You can edit almost every page by Creating an account. Otherwise, see the FAQ.

Torenth

De EverybodyWiki Bios & Wiki
Aller à :navigation, rechercher


Le royaume de Torenth est un royaume fictif décrit dans les romans du cycle des Derynis par Katherine Kurtz.

Il se trouve à l'est du royaume de Gwynedd et ses monarques, de la dynastie Furstán, sont souvent opposés aux rois Haldane, lesquels sont les principaux protagonistes des romans.

Géographie[modifier]

Le royaume de Torenth est un des plus grands des Onze Royaumes. La plus grande partie du nord de Torenth est bordée par une nature sauvage et inhabitée, mais le nord-ouest débouche sur le golfe des Marches du Nord et sur la mer de Nord. À l'est se trouvent les terres lointaines d'Érskeburg et de l'ouest de Veskitsa, tandis que la rivière Beldour forme la frontière sud avec les principautés d'Orsal et de Tralia. A l'ouest de Torenth, il y a le royaume de Gwynedd, de l'autre côté des Montagnes Coamer et des Montagnes Rheljan. La frontière ouest de Torenth touche trois grands fiefs de Gwynedd : le duché de Corwyn, les Marches de l'Est et le comté de Marley. La capitale de Torenth est Beldour, qui se trouve au confluent des rivières Beldour et Argent.

Le royaume est divisé en un grand nombre de petits fiefs, dont les dirigeants sont membres de la noblesse et de la pairie du royaume. Les plus grands États sont les duchés, parmi lesquels Arjenol, Arkadia, Jándrich, Lorsöl, Marluk, Nördmarcke, Östmarcke, Sasovna, Tolán et Truvorsk. De plus, il y a de nombreux petits comtés, comme Brustarkia, Czalsky, Fathane, Gwernach, Komnénë, Kulnán, Medras et Sostra.

Gouvernement[modifier]

Le royaume de Gwynedd est une monarchie féodale, dont l'organisation est similaire à celle des royaumes de l'Europe médiévale. Le chef de l'État est un monarque héréditaire, dont la succession se fait en lignée masculine dans la famille royale. Il est strictement interdit aux femmes d'hériter de la couronne de Torenth. Les titres de noblesse sont également régis par la succession héréditaire, mais le roi se réserve le droit de modifier les successions dans certaines circonstances (par exemple pour les biens d'un noble coupable de trahison). De plus, le roi a la possibilité d'anoblir et de créer de nouveaux titres lorsque cela est nécessaire. Le roi a aussi une autorité presque absolue sur les questions séculières dans le royaume, et chaque noble disposant d’un pouvoir important à l’intérieur de leur fief. L'administrateur principal du domaine royal est un puissant ministre connu sous le nom Grand Vizir.

La famille régnante de Torenth est la maison Furstán, une lignée de puissants Deryni qui sont souvent décrits dans les romans comme ambitieux et impitoyables. Au cours des siècles, les rois Furstán se sont appuyés sur les Derynis, même s'ils représentent une minorité de la population, qui détiennent une quantité importante du pouvoir politique et ecclésiastique dans la société de Torenth. Les contrastes entre les Furstán de Torenth et les Haldane de Gwynedd, ainsi que la place différente des Deryni dans les deux royaumes, est souvent à l'origine des conflits entre les deux royaumes.

Le roi de Torenth, ou padischah, est formellement investi comme monarque dans une cérémonie connue sous le nom killijálay. Le killijálay a généralement lieu le Nouvel An qui suit immédiatement l'avènement du nouveau roi, mais des circonstances particulières ont parfois justifié des exceptions cette tradition. La cérémonie de sacre est effectuée par le patriarche de Beldour et de Torenth, qui ceint le nouveau roi avec l'épée de Furstán et lui insuffle l'héritage des pouvoirs arcaniques, établi par le premier roi de Torenth.

Religion[modifier]

La religion principale de Torenth est une foi chrétien antérieure à la création du royaume. Contrairement à Gwynedd, où la foi est basée sur l'Église Catholique Romaine, le christianisme de Torenth basée sur l'Église Orthodoxe. L'église de Torenth est hiérarchique dans sa structure, avec différents niveaux, comprenant les curés, les abbés, les évêques itinérants, les évêques métropolitains et les archevêques. L'église est dirigée par le patriarche de Beldour et de Torenth, est élu par le Saint-Synode. En plus de ces chrétiens, un nombre indéterminé de Torenthiens pratiquent une religion qui est basée sur l'Islam, mais les détails de cette religion n'ont jamais été décrites dans les romans.

Histoire[modifier]

Les débuts[modifier]

La zone de Torenth, connue à l'origine sous le nom Beldour, est d'abord conquise par l'Empire de Byzantyun au début du IIe siècle. Byzantyun se retire pendant le Ve siècle, les ducs de Beldour se lancent alors dans une série de campagnes visant à conquérir les terres voisines et Furstán III Torenthály, duc de Beldour, se proclame roi de Torenth en 545. Au cours du siècle suivant, les frontières de Torenth sont lentement repoussées vers le sud et l'ouest, occupant une grande partie des terres fertiles entourant la rivière Beldour. L'armée de Torenth tente plusieurs incursions dans le royaume de Gwynedd au milieu du VIIe siècle, mais les invasions sont infructueuses et entraînent la mort du roi István Zsolt Furstán. La mort d'István Zsolt entraîne pour cinq ans une guerre civile pour la succession au trône de Torenth, finalement remportée par le roi Tamás Termod Furstán en 657. Les descendants de Tamás sont connus sous le nom de maison de Furstán Tamasy, ou la seconde Maison de Furstán.

La conquête de Gwynedd[modifier]

Torenth continue de s'accroître au cours du siècle et demi qui suit, et le royaume s'étend jusqu'à la mer du Nord et les Marches Pourpres. Les conflits frontaliers avec Gwynedd deviennent de plus en plus fréquents, et Torenth réussit à éroder progressivement les défenses de son voisin occidental. En 822, le prince Festil Ier Furstán, fils cadet du roi Kálmán II Imre Furstán, envahit Gwynedd et renverse le roi Ifor Haldane dans un Coup d'État avec le soutien des troupes de son père. Festil est proclamé roi de Gwynedd et jure fidélité à son père en reconnaissant la suzeraineté de Torenth. La Maison de Festil règne sur Gwynedd pendant les huit décennies suivantes, période pendant laquelle Gwynedd est vassal de Torenth et où chaque roi de Gwynedd doit se rendre à Beldour et reconnaître la suzeraineté du roi de Torenth. Gwynedd retrouve son indépendance en 904, lorsque le dernier survivant de la dynastie Haldane, le prince Cinhil Ier Haldane, dépose le dernier roi festillien, Imre Ier Furstán-Festil, et monte sur le trône de Gwynedd. Le cousin d'Imre, le roi Nimur Ier Zsigmond Furstán, soutient une tentative de sa cousine Ariella Ire Furstána-Festila, sœur d'Imre, qui tente de reprendre Gwynedd en 905, mais sans succès.

Les invasions festilliennes[modifier]

Bien que Torenth perde le contrôle de Gwynedd, le roi Nimur Ier réussit repousser les frontières orientales de Torenth par la conquête des terres d'Arjenol, de Vorna, de Lorsöl, et de Vechta. Malgré la situation propice aux raids barbares, les frontières de Toreth demeurent sûres pour les deux siècles suivants, ce qui permet aux rois de Torenth de concentrer une grande partie de leur attention sur Gwynedd. Torenth ne participe que rarement à des attaques directes à l'encontre de leur voisin occidental, mais plusieurs rois soutiennent les ambitions des prétendants festilliens, descendants d'Imre et d'Ariella Furstán-Festil, qui continuent de réclamer le trône de Gwynedd. En 948, le roi Arion Ier Mátyás Furstán fournit des mercenaires et un soutien financier au prince Marek Ier Furstán-Festil, mais Marek est vaincu par le roi Uthyr Haldane.

Le petit-fils et successeur d'Arion, le roi Malachy II Miklós Furstán, se joint à l'invasion du prince Imre II Furstán-Festil en 984, et conduit l'armée torenthienne en Gwynedd. Cependant, le roi Jasher Haldane défait son armée à la bataille de Grecotha le , et Malachy et son fils aîné Nimur, sont tués au combat. Le second fils de Malachy, Károly II, meurt la semaine suivante de ses blessures, laissant le trône de Torenth au troisième fils, le roi Kyprian II Könyves Furstán.

Kyprian attend une quarantaine d'années avant de soutenir une nouvelle invasion de Gwynedd, mais il accepte finalement de se livrer à une attaque conjointe de Gwynedd. En 1025, les forces de Torenth attaquent Gwynedd avec le soutien de ses alliés, Jolyon II Quinnell, prince souverain de Meara et Marek II Furstán-Festil, prétendant festillien. Cependant, le prince Cinhil Haldane met rapidement en déroute les forces mearienne, puis se porte à la rencontre de l'armée du roi de Torenth etdu prétendant festillien. La bataille décisive est livrée à Killingford le et solde par trois jours de carnage sanglant, se traduisant par des milliers de victimes de chaque côté. À la fin de la bataille, le , l'armée de Gwynedd est victorieuse, le prétendant Festillic, son fils et son petit-fils aîné sont tués. Le petit-fils cadet, capturé, est exécuté une semaine plus tard. Anéanti par la défaite totale de son armée, Kyprian conduit ses troupes survivantes en sûreté à Beldour et abdique le en faveur de son fils aîné, Arkady II Arpád Furstán.

Un certain nombre de conflits frontaliers mineurs opposent encore Torenth et Gwynedd pendant le reste du siècle, mais aucun de ces incidents ne dégénère en guerre. Bien que l'antagonisme et l'hostilité entre les deux royaumes demeure fermement, la bataille de Killingford a pris un lourd tribut aux deux armées, et ni Gwynedd ni Torenth n'ont vraiment les moyens militaires de menacer sérieusement l'autre. Quand un autre prétendant festillien, le prince Hogan Furstán-Festil, tente de revendiquer le trône de Gwynedd en 1105, il reçoit la bénédiction et l'approbation du roi Nimur II Dénes Furstán, mais aucun soutien militaire. Comme les ancêtres qui l'ont précédé, Hogan ne parvient pas à remporter la victoire et il meurt en combat singulier avec le roi Brion Haldane.

La fille d'Hogan, la princesse Charissa, épouse le prince Aldred, fils du roi Károly III. Quelques années plus tard, son mari et elle sont soupçonnés d'être finalement responsable de la mort Károly en 1110. Le roi Aldred II ne règne que pour une très courte période, car son cruel despotisme incite sa propre famille à se révolter. Après avoir été sauvagement battu par Aldred alors qu'elle était enceinte, Charissa complote avec le prince Wencit, oncle d'Aldred, pour destituer ce dernier. Aldred est déposé le , et Wencit monte sur le trône sous le nom de Wenzel II Furstán. Pendant que Wencit consolide sa position sur le trône, Charissa passe la décennie suivante à comploter sa vengeance contre le roi Brion Haldane, et réussit à le tuer en 1120. Mais sa tentative de réclamer le trône de Gwynedd échoue le quand elle est tuée par le roi Kelson Haldane, fils et héritier de Brion. À son décès, la prétention festillienne sur Gwynedd passe à Wencit, et le roi de Torenth tente rapidement une invasion de Gwynedd. Il conduit son armée dans Gwynedd en 1121, mais il est vaincu et tué par Kelson en juillet de cette année. Après la défaite de Wencit, Torenth devient un État vassal de Gwynedd. De plus, la Maison des Furstán d'Arjenol monte sur le trône de Torenth et devient la troisième maison de Furstán.

L'histoire récente[modifier]

Alroy Arion II, neveu de Wencit, hérite du trône à l'âge de douze ans, mais meurt dans des circonstances suspectes peu après avoir atteint sa majorité légale en 1123. Son successeur, Liam Lajos II , passe quatre ans à la Cour de Gwynedd, auprès du roi Kelson qui former le jeune roi dans les compétences et l'art de gouverner, tout en comblant le fossé culturel entre les deux royaumes. Liam revient à Torenth à sa majorité légale en 1128, et est obligé de plonger immédiatement dans les intrigues politiques de la cour de Torenth, quand deux de ses oncles tenter de l'assassiner. Liam survit à l'attaque avec l'aide du roi Kelson et de son autre oncle. À la suite de sa killijálay, Kelson relève Liam de ses liens de vassalité, permettant à Torenth de redevenir une nation indépendante.

La seconde édition du Codex Derynianus mentionnes plusieurs événements qui surviennent après la fin d’Une femme pour le roi. En , Liam Lajos se fiance à la princesse Eirian Haldane, fille du prince Nigel Haldane, l'oncle de Kelson. De plus, la sœur de Liam Lajos, la princesse Stanisha, est fiancée au plus jeune fils de Nigel, le prince Payne Haldane. Les deux mariages ont pour but de resserrer davantage les bonnes relations croissantes entre Torenth et Gwynedd. L'année suivante, Teymuraz Furstán-d'Arjenol, un des oncles de Liam qui l'avait trahit et s'était enfuit, fait une proclamation revendiquant les trônes des deux royaumes, mais ses prétentions ne suscite pas un soutien important dans Torenth.

Rois de Torenth[modifier]

  1. 545-566 : Furstán Ier (509-566), duc de Beldour (Furstán III Torenthály), fondateur du royaume
  2. 566-567 : Arkady Ier (546-567), fils aîné du précédent
  3. 567-587 : Miklós (548-587), second fils de Furstán Ier
  4. 587-588 : Rurik Toren (569-588), fils du précédent
  5. 588-591 : Wenzel Ier (554-591), troisième fils de Furstán Ier
  6. 591-612 : Kálmán Ier Garbor (574-612), fils du précédent
  7. 612-621 : Kyprian Ier Arkady (597-621), neveu du précédent
  8. 621-638 : Miklós Pal (599-638), frère du précédent
  9. 638-652 : Istvan Zsolt (629-652), fils du précédent
  10. 652-655 : Károly Ier Kálmán (630-655), petit-fils de Kálmán II
  11. 655-657 : Lipold Demagoy (645-657), fils d'Istvan Zsolt
  12. 657-677 : Tamas Termod (620-677), arrière-petit-fils d'Arkady Ier
  13. 677-701 : Aldred Ier Arkady (645-701), fils du précédent
  14. 701-722 : Imre Ier Zsolt (667-722), fils du précédent
  15. 722-738 : Radislaus Vaksos (666-738), petit-fils de Tamas Termod
  16. 738-808 : Mátyás Imre (734-808), petit-fils d'Imre Zsolt
  17. 808-822 : Kálmán II Imre (756-822), fils du précédent
  18. 822-845 : Lajos Ier Kis (775-845), fils du précédent
  19. 845-872 : Arpad Imre (821-872), petit-fils de Lajos Ier
  20. 872-877 : Malachy Ier Mihaly Emrich (823-877), cousin du précédent, petit-fils de Lajos Ier
  21. 877-891 : Imre II Tamas (842-891), fils du précédent
  22. 891-917 : Nimur Ier Zsigmond (866-917), fils du précédent
  23. 917-972 : Arion Ier Mátyás Imre (900-972), petit-fils du précédent
  24. 972-984 : Malachy II Miklós Mátyás (940-984), fils du précédent
  25. 984-984 : Károly II Kaspar Kálmán (966-984), fils du précédent
  26. 984-1025 : Kyprian II Konyves Kaspar Kirill (975-1037), frère du précédent
  27. 1025-1080 : Arkady II Arpad Aloys Andre (995-1080), fils du précédent
  28. 1080-1106 : Nimur II Denes Kyprian Karoly (1035-1106), fils du précédent
  29. 1106-1110 : Károly III Kyprian Konstantin Kirill (1070-1110), fils du précédent
  30. 1110-1110 : Aldred II Andre Nimur Rurik (1106-1110), fils du précédent
  31. 1110-1121 : Wenzel II Zsubit Kyprian Nimur (Wencit) (1073-1121), oncle du précédent
  32. 1121-1123 : Alroy Arion II Arkady Aldred Furstán-d'Arjenol (1109-1123), neveu du précédent
  33. 1123- : Liam Lajos II Lionel Laszlo Furstán-d'Arjenol (1114), frère du précédent

Sources[modifier]

  • Katherine Kurtz (trad. de l'anglais par Guy Abadia), Roi de folie [« Camber of Culdi »], Paris, Presse Pocket, (1re éd. 1976), 316 p. (ISBN 2-266-06350-2)
  • Katherine Kurtz (trad. de l'anglais par Michèle Zacharyus), Roi de douleur [« Saint Camber »], Paris, Presse Pocket, (1re éd. 1979), 372 p. (ISBN 2-266-06653-6)
  • Katherine Kurtz (trad. de l'anglais par Michèle Zacharyus), Le prince félon [« The Bastard Prince »], Paris, Presse Pocket, (1re éd. 1994), 443 p. (ISBN 2-266-08534-4)
  • Katherine Kurtz (trad. de l'anglais par Guy Abadia), Le réveil des magiciens [« Deryni Rising »], Paris, Presse Pocket, 1994a (1re éd. 1970), 281 p. (ISBN 978-2-266-05648-9 et 2-266-05648-4)
  • Katherine Kurtz (trad. de l'anglais par Guy Abadia), La chasse aux magiciens [« Deryni Checkmate »], Paris, Presse Pocket, 1994b (1re éd. 1973), 318 p. (ISBN 978-2-266-05649-6 et 2-266-05649-2)
  • Katherine Kurtz (trad. de l'anglais par Guy Abadia), Le triomphe des magiciens [« High Deryni »], Paris, Presse Pocket, (1re éd. 1973), 374 p. (ISBN 2-266-06349-9)
  • Katherine Kurtz (trad. de l'anglais par Michèle Zacharyus), La justice du roi [« The King's Justice »], Paris, Presse Pocket, (1re éd. 1985), 316 p. (ISBN 2-266-06656-0)
  • Katherine Kurtz (trad. de l'anglais par Michèle Zacharyus), Une femme pour le roi [« King Kelson's Bride »], Paris, Presse Pocket, (1re éd. 2000), 477 p. (ISBN 2-266-12504-4)
  • (en) Katherine Kurtz, The Deryni Archives, , 325 p. (ISBN 0-345-32678-4)
  • (en) Katherine Kurtz et Robert Reginald, Codex Derynianus (second edition), (1re éd. 1997), 353 p. (ISBN 1-887424-96-2)

Références[modifier]

Erreur Lua dans Module:Catégorisation_badges à la ligne 170 : attempt to index field 'wikibase' (a nil value).Erreur Lua dans Module:Suivi_des_biographies à la ligne 189 : attempt to index field 'wikibase' (a nil value).


Cet Article wiki "Torenth" est issu de Wikipedia. La liste de ses auteurs peut être visible dans ses historiques et/ou la page Edithistory:Torenth.