Liste de devises religieuses
Cet article présente une liste de devises religieuses. Elle indique des devises d'ordres religieux catholiques.
Hiérarchie[modifier]
Alors que la tradition protestante reconnaît généralement deux ministères consacrés, le diaconat et le pastorat (qui rassemble les charges du prêtre et de l'évêque), les traditions catholique et orthodoxe connaissent trois degrés du sacrement de l'ordre (diacre, prêtre, évêque). Les fonctions religieuses suivantes recouvrent ces trois degrés d'ordre :
- Les diacres, ministres ordonnés, qui peuvent être mariés (même dans la tradition catholique). Ils assistent l'évêque dans ses tâches, en particulier le service de l'autel (aspect liturgique), le service des pauvres, et celui de la prédication. C'est un ministère ordonné, à part entière: même marié, le diacre n'est pas un laïc.
- Les prêtres, ministres ordonnés, qui assument les tâches dévolues à l'évêque pour une portion donnée de territoire, par délégation. Les prêtres peuvent assumer différentes fonctions ou porter différents titres :
- « Abbé » est un terme générique (autrefois, ce titre n'était attribué qu'à celui qui était chargé d'une abbaye) ; aujourd'hui, ce titre désigne tout ministre ordonné n'ayant pas de charge particulière ;
- Le vicaire assiste un autre prêtre ou un évêque; le terme désigne au quotidien un prêtre n'ayant pas en propre la charge d'une paroisse, mais contribuant à la vie de celle-ci ;
- Le chapelain ou aumônier est chargé d'une chapelle ou d'une communauté : communauté religieuse, communauté linguistique, école, mouvement, etc. Il n'administre pas de territoire géographiquement déterminé ;
- Le curé est le responsable pastoral et administratif d'une paroisse (portion déterminée d'un diocèse), responsable de la tenue des registres (baptêmes, confirmations, etc.), dont il rend compte à son évêque ;
- L'archiprêtre est chargé d'une grosse paroisse, considérée comme telle par l'autorité ecclésiale ;
- Le doyen est le prêtre coordinateur d'un doyenné, c'est-à-dire d'un ensemble de plusieurs paroisses ;
- Le chanoine est un clerc attaché au chapitre d'une cathédrale ou d'une collégiale ;
- Les évêques, chargés d'un diocèse, dépositaires du plein sacerdoce (ils peuvent administrer l'ensemble des sacrements pour leurs diocèses). Parmi les évêques, certains portent le titre d'archevêque, portant une responsabilité sur plusieurs diocèses.
- Le cardinal est un prélat, porteur d'un titre honorifique indépendant du sacrement de l'ordre : il peut être diacre, prêtre, évêque ou simple clerc. Les cardinaux ne sont donc pas tous ordonnés : le cardinal de Mazarin, par exemple, n'était pas ordonné, il était simple clerc tonsuré. Par son rang de « prince de l'Église », le cardinal fait partie du gouvernement de l'Église et peut être appelé à des charges de représentation ou de direction dans l'administration ecclésiale.
- Le pape, dans l'Église catholique, désigne l'évêque de Rome. Ce n'est pas un degré particulier du sacrement de l'Ordre, mais une fonction au service de l'Église.
À ces ministères ordonnés, on peut ajouter :
- Les religieux ou religieuses, qui sont des hommes et des femmes consacrés, qui prononcent des vœux solennels (chasteté, obéissance, pauvreté - et parfois stabilité). Les religieux de sexe masculin peuvent être prêtres (ou diacres, ou évêques): on les appelle alors généralement « pères », par distinction avec les « frères » (religieux non ordonnés).
Parmi les religieux, différentes fonctions ou distinctions existent également :
- Les frères ou les sœurs sont des religieux ayant prononcé des vœux de religion ;
- Les « pères » ou les « mères » sont des religieux prêtres (pour les hommes), ou portant la charge d'un couvent (pour les femmes) ;
- Les moines et moniales sont des religieux vivant en communauté sous une règle monastique (règle de saint Benoît, de saint Augustin, etc.) ;
- L'abbé ou l'abbesse est le supérieur d'une abbaye ;
- Le prieur (du latin prior : premier) est le supérieur d'un prieuré ; le second en autorité d'une abbaye est également appelé 'prieur' ;
- Les maîtres ont une charge de formation (père-maître des novices, etc.)
- Un clerc, homme qui a reçu la tonsure et qui, de ce fait, est entré dans l'état ecclésiastique[1] :
- Le tonsuré a une marque ronde ou calotte de cheveux rasés au sommet du crâne, signe distinctif des clercs jusqu'à Paul VI, aux dimensions variables notamment selon l'appartenance au clergé régulier ou au clergé séculier[1] ;
- Le minoré [En parlant d'un clerc] Qui a reçu les quatre ordres mineurs[1] ;
- les clercs réguliers ;
- les clercs réguliers mineurs ;
- les clercs et laïcs de l'Église catholique romaine :
- Clergyman, c'est-à-dire un clerc dans le monde anglo-saxon.
Devises institutionnelles[modifier]
La devise sacrée du Vatican était : « Vestigia nulla retrorsum » (Aucun retour en arrière)[2].
Chapitres[modifier]
- Chanoines-comtes de Lyon[3] : « Prima sedes Galliarum » (Premier siège des Gaules)[4].
Congrégations religieuses et sociétés de vie apostolique[modifier]
- Chanoines de Sainte-Croix-de-la-Bretonnerie : « In hoc signo vinces » (Par ce signe, tu vaincras).
- Compagnie de Jésus (les Jésuites) : « Ad maiorem Dei gloriam » (Pour une plus grande gloire de Dieu).
- Congrégation des Augustins de l'Assomption (Assomptionnistes) : « Adveniat regnum tuum » (Que ton règne vienne).
- Congrégation de Flore ou Floriens : « In flore judicia tua cognoscentur ». Fondée en 1194 par Joachim de Flore, disparue fin XVIIIe, ses membres furent intégrés à l'Ordre bénédictin.
- Frères des écoles chrétiennes : « Signum Fidei » (Signe de la Foi) et aussi « Indivisa manent » (Que rien ne nous sépare jamais ! - restons toujours unis !).
- Institut du Christ Roi Souverain Prêtre : « Veritatem facientes in caritate » (Confessant la vérité dans la charité).
- Les Carmes de Rouen : « Il est la gloire du carmel ».
- Oratoriens : « Jésus, Maria ».
- Religieux de Saint-Denis (1620) : « Hæc ara tuebitur omnes » (Cet autel nous protégera tous).
- Société de Marie (Marianistes) : « Per Matrem ad Filium » (Par la Mère au Fils) et « Fortes in fide » (Forts dans la foi).
- Sœurs de Saint-Joseph de Cluny : « La sainte volonté de Dieu ».
Ordres de chevalerie[modifier]
- Ordre de l'Éperon d'or[5]: « »
- Ordre souverain de Malte : « Tuitio Fidei et Obsequium Pauperum » (Défense de la Foi et assistance aux pauvres).
- Ordre de Pie IX[6] : « Virtuti et merito ».
- Ordre de Saint-Grégoire-le-Grand[7] ou Ordre de Grégoire XVI : « Pro Deo et principe ».
- Ordre équestre du Saint-Sépulcre de Jérusalem : « Deus lo vult », « Dieu le veut ».
- Ordre de Saint-Jean-de-Latran[8] : « Praemium virtuti et pietati ».
Ordres mendiants[modifier]
- Ordre des Prêcheurs (Dominicains) : « Veritas » (Vérité) et « Contemplare et contemplata aliis tradere » (Contempler et transmettre aux autres les choses contemplées).
- Pénitents du Tiers-ordre de Saint-François : « Flabit spiritus ejus et fluent aquae ».
Ordres monastiques et abbayes[modifier]
- Ordre des chartreux : « Stat Crux dum volvitur orbis » (Le monde tourne, la croix demeure).
- Ordre de saint Basile ou Basiliens : « Talis est magnus basilius ».
- Ordre de Saint-Benoît ou Bénédictins : « Ora et labora » (Prie et travaille).
- Abbaye de Cîteaux : « Quia mecum solis certasti, mecum solus sedebis ».
- Abbaye de Jumièges : « Sancta maria, ora pro nobis » (Sainte Marie, priez pour nous).
- Abbaye de Saint-Denis, (1620) : « Haec ara tuebitur omnes ».
- Abbaye de Parc : « Ne quid nimis » (Modération en toutes choses).
Devises personnelles[modifier]
Religieux[modifier]
- Charles Delatre, religieux de Saint-Bertin : « Gloriam præcedit humilitas ».
Abbés, abbesses[modifier]
Par ordre alphabétique :
- Abbé Andrin (° 1575) : « Gratia et labore ».
- Abbesse Eléonore, Abbesse de Fontevrault (°C. 1300) : « Spes mea et juventate mea ».
- Abbé Jean Fachin, abbé de l'Abbaye Saint-Jean-du-Mont de Thérouanne : « Corde et anima ».
- Charles de Lorraine, abbé de Gorze : « Hoc me sibi temperat astrum ».
- Louise de Lorraine (1553 - 1601), abbesse de Soissons : « Lumen rectis » (1598) (« La lumière est dans la droiture ») (comme François II).
- Abbé Suger (° 1080 ou 1081 - 1151), abbé de Saint-Denis qui de simple moine est devenu abbé puis ministre d'État : « Scandit fastigia virtus » (La vertu (ou le courage) gravit les sommets).
Évêques[modifier]
Par ordre alphabétique :
- Laurent Alleman († 1518), évêque et prince de Grenoble : « Deus comes casus in omnes » (Dieu vient dans tous les cas).
- Guillaume Angebault (1790 - 1869) évêque d'Angers : « In te confido » (En toi ma confiance).
- Jean-Pierre Batut (° 1954), évêque auxiliaire de Lyon : « Qui accusera ceux que Dieu a choisis ».
- Olivier de Berranger (° 1938), évêque de Saint Denis : « Vous n’êtes plus des étrangers mais des frères » (Éphésiens 2).
- François Bochart de Saron, évêque de Clermont : « Luce regunt, monstrantque viam ».
- François de Bonal (1734 - 1800), évêque de Clermont: « Absque nubibus rutilat » (Ciel sans nuages).
- Thierry Brac de La Perrière (° 1959), évêque de Nevers : « Dans la joie de l'espérance ».
- Philippe Breton (° 1936), évêque de Aire et Dax : « Il est fidèle, Celui qui nous appelle ».
- Godefroy Brossay-Saint-Marc, évêque de Rennes, archevêque : « In omnibus caritas » (En toute charité).
- Nicolas Brouwet (° 1962), évêque auxiliaire de Nanterre : « Spiritu et ambulate » (Marchons aussi sous l'impulsion de l'Esprit)[9], même devise que Jean-Pierre Cattenoz.
- Jean-Luc Brunin (° 1951), évêque de le Havre : « Jusqu’à ce qu'il vienne ».
- Norbert Brunner, évêque de Sion : « Au service de notre espérance ».
- Ernest Cabo (° 1932), évêque de Basse Terre : « Jésus Christ est Seigneur. Alléluia ! ».
- Claude Dagens (° 1940), évêque d'Angoulême : « Va, avance au large ».
- Louis de Berlaimont (1575 - 1667), évêque de Cambrai : « Fide inconcussa » (Une foi inébranlable).
- Caspar Bottemanne (1823 - 1903), évêque de Harlem : « Omnia in charitate » (Tout dans la charité).
- Joseph-Dominique de Cheylus, évêque de Tréguier : « Fe et honour ».
- Pascal Delannoy, (° 1957), évêque de Saint-Denis : « Avec humilité et confiance ».
- Guillaume Delvaux, (1681 - 1761), évêque d'Ypres : « Nascimur ad laborem » (Nous sommes nés pour travailler).
- Renauld de Dinechin (° 1958), évêque auxiliaire de Paris : « J'ai soif ».
- François de Dinteville (1498 - 1530), évêque d'Auxerre : « Virtuti fortuna comes » (La fortune vient à la vertu).
- Jean Michel di Falco Léandri (° 1941), évêque de Gap : « C'est quand je suis faible que je suis fort ».
- Jean Doroz, prieur de Vaux (1535-1607), évêque de Lausanne de 1600 à 1607, distributeur de l'Université de Dole : « Honos alis artes ».
- Christophe Dufour (° 1947), évêque de Limoges : « Que tous soient un ».
- Jean-Baptiste Théodore Duval (1824 - 1897), évêque de Soissons de 1889 à sa mort : « Per Gratiam ad Lætitiam ».
- Pierre Duval (évêque) († 1564), évêque de Séez: « Le Vray Perdu » (anagramme).
- Hervé Gaschignard (° 1959), évêque de Aire et Dax : « Venez, adorons-le ».
- Bernard Genoud (1942 - 2010), évêque de Lausanne, Genève et Fribourg : « Ma grâce te suffit »[10].
- Olivier de Germay (° 1960), évêque d'Ajaccio : « Christus dilexit ecclesiam » (Le Christ a aimé l'église).
- Bernard Ginoux (° 1947), évêque de Montauban : « Servire in laetitia Domino » (Servez le Seigneur avec joie).
- Hervé Giraud (° 1947), évêque de Soissons : « Ressuscités avec le Christ ».
- Jean-Nicaise Gros (1794 - 1857), évêque de Versailles : « In laborem requies » (Dans la paix du travail).
- Philippe Gueneley (° 1938), évêque de Langres : « Serviteur de l'Évangile de Dieu ».
- Guy Herbulot (° 1925), évêque d'Evry Corbeil-Essonnes : « Préparez les chemins du Seigneur »[11].
- Antoine-Matthias-Alexandre Jacquemet (1803 - 1869), évêque de Nantes : « Bonus pastor animam suam dat pro ovibus suis ».
- Vincent Jordy (° 1961), évêque auxiliaire de Strasbourg : « Faites tout ce qu'Il vous dira ».
- François Kalist (° 1958), évêque de Limoges : « Que tous soient un ».
- Guy de Kerimel (° 1953), évêque de Grenoble : « Demeurez dans mon amour ».
- Christian Kratz (° 1953), évêque auxiliaire de Strasbourg : « Si tu savais le don de Dieu ».
- Jean-Christophe Lagleize (° 1954), évêque de Valence : « Vers Jésus Christ dans la paix et la joie ».
- Abbé Layrolle, évêque élu de Perpignan en 1817 : « Dieu et le roi ».
- Patrick Le Gal (° 1953), évêque aux armées françaises : « Caritas Christi urget nos », cri : « Fac ! ».
- Robert de Lenoncourt (c. 1510 - 1561), cardinal, évêque de Metz : « In labore quies » (Dans la paix du travail).
- Yves Le Saux (° 1960), évêque du Mans: « Jésus, doux et humble de cœur ».
- Pierre Molères (° 1932), évêque de Bayonne : « Agnum diligendo, fratres confirmare » (En aimant l'Agneau, confirmer les frères).
- Charles Morerod (° 1961), évêque de Lausanne, Genève et Fribourg : « Vivere Christus est » (Vivre, c'est le Christ)[12].
- Éric de Moulins-Beaufort (° 1962), évêque auxiliaire de Paris : « Il entrera et Il sortira ».
- Philippe Mousset (° 1955), évêque de Pamiers : « Qu'ils soient un ».
- Denis Moutel (° 1952), évêque de Saint-Brieuc : « Diecti Dei » (Puisque vous êtes aimés de Dieu)[13].
- Charles de Neuchèses, évêque de Chalon-sur-Saône : « Mensuram nominis implet ».
- Christian Nourrichard (° 1948 - ), évêque d’Évreux : « Et le Verbe s'est fait chair ».
- Marcel Perrier (° 1933), évêque émérite de Pamiers : « Christ, notre paix ».
- Pierre Pican (° 1935), évêque de Bayeux-Lisieux : « Annoncez avec audace le mystère de l'Évangile ».
- Jacques Potier de Novion (1642 - 1709), évêque d’Évreux : « Dextera domini facit virtutem ».
- Benoît Rivière (° 1954), évêque de Autun : « Ma grâce te suffit ».
- Louis François Robin († 1855), évêque de Bayeux : « Asylum miseris et tutela » (Asile et de protection).
- Pascal Roland (° 1951), évêque de Moulins : « Proclamez la bonne nouvelle ».
- Comte Charles-Louis Salmon du Châtelier (1761 - 1841), évêque d'Évreux, pair de France : « Moi franc et sans dol ».
- Michel Santier (° 1947), évêque de Créteil : « Que ma joie soit en vous ! ».
- Pierre Scarron (1579 - 1668), évêque de Grenoble : « Vis duplex fulget in uno ».
- Thierry Scherrer (° 1959 - ), évêque de Laval : « Implemini Spiritu Sancto » (Cherchez dans l’Esprit votre plénitude).
- Pontus de Thyard (1521 - 1605), seigneur de Bissy, évêque de Chalon-sur-Saône : « Me Pontus sequitur ».
- Norbert Turini (° 1954 - ), évêque de Cahors : « Aimer, Évangéliser, Servir ».
- Gilbert de Vegny d'Arbouze, évêque de Clermont : « Hinc fovet, inde tuetur ».
- Robert Wattebled (° 1946), évêque de Nîmes : « À cause de Jésus, pour la multitude ».
Archevêques[modifier]
Par ordre alphabétique :
- Albert de Brandebourg (1490 - 1545), archevêque de Mayence : « Mors ultima linea rerum ».
- Philippe Ballot (° 1956), archevêque de Chambéry, Maurienne et Tarentaise : « Spes non confundit » (L'espérance ne déçoit pas).
- Corneille Brelle, duc de l'Anse, archevêque d'Haïti (sans bulles papales) : « Fidélité à Dieu et au roi ».
- Godefroy Brossais-Saint-Marc (1841 - 1878), Évêque de Rennes en 1841, archevêque en 1858 : « In omnibus caritas » (Dans toute charité).
- Jean-Pierre Cattenoz (° 1945) : « Spiritu et ambulate » (Marchons aussi sous l'impulsion de l'Esprit)[9], même devise que Nicolas Brouwet (° 1962).
- Pierre-Marie Carré (° 1947), archevêque d'Albi : « Servir et non pas être servi ».
- P. Filioli, archevêque d'Aix (1505 - 1540) : « Corde et animo » (Cœur et âme).
- André Frémiot, archevêque de Bourges (1620) : « Inveniunt et in astra viam ».
- François Garnier (° 1944), archevêque de Cambrai : « Immergés dans l'amour ».
- Jean-Pierre Grallet (° 1941), archevêque de Strasbourg : « Avance au large ».
- Pierre d'Hardivilliers († 1649), archevêque de Bourges : « Cruce crevit et hasta ».
- Joachim Jean Xavier d'Isoard (1766 - 1839, archevêque d'Auch, duc et pair de France : « Lux et dux » (Le guide de la lumière).
- André Lacrampe (° 1941), archevêque de Besançon : « Servir en Ta Présence ».
- Antoine-Louis-Henri de La Fare, archevêque de Sens et d'Auxerre : « Lux nostris, hostibus ignis ».
- Jean-François Landriot (1816 - 1874), archevêque de Reims : « Parare viam Domini » (Préparez le chemin).
- Robert Le Gall (° 1946), archevêque de Toulouse : « De inutate Trinitatis ».
- Jean de Montpezat de Carbon, archevêque de Bourges : « Cum pundere virtus ».
- Léon Potier, cardinal de Gesvres (1656 - 1744), archevêque de Bourges : « Ecce manus domini super nos » (Voici la main du Seigneur sur nous).
- Alexandre Renard, (1906 – 1983), archevêque de Lyon : « Ex Fide in fidem » (De la foi, vers la foi).
- Charles de Saint-Albin (1698 - 1764), archevêque de Cambrai, bâtard du régent : « Sacerdos et princeps » (1726) (Et le souverain sacrificateur).
- Guy Thomazeau (° 1937), archevêque de Montpellier : « Dieu est plus grand que notre cœur ».
- Radbod de Trèves (883 - 915), archevêque de Trèves : « Ex frugalitate ubertas » (La richesse de l'économie).
- Laurent Ulrich (° 1951), archevêque-évêque de Lille : « La joie de croire ».
- Pascal Jean Marcel Wintzer (° 1959), archevêque de Poitiers : « N'éteignez pas l'Esprit ».
Cardinaux[modifier]
Par ordre alphabétique :
- Jean Balland (1934 - 1998), archevêque de Lyon : « Veritatem facientes in caritate » (Faire la vérité dans l'amour).
- Philippe Barbarin (° 1950), archevêque de Lyon : « Qu'ils soient un »[14] et « Toi, suis-moi »[15]. Respectivement, ses devises d'archevêque de Lyon et de cardinal.
- Louis-Marie Billé (1938 - 2002), archevêque de Lyon : « Je sais en qui j'ai mis ma foi »[16].
- Louis-Jacques-Maurice de Bonald (1787 - 1870), archevêque de Lyon et de Vienne, primat des Gaules : « Prima sedes Gallarium »[4].
- Charles de Bourbon (1523-1590) : « Auctor ego audendi ».
- Charles II de Bourbon (1433 - 1488), cardinal : « Folium ejus non defluet ».
- Charles III de Bourbon (1490 - 1527), cardinal : « Gloria immortalis ».
- Jean-Pierre Boyer (1829 - 1896), archevêque de Bourges : « Virtute omnia parent ».
- Albert Decourtray (1923 - 1994), archevêque de Lyon : « In simplicitate » (Dans la simplicité).
- Cardinal Durant : « Moderata durant ».
- Louis d'Este (1538 - 1586), cardinal d'Este, fils d'Hercule II duc de Ferrare et de Renée de France : « In motu immotum » (en 1579).
- Henri de Portugal (1512 - 1580), archevêque d'Évora: « Festina lente ».
- Joachim Jean Xavier d'Isoard, cardinal duc d'Isoard, archevêque d'Auch (1828 - 1839), Pair de France : « Lux nostris, hostibus ignis ».
- Philippe de la Chambre († 1550), cardinal de Boulogne : « Ante te omne desiderium ».
- Alfonso López Trujillo (1935 - 2008), président du Conseil pontifical pour la famille : « Vérité dans la charité ».
- Louis de Lorraine (1575 - 1621), 4°cardinal de Guise, archevêque de Reims, abbé de Cluny : « His armis, haec arma tuebor ».
- Jean-Marie Lustiger (1926 - 2007), archevêque de Paris : « Rien n'est impossible à Dieu ».
- Jules Mazarin (1602 - 1661) : « Fimando firmior hæret » et « Hinc ordo, hinc copia rerum ».
- Nicolas de Pellevé (1515 - 1594), archevêque de Sens : « Utcunque ceciderit, consistam ».
- Jacques Du Perron (1556 - 1618), archevêque de Sens, grand aumônier de France : « Omnibus viscera pando ».
- Jean-Pierre Ricard (° 1944), archevêque de Bordeaux : « À cause de l'Évangile ».
- Armand Jean du Plessis de Richelieu (1585 - 1642) : « Candorem purpura servat et dirigit et firmat » et « Expertus fidelem jupiter ».
- Henri Schwery (° 1932), évêque émérite de Sion : « Spiritus Domini gaudium et spes ».
- François de Tournon (1551 – 1562), archevêque de Lyon : « Non quae super terram ».
- Jean-Marie Villot (1905 - 1979), archevêque de Lyon : « Auxilium a Domino » (Le secours vient du Seigneur).
- André Vingt-Trois (° 1942), archevêque de Paris : « Dieu a tant aimé le monde ».
Papes[modifier]
1. Devise du St. Malachie 2. Devise propre du Pape
Par ordre alphabétique :
- Adrien IV (° ~ 1100 - 1159) : « De rure albo » (Au sujet du champ d’Albe)[17].
- Adrien VI (° 1459 - 1523) : « Leo Florentius » (Le lion de Florent)[17]. Patere et sustine.
- Alexandre III (° ~ 1105 - 1181) : « Ex ansere custode » (De l’oie gardienne)[17].
- Alexandre IV (° ~ 1199 - 1261) : « Signum Ostiense » (Le signe d’Ostie)[17].
- Alexandre V (° 1340 - 1410), antipape de 1409 à 1410 : « Flagellum Solis » (Le fléau du Soleil)[17].
- Alexandre VI (° 1431 - 1503) : « Bos Albanus in porta » (Le bœuf d’Albano dans le port)[17].
- Alexandre VII (° 1599 - 1667) : « Montium custos » (Le gardien des monts)[17].
- Alexandre VIII (° 1610 - 1691) : « Poenitentia gloriosa » (La glorieuse pénitence)[17].
- Anastase IV (° ~ 1170/1175- 1154) : « Abbas Suburranus » (L’abbé suburrai)[17].
- Benoît XI (° 1240 - 1304) : « Concionator patareus » (Le prêcheur de Patare)[17].
- Benoît XII (° ~ 1285 - 1342) : « Frigidus Abbas » (L’abbé froid)[17].
- Benoît XIII (° 1329 - 1423), antipape de 1394 à 1423 : « Luna Cosmedina » (La Lune de Cosmedin)[17].
- Benoît XIII (° 1649 - 1730) : « Miles in Bello » (Le soldat à la guerre)[17].
- Benoît XIV (° 1675 - 1758) : « Animal rurale » (L’animal des champs)[17].
- Benoît XV (° 1854 - 1922) : « Religio depopulata » (La religion dépeuplée)[17]. « In te, Domine, speravi, non confundar in aeternum » (En toi, Seigneur, j'ai espéré, je ne serai jamais confondu)[18].
- Benoît XVI (° 1927 -) : « De Gloria Olivae » (De la gloire de l’olivier (ou de l’olive))[17]. « Cooperatores veritatis » (coopérateurs de la verité).
- Boniface VIII (° ~ 1235 - 1303) : « Ex undarum benedictione » (De la bénédiction des ondes)[17].
- Boniface IX (° ~ 1355 - 1404) : « Cubus de mixtione » (Le cube de mélange)[17].
- Calixte III (° ? - ?), antipape de 1168 à 1178 : « De Pannonia Tusciae » (De la Pannonie de Toscane)[17].
- Calixte III (° 1378 - 1458) : « Bos pascens » (Le bœuf paissant)[17].
- Célestin II (° ? - ?) : « Ex castro Tyberis » (D’un château sur le Tibre)[17].
- Célestin III (° ~ 1106 - 1198) : « De rure bovensi » (De la campagne des Bovis)[17].
- Célestin IV (° ? - 1241) : « Leo Sabinus » (Le lion de la Sabine)[17].
- Célestin V (° 1209 ou 1210 - 1296) : « Ex eremo celsus » (En élévation depuis l’ermitage)[17].
- Clément III (° ~ 1130 - 1191) : « De schola exiet » (Il sortira de l’école)[17].
- Clément IV (° ? - 1268) : « Draco depressus » (Le dragon vaincu)[17].
- Clément V (° ~ 1264 - 1314) : « De fessis Aquitanicis » (Des fasces d’Aquitaine)[17].
- Clément VI (° 1291 - 1352) : « De rosa Atrebatensi » (De la rose d’Arras)[17].
- Clément VII (° 1342 - 1394), antipape de 1378 à 1394 : « De cruce Apostilica » (De la croix Apostolique)[17].
- Clément VII (° 1478 - 1534) : « Flos pilaei aegri » (La fleur de la boule malade)[17].
- Clément VIII (° 1370 - 1446), pape de 1424 à 1429 (non reconnu comme antipape par le Vatican) : « Schisma Barcinonicum » (Le schisme de Barcelone)[17].
- Clément VIII (° 1536 - 1605) : « Crux Romulea » (La croix de Romulus)[17].
- Clément IX (° 1600 - 1669) : « Sidus olorum » (L’astre des cygnes)[17].
- Clément X (° 1590 - 1676) : « De flumine magno » (Du grand fleuve)[17].
- Clément XI (° 1649 - 1721) : « Flores circumdati » (Les fleurs tout autour)[17].
- Clément XII (° 1652 - 1740) : « Columna excelsa » (La colonne élevée)[17].
- Clément XIII (° 1693 - 1769) : « Rosa Umbriae » (La Rose de l'Ombrie)[17].
- Clément XIV (° 1705 - 1774) : « Visus velox » (La vue perçante)[17].
- Eugène III (° fin des années 1080 - 1153) : « Ex magnitudine montis » (De la grandeur du mont)[17].
- Eugène IV (° 1383 - 1447) : « Lupa caelestina » (La louve célestine)[17].
- Félix V (° 1383 - 1451), antipape de 1439 à 1449 : « Amator crucis » (L’amoureux de la croix)[17].
- François (° 1936 -) : « Miserando atque eligendo ».
- Grégoire VIII (° ? - 1187) : « Ensis Laurentii » (L’épée de Laurent)[17].
- Grégoire IX (° ~ 1145 - 1241) : « Avis Ostiensis » (L’oiseau d’Ostie)[17].
- Grégoire X (° 1210 - 1276) : « Anguinus vir » (L’homme serpent)[17].
- Grégoire XI (° 1329 ou 1331 - 1378) : « Novus de Virgine forti » (Le nouveau d’une Vierge forte)[17].
- Grégoire XII (° 1325 - 1412) : « Nauta de ponte nigro » (Le marin de Nègrepont)[17].
- Grégoire XIII (° 1502 - 1585) : « Medium corpus pilarum » (La moitié du corps des boules (ou des colonnes).)[17]
- Grégoire XIV (° 1535 - 1591) : « De antiquitate Urbis » (De l’ancienneté de la ville)[17]
- Grégoire XV (° 1554 - 1623) : « In tribulatione pacis » (Dans la tribulation de la paix)[17].
- Grégoire XVI (° 1765 - 1846) : « De balneis Etruriae » (De Balmes en Etrurie)[17].
- Honorius III (° ? - 1227) : « Canonicus ex latere » (Le chanoine de Latran)[17].
- Honorius IV (° 1210 - 1287) : « Ex rosa leonina » (De la rose Léonine)[17].
- Innocent III (° 1160 - 1216) : « Comes signatus » (Le comte signé)[17].
- Innocent IV (° ~ 1180/1190 - 1254) : « Comes Laurentius » (Le comte Laurent)[17].
- Innocent V (° ~ 1225 - 1276) : « Concionatur Gallus » (Le prêcheur gaulois)[17].
- Innocent VI (° ~ 1282 - 1362) : « De montibus Pammachii » (Des monts de Pammaque)[17].
- Innocent VII (° 1336 - ?) : « De meliore sydere » (D’un astre meilleur)[17].
- Innocent VIII (° 1336 - ?) : « Praecursor Siciliae » (Le précurseur de Sicile)[17].
- Innocent IX (° 1519 - 1591) : « Pia civitas in bello » (La cité pieuse en guerre)[17].
- Innocent X (° 1574 - 1655) : « Jucunditas crucis » (La joie de la croix)[17].
- Innocent XI (° 1611 - 1689) : « Bellua insatiabilis » (La bête insatiable)[17].
- Innocent XII (° 1615 - 1700) : « Rastrum in porta » (Le râteau sur la porte)[17].
- Innocent XIII (° 1655 - 1724) : « De bona Religione » (De bonne religion)[17].
- Jean XXI (° ~ 1220 - 1277) : « Piscator Tuscus » (Le pêcheur de Tuscum)[17].
- Jean XXII (° 1244 – 1334) : « De sutore osseo » (Du cordonnier d’Osse)[17].
- Jean XXIII (° ~ 1360 - 1419), antipape de 1410 à 1415 : « Cervus Sirenae » (Le cerf de Sirène)[17].
- Jean XXIII (° 1881 - 1963) : « Pastor et nauta » (Le pasteur et le pilote)[17]. « Oboedientia et pax ».
- Jean-Paul Ier (° 1912 – 1978) : « De mediate Lunae » (De la moitié de la Lune)[17]. « Humilitas » (Humilité).
- Jean-Paul II (° 1920 – 2005) : « De labore Solis » (Du labeur du Soleil)[17]. « Totus Tuus » (Tout à toi).
- Jules II (° 1443 - 1513) : « Fructus Jovis juvabit » (Le fruit de Jupiter plaira)[17].
- Jules III (° 1487 - 1555) : « De corona Montana » (De la couronne du Mont)[17].
- Léon X (° 1475 - 1521) : « De craticula Politiana » (Du gril de Politien)[17].
- Léon XI (° 1535 - 1605) : « Undosus vir » (L’homme des ondes)[17].
- Léon XII (° 1760 - 1829) : « Canis et coluber » (Le chien et la couleuvre)[17].
- Léon XIII (° 1810 - 1903) : « Lumen in coelo » (La lumière dans le ciel)[17].
- Lucius II (° ? - 1145) : « Inimicus expulsus » (L’ennemi chassé)[17].
- Lucius III (° 1097 - 1185) : « Lux in ostio » (La lumière en la porte)[17].
- Marcel II (° 1501 - 1555) : « Frumentum floccidum » (Le froment prêt à tomber)[17].
- Martin IV (° vers 1210/1220 - 1285) : « Ex teloneo liliacei Martini » (De la trésorerie de Martin des Lys)[17].
- Martin V (° 1368 - 1431) : « Corona veli aurei » (La couronne du voile d’or)[17].
- Nicolas III (° entre 1210 et 1220 - 1280) : « Rosa composita » (La rose composée)[17].
- Nicolas IV (° 1227 - 1292) : « Picus inter escas » (Le pivert entre les viandes)[17].
- Nicolas V (° ~ 1275 - 1333), antipape de 1328 à 1330 : « De modicitate Lunae » (De la modicité de la lune)[17].
- Nicolas V (° ~ 1398 - 1455) : « Corvus schismaticus » (Le corbeau schismatique)[17].
- Pascal III (° ~ 1100 - 1168), antipape de 1164 à 1168 : « Via transtiberina » (Par la voie Transtévère)[17].
- Paul II (° 1417 - 1471) : « De cervo et Leone » (Du cerf et du lion)[17].
- Paul III (° 1468 - 1549) : « Hiacynthus medicorum » (La jacinthe des médecins)[17].
- Paul IV (° 1476 – 1559) : « De fide Petri » (De la foi de Pierre)[17]. Devise familiale : « Dominus mihi adjutor », même devise que le roi du Danemark.
- Paul V (° 1550 – 1621) : « Gens perversa » (La race perverse)[17].
- Paul VI (° 1897 - 1978) : « Flos florum » (La fleur des fleurs)[17]. « In nomine Domini » (Au nom du Seigneur).
- Pie II (° 1405 - 1464) : « De capra et Albergo » (De la chèvre et de l’auberge)[17].
- Pie III (° 1439 - 1503) : « De parvo homine » (Du petit homme)[17].
- Pie IV (° 1499 - 1565) : « Aesculapii pharmacum » (La drogue d’Esculape)[17].
- Pie V (° 1504 – 1572) : « Angelus nemorosus » (L’ange des bois)[17]. Autre devise : « Utinam dirigantur viae meae ad custodiendas ».
- Pie VI (° 1717 - 1799) : « Peregrinus Apostolicus » (Le pèlerin apostolique)[17].
- Pie VII (° 1742 - 1823) : « Aquila rapax » (L’aigle rapace)[17].
- Pie VIII (° 1761 - 1830) : « Vir religiosus » (L’homme religieux)[17].
- Pie IX (° 1792 - 1878) : « Crux de cruce » (La croix de la croix)[17]. « Plutôt rompre que plier » : devise familiale.
- Pie X (° 1835 - 1914) : « Ignis ardens » (Le feu ardent)[17]. Autre devise : « Omnia instaurare in Christo ».
- Pie XI (° 1857 – 1939) : « Fides intrepida » (La foi intrépide)[17]. « Pax Christi in regno Christi ».
- Pie XII (° 1876 - 1958) : « Pastor angelicus » (Le pasteur angélique)[17]. « Opus Justitiae Pax » (Le fruit de la Justice sera la Paix)[19].
- Sixte IV (° 1414 - 1484) : « Piscator Minorita » (Le pêcheur mineur)[17].
- Sixte V (° 1520 - 1590) : « Axis in medietate signi » (L’axe au milieu du signe)[17].
- Urbain III (° 1120 - 1187) : « Sus in cribro » (Le pourceau dans le crible)[17].
- Urbain IV (° ~ 1195 - 1264) : « Hierusalem Campaniae » (Jérusalem de la Champagne)[17].
- Urbain V (° 1310 - 1370) : « Gallus Vice-comes » (Le Vicomte gaulois)[17].
- Urbain VI (° 1318 - 1389) : « De Inferno praegnanti » (De l’enfer de Pregnani)[17].
- Urbain VII (° 1521 - 1590) : « De rore caeli » (De la rosée du ciel)[17].
- Urbain VIII (° 1568 - 1644) : « Lilium et rosa » (Le lis et la rose)[17].
- Victor IV (° 1095 - 1164), antipape de 1159 à 1164 : « Ex tetro carcere » (De la prison horrible)[17].
Notes et références[modifier]
- ↑ 1,0 1,1 et 1,2 Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales
- ↑ Walter Scott, Letters on demonology and witchcraft, Harper & Brothers, 1836 sur Google books
- ↑ Chapitre noble. Pour y être admis il fallait prouver huit quartiers de noblesse, quatre paternels et quatre maternels ou en remontant à l'an 1400 pour la ligne paternelle sans anoblissement connu.
- ↑ 4,0 et 4,1 Ce n'est pas une devise, mais le titre du siège primatial de Lyon
- ↑ Fondé en 1559 par Pie IV
- ↑ Fondé par Pie IX en 1847
- ↑ Fondé le 1er septembre 1831 par Grégoire XVI
- ↑ Institué en 1560 par Pie IV
- ↑ 9,0 et 9,1 Épître aux Galates Ga 5. 25
- ↑ Deuxième épître aux Corinthiens : 2 Cor 12.7-9
- ↑ Jn1, 23
- ↑ Épître aux Philippiens 1, 21
- ↑ Épître aux Colossiens 3, 12
- ↑ Jean 17, 22
- ↑ Jean 21, 22
- ↑ Deuxième épître à Timothée : 2 Tim 1,1
- ↑ 17,000 17,001 17,002 17,003 17,004 17,005 17,006 17,007 17,008 17,009 17,010 17,011 17,012 17,013 17,014 17,015 17,016 17,017 17,018 17,019 17,020 17,021 17,022 17,023 17,024 17,025 17,026 17,027 17,028 17,029 17,030 17,031 17,032 17,033 17,034 17,035 17,036 17,037 17,038 17,039 17,040 17,041 17,042 17,043 17,044 17,045 17,046 17,047 17,048 17,049 17,050 17,051 17,052 17,053 17,054 17,055 17,056 17,057 17,058 17,059 17,060 17,061 17,062 17,063 17,064 17,065 17,066 17,067 17,068 17,069 17,070 17,071 17,072 17,073 17,074 17,075 17,076 17,077 17,078 17,079 17,080 17,081 17,082 17,083 17,084 17,085 17,086 17,087 17,088 17,089 17,090 17,091 17,092 17,093 17,094 17,095 17,096 17,097 17,098 17,099 17,100 17,101 17,102 17,103 17,104 17,105 17,106 17,107 17,108 et 17,109 Réflexions liturgiques
- ↑ Ps.70, 1
- ↑ Livre d'Isaïe 32, 17
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