Royaume du Martorey
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 Drapeau du Martorey | |
 Vue du hameau du Martorey | |
| Administration | |
|---|---|
| Pays |  France
|
| Statut politique | Micronation |
| Capitale | Marthor ville |
| Gouvernement | Monarchie constitutionnelle fédérale |
| Reine | Marie-Ange |
| Vice-roi et Premier ministre | Roman du Martorey |
| Démographie | |
| Gentilé | Martorants / martorannes |
| Population | 25 hab. (2024) |
| Langue(s) | Français |
| Géographie | |
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| Superficie | 75 ha = 0,75 km2 |
| Divers | |
| Monnaie | Livre du Martorey |
| Fuseau horaire | UTC +1 |
| Domaine internet | .fr |
| Indicatif téléphonique | +33 |
| Hymne | Notre terre |
| Devise | Paix, Liberté, Farniente |
| Code ISO 3166-1 | MRT |
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Le Martorey en forme longue le Royaume du Martorey est une micronation fondée en 1972 et située en Savoie (France) sur le territoire du hameau éponyme.
Etymologie[modifier]
La première mention du Martorey remonte au Moyen-âge avec le mot Martyretum[1], lui-même dérivant de Martyrium, indiquant la tombe d'un « martyr »[2] et plus généralement un « cimetière »[3] ou un « champ des martyrs ». Dans son ouvrage intitulé Etude sur l'origine des toponymes martroi et martres, Jacques Soyer écrit qu'un martyretum est dans le principe un champ des martyrs qui ont étés enterrés la.[4]
Histoire[modifier]
Le Martorey fut successivement une possession de la famille de Briançon alors Vicomte de Tarrentaise (1000 - 1276), de la famille comtale puis ducale de Savoie (1276 - 1416 - 1628) puis devint un fief de la famille de Chabod.
En 1628 suite à un conflit entre le duc de Savoie Victor-Amédée I et le Roi de France Louis XIII les possessions ducales en Tarentaise furent réparties entre ses différents vassaux dont la famille de Chabod[5] qui récupéra le village de Landry[6] ainsi que la terre du Martorey[7].
Le 10 octobre 1757 les habitants de Landry rachetèrent leurs droits à la famille de Chabod pour 2.150 livres (35 118 euros de 2022).
Après la révolution le Martorey fut progressivement laissé à l’abandon (quelques pâturages furent néanmoins entretenus par des paysans de Landry qui venaient sur les hauteurs y faire paître leurs troupeaux) jusqu’en 1972 date à laquelle le Château de Balmorey alors ancienne bergerie édifié en 1784 est racheté et rénové ce qui rend peu à peu vie à ce lieu chargé d’histoire.
Géographie[modifier]
Le Martorey est situé à une altitude moyenne de 1150 mètres. Le point le plus haut se situe à 1250 mètres et le plus bas à 1020 mètres.
Le royaume a une superficie de 0,75 km2 soit 75 hectares.
L'accès au Martorey se fait principalement par la « route royale » venant de Landry. Une autre route moins utilisée est la « route de Peisey » situé à l'est du royaume.
La limite sud du royaume est marqué par la colline du tombeau car elle abriterait selon la légende la tombe d'un guerrier celte de la tribu des Allobrogues mort au IIe siècle av J-C. Cette colline est considéré comme sacrée par les martorants.
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Vue de Montchavin
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Chemin forestier du Martorey
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La colline du tombeau qui constitue la limite sud du royaume
Découpage et organisation territoriale[modifier]
Le Royaume du Martorey est une fédération de trois Etats : deux républiques (Bellevue et Woodside) et une monarchie (Medina). Le Hameau du Martorey forme quand à lui une cité-Etat distincte.
Au Martorey la souveraineté est exercée à la fois par le gouvernement fédéral et par chacun des gouvernements fédérés. Un martorant est à la fois citoyen du royaume et résident de l'Etat fédéré où il est domicilié.
Politique[modifier]
Le Martorey est une monarchie organisée en un Etat fédéral. Le monarque martorant est le chef de l'Etat et le Premier ministre est le chef du gouvernement.
Le pouvoir exécutif est exercé conjointement par le gouvernement fédéral et le Souverain. Le pouvoir législatif fédéral appartient à la fois au gouvernement fédéral et à l'Assemblée populaire suprême.
| Fonction | Titulaire | En fonction |
|---|---|---|
| Reine | Marie-Ange | Depuis le 1er janvier 1972 (52 ans, 10 mois et 17 jours) |
| Vice-roi et Premier ministre | Roman du Martorey | Depuis le 1er janvier 2022 (2 ans, 10 mois et 17 jours) |
Pouvoir exécutif[modifier]
Le monarque[modifier]
Le souverain martorant exerce la plus haute fonction du pouvoir exécutif du royaume.
Il s'agit de la fonction la plus prestigieuse de par l'ordre protocolaire mais aussi en tant qu'incarnation de l'autorité de l'Etat.
Le Souverain martorant assure le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l'Etat. Il est le garant de l'indépendance et de l'intégrité du territoire martorant.
En cas d'impossibilité de présidence du Conseil des ministres, le Souverain peut déléguer cette tâche au Premier ministre. Ce dernier du fait qu'il est également vice-roi peut remplacer le Souverain pour la réception des Chefs d'Etat et de Gouvernement étrangers, pour la représentation du royaume lors des sommets et rencontres internationales ainsi que pour la nomination de certains fonctionnaires fédéraux et de certains diplomates.
Le Premier ministre[modifier]
Le Premier ministre est le chef du gouvernement fédéral. Il est nommé et révoqué par le monarque.
Le Premier ministre choisi conjointement avec le Souverain les ministres qui forment le gouvernement fédéral. Il soumet ensuite ce choix à l'Assemblée populaire suprême.
Le Premier ministre contresigne tous les actes du Souverain exceptés les décrets royaux.
Bien qu’elle ne soit pas inscrite dans la Constitution ou la loi, la fonction de Premier ministre est de facto héréditaire dans la famille grand-ducale de Medina.
Le Gouvernement fédéral[modifier]
Le gouvernement fédéral se compose du Premier ministre et de plusieurs membres ayant le titre de ministre.
Il y a cinq ministères :
- le ministère de la sécurité d'Etat
- le ministère de l'intérieur
- le ministère des relations internationales
- le ministère du développement économique
- le ministère des ressources naturelles et de l'environnement
Les ministres doivent obligatoirement avoir la nationalité martoranne et être de religion catholique.
Le gouvernement est confirmé par l'Assemblée populaire suprême.
Pouvoir législatif[modifier]
L'Assemblée populaire suprême[modifier]
| Type | Parlement monocaméral |
|---|---|
| Création | 1er juillet 2024 |
| Lieu | Château du Haut Martorey |
| Durée du mandat | Indéterminée |
| Président |
En attente de nomination Roman du Martorey (intérim) |
|---|
| Membres | 17 citoyens |
|---|
| Groupes politiques |
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|---|
| Système électoral | Tout les citoyens martorants de plus de 18 ans sauf restriction ou refus sont membres d'office de l'Assemblée |
|---|
L'Assemblée populaire suprême est le parlement monocaméral du Martorey. Elle a remplacé le 1er juillet 2024 le Conseil des Pairs qui faisait jusqu'alors office de parlement.
Selon la Constitution l'Assemblée populaire suprême est « l'organe suprême du pouvoir du Royaume du Martorey ».
L'assemblée est composée de tous les citoyens martorants de plus de 18 ans sauf restriction. Les citoyens qui ne souhaitent pas être membres de l'assemblée peuvent librement refuser.
Les membres de l'assemblée font soit partie de l'Union nationale martoranne soit sont indépendants.
L'Assemblée populaire suprême dispose des compétences suivantes :
- réviser ou amender la Constitution
- proposer, réviser ou amender les lois
- examiner le plan de développement économique de l'Etat proposé par le gouvernement fédéral et le rapport d'exécution de ce dernier et les approuver
- examiner le budget annuel de l'Etat proposé par le gouvernement fédéral et le rapport d'exécution de ce dernier et les approuver
- voter la mise en accusation d'un fonctionnaire fédéral ou d'un membre du gouvernement fédéral
- donner son accord aux nominations faites par le Souverain et le Premier ministre pour les membres du gouvernement fédéral
La pairie[modifier]
La pairie dans le royaume du Martorey est un système juridique comprenant à la fois les pairs héréditaires et les pairs à vie. Le terme pairie peut être utilisé à la fois collectivement pour désigner l’ensemble du corps des nobles et individuellement pour désigner une personne spécifique.
Le Congrès fédéral[modifier]
Le Congrès fédéral est la réunion extraordinaire de l'Assemblée populaire suprême, du gouvernement fédéral et des gouvernements de tous les Etats fédérés. La réunion du Congrès fédéral a pour objet l'autorisation de l'adhésion d'un nouvel Etat à la fédération, le changement de régime politique d'un Etat fédéré ou la scission/partition/fusion d'un ou plusieurs Etats fédérés.
Partis politiques et syndicats[modifier]
Le gouvernement n’autorise pas l’existence de partis politiques ou de groupements politiques autre que l'Union nationale martoranne.
Les syndicats sont interdits.
Les Etats fédérés[modifier]
Les trois Etats qui composent le royaume sont l'équivalent des Etats américains.
Les Etats fédérés sont constitutionnellement autonomes. Un certain nombre de domaines sont ainsi gérés uniquement au niveau des Etats fédérés comme l’entretien des routes et des chemins, la sécurité et l'ordre publique ou encore l'entretient des espaces verts.
Le Gouverneur[modifier]
Le gouverneur est le chef de l'exécutif d'un Etat fédéré.
Le gouverneur représente le Souverain et le gouvernement fédéral dans son Etat fédéré tout en l'administrant.
Les gouverneurs sont élus au suffrage universel direct pour 6 ans renouvelable par les résidents dans les Républiques de Woodside et de Bellevue. Ils sont confirmés par décret royal après leur élection. La fonction de gouverneur a été changé en grand-duc et est devenue héréditaire à Medina en 2002.
Les gouverneurs / le grand-duc sont aidés par un gouverneur adjoint et trois ou quatre administrateurs et forment ensembles le conseil exécutif.
Economie et monnaie[modifier]
Avec une population d'environ 25 habitants le Martorey représente un marché infime à l'échelle mondiale.
L'économie du royaume repose principalement sur le secteur tertiaire et le tourisme qui constitue la quasi totalité des recettes de l'Etat. Le secteur primaire (agriculture) occupe une place minime dans l'économie martoranne (moins de 5% du PIB).
L'industrie est inexistante dans le royaume. Le tourisme est une source économique majeure de revenus pour le royaume et fait partie de la stratégie du gouvernement martorant visant à maintenir un flux de liquidités étrangères dans le pays.
Monnaie[modifier]
| Livre du Martorey Unité monétaire moderne actuelle | |
| Pays officiellement utilisateurs |
Royaume du Martorey |
|---|---|
| Appellation locale | Livre martoranne |
| Code ISO 4217 | LMT
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| Taux de change | 1 LMT = 1,05 EUR (11 aout 2024) |
| Chronologie de la monnaie | |
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L'unité monétaire officielle en vigueur dans le royaume est la livre du Martorey ou livre martoranne dont le cours est indexé sur celui du franc suisse.
L'euro est aussi utilisé mais principalement par les touristes.
Lois et justice[modifier]
Le taux de criminalité dans le royaume est proche de 0. Le vol à l’arrachée est rarissime tout comme les cambriolages. La situation sécuritaire du pays est excellente et le niveau de sécurité est l'un des meilleur au monde.
Le Martorey est une société multiculturelle toutefois la culture martoranne est façonnée par les traditions catholiques, la religion étant présente dans beaucoup d'aspects de la vie quotidienne du pays. Les activités quotidiennes, les fêtes, la cuisine, les tenues vestimentaires, les mariages et autres traditions sont fortement influencés par la religion catholique.
Le visiteur est soumis aux lois locales au même titre que les autochtones. Le non-respect des lois – même par mégarde – peut mener à une sanction judiciaire.
Drogues[modifier]
TOLERANCE ZERO : l'importation, la possession, le commerce et l'usage des drogues (même les drogues dites « soft ») sont strictement interdits et donnent lieu à des peines très sévères. Même des traces minimes dans le sang d'un usage antérieur peuvent conduire à une lourde sanction. Les voyageurs en transit peuvent également faire l’objets de contrôles.
Alcool[modifier]
Les restrictions concernant la consommation d'alcool doivent être respectées quelle que soit la nationalité et la religion.
Consommer ou être sous l'influence de l’alcool dans les lieux publics est interdit et peut entraîner des sanctions sévères.
En outre une politique de tolérance zéro est en vigueur concernant la conduite en état d'ébriété. Il n'existe pas de taux d'alcoolémie légal acceptable.
Coutumes vestimentaires[modifier]
Les femmes et les hommes doivent veiller à ne pas porter des tenues trop légères (épaules couvertes et pas de shorts ou de jupes court(e)s) dans les lieux publics civils et religieux surtout dans le Grand-duché de Medina. Il est interdit de porter des vêtements avec des images ou des slogans obscènes, choquants ou insultants.
Photographie et images[modifier]
Prendre des photos d’autrui sans permission est une infraction pénale. Il est d’autre part interdit de photographier les bâtiments officiels et les sites gouvernementaux civils et militaires. Cela peut mener à une interpellation par les autorités voire à une arrestation. Si les autorités demandent à supprimer les photos prises il est conseillé d’y donner suite sans discussion.
Les insultes ou les plaisanteries sur le système politique et son leadership peuvent faire l’objet de poursuites sévères notamment en cas de non respect à l’égard du Chef de l’Etat y compris pour les images le représentant.
Société[modifier]
Nomenclature sociale[modifier]
La société martoranne est organisée en deux « ordres » :
- La nobilitas regroupant les membres de l'aristocratie
- La société civile regroupant les personnes roturières (non nobles)
Le système d'ordre classe les citoyens en fonction de deux types de critères : les origines sociales de leur famille et l'attitude des personnes par rapport à la société et au respect des règles et des lois.
La nobilitas[modifier]
La nobilitas désigne les membres de l'aristocratie.
Les titres de noblesse de familles anoblies par un souverain quelque soit l'époque (par un monarque français par exemple) sont reconnus dans le royaume et peuvent être librement utilisés.
Nobilitas sanguinis et Nobilitas soli[modifier]
Les membres de la nobilitas sont eux même divisés en deux catégories selon l'origine de leur noblesse :
- la nobilitas sanguinis (noblesse par le sang) rassemble toutes les personnes anoblies par un vrai souverain (monarque français, britannique, allemand…) ou qui ont achetés une authentique lettre de noblesse ou son équivalent et qui possèdent donc une « véritable noblesse ».[8]
« Est considérée comme noble par le sang toute personne ou famille inscrite dans un armorial général noble ou sur un registre de recensement de la noblesse, reconnu officiellement et publié avant 1918 pour les anoblis par des gouvernements monarchiques ayants étés abolis et dans un armorial général noble ou un registre de recensement de la noblesse, reconnu officiellement, postérieur à 1918 pour toute personne ou famille anoblie dans un pays ayant conservé à ce jour un gouvernement monarchique.
Toute personne ou famille qui se déclare appartenir à la noblesse par le sang fera l'objet d'une enquête généalogique afin de prouver la véracité de ses allégations.
Sont considérés comme preuves de noblesse par le sang tout les actes officiels recognitif de noblesse régulière ou à défaut d’autre document disponible, il peut être considéré comme acte récognitif, le fait que le premier ancêtre noble du candidat, son fils et son petit-fils (trois générations à minima) aient portés les qualifications réservées à la noblesse. »
— Décret royal sur l'appartenance à la noblesse par le sang
- la nobilitas soli (noblesse par le sol) rassemble toutes les personnes anoblies par un souverain martorant ou par le souverain d'une autre micronation et qui possèdent donc une « noblesse de courtoisie ou de fantaisie ».
« Est considérée comme étant noble par le sol toute personne ou famille ayant été anoblie par un souverain martorant, par le souverain d'une autre micronation organisée sous la forme d'une monarchie ou qui on acheté une lettre de noblesse fictive et dont le titre de noblesse ou la qualification noble ne figure pas parmi les titres existants ou ayant existés et qui ont étés portés par une véritable famille noble éteinte. »
— Décret royal sur l'appartenance à la noblesse par le sol
La Commission des preuves[modifier]
La Commission des preuves est l'instance chargée de réaliser les recherches généalogiques des personnes ou familles se déclarant de la noblesse par le sang ainsi que l'examen des documents fournis sensés attester de la noblesse.
Les candidats présentent un dossier à la Commission dans lequel ils doivent apporter un acte recognitif officiel de noblesse (lettre patente, maintenues de noblesse…) puis prouver leur filiation par des actes de naissance, de baptême et/ou de mariage jusqu'au prétendant.
La Commission des preuves est composée de membres cooptés pour leurs compétences en matière nobiliaire, généalogique et héraldique.
La Commission a également en charge la création des armoiries pour les nouveaux anoblis.
Nationalité[modifier]
Il existe deux voies d'acquisition de la nationalité martoranne :
- Par filiation (les deux parents doivent êtres de nationalité martoranne depuis au moins dix ans)
- Par décret royal de naturalisation
Religion[modifier]
Le catholicisme romain est officiellement la religion d’Etat du royaume. Les statistiques gouvernementales font état de 100 % de catholiques parmi les habitants. D'autres religions peuvent toutefois être pratiquées mais uniquement dans un cadre privé et aucun lieu de culte ne leurs est dédiés.
Afin d'éviter tout communautarisme et tout séparatisme le gouvernement martorant n'autorise pas la distribution d'objet en rapport avec la religion comme des livres de prières. Le port de symboles religieux tout comme le port de tenues vestimentaires associées à une religion est interdit en public.
Le prosélytisme religieux est interdit tout comme le blasphème de la religion catholique.
Références[modifier]
- ↑ https://www.persee.fr/doc/bec_0373-6237_1925_num_86_1_460571_t1_0447_0000_002
- ↑ http://topo.over-blog.com/article-14360265.html
- ↑ https://www.persee.fr/doc/rea_0035-2004_1925_num_27_3_2368
- ↑ Jacques Soyer. Etude sur l'origine des toponymes martroi et martres. Bordeaux et Paris [1925]. (Extrait de la Revue des Etudes anciennes, t. XXVII, n°3, juillet-septembre 1925.) - Persée (persee.fr)
- ↑ Famille de Chabod — Wikipédia (wikipedia.org)
- ↑ https://www.wikiwand.com/fr/Landry_(Savoie)
- ↑ http://toutsurlagenealogie.blogspot.com/2017/04/famille-farges-du-lyonnais-genealogie.html
- ↑ Elie Haddad, Léguer, Hériter 1. De la terre au sang : l’héritage de la noblesse (xvie-xviiie siècle), La Découverte, , 160 p. (lire en ligne), p. 19-32
