Olivier Brachet
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Olivier Brachet | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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Nom | Olivier Brachet | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Date de naissance | 12 juillet 1949 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Lieu de naissance | Lyon (France) | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Nationalité | Française | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
👔 Profession | Économiste, Directeur de Forum réfugiés | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Fonction1 | Vice-président de la Métropole de Lyon chargé de l'habitat, du logement et de la politique de la ville | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
À Partir Du Fonction1 | 2008 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Jusqu'Au Fonction1 | février 2015 |
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Olivier Brachet est un économiste et homme politique français. Il a rempli plusieurs fonctions, la plupart liées au logement et aux réfugiés, dont rédacteur en chef de la revue Économie et Humanisme, maître de conférences associé à l’Université Lyon II, directeur de l’association Forum Réfugiés, conseiller spécial sur les questions d’asile auprès du Commissaire européen à la Justice, à la Liberté et à la Sécurité, conseiller municipal à Lyon et vice-président de la Métropole de Lyon chargé de l'habitat, du logement et de la politique de la ville, Juge assesseur HCR à la Cour nationale du droit d’asile.
Biographie[modifier]
Formation[modifier]
Olivier Marie Louis Brachet est né à Lyon le . Il est le quatrième d’une fratrie de cinq garçons. Suivant une tradition familiale, il étudie au Collège des Jésuites à Lyon. Il obtient un baccalauréat en mathématiques élémentaires puis, à l’Université Lyon II, une maîtrise et un diplôme d’études supérieures de sciences économiques.
Il pratique bénévolement l’alphabétisation à l’Association de coopération franco-algérienne lyonnaise (ACFAL)[1]. Il milite aussi au Mouvement Emmaüs[2].
Militant antimilitariste[modifier]
Il est membre actif du Groupe d’action et de résistance à la militarisation (Garm).
Le , avec une vingtaine de militants du Garm et du groupe de Romans Objection et résistance, il bloque le train espagnol Catalan Talgo en gare de Valence (Drôme) afin de soutenir Pepe Beúnza, le premier objecteur de conscience politique en Espagne franquiste, et afin de dénoncer « l'accord de coopération militaire franco-espagnol [...] et la collaboration en matière de répression politique »[3]. Mireille Debard, Jean-Pierre Lanvin, Christian Mellon, Dominique Mellon, Didier Van Cothem et Olivier Brachet, qui se sont enchaînés aux portières du train[4], passent en procès le 31 octobre 1972 à Valence. Le tribunal reconnaît le caractère politique du délit. Les accusés sont condamnés à 400 francs d’amende chacun[5].
Le il s’immisce dans une cérémonie officielle à l’intérieur de la caserne du camp de La Valbonne et dépose une gerbe qui rappelle la responsabilité des gradés dans la mort accidentelle de quatre appelés. Interpellé, Olivier Brachet est retenu quelques heures alors que ses compagnons du Garm, distributeurs de tracts, sont condamnés[6].
En juillet 1972, Olivier Brachet participe, sur le Rhône, à une manifestation de soutien aux objecteurs de conscience emprisonnés François Janin et Jean-Michel Fayard. Les militants du Garm sont répartis sur des canoës sous le pont lyonnais de la Guillotière mais ils chavirent Certains évitent de peu la noyade. La démonstration se termine sur une dragueuse où ils ont trouvé refuge[7],[8].
Onze distributeurs de tracts du Garm, dont Olivier Brachet, comparaissent le devant la sixième chambre correctionnelle du Tribunal de grande instance de Lyon pour incitation de militaires à la désobéissance, de provocation à la désertion et à l'insoumission et sont condamnés à 800 francs d’amende. Ils sont défendus par Maître Jean-Jacques de Felice qui fait état de quatre cents lettres de soutien dont celles de Pierre Mendès France et de Daniel Mayer, président de la Ligue des droits de l’Homme[9],[10]. L’imprimeur des tracts incriminés est condamné à 2 000 francs d’amende[11],[12] mais est relaxé en appel[13],[14].
En décembre 1973, dans l’intention d’effectuer un service civil qui prolongerait son activité bénévole, il demande le statut d’objecteur de conscience au ministre de la Défense nationale. Le statut lui est refusé. Il accomplit un service militaire au troisième régiment parachutiste d'infanterie de marine à Carcassonne où il alphabétise des soldats venus d’Outre-mer.
En 1972, dans Économie et humanisme, il signe avec trois membres du GARM un article « Ventes d’armes, étude et proposition pour une action ».
En avril 1974, il présente un mémoire de DESS « Du commerce des armes à la militarisation de l’économie et du domaine social ». Parallèlement, il publie avec Christian Pons et Michel Tachon La France militarisée. « Ce livre est le fruit d'une action et d'une réflexion collective au Groupe d'action et de résistance à la militarisation de Lyon[15]. » L’ouvrage analyse et illustre par de nombreux exemples les ventes d’armes de la France et leurs implications économiques, scientifiques et politiques tant en France que chez les clients. Il démontre que le commerce des armes est un champ d’accumulation du capital et n’est qu’un aspect de la militarisation de la société. Il étudie l’institution militaire et son poids sur la société.
Parcours professionnel[modifier]
De 1970 à 1971, il est technicien au Centre national de la recherche scientifique (CNRS), détaché au Centre national d’études spatiales (CNES) de Brétigny-sur-Orge.
De 1971 à 1972, il est rédacteur au journal économique Liaisons Rhône-Alpes.
De 1977 à 1979, il est chargé d'étude et formateur au Centre d'études et de réalisations pour l'éducation permanente (Filiale formation de la Caisse des dépôts et consignations).
De 1979 à 1985, il est d’abord chargé de recherche pour Économie et Humanisme puis rédacteur en chef de cette revue. Il publie de nombreux articles relatifs à l’urbanisme, au logement, à l’emploi, aux processus de décision et de concertation…
Le Comité rhodanien d’accueil des réfugiés et de défense du droit d’asile (CRARDDA) est créé à Lyon en 1982 à l’initiative du Service social d'aide aux émigrants (SSAE), de la Cimade, du Centre Pierre Valdo, de la Sonacotra, du Secours catholique et de la Fédération de l'entraide protestante. Il est rebaptisé Forum Réfugiés en 2000[16]. Olivier Brachet en est le directeur général de 1985 à 2009. Forum Réfugiés est une association sans but lucratif qui agit en France et à l’international pour accueillir et accompagner des réfugiés, défendre le droit d’asile et promouvoir l’état de droit.
Forum réfugiés a mobilisé le milieu associatif, les pouvoirs publics et les bailleurs de fonds et obtenu de l’État du Département du Rhône une capacité d’accueil d’environ 500 places pour des réfugiés kosovars[17].
Une procédure d'appels d'offre du ministère de l'immigration attribue à Forum Réfugiés l’accès à trois Centres de rétention administrative pour les étrangers visés par un éloignement forcé. Chaque association intervenant dans ces centres doit respecter « une stricte neutralité ». C’est la fin des rapports annuels sur la situation dans chaque centre de rétention tels qu’en publiait la Cimade. Pour Michel Agier, anthropologue à l'Institut de recherche pour le développement (IRD) et directeur d'étude à l'EHESS, « avec cet appel d'offres, un pas important est franchi, qui vise à interdire qu'un contrôle démocratique s'exerce dans ces lieux[18]. »
Une partie de la mouvance anarchiste critique sévèrement la présence de Forum réfugiés dans ces centres[19] qui, selon elle, « contribue volontairement à l’application des politiques migratoires racistes et répressives[20]. » Elle reproche également une discrimination entre les demandeurs d’asile et les réfugiés économiques[21] faite par Olivier Brachet quand il dit par exemple « La France sait très bien reconnaître en quelques mois ceux qui sont réfugiés et ceux qui ne le sont pas. Elle est juste incapable de renvoyer ceux qui ne relèvent pas du droit d'asile[22]. ». Pour lui, les réfugiés syriens ne doivent pas être mélangés avec les migrants sahéliens qui fuient la pauvreté : « Si nous disons que nos pays sont fermés à la migration économique, il faut savoir renvoyer dans les pays[23]. »
Il rappelle que « l’asile ne résulte pas d’une politique migratoire, mais d’une convention internationale. On ne choisit pas. On l’applique plus ou moins bien mais on ne choisit pas. Une politique migratoire, elle, se décide en raison de nombreux facteurs : démographiques, économiques, sociaux, culturels, compétences, droits de l’individu comme mariage ou naissance[24]… ».
En présentant la nouvelle loi sur l'immigration et l'intégration, lors de la réunion des préfets, à l'Hôtel de Beauvau, le 24 juillet 2006, Nicolas Sarkozy, ministre de l'Intérieur, déclare[25] :
« J'ai relevé avec un vif intérêt les déclarations au Figaro du 11 juillet de Monsieur Olivier Brachet, directeur général de Forum Réfugiés, l'une des premières associations en charge de l'accueil des réfugiés en France : « La politique gouvernementale porte ses fruits (…). Les étrangers qui tentent la voie de l'asile comme un moyen d'installation sur le territoire sans être pour autant victimes de persécutions politiques ne vont plus payer des passeurs alors qu'ils risquent l'expulsion au bout de quelques mois. »
En 2019, Olivier Brachet est signataire avec un groupe de chrétiens d’une tribune parue dans La Croix qui se conclut ainsi :
« Nous regrettons que le refus de beaucoup d’assumer positivement la question du retour, la réduise à un « sale boulot » laissé à des gens jugés « sans scrupules ». Cette bonne conscience ne nous semble pas raisonnable. Nous souhaiterions que nos Églises contribuent à sortir les uns et les autres des jeux de rôle et à désidéologiser ce débat. Nous pensons qu’elles seraient alors plus fortes pour dénoncer ce qui doit l’être et exiger une politique de retour respectueuse de la dignité des personnes. »« Chrétiens et immigration : penser plus juste, peser plus fort », La Croix, 13 janvier 2019
— Olivier Brachet, Daniel Cardot, Jean Costil, Bruno-Marie Duffé, Bruno Lachnitt, Jean-François Ploquin, Hugues Puel
Les risques, notamment policiers et eugénistes, dus aux tests ADN prônés par O. Brachet pour vérifier les liens familiaux des migrants suscitent aussi la polémique. Il affirme : « C’est un sujet absolument tabou à cause du quiproquo invraisemblable sur l’eugénisme. C’est un outil, il faut savoir s’en servir. Cet outil est d’ailleurs déjà très utilisé dans les programmes de réinstallation quand on ne maîtrise plus les frontières. […] En France on est gavé, on a l’impression qu’on ne peut plus circuler sans que tout le monde nous surveille. Mais ce n’est pas le cas de la majorité des gens. Beaucoup aimeraient être surveillés par quelqu’un qui s’occupe d’eux[26]. »
Dès le premier numéro de Cosmopolis, une revue lyonnaise consacrée à l’immigration, il tient entre février 1982 et avril 1984 la « Chronique d’un peu partout »[27]. À l’été 1983, il constate le manque d’intérêt suscité par la publication et fustige ses critiques : « Vous préférerez toujours la vérité du Progrès[alpha 1] au progrès de la vérité[28] ! »
De 1987 à 1992, Olivier Brachet est maître de conférences associé à l’Université Lyon II (département de géographie, 3e cycle d’enseignement supérieur d’aménagement, urbanisme et développement urbain)[29].
Il est chargé du séminaire sur l’asile à l’Institut des Droits de l’Homme de l’Université catholique de Lyon.
Il est nommé membre de plusieurs organismes[30] :
- Personnalité qualifiée au conseil d'administration de l'Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) pendant deux mandats (2004 à 2010) puis membre de la commission scientifique du comité d'histoire de cet organisme (2013)[31]
- Conseil national de la vie associative (2007)
- Commission nationale de l'admission exceptionnelle au séjour (2007)
- Comité de suivi de la mise en œuvre du droit au logement opposable (2013)
- Membre du Groupe de recherche informel sur l’asile (GRISA), réseau de chercheurs sur les questions d’asile
- Président de Médiane Formation, association de formation et de réinsertion sociale aux Minguettes à Vénissieux
- Membre du conseil d’administration de l’ONG ÉquiLibre
- Co-fondateur et membre du conseil d’administration de l’association Action lyonnaise pour l’insertion par le logement (Alpil)
- Membre du conseil d’administration de Rhône Saône Location, société d’HLM
- Membre de la Commission d’évaluation sur l’avenir des revues culturelles et scientifiques, sur nomination de la Direction du livre - Ministère de la Culture
De 2007 à 2009, il est conseiller spécial sur les questions d’asile auprès du Commissaire européen à la Justice, à la Liberté et à la Sécurité, Jacques Barrot
En janvier 2016, il publie un « Point de vue » opposé au projet de François Hollande de déchéance de la nationalité pour un crime constituant une atteinte grave à la vie de la Nation.
Il a longtemps été administrateur de l’organisation lyonnaise Triangle génération humanitaire.
Mandats politiques[modifier]
En 2008, Olivier Brachet est élu conseiller municipal du 8e arrondissement de Lyon[32] comme « candidat de la société civile » apparenté au Parti socialiste auquel appartient le maire de Lyon, Gérard Collomb.
O. Brachet est Vice-président de la Communauté urbaine de Lyon en charge du logement et de la politique de la ville. En 2012, il définit sa vision dans une interview sur le site Millénaire 3 de la Métropole[33].
« Notre stratégie consiste à développer une offre de logements intermédiaires en accession et en locatif à destination des ménages à revenus modestes. », commente l’élu. La métropole s’engage à au moins 7 500 constructions de logements neufs par an. En 2009 et 2010, la production atteint 10 000 unités[34],[35],[36],[37].
En 2014, O. Brachet dirige avec succès la campagne de Gérard Collomb[38] pour les élections municipales. Il accompagne le maire sortant à une soirée de la fondation Abbé Pierre où cette dernière propose aux candidats d’entendre les vœux des mal-logés. Olivier Brachet est élu conseiller municipal du 4e arrondissement de Lyon[39].
Le , il devient président de Grand Lyon habitat, premier bailleur de Lyon intramuros et du Grand Lyon [40].
En janvier 2015, O. Brachet démissionne de tous ses mandats d'élu de la Métropole de Lyon « en raison de désaccords profonds sur les orientations budgétaires et la méthode retenue pour faire face aux difficultés financières [41], [42],[43]. »
Juge assesseur à la Cour nationale du droit d’asile[modifier]
Nommé par le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR), Il est juge assesseur à la Cour nationale du droit d’asile (juridiction administrative d’appel de l’asile) de novembre 2015 à juillet 2019.
Distinctions[modifier]
- Les insignes d’Officier de la Légion d'Honneur sont symboliquement remis en banlieue, à Vaulx-en-Velin, par Xavier Emmanuelli, ancien secrétaire d'État chargé de l'Action humanitaire d'urgence[44].
- Officier de l’ordre du mérite[45]
Œuvres[modifier]
Livre[modifier]
- Olivier Brachet, Christian Pons et Michel Tachon, La France militarisée, Paris, Éditions du Cerf, , 95 p. (ISBN 978-84-312-0191-3)
Film[modifier]
Scénario : « Embarquement », 1984[46]
Bibliographie[modifier]
- Maurice Balmet, Patrice Bouveret, Guy Dechesne, Jean-Michel Lacroûte, François Ménétrier et Mimmo Pucciarelli, Résister à la militarisation : Le Groupe d'action et de résistance à la militarisation, Lyon 1967-1984, Lyon, Atelier de création libertaire, , 324 p. (ISBN 978-2-35104-121-5)
- Mireille Debard, Là, Genouilleux, La Passe du vent, , 192 p. (ISBN 978-2-84562-362-0)
Notes et références[modifier]
Articles connexes[modifier]
- Groupe d'action et de résistance à la militarisation
- Forum réfugiés
- ÉquiLibre
- Cimade
- Cour nationale du droit d’asile
- Jean Costil
Notes[modifier]
- ↑ Le Progrès, quotidien régional lyonnais
Références[modifier]
- ↑ Topo, bulletin des bibliothèques municipales de Lyon, octobre 2018
- ↑ Entretien vidéo avec O. Brachet, 3 août 2014, recueilli par l’Observatoire des armements
- ↑ Christian Delorme, « À Valence : Les ennuis du « Catalan Talgo » », Lettre des objecteurs, no 13, , p. 11 à 12
- ↑ Debard 2020, p. 30
- ↑ Balmet et Bouveret 2019, p. 48 à 50
- ↑ Balmet et Bouveret 2019, p. 113 à 116
- ↑ « Manifestation du Garm », L'Essor,
- ↑ Jean-Marc Théolleyre, « François Janin et Jean-Michel Fayard sont condamnés à quatre mois de prison pour insoumission », Le Monde,
- ↑ Jean-Marc Théolleyre, « L'imprimeur, outil de la pensée " ou délinquant de droit commun ? », Le Monde,
- ↑ « Imprimerie : L'affaire Leclercq », L'Express Rhône-Alpes, , p. 79
- ↑ Jean-Marc Théolleyre, « Un imprimeur de tracts antimilitaristes va être jugé comme complice de ceux qui les ont diffusés », Le Monde,
- ↑ Jean-Marc Théolleyre, « Un imprimeur est jugé coupable de provocation à l'insoumission », Le Monde,
- ↑ J.-M. Th., « La cour d'appel de Lyon annule la condamnation d'un imprimeur de tracts antimilitaristes », Le Monde,
- ↑ « Lyon, résultat d'une combinaison du social et de l'économique : Millenaire 3, Territoire », sur www.millenaire3.com (consulté le 21 octobre 2022)
- ↑ Olivier Brachet, Christian Pons et Michel Tachon, La France militarisée, Paris, Éditions du Cerf, , 95 p. (ISBN 978-84-312-0191-3), Postface, p. 90
- ↑ Debard 2020, p. 93
- ↑ Frédérique Bourgeois et Olivier Brachet, « Tensions dans les rapports pouvoirs publics / associations dans le dossier de l'asile », Revue internationale et stratégique, no 50, , p. 139 à 146
- ↑ Laetitia Van Eeckhout, « Centres de rétention : les associations craignent pour leur mission de contrôle », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le 21 octobre 2022)
- ↑ « On a les vedettes qu'on mérite : Olivier Brachet », sur rebellyon.info, Lyon, (consulté le 21 octobre 2022)
- ↑ « Pour son « Grand soir », Prison Insider a offert une tribune à l'ancien directeur de Forum Réfugiés Olivier Brachet », sur rebellyon.info, Lyon, (consulté le 21 octobre 2022)
- ↑ « Entretien Olivier Brachet Forum Réfugiés - Vidéo Dailymotion », sur Dailymotion, (consulté le 21 octobre 2022)
- ↑ « Migrants : «Face à ses échecs, la France laisse croire qu’elle est submergée» », sur leparisien.fr, (consulté le 21 octobre 2022)
- ↑ Paul Terra, « Olivier Brachet : “Les migrants mal accueillis seront mal intégrés” », sur Lyon Capitale, (consulté le 21 octobre 2022)
- ↑ « Olivier Brachet – Comment « apprécier » notre problème d’immigration – CDM », sur chretiensdelamediterranee.com, (consulté le 21 octobre 2022)
- ↑ Ministère de l'Intérieur, « 24.07.2006 - Réunion des préfets », sur http://www.interieur.gouv.fr/Archives/Archives-ministres-de-l-Interieur/Archives-de-Nicolas-Sarkozy-2005-2007/Interventions/24.07.2006-Reunion-des-prefets (consulté le 5 février 2023)
- ↑ Cité par « Pour son « Grand soir », Prison Insider a offert une tribune à l'ancien directeur de Forum Réfugiés Olivier Brachet », sur rebellyon.info, Lyon, (consulté le 21 octobre 2022)
- ↑ « n°1 (février 1982) ()Odysséo », sur Mnesys (consulté le 21 octobre 2022)
- ↑ « n°15 (juin-juillet 1983) ()Odysséo », sur Mnesys (consulté le 21 octobre 2022)
- ↑ « Grand Lyon Habitat : Olivier Brachet succède à Yvon Deschamps | Lyon Pôle Immo », sur Lyon Pôle Immo | L'actualité de l'immobilier à Lyon, (consulté le 21 octobre 2022)
- ↑ « JORFTEXT000018038516 - Nominations au Journal officiel de la République française », sur jorfsearch.steinertriples.ch (consulté le 21 octobre 2022)
- ↑ Laetitia Van Eeckhout, « La réduction du délai de saisine de la Commission de recours des réfugiés inquiète les associations », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le 21 octobre 2022)
- ↑ Ministère de l'Intérieur, « Résultats des élections municipales 2008 », sur http://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__municipales_2008 (consulté le 22 octobre 2022)
- ↑ Catherine Panassier, « Le rôle du Grand Lyon sur le logement social : Millenaire 3, Territoire », sur www.millenaire3.com, (consulté le 22 octobre 2022)
- ↑ L. Bo, « Des chantiers « pharaoniques » bouleversent l'image tranquille de Lyon », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le 22 octobre 2022)
- ↑ « Olivier Brachet, vice-président au Grand Lyon : « On est à 23% de logements sociaux » », sur Lyon Mag, (consulté le 22 octobre 2022)
- ↑ Siter, « Olivier BRACHET » [vidéo], sur Vimeo, (consulté le 22 octobre 2022)
- ↑ Siter, « Donner le temps de mettre en œuvre la mixité - Olivier BRACHET, Vice-Président, Communauté Urbaine du Grand Lyon » [vidéo], sur Vimeo, (consulté le 22 octobre 2022)
- ↑ « Municipales à Lyon : Havard accusé de plagiat par le directeur de campagne de Collomb », sur Lyon Mag, (consulté le 22 octobre 2022)
- ↑ Ministère de l'Intérieur, « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur http://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__MN2014 (consulté le 22 octobre 2022)
- ↑ Sylvain d'Huissel, « Grand Lyon Habitat : Olivier Brachet succède à Yvon Deschamps | Lyon Pôle Immo », sur Lyon Pôle Immo | L'actualité de l'immobilier à Lyon, (consulté le 22 octobre 2022)
- ↑ Dalya Daoud, « Olivier Brachet, vice-président au logement, claque la porte de la Métropole de Lyon », sur Rue89Lyon, (consulté le 22 octobre 2022)
- ↑ Paul Terra, « Olivier Brachet s’explique sur sa démission », sur Lyon Capitale, (consulté le 22 octobre 2022)
- ↑ Catherine Lagrange, « Métropole de Lyon : démission d'un proche de Collomb », sur Le Point, (consulté le 22 octobre 2022)
- ↑ « Olivier Brachet décoré ce jeudi à Vaulx-en-Velin », Lyon capitale,
- ↑ https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000018038516
- ↑ « Lyon, résultat d'une combinaison du social et de l'économique : Millenaire 3, Territoire », sur www.millenaire3.com (consulté le 22 octobre 2022)
Liens externes[modifier]
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