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Jean-Yves Leloup

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Jean-Yves Leloup
Description de cette image, également commentée ci-après
Jean-Yves leloup en 2017.
Naissance
Angers (France)
Nationalité Français
Domaines Spiritualité, religion
Formation Couvent Saint-Thomas d'Aquin, Institut catholique de Toulouse, Faculté de théologie catholique de Strasbourg
Influencé par Karlfried Graf Dürckheim, Carl Jung, Ken Wilber, Maître Eckhart
Renommé pour Herméneutique biblique, essais, traductions, romans
Site www.jeanyvesleloup.eu

Jean-Yves Leloup, né en à Angers, est un théologien, essayiste, traducteur du grec, de l'hébreu et du copte. Prêtre français, dominicain puis orthodoxe, il est l'auteur de plus de quatre-vingt dix ouvrages traitant essentiellement de spiritualité chrétienne.

Il a traduit et commenté de manière innovante les évangiles canoniques et apocryphes, notamment de la bibliothèque de Nag Hammadi, selon Thomas, Philippe et Marie (Marie-Madeleine), ainsi que l'Évangile selon Jean et l'Apocalypse. Il rappelle les traditions primitives, méditatives et monastiques de l'Église orthodoxe (Mont Athos, Hésychasme) et l'enseignement des Pères de l'Église, notamment des Pères du désert, et en particulier d'Évagre le Pontique. Il s'intéresse à la compassion des thérapeutes décrits par Philon d'Alexandrie, à la part du féminin dans l'histoire du christianisme, et bien qu'enraciné en Occident, à l'ouverture vers les autres traditions spirituelles.

Plusieurs de ses ouvrages ont été traduits dans d'autres langues notamment en anglais, en allemand, en espagnol et en portugais publiés au Brésil par l'éditeur Editora Vozes.

Biographie[modifier]

Jean-Yves Leloup est né en à Angers[1]. Converti à 20 ans, après « un constat de mort clinique et un retour à la vie »[2], c'est au Mont Athos, par la voie de l'orthodoxie qu'il découvre le Christianisme, avant d’entrer chez les dominicains[3]. Il est formé en théologie et ordonné prêtre au couvent des dominicains de Toulouse en juin 1978[1]. Il étudie également « la psychologie dans une université New Yorkaise, (Université de Syracuse), séjourne en Californie, s'initie aux philosophies orientales et passe par le centre de psychothérapie initiatique de Karlfried Graf Dürckheim en Allemagne »[4]— déterminant « pour sa compréhension de la dimension thérapeutique du christianisme »[5] —.

À partir de 1981, dans l'ancienne hostellerie dominicaine de la Sainte-Baume, avec Bernard Rerolle, il prend la direction du Centre international (CISB)[6], « université du troisième millénaire », à vocation spirituelle et inter-culturelle, où « il joue un rôle pivot dans l'ouverture et l'accueil de traditions spirituelles orientales ; le bouddhisme comme l'hindouisme, le judaïsme comme le soufisme »[7], ce qui représente un double défi pour l'Église catholique, indique, en 1986, Henri Tincq ; « défi ancien : celui que représente, pour l'Église catholique, l'existence même de lieux de recherches libres et d'expériences nouvelles de la vie chrétienne ». « Défi nouveau : celui que pose l'accueil de traditions spirituelles orientales vers lesquelles de plus en plus de déçus du christianisme, tournent leurs regards ». Les responsables du centre font valoir qu'ils rejoignent le dialogue interreligieux souhaité par le Concile et bientôt donné en exemple, aux premières rencontres d'Assise, par le pape (Jean-Paul II) lui-même. « Les dominicains sont animés d’un autre projet », celui d'une reconquête de la population locale par des ministères de proximité[6],[4]. Le 19 mai 1986, un communiqué commun du provincial de Toulouse et de l’évêque de Fréjus-Toulon déclare qu’ils n’apportent plus leur caution au caractère chrétien du centre[6].

Jean-Yves Leloup quitte l'ordre en 1986[1], l'historien Olivier Chatelan indique que pendant l'été 1985, des tensions opposent la Province de Toulouse et le centre sur la composition de l’équipe de direction, il note que le fait que Jean-Yves Leloup était marié et avait un enfant, ayant été porté à la connaissance des autorités dominicaines, il ne pouvait donc plus « être considéré comme dominicain »[6], il doit abandonner les fonctions qu'il occupe au Centre international de la Sainte-Baume, tandis que « les sympathisants du Centre international prennent sa défense »[6].

Ayant préalablement été baptisé orthodoxe dans la République monastique du mont Athos, il rejoint l'Église orthodoxe française de la communion des Églises orthodoxes occidentales ; son église, où il est connu sous son nom en religion de père Jean Séraphim, est celle de Saint-Michel dans le Var[8]. L'Église orthodoxe française n'est pas membre de l'Assemblée des évêques orthodoxes de France[N 1] au motif, selon l'association, de ne pas être en communion avec l'ensemble de l'Église orthodoxe[9][N 2].

Décrit comme « pionnier de la psychologie transpersonnelle »[12], il est « fondateur de l'Institut pour la rencontre et l'étude des civilisations (IREC)[12],[13](qui s'intéresse à l'œcuménisme) ainsi que du Collège international des thérapeutes » (qui s'occupe de l'aide spéciale aux mourants[12] et « au soin de l'humain dans sa globalité physique, psychique et spirituelle »)[14], il anime également de petites communautés orthodoxes au Brésil, où il séjourne régulièrement[15],[16],[17],[18] depuis qu'avec Pierre Weil, et Monique Thoenig, il a rédigé les premiers principes de l'Université Holistique Internationale de Brasilia, UniPaz, créée en 1986[19].

Jean-Yves Leloup livre quelques « fragments de son itinérance » dans son ouvrage autobiographique de 1991 L'Absurde et la grâce[20].

Œuvre[modifier]

Précisions liminaires[modifier]

La découverte de la bibliothèque de Nag Hamadi[modifier]

La bibliothèque de Nag Hammadi, un ensemble de treize livres anciens (appelés « codex ») contenant plus de cinquante textes, a été découverte en haute Égypte en 1945. Cette découverte d'une importance capitale comprend, en majorité, un grand nombre d' « Évangiles gnostiques » ; des textes dont on pensait auparavant qu'ils avaient été entièrement détruits pendant la lutte des premiers chrétiens pour définir l' « orthodoxie » ; des textes tels que l'Évangile de Thomas, l'Évangile de Philippe et l'Évangile de Vérité. La découverte et la traduction de la bibliothèque de Nag Hammadi, achevée dans les années 1970, ont donné l'impulsion à une réévaluation majeure de l'histoire des premiers chrétiens et de la nature du gnosticisme[21],[22],[23].

La gnose dans l'œuvre (précision)[modifier]

À cet égard, à l'occasion de l'introduction auprès du public roumain de l'ouvrage Les profondeurs oubliées du chritianisme, porté à l'attention de ce lectorat par Basarab Nicolescu, directeur de la revue Transdisciplinarity in Science and Religion, le théologien orthodoxe de la faculté de théologie de l'Université Babeș-Bolyai, Liviu Vidican Manci rédige un article dans lequel il se penche sur l'approche des textes par Jean-Yves Leloup, il s'attarde sur ce qu'il considère comme « l'utile clarification conceptuelle, sans aucune prétention de nouveauté, des notions de gnosticisme, de gnostique et de gnose » dans le chapitre Gnose et gnosticisme, gnostiques et pseudo-gnostiques dans lequel Jean-Yves Leloup apporte quelques précisions : « Il identifie quatre types de gnose : 1) la gnose qui présuppose la connaissance par rapport à l'« un » (monisme) ; 2) la gnose qui est la connaissance par rapport aux « deux » (dualiste) ; 3) la gnose qui est la connaissance par rapport à un « état intérieur » (imago) ; 4) la gnose qui est la connaissance et l'intégration des « trois » (théosis, transfiguration). Cette quatrième, patristique, est considérée comme complète par Jean-Yves Leloup qui tient à souligner que la vérité gnostique révèle, et non pas invente ; une notion particulièrement importante dont il se sent proche dans son mode de pensée et dont il se réclame. »[24].


Ouvrages[modifier]

Traductions et commentaires[modifier]

  • L'Évangile de Thomas, éd. Albin Michel, (notice BnF no FRBNF35851064), traduit en anglais. La version française est reprise et illustrée avec des calligraphies de Frank Lalou, coll. « Les carnets de calligraphie », éd. Albin Michel, 2002[25][N 3].
  • L'Évangile de Jean, éd. Albin Michel, 1989, rééd. 2013.
  • Le Cantique des Cantiques (traduction et notes suivies d’échos sur les interprétations bibliques de Marc Chagall), éd. De l’Ouvert, 1987, rééd. Terre Blanche, 1998.
  • L’Art d'apprivoiser le buffle (essai et traduction des dix tableaux de Kakouan), coll. « Pratiquer Zazen », éd. de l'Ouvert, (Le Fennec), (OCLC 39310131).
  • L'Évangile de Marie : Myriam de Magdala, éd. Albin Michel, (ISBN 2-226-08942-X)[27],[28].
  • L'Évangile de Philippe, Albin Michel, coll. « Spiritualité vivantes », [29].
  • L'Apocalypse de Jean, Albin Michel, , rééd. 2020[30],[31],[32].
  • Les épîtres de Jean (traduction et commentaires), Albin Michel, (ISBN 9782226312136).
  • L'Ecclésiaste (Le Qohélet) : La sagesse de la lucidité, Presses du Châtelet, .
  • Le livre de Salomon : La sagesse de la contemplation, L'Archipel, , 173 p. (ISBN 9782845927018).

Romans, contes, poèmes, récits, théâtre et autobiographie[modifier]

  • L'art du Saule (poèmes, accompagnés d’exercices proposés par Léonore Gottwald), éd. de l'Ouvert, 1987, rééd. Verus, 2005).
  • De l'aréalité du bleu, des vents, et des sables (poèmes et tableaux, sous le nom de Jean Khalil Sarov), New York - Paris - Tokyo, Nouvelles tendances de l'art contemporain, (OCLC 62780302).
  • L'Absurde et la grâce : fragments d’une itinérance, Albin Michel, (OCLC 1049570951)[20].
  • Nocturnes (quatre poèmes et leur traduction anglaise), Le Fennec, (OCLC 611792986).
  • La vie de Jésus racontée par un arbre (conte), coll. « jeunesse », éd. Albin Michel, 1995, rééd. Le Relié, 2005.
  • Une femme innombrable : Le roman de Marie-Madeleine, éd. Albin Michel, [33].
  • Un homme trahi - le Roman de Judas, Albin Michel, [34].
  • Une danse immobile (roman), Éditions du Relié, , 102 p. (ISBN 9782354901325).
  • Le philosophe et le djihadiste (récit), Presses du Châtelet, .
  • Le testament de Myriam de Magdala : si je me tais, les pierres crieront, Éditions Lazare et Capucine, , 96 p. (ISBN 9791096673209).

Essais et recueils[modifier]

  • Paroles du Mont Athos, préface de Jean-René Bouchet, Éditions du Cerf, , rééd. Albin Michel, 1991.
  • « Jnana Yoga. La Voie de la connaissance », in Les Yogas. Chemins de transformation, éd. Séveyrat, 1988.
  • « Approche métaphysique et éthique du visage de l'homme », in Visage, sens et contresens, éd. Eshel, 1988.
  • L'Enracinement et l'ouverture : Conférences de la Sainte Baume, Albin Michel, .
  • Écrits sur l'Hésychasme : Une tradition contemplative oubliée, éd. Albin Michel, [35].
  • Évagre le Pontique : introduction à Praxis et Gnosis, éd. Albin Michel, 1992.
  • Jean Cassien : introduction aux Collations, éd. Albin Michel, 1992[36].
  • La Voie du pèlerin, éd. Terre blanche, 1992.
  • Jean Chrysostome : introduction aux Homélies sur l'Incompréhensibilité de Dieu, éd. Albin Michel, 1993.
  • La vie en Jésus-Christ selon Nicolas Cabasilas et Saint Thomas d’Aquin, Éditions Le Fennec, 1994, réédition, Édition Lazare et Capucine, 2021.
  • Jean de la Croix ou La nuit habitée, Le Fennec, coll. « Interprétations », , 67 p., rééd. Édition Lazare et Capucine, 2021.
  • Texte de fondation du « Collège International des Thérapeutes », Le Fennec, 1994.
  • Manque et plénitude : Éléments pour une mémoire de l'essentiel, Albin Michel, .
  • Paroles de Jésus. Sélection et présentation, coll. « Carnets de sagesse », éd. Albin Michel, 1994.
  • Maître Eckhart, Toulouse, Terre blanche, (OCLC 1136039009).
  • Désert, déserts, Albin Michel, coll. « Espaces libres », 1996, rééd. 2013.
  • Les livres des morts. Tradition du bouddhisme, tradition du christianisme, tradition égyptienne, éd. Albin Michel, 1997.
  • Sectes, Églises et religions : Éléments pour un discernement spirituel, Albin Michel, coll. « Espaces libres », .
  • Introduction aux « vrais philosophes » : Les Pères grecs : un continent oublié de la pensée occidentale (Le Grand Livre du mois), éd. Albin Michel, coll. « La Pensée et le Sacré », 1998, rééd. 2014.
  • Ce corps. Paroles de Jésus et Anandamayi (avec J.C. Marol), Altess, 1999.
  • Prendre soin de l’Être : Philon et les Thérapeutes d’Alexandrie, Albin Michel, .
  • Paroles d'ermites. Les Pères du désert, coll. « Carnets de sagesse », éd. Albin Michel, 2000.
  • La montagne dans l’océan : Méditation et compassion dans le bouddhisme et le christianisme, Albin Michel, [37].
  • L'Icône. Une école du regard, éd. Le Pommier, 2000[38].
  • Un art de l'attention, éd. du Relié, 2000, rééd albin michel, 2002[12].
  • Tout est pur pour celui qui est pur : Jésus Marie Madeleine l'Incarnation (Le Grand Livre du mois), Albin Michel, (OCLC 470427389)[33]
  • Mont Athos : sur les chemins de l’Infini, (photographies de Ferrante Ferranti), éd. Philippe Rey, 216 p., 2007[39].
  • Le « Notre Père » : une lecture spirituelle, Albin Michel, coll. « Spiritualités vivantes », [40].
  • L'immense et l'intime (photos de Jacques Polony, calligraphies de Kitty Sabatier), éd. Isabelle et Jacques Polony, 2008.
  • Jésus, Marie-Madeleine et l'incarnation, éd. Albin Michel, [41],[42].
  • Les Livres des morts : Tibétain, égyptien, chrétien, Albin Michel, coll. « spiritualités », (ISBN 2226191305).
  • Qui est « je suis » ? Connaissance de soi et connaissance du Soi, éd. du Relié, 2009.
  • Dictionnaire Amoureux de Jérusalem, Plon, .
  • L'Assise et la marche, Albin Michel, .
  • Marie-Madeleine à la Sainte Baume, éd. du Relié, 2012.
  • Abécédaire de l’innommable, éd. Snoeck, 2012.
  • Faire la paix : paroles et paraboles pour la paix, Éditions du Relié, , 150 p. (ISBN 9782226326355), rééd. Albin Michel, 2016.
  • Un obscur et lumineux silence : La théologie mystique de Denys l'Aréopagite, Albin Michel, .
  • Pierres de nuit, éd. New York - Paris - Tokyo, Coll. Nouvelles tendances de l'art contemporain, 2014.
  • De Nietzsche à maître Eckhart, éd. Almora, 2014, rééd. cb 2017.
  • Sens et sagesse de l'icône, UPR éditions, 2015, rééd 2017, 89 p. (ISBN 9782371680968).
  • La sagesse qui guérit, Albin Michel, [43].
  • Être chrétien aujourd’hui en 40 pages, Uppr, .
  • Le cantique des cantiques : La sagesse de l'amour, Presses du Châtelet, [44].
  • Vers une écologie intégrale : écologie et écosophie, UPR, , rééd. Entremises, 2020.
  • Requiem, entrer dans l'Éternité, (avec CD Jean Paul Dessy), Éditions Le Relié, 2018.
  • L'évidence de l'invisible : Anamnèse essentielle, Actes Sud, , 86 p. (ISBN 9782330114466).
  • Les dits de la femme qui brûle - Marguerite Porete, Almora, , 119 p. (ISBN 9782351183687).
  • Sagesse du Mont Athos, Philippe Rey, (ISBN 9782848766621).
  • Il n'y a qu'un seul Dieu, Lequel ?, Philippe Rey, .
  • Les portes de la transfiguration, Albin Michel, .
  • L'élégance du Soi : Petit traité de l'homme noble, Presses du Châtelet, [45].
  • Va! L'esprit et la pratique des Béatitudes, L'Archipel, coll. « La parole qui guérit », , 61 p. (ISBN 9782845927858).
  • Milarepa : Les dits du mont Kailash, suivi de : Les trois voies dans le bouddhisme et le christianisme, Éditions Almora, Groupe CB, [46].
  • Un art d’aimer et de vivre par temps de catastrophe, Philippe Rey, , 120 p. (ISBN 9782848768502).
  • L’art du Saule : Pour un anthropocène éclairé, FeniXX et Éditions Lazare et Capucine & Éditions New York, Paris, Tokyo, , 115 p. (ISBN 9782402031844).
  • Métanoïa : une révolution silencieuse, Albin Michel, , 176 p. (ISBN 9782226453884)[15].
  • Qui est mon maître ? À l'écoute de notre intérieur, Presses du Châtelet, 2021 (ISBN 978-2-3819-5007-5) [47].

Ouvrages collectifs et entretiens[modifier]

Enregistrement sonore et filmographie[modifier]

Notes et références[modifier]

Notes[modifier]

  1. Sur insistance du service de presse de l'association Assemblée des évêques orthodoxe de France, la journaliste Claire Lesegretain rapporte en février 1999 le contenu du communiqué N° 235, énumérant les prélats et les églises auxquels l'association refuse la reconnaissance d'orthodoxe[9].
  2. L'AEOF a pour objet de « manifester l’unité de l’Église orthodoxe en France et de maintenir et développer les intérêts des communautés relevant de l'autorité des diocèses canoniques de ce pays ».[10] Sans pour autant constituer une instance canonique au sens du droit canon de la Sainte Église Orthodoxe et en attendant les décisions du Grand Concile Pan-Orthodoxe en ce qui concerne l'organisation canonique de la diaspora[11].
  3. Le manuscrit accompagné de calligraphies préparatoires et d'un fascicule contenant la traduction du copte en français, est acquis par le département des manuscripts de la BnF en 2009[26].

Références[modifier]

  1. 1,0 1,1 et 1,2 « Dictionnaire biographique des Frères prêcheurs, Notice biographique de Jean Leloup », sur journals.openedition.org, .
  2. Sébastien Henry, Fortifier nos racines, déployer no ailes, L'Archipel, (lire en ligne), p. 6.
  3. Stéphane Allix, Sébastien Lilli, « Jean-Yves Leloup, Tout s’effondre, sauf la vie », dans Tout est encore possible ! Manifeste pour un optimisme réaliste, edi8, (lire en ligne), p. 171.
  4. 4,0 et 4,1 Henri Tincq, « Le credo dans le Zendo », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  5. 5,0 et 5,1 David Dubois et Serge Durand 2012, p. 275.
  6. 6,0 6,1 6,2 6,3 et 6,4 Olivier Chatelan, « La Sainte-Baume et la Province de Toulouse depuis 1865 : Sous le patronage de sainte Marie-Madeleine : vicariat du couvent de Saint-Maximin depuis 1859, maison en août 1950, couvent en 2011 », Dictionnaire biographique des frères prêcheurs,‎ (lire en ligne) sur journals.openedition.org.
  7. Olivier Germain-Thomas 2002, p. 7.
  8. « Eglise orthodoxe française ».
  9. 9,0 et 9,1 Claire Lesagrétain, « Orthodoxie », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne).
  10. Vladimir Golovanow, « Comprendre l'organisation de l'orthodoxie aujourd'hui », La Nef,‎ (lire en ligne).
  11. OrthodoxWiki, Assemblée des évêques orthodoxes de France.
  12. 12,0 12,1 12,2 et 12,3 G. Navez (S.J.), « Leloup J.-Y., Un art de l'attention », Nouvelle Revue théologique, t. 126, no 1,‎ , p. 155- 164 (lire en ligne).
  13. « Institut pour la rencontre et l'étude des civilisations. Plan-d'Aups, Var », sur data.bnf.fr.
  14. Lytta Basset, Rosette Poletti, Le souffle va où il veut, Labor et Fides, , 176 p. (ISBN 9782830914726, lire en ligne), p. 154-155.
  15. 15,0 et 15,1 Christophe Henning, « « Métanoïa » de Jean-Yves Leloup : invitation à la révolution spirituelle », sur la-croix.com, .
  16. (pt) Educa Mais Brasil, « Jean Yves Leloup visita escola onde crianças meditam na Bahia », Estado de Minas,‎ (lire en ligne).
  17. (pt) Oscar D’Ambrosio, « Jean-Yves Leloup faz segunda 
conferência em São Paulo », sur Unesp.br,
  18. (pt) Rédaction, « Entrevista com Jean-Yves Leloup », sur oracaodejesus.com,
  19. (pt)Unipaz, Pierre Weil: Samurai da Paz, Hommage de Roberto Crema à Pierre Weil, 2009.
  20. 20,0 et 20,1 G. Navez (S.j.), « L'absurde et la grâce », Nouvelle Revue théologique, nos 124-3,‎ (lire en ligne).
  21. (en) « The Nag Hammadi Library », sur gnosis.org, n.a.
  22. Jacques E. Ménard (via Érudit), « La bibliothèque de Nag-Hammadi et la connaissance de la gnose », Laval théologique et philosophique, vol. 31, no 1,‎ , p. 3-10 (lire en ligne [PDF]), DOI:10.7202/1020451ar.
  23. Anne Pasquier (via Érudit), « Polémique autour d’une figure féminine dans quelques textes gnostiques », Recherches féministes, vol. 3, no 2,‎ , p. 127-132 (lire en ligne [PDF]), DOI:10.7202/057608ar.
  24. (ro) Liviu Vidican Manci, « Recenzie: Jean Yves Leloup, Profunzimile uitate ale crestinismului », Tabor, no 6,‎ , p. 93 à 95 (lire en ligne)
    « .. În ce categorie de gnostici vă plasaţi? În capitolul Gnoză şi gnosticism, gnostici şi pseudo-gnosticii, autorul face nişte precizări extrem de importante, în parte cunoscute de teologi, dar foarte puţin cunoscute de publicullarg. „Gnoza este, aşadar, o experienţă spirituală vizionară” (p. 127). Între cei doi termeni există o diferenţă fundamentală; cine nu o face eşuează lamentabil, crede Leloup. El identifică 4 tipuri de gnoză: 1) Gnoza care presupune cunoaşterea în raport cu „unu” (monism) 2) Gnoza care este cunoaştere în raport cu „doi” (dualism); 3) Gnozacare este cunoaştere în raport cu „starea interme- diară” (imago); 4) Gnoza care este cunoaştere şi integrare a lui „trei” (theosis, transfigurare). Cea de-a patra, patristică, este considerată completă (pp. 117-119 s.u.) Autorul ţine să precizeze că adevărul gnostic descoperă nu inventează, o nu-anţă deosebit de importantă (p. 138) iar gnoza pe care o simte aproape de modul lui de gândire, de la care se reclamă, este cea patristică. »
  25. notice BnF no FRBNF39964396.
  26. BNF, « Enrichissements du département des Manuscrits 2007-2009 », Revue de la Bibliothèque nationale de France, no 35,‎ , p. 83 (lire en ligne) sur Cairn.info.
  27. (es) Rédaction, « Reviewed Work: El Evangelismo de María (Myriam de Magdala) by Jean-Yves Leloup », El Ciervo, vol. 48, no 578,‎ , p. 43 (lire en ligne)Accès payant sur JSTOR.
  28. (pt) Benedita Aguiar Ferreira et Wilma Martins Mendonça, « Discurso Feminino Sobre as origens do Cristianismo : Uma Anályse do testamento apócrifo de Maria Madalena », Abralin, leffa.pro.br, vol. 2,‎ (lire en ligne [PDF]).
  29. Jean Radermakers, « L’Évangile de Philippe », Nouvelle Revue Théologique, nos 128-4,‎ (lire en ligne).
  30. Geneviève Delrue, « Religions du monde - 2 - «L’Apocalypse de Jean», traduit et commenté par Jean-Yves Leloup », sur RFI, .
  31. « L'apocalypse avec Jean-Yves Leloup », sur France Culture.
  32. (pt) Ângelo Vieira da Silva, « Apocalipse de João », Teoliterária,‎ (lire en ligne) sur Academia.edu.
  33. 33,0 et 33,1 Bruno Thibault 2016, p. 71-75.
  34. Jean Radermakers (s.j), « Leloup J.-Y., Un homme trahi. Le roman de Judas, suivi de « Réflexions autour d’une énigme » », Nouvelle Revue théologique - Arts et Lettres, t. 129, no 1,‎ , p. 155 (lire en ligne) sur Cairn.info.
  35. (it) Fabio Milioni, « Il metodo di orazione esicastica, secondo l'insegnamento di Padre Serafino (Jean-Yves Leloup) », n-a,‎ n-a (lire en ligne).
  36. Marie-Anne Vannier, « Les Collations de Jean Cassien, textes choisis et présentés par J.-Y. Leloup (compte-rendu) », Revue des sciences religieuses, vol. 67, no 2,‎ , p. 123 (lire en ligne).
  37. Karine Papillaud, « Jean-Yves Leloup, La Montagne dans l’océan », Chronic’art,‎ (lire en ligne).
  38. Egon Sendler, « Revue des livres - Arts : Jean-Yves Leloup, ‘’L’Icône, une école du regard, Le Promeneur, 2000 », Études, t. 394, no 1,‎ , p. 118 (lire en ligne).
  39. « Mont Athos, sur les chemins de l'infini », Le Monde des religions, Malesherbes publications,‎ , p. 66 (lire en ligne).
  40. Jean Radermakers, « Leloup J.-Y., « Notre Père ». « Dieu n’existe pas, je le prie tous les jours », coll. Spiritualités », Nouvelle revue théologique, t. 131, no 2,‎ , p. 148 (lire en ligne) sur Cairn.info.
  41. Paul Detienne (s.j.), « Jésus, Marie-Madeleine et l'Incarnation », Nouvelle Revue Théologique, nos 131-3,‎ (lire en ligne).
  42. (it) Andrea Nicolotti, « (Recensione) Jean-Yves Leloup, Il sacro abbraccio. Gesù, Maria Maddalena e l'Incarnazione, Torino, Lindau, 2007, traduzione di Silvia Mondino; edizione originale Tout est pur pour celui qui est pur: Jesus, Marie-Madeleine et l'Incarnation, Paris, A. Michel, 2005 », Christianismus - studi sul cristianesimo,‎ (lire en ligne [PDF]).
  43. Etienne Séguier, « La Sagesse qui guérit de Jean-Yves Leloup », La Vie,‎ (lire en ligne).
  44. Dominique Greiner, « Dans l'ivresse du Cantique des Cantiques », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne).
  45. [audio] Émission Le Grand Témoin, avec Louis Daufresne sur L'Élégance du soi sur Radio Notre-Dame.
  46. « Livres: ’'Milarepa, Les dits du Mont Kailash par Jean-Yves Leloup », sur Baglis TV, .
  47. « Qui est mon maître ? », sur revue-acropolis.fr, .
  48. Les deux extrêmes 
de la normose contemporaine, du phantasme 
de la séparativité au phantasme fusionnel, in Revue 3e millénaire, N° 38 - Hiver 1995.
  49. (pt) Marcelo Moraes Caetano, Em busca do novo normal, Editora Jaguatirica, (lire en ligne), p. 21.
  50. Sophie Bernard, « Marie de Hennezel & Jean-Yves Leloup : L'art de mourir », sur campus.uliege.be.
  51. Édouard Zarifian, « Qui aime quand je t'aime ? », Psychologies Magazine,‎ n/c (lire en ligne).
  52. Paul Detienne, « La grâce de Solitude », Nouvelle Revue Théologique, nos 131-2,‎ (lire en ligne).
  53. (ro) Liviu Vidican Manci, « Recenzie: Jean Yves Leloup, Profunzimile uitate ale crestinismului », Tabor, no 6,‎ , p. 93 à 95 (lire en ligne).
  54. Paul Detienne, « de Solemne M., Innocence et culpabilité. Dialogues avec Jean-Yves Leloup, Philippe Naquet, Paul Ricœur et Stan Rougier », Nouvelle Revue théologique, t. 131, no 2,‎ , p. 374 (lire en ligne).
  55. Catalogue, Bnf-ark.
  56. Film-documentaire.fr« Le film se veut parcours libre d’une identité multiple et profondément singulière ».
  57. Yannick Haenel, « Vie, ferveur, infini... Entretien intime entre Juliette Binoche et Yannick Haenel », sur madame.lefigaro.fr, .
  58. Michel Kubler, « « Mary » ou la vibration évangélique », Études, t. 404, no 3,‎ , p. 371 à 373 (lire en ligne).

Bibliographie[modifier]

  • Edmond Blattchen, Si ma maison brûlait, j'emporterais le feu, émission Noms de Dieux, (entretien avec Jean-Yves Leloup), Alice éditions, 2001. (ISBN 978-2930182476).
  • Nathalie Calmé, Jean-Yves Leloup, le nomade du sacré, 2016, (OCLC 1010411333).
  • David Dubois et Serge Durand, Guide de la spiritualité, Almora, , 493 p. (ISBN 978-2-35118-076-1), p. 251. .
  • Sébastien Henry, Fortifier nos racines, déployer nos ailes : Cheminer avec Jean-Yves Leloup, L'Archipel, , 148 p. (ISBN 9782381950419, présentation en ligne).
  • Josette Larue-Tondeur, « Traductions bibliques opposées », Cahiers Sens public, nos 13-14,‎ , p. 229 à 237 (lire en ligne). .
  • (en) Carl McColman, « The Mystical Paradoxes », dans The Big Book of Christian Mysticism :The Essential Guide to Contemplative Spirituality, Broadleaf Books, , p. 75 à 120.
  • Monseigneur Martin, père Basile, père Pierre, et al, Homélies des Pères orthodoxes du monastère Saint Michel du Var, Lazare et Capucine, (ISBN 979-10-96673-01-8, notice BnF no FRBNF45432801).
  • (en) Jacob Needleman, « Foreword », dans The Gospel of Thomas: The Gnostic Wisdom of Jesus, Inner traditions, (lire en ligne)
  • Marc de Smedt, Rencontre avec Jean-Yves Leloup, (entretien), Sagesse qui guérit, 2015, (notice BnF no FRBNF44422142), [audio].
  • Bruno Thibault, « Jésus et la condition féminine », dans Un Jésus Postmoderne : Les récritures romanesques contemporaines des Évangiles, Brill, Lam éditions, , 58 à 75 p. (ISBN 9789004326934, lire en ligne), p. 71 à 75. .
  • Olivier Germain-Thomas, « Introduction, (retranscription de l'émission For intérieur - France Culture - du 26 février 1998) », dans Un art de l'attention, Albin Michel, coll. « Espaces libres », (ISBN 978-2-226-13085-3), p. 7 à 28. .
  • Olivier Germain-Thomas, Agora : les aventuriers de l'esprit, (entretien avec Jean-Yves Leloup), Besançon, La Manufacture, (ISBN 9782737702723), p. 170 à 177.

Liens externes[modifier]

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