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Dynastie Furstán

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La dynastie Furstán est une famille royale fictive des Derynis, un cycle de Fantasy historique écrit par Katherine Kurtz.

La dynastie Furstán dirige le royaume de Torenth. Divers membres de la famille apparaissent en tant que protagonistes principaux ou secondaires de plusieurs romans.

Première Maison Furstán[modifier]

Ducs de Beldour[modifier]

Les premiers membres de la dynastie sont titulaires d'un duché centré autour de la ville de Beldour et faisant partie de l'empire de Byzantiun. Les forces byzantines se retirent au cours du Ve siècle et les ducs de Beldour obtiennent leur indépendance, avant d'entreprendre la conquête des terres voisines. En 545, Furstán III Torenthály se proclame roi de Torenth.

  1. Furstán Ier (-409)
  2. 409-421 : Bering (-421), fils du précédent
  3. 421-455 : Zsigmond (-455), fils du précédent
  4. 455-478 : Zudar(-478), frère du précédent
  5. 478-478 : Zoltan (-478), frère du précédent
  6. 478-502 : Furstán II Torenthály (456-502), fils du précédent
  7. 502-537 : Thuring Torenthály (485-537), fils du précédent
  8. 537-545 : Furstán III Torenthály (509-566), fils du précédent

Furstán Ier Torenthály[modifier]

Furstán Torenthaly, né en 509, est d’abord duc de Beldour. Ayant acquis suffisamment de puissance dans la région, il se proclame roi de Torenth en 545. Il meurt en 566, à l'âge de 57 ans.

Il avait épousé en 545 Judentha d'Arzh et avait eu six enfants :

  • Arkady Ier Furstán (546-567), roi de Torenth
  • Miklos Furstán (548-587), roi de Torenth
  • Wenzel Ier Furstán (554-591), roi de Torenth
  • Rochianor Furstán, mariée à Augarin, comte de Haldane ; Augarin Haldane, son arrière petit-fils, est le premier roi de Gwynedd.
  • Kazmer Furstán (-622), comte de Sostra
  • Reginwice Furstán, mariée à Damien, comte de Bavon

La mémoire du premier roi de Torenth, également appelé le Grand Furstán, est importante dans la symbolique et la magie des rois Furstán. Dans une femme pour le roi, Liam Lajos II explique à Kelson Haldane : « Ci-gît mon noble ancêtre, le grand Furstan. Sa mémoire préside au couronnement de tous ses descendants. Au Nouvel An qui a suivi la mort de mon frère, quand j'ai ceint l'épée, son esprit m'a effleuré. Dans quelques jours (i.e. au killijálay), je sentirai toute son influence »[1].

Seconde Maison Furstán (Furstán Tamasy)[modifier]

À la mort du roi István Zsolt Furstán, une guerre de succession éclate et dure pendant cinq ans, avant que le roi Tamás Termod Furstán, lointain cousin d'István Zsolt ne monte sur le trône, en 657. Ses descendants forment la maison de Furstán Tamasy ou seconde Maison de Furstán.

Tamás Termod Furstán était le petit-fils de Kassian Furstán, fils posthume du roi Arkady Ier que sa naissance tardive ne lui avait pas permis de succéder à son père, laissant la couronne passer aux frères cadets d’Arkady.

Kálmán II[modifier]

Kálmán II Imre Furstán est le dix-septième roi de Torenth. Né en 756, fils de Mátyás Imre Furstán, roi de Torenth, et de Jessandra de Besançon, il succède à son père en 808 à l'âge de 52 ans. En 822, il fournit des troupes à son fils cadet Festil qui attaque le royaume de Gwynedd, renverse le roi Ifor Haldane le et monte sur le trône de Gwynedd, inaugurant l'Interrègne Festillien. Kálmán meurt peu après, le .

Il avait épousé en 774 une princesse de Byzantiun, Demetria Ioulios, qui avait donné naissance à six fils et quatre filles, dont :

  • Lajos Ier Kis Furstán (775-845), roi de Torenth
  • Festil Ier Furstán (780-839), roi de Gwynedd
  • Termod Furstán (-845), prince de Kheldour.

Nimur Ier[modifier]

Nimur Ier Zsigmond Furstán est le vingt-deuxième roi de Torenth. Né en 866, fils d’Imre Tamas Furstán, roi de Torenth, et de Konstantia Ioulios, grande princesse de Byzantium, il succède à son père en 891 à l'âge de 25 ans.

En 904, son cousin Imre Furstán-Festil, roi de Gwynedd, est détrôné et tué lors de la Restauration Haldane, et Nimur accueille la princesse Ariella, sœur d’Imre. Après que cette dernière a accouché d’un fils, le prince Marek, il lui permet de lever des troupes et l’aide financièrement à reconquérir le trône de Gwynedd, mais Ariella est tué par Alister Cullen pendant la bataille, et Nimur recueille et élève le prince Marek.

Mais il n’entreprend pas d’autres actions contre Gwynedd, occupé à étendre le royaume vers l’est, en annexant les terres d'Arjenol, de Vorna, de Lorsöl, et de Vechta. Il meurt en 917, à l’âge de 51 ans.

Il s’était marié trois fois :

  1. en 887 avec Margit de Baian (870 – 895), qui donne naissance à un fils, Lajosha Furstán (885 – 904)
  2. en 899 avec Katalin Festil-Mnata (879 – 906), petite-fille de Festil III Furstán-Festil, roi de Gwynedd, qui donne naissance à :
    • Arion Ier (900 – 972), roi de Torenth
    • Charis (901 – 981), duchesse de Tolan, mariée en secondes noces à Marek Furstán-Festil
    • Miklós (904 – 928), duc de Truvorak
    • Torval Furstán (906 – 981), premier duc d’Arjenol, mariée à l’héritière de la principauté d’Arjenol et fondateur de la branche de Furstán-d’Arjenol
  3. en 912 avec Maria Kosinsky, qui donne naissance à une fille, Hedvig, mariée à Tamas, comte de Turjel.

Arion Ier[modifier]

Arion Ier Matyas Imre Furstán est le vingt-troisième roi de Torenth. Né en 900, fils de Nimur Ier Furstán, roi de Torenth, et de Katalin Festil-Mnata, il succède à son père en 917 à l'âge de 17 ans.

Le roman Le Prince félon le décrit comme un Deryni ayant une très grande maîtrise de la magie, sachant se concentrer et bénéficiant d'une volonté de fer, mais agissant parfois avec brutalité pendant des Sondes de Vérité[2].

Il commence par assurer son pouvoir dès son avènement, et ne cherche pas à ouvrir les hostilités avec Gwynedd[3]. Une dizaine d'années plus tard, contre son avis, son frère Miklos et le prétendant festillien Marek Ier Furstán-Festil, devenu son beau-frère, tentent une attaque contre Gwynedd, mais Miklos est tué pendant un combat magique[4].

Affligé par la mort de son frère, Arion disgracie Marek et l’exile à Tolan. Marek ne retrouve grâce qu'après beaucoup de temps et, ayant besoin d'une armée pour tenter de reprendre son trône, est totalement dépendant des volontés de son cousin[5]. Ce n'est qu'en 948 qu'Arion confie une armée à son beau-frère et cousin, qui débute par un succès en tuant le roi Owain Haldane, mais est vaincu et repoussé par Uthyr Haldane, le frère et successeur d'Owain.

Arion meurt en 972, à l’âge de 72 ans.

Il s’était marié en 917 avec Pavela Miraksovich, fille d'Ygor Miraksovich, prince souverain de Jandrich, qui avait donné naissance à :

  • Karoly Krikor Otto Furstan (918 — 960) prince héritier et père de Malachy II, successeur d'Arion Ier
  • Ysarn Furstan (920 — 988), duc de Marluk
  • Sigard Furstan-Jandrich (922 — ?), duc de Jandrich
  • Thomais Furstan (924 — ?)
  • Vidar Furstan (926 — 1015), duc de Truvorsk et prince-évêque de Podebrad

Miklós[modifier]

Miklós Malachy Matyas Furstán est un prince de Torenth et un duc de Truvorak. Il est né en 904, fils de Nimur Ier Furstán, roi de Torenth, et de Katalin Festil-Mnata, frère du roi Arion Ier, de Torval, premier duc d'Arjenol et de Charis, épouse du prétendant festillien Marek Ier Furstán-Festil.

« Elancé et gracieux, il avait des cheveux blonds et des yeux clairs. Ses manières indolentes, typiques de la langueur orientale, cachaient un esprit vif et un don d'observation redoutable »[6]. C'est également un magicien puissant, mais trop insouciant et arrogant, au contraire de son frère[7].

En 917, il se rend à Rhemuth pour représenter son frère au sacre du roi Javan. Au cours de l'entrevue qui suit, il offre à Javan de la part du roi de Torenth une biographie de Saint Bearand, puis demande des nouvelles de deux otages derynis, Kennet et Sudrey Furstán-Kheldour. Kennet ayant été tué en même temps qu'Ewan MacEwan, duc de Claibourne, par les régents, la question ranime la querelle entre les anciens régents et les frères d'Ewan et Hrorik, le frère d'Ewan défie Murdoch de Carthane et le tue en combat singulier. Quant à Sudrey, elle n'est plus considérée comme otage, car elle a épousé le comte Hrorik[8].

En 928 et contre l'avis de son frère, il organise avec son beau-frère Marek, une tentative de restauration de ce dernier sur le trône de Gwynedd. Pour tester les défenses de Gwynedd, ils demandent une entrevue à Hrorik et Sudrey à Lochalyn, où Sudrey affirme clairement qu'elle ne se considère plus somme sujette de Torenth. Quelques mois plus tard, Miklós et Marek attaquent et prennent la ville de Culliecairn, vainc l'armée de Hrorik venue au secours de la ville et tuent le ce dernier. Sudrey et son gendre Corban envoient des messagers à Rhemuth pour prévenir le roi Rhys Michael Haldane[9].

Même si l'expédition que Miklós et Marek ont lancé n'est qu'un moyen de tester les défenses de Gwynedd sans réelles perspectives d'invasion du royaume, Miklós ambitionne de se faire nommer duc de Mooryn par son beau-frère après la conquête de Gwynedd[10]. Il doit cependant tempérer les ardeurs de Marek qui manque de patience et voudrait envahir rapidement Gwynedd[11].

Le roi vient avec une armée de secours, accompagné des seigneurs Rhun von Horthy et de Manfred MacInnis. Rhys Michael accepte une entrevue avec Miklós, et s'y rend accompagné par Sudrey, tandis que Miklós est accompagné d'un noble humain qui se révèle être Marek déguisé. Miklós accuse Sudrey d'avoir trahi Torenth et tente de l'abattre, mais Rhys Michael réagit et tue Miklós. Tandis que Marek s'échappe du lieude l'entrevue, Sudrey, mortellement touché, meurt dans les bras de Rhys Michael, préférant une mort rapide plutôt que la torture des Custodes Fidei pour avoir utilisé ses pouvoirs derynis[12].

Il avait épousé Fatima Deodat, qui avait donné naissance à :

  • Ivan Furstán, comte Moneszelo
  • Fatimella Furstán, mariée à Adnan, comte de Graille

Nikola[modifier]

Nikola Furstán, né en 998, est le fils cadet de Kyprian II Furstán, 26e roi de Torenth, et de Polyxena Ioulios, une princesse impériale de la lointaine Byzantiun. Son père lui donne en apanage le duché d’Arkadia.

En 1025, son père organise une nouvelle tentative de restauration du prétendant festillien Marek II Furstán-Festil sur le trône de Gwynedd. Afin de multiplier ses chances, il s’allie à Jolyon II Quinnell, prince de Meara afin de prendre en tenaille le royaume de Gwynedd. Mais le prince Cinhil Haldane brise l’alliance en écrasant rapidement les forces meariennes et se porte à la rencontre de l’armée torenthienne. Les deux armées s’affrontent à Killingford le , pour une bataille de trois jours qui prendra un lourd tribut en vie humaine dans les deux camps. Urien Haldane, roi de Gwynedd, meurt le 17, son fils Cinhil meurt le 24 de ses blessures. Côté Torenthien, Marek II est tué le 17 ainsi que son père Imre et son fils aîné Festil. Son fils cadet Marek III tente de s’échapper du champ de bataille, mais il est capturé et exécuté une semaine plus tard. Le 16, c’est le prince héritier de Torenth, Arkady Furstán, qui avait manqué d’être tué, mais son frère Nikola dans un acte de bravoure, avait pu le protéger au prix de sa vie.

Brisé par la défaite, Kyprian abdique en faveur de son fils Arkady, qui monte sur le trône sous le nom d’Arkady II. Dès son couronnement, ce dernier ordonne l’édification d’un monument à la mémoire de son frère. Ce monument, le Nikolaseum, est situé Thorenthály, la résidence des rois de Torenth dans Beldour, et est considéré comme l'une des sept merveilles du monde. C’est un monument à sept niveaux sur lequel est construit un temple d’albâtre. Dans la grande pièce centrale se dresse catafalque à la lueur argentée sur lequel est posé un cercueil de basalte noir. Sur cette bière a été sculptée l'effigie du prince taillé dans du marbre rose qui donne au gisant l'apparence de la vie. On aurait dit que le prince dormait[13].

Nimur II[modifier]

Nimur Denes Kyprian Karoly Furstan est le vingt-huitième roi de Torenth. Né en 1035, il succède à son père Arkady II en 1080, à l'âge de 45 ans.

En 1105, son neveu le prince Hogan Furstán-Festil, décide de revendiquer le trône de Gwynedd. Nimur II lui donne son approbation et sa bénédiction, mais ne lui fournit aucun soutien militaire, et Hogan est tué par Brion Haldane. Nimur II meurt l'année suivante, en 1106, à l'âge de 71 ans.

Il s'était marié deux fois :

  1. en 1060 avec Charis Rochelle Furstán-Festil-Mór (1039 — 1080), fille de son oncle Zimri, duc de Truvorsk, et de Chriselle Furstána-Festila-Mór, duchesse de Tolan et prétendante festillienne, qui donne naissance à neuf enfants dont :
    • Nimur Furstán (1061 — 1095), duc de Beldour
    • Karoly III Furstán (1070 — 1110), son successeur
    • Wencit Furstán (1073 — 1121), roi de Torenth
    • Morag Furstána (1080 — 1128), mariée à Lionel II, duc d'Arjenol
  2. en 1081 avec Cairbreana Olafsdottir (1053 — 1101), comtesse Perenyi, qui donne naissance à deux enfants.

Wencit[modifier]

Wencit Zsubit Kyprian Nimur Furstán est le trente et unième roi de Torenth et le treizième prétendant festillien. Né en 1073, il est fils cadet de Nimur II Furstán, roi de Torenth, et de Charis Furstán-Festil-Mor, elle-même fille de la princesse Chriselle, la dixième prétendante festillienne.

En 1110 meurt son frère aîné, Károly III, et Aldred II, le fils et héritier du roi se montre rapidement despotique et cruel, même envers son épouse Charissa, n’hésitant pas à la battre, malgré son état de femme enceinte. Cette dernière complote avec Wencit pour renverser Aldred et Wencit monte sur le trône de Torenth sous le nom de Wenzel II. Wencit soutient sa nièce et l’aide à faire valoir ses prétentions sur Gwynedd, en échange de quoi Charissa fait de Wencit son héritier légal. Lorsque Charissa est tué par Kelson Haldane, en 1120, Wencit hérite de la prétention festillienne sur Gwynedd[14].

Il se proclame rapidement roi de Gwynedd, et son invasion imminente de Gwynedd est une source d'inquiétude pour les membres de la cour de Gwynedd, dans La Chasse aux magiciens.

Dans Le Triomphe des magiciens, Wencit est dépeint comme un monarque cruel et ambitieux, très doué pour manipuler les gens et les événements à son avantage. Il a suffisamment de charisme pour inciter un noble de Gwynedd à trahir, mais il affiche également une cruauté sauvage quand il ordonne avec désinvolture la mort de centaines de prisonniers. En outre, c’est un Deryni extrêmement puissant, et il n'a aucun scrupule à user de ses pouvoirs pour briser l'esprit d'un espion capturé. En tant que personnage, sa malveillance impitoyable est un contraste frappant avec la naïveté et l’innocence de jeunesse du protagoniste principal du roman, Kelson Haldane.

Par une ironie du sort, Wencit est finalement trahi par un de ses alliés, étant empoisonné juste avant un duel d’arcane contre Kelson. Wencit meurt en 1121 à l'âge de 48 ans[14].

Il s’était marié en 1098 avec Euphrosine d'Yvreu (1080 – 1115), qui avait donné naissance à deux filles :

  • Nimura Furstán, morte à deux ans,
  • Eufemia Furstán (1101 – 1119), mariée en 1115 à Mahael Furstán-d'Arjenol, mère d’un fils qui ne survécut pas à sa naissance

Morag[modifier]

Morag Mariah Khadijah Furstána est la quatorzième prétendante festillienne et aussi, par mariage, duchesse d’Arjenol. Née en 1080, elle est la dernière fille de Nimur II Furstán, roi de Torenth, et de Charis Furstán-Festil-Mor, elle-même fille de la princesse Chriselle, la dixième prétendante festillienne.

Elle fait une brève apparition avec son frère, Wencit, dans Childe Morgan, mais elle n’a un rôle significatif qu’à partir de La justice du roi[14].

Elle épouse ensuite en 1107 Lionel II Furstán-d’Arjenol, duc d’Arjenol, et donne naissance à cinq enfants dont :

  • Alroy Arion II (1109 - 1123), roi de Torenth
  • Liam Lajos II (1114), roi de Torenth
  • Ronal Rurik (1118), duc de Lorsol
  • Stanisha (1222)

Après la mort de Wencit et de son mari, à la fin du Triomphe des magiciens, le prince Alroy Arion II, fils aîné de Morag, devient roi de Torenth, tandis que Morag fait partie du Conseil de Régence et reprend à son compte la prétention festillienne.

Peu de temps après avoir atteint sa majorité légale en 1123, Alroy Arion meurt dans des conditions suspectes et Liam Lajos, second fils de Morag, lui succède. Morag accompagne Liam à Rhemuth car ce dernier doit reconnaître le roi Kelson Haldane comme suzerain et lui prêter serment. Même si elle effectue les cérémonies demandées, elle est ouvertement hostile à Kelson, et ses importants pouvoirs derynis deviennent une source de préoccupation importante à la cour de Gwynedd, aussi Kelson décide de garder Morag et Liam Lajos en otage le temps de l’expédition à Meara. Morag revient plus tard à Torenth sans Liam[14].

En tant que personnage, elle est souvent comparé à son frère, et affiche la même force, la même puissance et la même arrogance. Elle est également reconnu comme une politicienne rusée et gagne une telle réputation que les autres personnages pensent parfois sur son ambition l'emporte sur ses instincts maternels. Cette question est finalement tranchée lorsque Liam revient à Torenth pour prendre son trône après quatre ans passé à Gwynedd.

Lorsque Liam est attaqué pendant son intronisation, Morag défend immédiatement son fils, et ajoute ses pouvoirs à ceux de Kelson pour protéger le jeune roi. Au cours des semaines suivantes, Morag utilise l'esprit d'un noble pour espionner la cour de Kelson, mais elle commence finalement à se rendre compte que le roi Haldane est sans rancune envers Liam ou Torenth. Elle est assassinée par son beau-frère, Teymuraz, à l'âge de 48 ans en 1128, plusieurs semaines après le retour de Liam à Torenth[14].

Troisième Maison Furstán (Furstán-d'Arjenol)[modifier]

Peu avant sa mort, Wencit avait désigné pour lui succéder son neveu Alroy Arion II, fils de sa sœur Morag et de son mari Lionel II, duc d’Arjenol. Ce dernier appartient à une branche cadette de la famille Furstán, issue de Torval Furstán (906 – 981), un fils du roi Nimur Ier qui avait épousé Braida, héritière de la principauté d’Arjenol.

Alroy Arion II[modifier]

Alroy Arion II Arkady Aldred Furstán d'Arjenol est né en 1109, premier fils et second enfant de Lionel II, duc d'Arjenol, et de Morag Furstána.

En 1121, Alroy Arion II monte sur le trône de Torenth, suite de la mort de son oncle, le roi Wencit Furstán.

Après une régence exercée par sa mère Morag et par son oncle Mahael, duc d’Arjenol, Alroy meurt dans des circonstances suspectes peu après avoir atteint sa majorité légale en 1123.

Liam Lajos II[modifier]

Liam Lajos II Lionel László Furstán-d'Arjenol est né en 1114, troisième fils et quatrième enfant de Lionel II Furstán d'Arjenol, duc d’Arjenol, et de la princesse Morag Furstána.

En 1121, son frère aîné, Alroy Arion II, monte sur le trône de Torenth, suite de la mort de leur oncle, le roi Wencit Furstán. Après une régence exercée par sa mère Morag et par son oncle Mahael, duc d’Arjenol, Alroy meurt dans des circonstances suspectes peu après avoir atteint sa majorité légale en 1123. Liam Lajos, âgé de neuf ans, devient alors roi de Torenth, sous la régence de sa mère et de son oncle, le duc Mahael.

En 1124, le jeune monarque deryni et sa mère se rendent à Rhemuth, la capitale de Gwynedd, pour reconnaître officiellement le roi Kelson Haldane comme le suzerain de Torenth, mais Kelson, qui s’apprête à partir en guerre en Meara et voulant éviter une trahison de Torenth, décide de garder Liam et Morag en otage à la cour de Gwynedd. L’année suivante, Morag est autorisé à retourner à Torenth, mais Kelson garde Liam à Gwynedd pendant les quatre années suivantes, à la fois pour le protéger d’un accident analogue à celui qui fut fatal à Alroy Arion et aussi pour enseigner au jeune roi les compétences et l'art de gouverner et pour lui faire connaitre la culture de Gwynedd dans une tentative de mettre fin à l’antagonisme entre les deux royaumes.

En 1125, Liam est formé comme page sous le patronage du prince Nigel Haldane, l'oncle de Kelson, le, et une amitié étroite se noue entre Liam Lajos et les fils de Nigel[15].

Liam atteint sa majorité légale en 1128, retourne à Torenth avec Kelson pour son intronisation officielle comme roi de Torenth. Lors de la cérémonie, Liam est attaqué par deux de ses oncles, Mahael et Teymuraz, qui tentent de tuer Liam pour se saisir de son pouvoir. Cependant, Liam survit à l’attaque avec l’aide de Kelson, de sa mère et de son autre oncle Mátyás, et affermit son pouvoir comme roi de Torenth. Ensuite, Kelson relève Liam de sa vassalité, et restaure l'indépendance du royaume de Torenth, élévant Liam sur un pied d'égalité avec Kelson.

Quelques semaines plus tard, Liam revient brièvement à Gwynedd pour assister à un double mariage royal (ceux de Brecon Ramsay avec Richelle Haldane d’une part, et de Rory Haldane avec Noélie Haldane), puis de nouveau pour le mariage de Kelson, la semaine suivante.

Afin de resserrer les relations pacifiques entre les deux royaumes, Liam se fiance avec la princesse Eirian, fille de Nigel, prévoyant de l’épouser en 1138, lorsqu’Eirian aura un âge suffisant. De plus, Liam donne la main de sa sœur, la princesse Stanisha, au plus jeune fils de Nigel, le prince Payne Haldane[15].

Mahael[modifier]

Mahael Termöd Aëlla Walcher Furstán-d'Arjenol est un duc d'Arjenol et un régent du royaume de Torenth. Né en 1091, il est fils de Mahael Ier, duc d’Arjenol et de Daniela, comtesse de Ryndziak.

À la mort du roi Wencit Furstán et de son frère Lionel II, duc d'Arjenol, il hérite du duché de son frère et devient corégent de Torenth avec sa belle-sœur Morag, au nom de son neveu, le roi Alroy Arion II Furstán-d'Arjenol.

Peu après sa majorité, Alroy Arion meurt d'une chute de cheval, et Mahael et Morag redeviennent corégents au nom de Liam Lajos II, frère du précédent roi. Mais Kelson préfère garder le jeune roi à la cour de Gwynedd pour le protéger d'un éventuel accident[16].

Mahael effectue une tentative pour tuer Nigel Haldane, le régent de Gwynedd et Liam Lajos, mais ses envoyés échouent[17].

En 1128, Liam Lajos, âgé de 14 ans, retourne à Beldour pour être couronné et prendre possession de son royaume. Mahael et Teymuraz tentent d’assassiner leur neveu Liam Lajos lors du couronnement de ce dernier, mais le roi Kelson Haldane, Morag, le comte Mátyás, frère cadet de ceux-ci, joignent leurs efforts pour protéger le jeune roi, lui permettant d’acquérir tous ses pouvoirs royaux et de vaincre ses deux oncles renégats. Mahael, l’esprit détruit par le combat est immédiatement exécuté, mais Teymuraz réussit à s’échapper et à s’enfuir de Torenth[18].

Mahael avait épousé en 1115 Eufemia Furstána (1101 — 1119), fille de Wencit, roi de Torenth qui avait donné naissance à un fils Malachy Matyas Furstán-d'Arjenol (1119 — 1119)

Teymuraz[modifier]

Teymuraz Tivadar Termod Theodorik Furstán-d'Arjenol-Brustarkia est un comte de Brustarkia, puis un prétendant aux trônes de Gwynedd et de Torenth. Né en 1095, il est fils de Mahael Ier, duc d’Arjenol et de Daniela, comtesse de Ryndziak.

Tout au long du roman Une femme pour le roi, Teymuraz est dépeint comme étant à la fois rusé et ambitieux, possédant une détermination de sang-froid pour atteindre ses objectifs. Avec son frère Mahael, duc d’Arjenol, il tente d’assassiner son neveu Liam Lajos lors du couronnement de ce dernier, mais le roi Kelson Haldane, Morag, la mère de Liam Lajos, et le comte Mátyás, frère de ceux-ci, joignent leurs efforts pour protéger le jeune roi, lui permettant d’acquérir tous ses pouvoirs royaux et de vaincre ses deux oncles renégats. Mahael, l’esprit détruit par le combat est immédiatement exécuté, mais Teymuraz réussit à s’échapper et à s’enfuir de Torenth. Un peu plus tard, il assassine Morag, puis tente de tuer Mátyás lors du mariage de Rory Haldane, mais cette dernière tentative échoue[14].

Pourchassé, Teymuraz se réfugie à la cour royale de Byzantyun, où il cherche à obtenir de l'aide pour ses objectifs politiques. En 1129, un an après la fin d’Une femme pour le roi, Teymuraz émet une proclamation dans laquelle il revendique les deux couronnes de Torenth et Gwynedd. Bien que la prétention festillienne sur Gwynedd soit légalement passée au roi Liam-Lajos II après la mort de Morag, la prétention de Teymuraz au trône de Gwynedd peut être fondée sur le fait qu'il est arrière-petit-fils d’AriElinora, la neuvième prétendante festillienne. On ne sait cependant pas sur quelle base juridique il réclame le trône de Torenth[14].

Mátyás[modifier]

Mátyás Torval Rikárd Furstán-d'Arjenol-Komnénë est un comte de Komnénë, puis un duc d'Arjenol. Né en 1101, il est fils de Mahael Ier, duc d’Arjenol et de Daniela, comtesse de Ryndziak.

Contrairement à ses deux frères, Mahael et Teymuraz, Mátyás se tient à l'écart des affaires politiques de Torenth, se consacrant à la gestion de son comté de Komnénë et à sa passion pour la viticulture[19]. Cependant, à la mort de son neveu Alroy Arion II, son frère Mahael l'invite à participer au Conseil de Régence, et apprenant que ses frères complotent contre leur neveu Liam Lajos, il demande conseil à sa marraine Sofiana, princesse d'Andelon, et décide de faire preuve d'une fidélité inconditionnelle envers son neveu Liam Lajos II[20].

Lorsque ce dernier, alors vivant à la cour de Gwynedd, atteint sa majorité légale, Mátyás se rend à Rhemuth pour escorter le jeune roi pendant son retour vers Torenth[21]. Mahael et son autre frère Teymuraz tentent d’assassiner son neveu Liam Lajos lors du couronnement de ce dernier, mais le roi Kelson Haldane, Morag, la mère de Liam Lajos, et le comte Mátyás, joignent leurs efforts pour protéger le jeune roi, lui permettant d’acquérir tous ses pouvoirs royaux et de vaincre ses deux oncles renégats. Mahael, l’esprit détruit par le combat est immédiatement exécuté, mais Teymuraz réussit à s’échapper et d’enfuit de Torenth.

Mátyás devient l'un des principaux conseillers de son neveu, qui lui confie également le duché d'Arjenol, et il est pressenti pour rejoindre le Conseil cambérien[18].

Autres membres de la dynastie[modifier]

Les Furstán-Festil[modifier]

Article détaillé : Dynastie festillienne.

Sudrey Furstán-Kheldour[modifier]

Sudrey Furstán-Kheldour (893 — 928) est la fille de Kálmán Furstán-Kheldour et de Bathsheba de Claibourne, et comtesse des Marches de l'Est par son mariage avec le comte Hrorik MacEwan. Son arrière-grand-père Termod Furstán (mort en 845) est le dernier fils de Kálmán II Furstán, roi de Torenth et avait participé avec son frère Festil Ier Furstán à la conquête de la principauté de Kheldour en 823. En récompense, il était devenu prince de Kheldour, inaugurant la branche de Furstán-Kheldour.

Orpheline très tôt, Sudrey et son frère Kennet (891 — 918) sont recueillis et élevés par leur oncle Termod Furstan-Kheldour, prince de Kheldour. Mais les abus de ce dernier attisent entraine une révolte en 904 au cours de laquelle Termod est tué et le mécontentement humain dans le Kheldour et favorise la conquête de la principauté par Sighere MacEwan, comte des Marches de l'Est, en 905[22]. Sudrey et Kennet se réfugient dans le comté de Rhorau. Mais les armées conjointes de Sighere MacEwan et de Cinhil Haldane réduisent Rhorau et les deux jeunes gens sont faits prisonniers. Sighere aurait préféré tuer les deux jeunes gens, mais Cinhil s'y oppose, et finalement ils sont confiés à Ewan, fils aîné de Sighere, qui devient comte de Rhendall, comté créé à partir des terres du comté de Rhorau[23].

Sudrey juge plus prudent de ne plus user de ses pouvoirs derynis, même si elle en conserve un don de prescience. Au fil du temps, elle finit par s'éprendre du frère de son geôlier, le comte Hrorik des Marches de l'Est, qu'elle épouse en 908. Trois enfants naissent de ce mariage, mais seule Stacia MacEwan (909 — 967) parvient à l'âge adulte. Après avoir été adoubé chevalier par Ewan[24], Kennet meurt en 918[25], tué sur l'ordre des Régents en même temps qu'Ewan[26]. Stacia grandit et épouse en 927 Corban Howell.

La paix règne entre Gwynedd et Torenth, en raison de la jeunesse du prétendant festillien Marek, mais aussi parce que Torenth entreprend la conquête d'une série de territoires sur ses frontières nord et est. Mais Marek atteignant l'âge adulte, une expédition est envisagée pour le restaurer sur le trône de Gwynedd. Miklós Furstán, prince torenthien et Marek, pour tester la situation dans le Kheldour et clarifier la situation de Sudrey, qu'ils considèrent encore comme otage alors que Sudrey se considère comme épouse de Hrorik et loyale sujette de Gwynedd, demandent une entrevue à Lochalyn, où Sudrey affirme clairement qu'elle ne se considère plus somme sujette de Torenth. Quelques mois plus tard, Miklós et Marek attaquent et prennent la ville de Culliecairn, vainc l'armée de Hrorik venue au secours de la ville et tuent le comte Hrorik. Sudrey et son gendre Corban envoient des messagers à Rhemuth pour prévenir le roi Rhys Michael Haldane[9].

Le roi vient avec une armée de secours, accompagné des seigneurs Rhun von Horthy et de Manfred MacInnis. Rhys Michael accepte une entrevue avec Miklós, et s'y rend accompagné par Sudrey, tandis que Miklós est accompagné d'un noble humain qui se révèle être Marek déguisé. Miklós accuse Sudrey d'avoir trahi Torenth et tente de l'abattre, mais Rhys Michael réagit et tue Miklós. Tandis que Marek s'échappe du lieude l'entrevue, Sudrey, mortellement touché, meurt dans les bras de Rhys Michael, préférant une mort rapide plutôt que la torture des Custodes Fidei pour avoir utilisé ses pouvoirs derynis[12].

Références[modifier]

  1. Kurtz 2002, p. 230.
  2. Kurtz 2000, p. 305.
  3. Kurtz 1998, p. 281.
  4. Kurtz 2000, p. 218-226.
  5. Kurtz 2000, p. 304-308.
  6. Kurtz 1999, p. 248-249.
  7. Kurtz 2000, p. 302.
  8. Kurtz 1999, p. 258-274
  9. 9,0 et 9,1 Kurtz 2000, p. 14-15.
  10. Kurtz 2000, p. 105.
  11. Kurtz 2000, p. 170.
  12. 12,0 et 12,1 Kurtz 2000, p. 186-213 et 218-226.
  13. Kurtz 2002, p. 234-235.
  14. 14,0 14,1 14,2 14,3 14,4 14,5 et 14,6
  15. 15,0 et 15,1
  16. Kurtz 1997, p. 92-96.
  17. Kurtz 1997, p. 204-208 et 254-255.
  18. 18,0 et 18,1 Kurtz 2002, p. 272-277.
  19. Kurtz 2002, p. 58-63.
  20. Kurtz 2002, p. 342-343.
  21. Kurtz 2002, p. 58-66.
  22. Kurtz 2000, p. 13
  23. Kurtz 1996, p. 306
  24. Kurtz 2000, p. 193
  25. Kurtz 2000, p. 12-13.
  26. Kurtz 1999, p. 263

Sources[modifier]

  • Katherine Kurtz (trad. de l'anglais par Guy Abadia), Roi de folie [« Camber of Culdi »], Paris, Presse Pocket, (1re éd. 1976), 316 p. (ISBN 2-266-06350-2)
  • Katherine Kurtz (trad. de l'anglais par Michèle Zacharyus), Roi de douleur [« Saint Camber »], Paris, Presse Pocket, (1re éd. 1979), 372 p. (ISBN 2-266-06653-6)
  • Katherine Kurtz (trad. de l'anglais par Michèle Zacharyus), Roi de mort [« Camber the Heretic »], Paris, Presse Pocket, (1re éd. 1981), 441 p. (ISBN 2-266-06654-4)
  • Katherine Kurtz (trad. de l'anglais par Michèle Zacharyus), Le calvaire de Gwynedd [« The Harrowing of Gwynedd »], Paris, Presse Pocket, (1re éd. 1989), 380 p. (ISBN 2-266-06658-7)
  • Katherine Kurtz (trad. de l'anglais par Michèle Zacharyus), L'année du roi Javan [« King Javan's Year »], Paris, Presse Pocket, (1re éd. 1992), 442 p. (ISBN 2-266-06659-5)
  • Katherine Kurtz (trad. de l'anglais par Michèle Zacharyus), Le prince félon [« The Bastard Prince »], Paris, Presse Pocket, (1re éd. 1994), 443 p. (ISBN 2-266-08534-4)
  • (en) Katherine Kurtz, In the King's Service, , 359 p. (ISBN 0-441-01060-1)
  • (en) Katherine Kurtz, Childe Morgan, , 279 p. (ISBN 0-441-01282-5)
  • Katherine Kurtz (trad. de l'anglais par Guy Abadia), Le réveil des magiciens [« Deryni Rising »], Paris, Presse Pocket, (1re éd. 1970), 281 p. (ISBN 2-266-05648-4)
  • Katherine Kurtz (trad. de l'anglais par Guy Abadia), La chasse aux magiciens [« Deryni Checkmate »], Paris, Presse Pocket, (1re éd. 1973), 318 p. (ISBN 2-266-05649-2)
  • Katherine Kurtz (trad. de l'anglais par Guy Abadia), Le triomphe des magiciens [« High Deryni »], Paris, Presse Pocket, (1re éd. 1973), 374 p. (ISBN 2-266-06349-9)
  • Katherine Kurtz (trad. de l'anglais par Michèle Zacharyus), Le bâtard de l'évêque [« The Bishop's Heir »], Paris, Presse Pocket, (1re éd. 1984), 275 p. (ISBN 2-266-06655-2)
  • Katherine Kurtz (trad. de l'anglais par Michèle Zacharyus), La justice du roi [« The King's Justice »], Paris, Presse Pocket, (1re éd. 1985), 316 p. (ISBN 2-266-06656-0)
  • Katherine Kurtz (trad. de l'anglais par Michèle Zacharyus), La quête de Saint Camber [« The Quest for Saint Camber »], Paris, Presse Pocket, (1re éd. 1986), 379 p. (ISBN 2-266-06657-9)
  • Katherine Kurtz (trad. de l'anglais par Michèle Zacharyus), Une femme pour le roi [« King Kelson's Bride »], Paris, Presse Pocket, (1re éd. 2000), 477 p. (ISBN 2-266-12504-4)
  • (en) Katherine Kurtz, The Deryni Archives, , 325 p. (ISBN 0-345-32678-4)
  • (en) Katherine Kurtz et Robert Reginald, Codex Derynianus (second edition), (1re éd. 1997), 353 p. (ISBN 1-887424-96-2)


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