Tendance indépendance et action) conduit à une forte bipolarisation de l’UNEF-ID. De son côté, DEMOS dont l'évolution militante a permis la mise en évidence de convergences d'orientation et de militantisme avec le groupe de Philippe Campinchi fait alors le choix de soutenir la majorité. Mais le congrès de Clermont-Ferrand n’ayant pas réussi à départager clairement majorité et opposition, une année de crise s’ouvre dans le syndicat étudiant. Les fabiusiens comme les autres entament alors une réflexion sur eux-mêmes, les menant à se renouveler. Cette nécessité est renforcée par la déception que représente le congrès de Clermont-Ferrand. En effet, loin d'être intégrés dans l'appareil, les fabiusiens sont marginalisés et Stéphane Nissant se retrouve seul au Bureau national (BN).

1994, rupture dans la stratégie[modifier]

Sous la direction d’Arnauld Champremier-Trigano, les fabiusiens de l’UNEF-ID décident de s’émanciper définitivement de leur tutelle politique et de choisir une orientation syndicale plus offensive. Cette remise en question ne se fait pas simplement. Il faut pour cela s'opposer d'une part aux fabiusiens du MJS et d'autre part aux militants DEMOS de la MNEF (à une période où la mutuelle soutient encore la majorité de Philippe Campinchi). Cet affrontement leur fait perdre l'AGE de Brest, mais le groupe d'Arnauld Champremier-Trigano ne se décourage pas. En dehors de l'UNEF-ID, ils se retrouvent alors dans les clubs Res Publica - Pluriels qu'ils viennent de créer et dont Jérôme Trinquier, ancien membre du BN du MJS, représentant de la Fédération de Seine-Maritime est le Président. Le but affiché est de sortir du microcosme étudiant et d'étendre la réflexion à l'ensemble de la société. Dans le courant de l’année 1994, DEMOS rejoint l’opposition incarnée par la Tendance avenir syndical et prend part, lors du congrès de Paris, au renversement de la majorité. À ce moment-là, DEMOS devait peser environ 6 à 7 % des voix en congrès. DEMOS participe alors à la nouvelle équipe emmenée par Pouria Amirshahi et Arnauld Champremier-Trigano devient vice-président de l’UNEF-ID. En outre, elle obtient la présidence de la Commission de contrôle qui revient à Arnauld Lemoine et trois autres postes au BN ainsi que le poste de Délégué national à la Laïcité qu'occupe Jérôme Trinquier. La volonté d'indépendance se traduit concrètement à Rouen par le remplacement de Philippe Robert, jugé trop proche du MJS, par Jean-Baptiste Dulos non encarté.

C'est à cette époque que les piliers idéologiques de DEMOS qui sont l'allocation universelle, la laïcité et l'attachement à la construction européenne sont théorisés. DEMOS parvient à imposer à la majorité l'idée que l'allocation d'étude doit être financée par l'abandon de la demi-part fiscale accordée aux parents d'étudiants. En termes d'implantation, outre Rouen et le CAS Science Po de Toulouse, DEMOS se construit au Havre et à Niort, AGE qu'elle dirige. Elle dispose aussi d'une bonne implantation à Nantes, Grenoble et sur Paris.

Entre 1997 et 1999, le départ d'Arnauld Champremier-Trigano, de Pierre Cattan, l'autre animateur de DEMOS, et de Jean-Baptiste Dulos (président de l'AGE de Rouen), et le manque de relève dans les cadres entraînent DEMOS dans une période de déclin. La sensibilité cesse d'être représentée au Bureau national. Elle se replie alors sur ses AGE de Rouen et du Havre dans lesquelles l'activité militante est parfois bien faible, surtout au Havre.

La réunification[modifier]

À partir de 2001, DEMOS est à nouveau représenté au Bureau national (BN). Un poste de délégué, puis de membre à part entière, est attribué à Frédéric Vigouroux, militant de Rouen monté à Paris. La sensibilité évolue et s’ouvre à certains courants alter-mondialistes et non "encartés". Les AGE de Rouen et du Havre retrouvent une activité normale. En 2003, la création du magazine TOC par Arnauld Champremier-Trigano et Pierre Cattan, permet de faciliter le recrutement de nouveaux cadres parisiens. DEMOS se définit alors comme un espace militant de gauche situé en dehors des courants politiques. Pour s'assurer de ne plus être assimilés aux fabiusiens, certains membres de DEMOS surnomment leur sensibilité "SCALF" pour "Sensibilité carrément anti-Laurent Fabius". À cette période, DEMOS est représenté au BN par Benoît Houssin (membre délégué du congrès de 2003 à juin 2004) puis Nathalie Beauval et Guillaume Legal (la première comme membre du BN, le second comme membre délégué du congrès de 2005 à celui de 2007). À noter le cas de Jean-Baptiste Prévost qui, vers 2003, prend ses distances avec DEMOS avant d'occuper diverses responsabilités nationales, pour finir par présider l'Unef de 2007 à 2011.

Crise de 2007[modifier]

En 2007, DEMOS traverse une crise. Un conflit oppose les principaux animateurs, Nathalie Beauval et Guillaume Legal, à la nouvelle direction de l'AGE de Rouen présidée par Boris Chaumette et soutenue par Frédéric Vigouroux, vice-président de la Commission de contrôle. Ne parvenant pas à s'entendre avant le congrès les membres de DEMOS se révèlent dans l'incapacité de désigner des candidats pour occuper les postes réservés à cette sensibilité au Bureau national (BN) de l'UNEF. Toutefois, peu après les instances nationales de l'UNEF sont définitivement constituées et élues officiellement lors du Collectif national des 30 juin et 1er juillet 2007. Elles comprennent pour DEMOS, Jonathan Halimi au Bureau national, Boris Chaumette comme délégué au BN, Frédéric Vigouroux vice-président de la Commission de contrôle.

Lors du Collectif national des 9 et 10 février 2008, Boris Chaumette a remplacé Frédéric Vigouroux à la Commission de Contrôle, et Jonas Didisse, président de l'AGE de Rouen, est devenu délégué au Bureau National.

Renouveau de 2008[modifier]

DEMOS développe alors des thèmes innovants au sein de la Majorité Nationale comme l'écologie syndicale ou encore l'autonomie intellectuelle (revendication d'apprentissage de l'esprit critique à l'Université mais aussi dans le syndicat). En février 2009, DEMOS lance un appel pour "que 100 idées s'épanouissent", sorte de manifeste pour une amplification du débat interne en vue du Congrès d'avril 2009. Ce congrès marque un tournant dans la situation géographique de la sensibilité qui sort de son confinement haut-normand. Des militants de Tours se rapprochent de DEMOS et signent son texte de Congrès. Lors de ce 81e Congrès, Thomas Can monte au Bureau National en remplacement de Jonathan Halimi. Par la suite, des camarades d'autres AGE feront le choix de rejoindre DEMOS et la sensibilité occupera la Vice-présidence de l'AGE de Tours.

Durant l'année 2010, Anthony Brondel vice-président de l'AGE de Tours, remplace Jonas Didisse, alors élu au CNESER, au sein du Bureau National de l'UNEF. L'année 2010 est marquée par la mise en place des plans d'austérité dans toute l'Europe. La sensibilité accorda une place centrale à l'internationalisme et développa l'idée de la construction d'un syndicalisme européen, "les peuples d'Europe étant confrontés aux mêmes politiques européennes, aux mêmes logiques produisant les mêmes effets".

Pendant cette periode, DEMOS théorise également la notion de syndicalisme durable. Il s'agit d'une conception du syndicalisme "sur le long terme indépendante, unitaire, démocratique et universelle" reprenant les idées d' "autonomie intellectuelle et d'une écologie syndicale". Le 11 décembre 2010, La sensibilité rédige et adopte la Charte de DEMOS à Rouen ("Une éducation durable par un syndicalisme durable") reprenant alors l'ensemble des principes et idées jusqu'ici développées permettant ainsi de définir la sensibilité.

Lors du Collectif National du 30 janvier 2011, Thomas Can remplace Boris Chaumette à la Commission de Contrôle et Erwan Lehoux, ex-président de l'AGE du Havre, devient délégué au Bureau National.

À l'occasion du 82e Congrès de Montpellier, la sensibilité gagne en visibilité. Son texte de congrès, "Pour Un syndicalisme durable"[3] , est alors signé par des militants de Besançon, Bordeaux 3, Châteauroux, Dieppe, Nanterre, Paris 2, Paris 10, Paris 11, Saint-Nazaire, l’IEP de Bordeaux, l’IEP de Lille, l’IEP de Paris et l’IEP de Rennes. Les idées de la sensibilité, sur le développement de campagnes locales et l’écologie syndicale (intégrée dans le cahier revendicatif de l’UNEF) sont alors reprises par le syndicat.

Dans les mois qui suivent, deux nouveaux changements statutaires interviennent. Agathe Sorin et Simon Lahure intègre le bureau national respectivement lors des collectifs nationaux de juillet et d'octobre 2011. Par ailleurs, Erwan Lehoux remplace Thomas Can à la commission de contrôle.

De la crise de 2011 à la rupture stratégique de 2013[modifier]

Fin 2011, des dissensions interne apparaissent au sein de la sensibilité sur son identité politique. Pour certains DEMOS doit devenir le regroupement des communistes de la Majorité Nationale, pour d'autres la sensibilité doit intégrer d'autres groupes politiques, notamment écologistes. Après une réunion qui ne permet pas de dépasser les tensions existantes, Agathe Sorin démissionne du bureau national. Quant à Erwan Lehoux, il annonce sa volonté de mettre de côté ses mandats pour des raisons personnelles. Simon Lahure est alors le seul représentant de DEMOS qui continue à siéger dans les instances nationales de l'UNEF.

À partir de ce moment, l'activité de DEMOS décline. Un groupe de militants proche d'Alternative socialiste (France) , emmenés par Antoine Trédez prend alors le contrôle de l'AGE de Rouen. Antoine Trédez est élu Président de l'AGE de Rouen qui rejoint dès lors la majorité de la majorité nationale. Au Havre, l'activité est de plus en plus rare.

À la fin de l'année 2012, Simon Lahure, préparant la transition de la sensibilité vers une tendance minoritaire, est de fait exclu de la Tendance majorité nationale. Personne ne le remplace au bureau national et l'ensemble des mandats occupés par la sensibilité reste vacant. Dès lors, DEMOS n'existe plus que dans l'esprit de quelques militants rouennais, emmenés par Simon Lahure et Jonas Didisse, qui n'entendent pas laisser l'AGE de Rouen dans les mains de la Majorité Nationale. Quant au Havre, l'AGE est délaissée par la Majorité Nationale qui n'y envoie aucun suivi.

À l'occasion du congrès de Toulouse en avril 2013, alors que la TUUD se divise en deux, DEMOS rejoint la nouvelle Tendance pour une Majorité d'Action Syndicale au sein de laquelle elle travaille en partenariat avec Unité et Action, notamment en participant à la rédaction de son bulletin "Action Syndicale"[4]. En outre, DEMOS publie un dernier numéro du Démosaïque afin d'expliquer sa démarche. Dans l'édito, Mamadou Ba, devenu Président de l'AGE du Havre, dernière AGE tenue par DEMOS, écrit ainsi : "Nous avons aujourd'hui le devoir, pour honorer les objectifs qui nous ont toujours animé, de rompre avec notre stratégie. Dans le contexte si particulier que nous connaissons, il ne nous était plus possible de poursuivre notre travail au sein de la Majorité Nationale. Nos désaccords avec la direction du syndicat atteignaient en effet un paroxysme qui ne nous permettait plus de nous reconnaître un tant soit peu dans la démarche majoritaire".

Sur les 3 plus gros pôles de DEMOS (Rouen, Tours et Le Havre) les résultats du congrès sont clairs : Si la sensibilité conserve d'une poignée de voix l'AGE du Havre (53 % des suffrages contre 45 % pour la Majorité Nationale), elle disparait de Tours et est balayée à Rouen malgré le soutien actif des anciens de la sensibilité (65 % pour la Majorité Nationale emmenée par Antoine Trédez, contre 32 % pour le texte de DEMOS défendu notamment par Simon Lahure et Jonas Didisse).

Voir aussi[modifier]

Liens internes[modifier]

Liens externes[modifier]

Notes et références[modifier]

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