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Famille de Wilde d'Estmael

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Image représentant deux personnes Cette page explique l’histoire ou répertorie les différents membres de la famille de Wilde d'Estmael.

Famille de Wilde d'Estmael
Armes de la famille.
Armes de la famille : Famille de Wilde d'Estmael
Image illustrative de l’article Famille de Wilde d'Estmael

Blasonnement Blason:
D'argent au coq hardi de gueules, accompagné en chef de trois merlettes rangées de sable
Devise « Tenir »
Période 1614–XXIe siècle
Pays ou province d’origine Blason du duché de Brabant Duché de Brabant
Charges Régisseur des domaines royaux de Tervuren, inspecteur honoraire des Eaux et Forêts, échevin de Tirlemont, receveur des biens de la ville de Tirlemont, conservateur honoraire à l'Institut des Parcs nationaux du Congo belge.
Fonctions militaires Lieutenant-général
Lieutenant-colonel
Capitaine d'aviation
Volontaire de guerre 14-18
Volontaire de guerre 40-45
Fonctions ecclésiastiques Curé du béguinage de Louvain, religieuses des Dames du Sacré-Cœur, prêtres de la Compagnie de Jésus, moine bénédictin à l'Abbaye de Saint-André.
Récompenses civiles croix du Prisonnier politique, croix civique de 1re classe.
Récompenses militaires Croix de guerre (dont 4 avec palmes), croix du Feu, croix de l'Yser, médailles de la Résistance, croix de guerre française 1914-1918.
Preuves de noblesse
Autres
  • Anoblie le 11 novembre 1922

La famille de Wilde d'Estmael autrefois Sauvaige dit De Wilde (le sauvage en français) est une famille de la noblesse belge, originaire de la ville de Hoegaarden dans la province du Brabant flamand, anoblie le en la personnne de Robert-Pierre-Ignace de Wilde (1852-1935) qui reçu concession de noblesse héréditaire de la part du roi Albert Ier de Belgique. La famille de Wilde fut autorisés le par le prince-régent Charles de Belgique, à adjoindre à son nom celui « d'Estmael ».

Histoire[modifier]

Fichier:Pierre-Nicola de Wilde.jpg
Portrait présumé de Pierre-Nicolas De Wilde (1737-1820)

La famille de Wilde est originaire de Hoegaarden dans l'ancien duché de Brabant et a une filiation prouvée remontant à 1614 avec Jacques Sauvaige dit De Wilde, tailleur d'habits à Hoegaarden (mort le 12 juin 1670 à Hoegaarden)[1]. En 1614, il est cité dans un acte notarié avec le père de son épouse Marguerite Minnen[1]. Ils achètent le pour 126 florins une propriété à Hoegaarden à Symon Minnen, son beau-frère. Marguerite Minnen meurt le et Jacques Sauvaige se remarie deux mois après, le 23 février 1642, avec Marguerite Simon avec laquelle il s'établit à Meldert. Jacques Sauvaige dit De Wilde et son épouse Marguerite Minnen eurent plusieurs enfants dont Gérard qui suit.

Gérard Sauvaige dit De Wilde (ca 1617 - mort le 12 juin 1670 à Tirlemont), bourgeois de Tirlemont[1], épousa en premières noce Anne Puttau (morte le 13 mars 1649 à Tirlemont) et en deuxièmes noces le 5 août 1649 Catherine de La Malle. De son premier mariage il eut plusieurs enfants dont Jérôme De Wilde (né le 3 février 1640 à Tirlemont), marié le 20 mars 1661 à Bonaventure Oliviers, d'où descendance.

Arrêtés royaux d'anoblissement (1922) et de changement de nom (1949)[modifier]

  • Par arrêté royal du du roi Albert Ier le lieutenant général Robert de Wilde, né le à Budingen et mort le à Maisons-Laffitte reçut une concession de noblesse héréditaire pour lui et ses enfants à la suite de leur conduite exemplaire[2],[3] Ils furent cinq volontaires durant la Première Guerre mondiale, dont un mourut pour la patrie. Son épouse, Marie-Colette Verbrügghen, fille de Joseph Verbrügghen, notaire à Alost, qui appartenait à une vieille famille d'hommes politiques locaux[4] de la région d'Alost[5], sera décorée le 6 décembre 1921 de la Palme d'or de l'Ordre de la Couronne pour s'être occupée activement à Londres des œuvres de guerre et des blessés[6]. Robert de Wilde et son épouse eurent neuf enfants.

Par arrêté du régent[N 1] du

  • Cécile de Longrée (1886-1976), veuve de Robert de Wilde (1883-1947) et leurs enfants;
  • Paul de Wilde (1884-1964) et ses enfants;
  • Jean de Wilde (1890-1970) et ses enfants;

sont autorisées à adjoindre à leur nom celui «d'Estmael[N 2]»[3] nom de l'ancienne seigneurie possédée de 1794 à 1802 par la famille de Wilde[7].

Propriétés[modifier]

  • La famille de Wilde fut propriétaire[9] jusqu'en 1878 du « Gasthuismolen » à Tirlemont, moulin qui entra dans la famille grâce à Anne-Elisabeth Smets, fille de Ludovic Smets (1650-1749) qui l'avait acquis en 1705. Dénommé d’abord « molendinum juxta pontem », puis « Brughmolen », il était situé sur la Gète et servait à broyer des graines d’écorces pour faire du tanin (tanneur) ou de l’huile (huilier).
Hôtel de Wilde

Armes[modifier]

D'argent au coq hardi de gueules, accompagné en chef de trois merlettes rangées de sable



Alliances[modifier]

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La famille de Wilde d'Estmael s'est alliée aux familles : Minnen (avant 1614), Simon (1642), Puttau, Oliviers (1661), van Hauwe (1689), Stevens (1715), Smets (1755), Michiels (1785), Lebrasseur, Cypers, Verbrügghen, de Longrée, Bribosia, Stinglhamber, Bökor, Bonamis, Namurois, Halflants, Henrion, della Faille de Leverghem, del Marmol, Laduron, de Frahan, Monseur, Coppens d'Eeckenbrugge (nl), de Séjournet de Rameignies, Verfaill, de Hemptinne, de Sauvage, Miloslava Niederle-Ovà, de Grady de Horion, de Ghellinck, Meeùs, Van Innis, Seny, De Radzitzky d'Ostrowick (nl), Carbonnelle, Pastur, van de Weijer, d'Hoop, Coget, de Bruyn, Cogels, Fabri, Vinel, Fraiteur, Legrand, Debay, de Ruette, de Villenfagne (nl), Bacon, de Fays, Halflants, Libbrecht, Vander Linden etc.

Notes et références[modifier]

Notes[modifier]

  1. Durant la régence du 20 septembre 1944 - 20 juillet 1950, sous le prince Charles de Belgique, les Arrêtés royaux prirent le nom d'Arrêtés du régent
  2. Le toponyme Estmael n'a jamais existé, ce mot forgé au début du XXe siècle semble basé sur une étymologie erronée du mot Esemael qui selon une interprétation fantaisiste de Chotin, serait dérivé d'un hypothétique West + mael "limite de l'ouest" : Alexandre-Guillaume Chotin, Études étymologiques sur les noms des villes, bourgs, villages, hameaux, rivières et ruisseaux de la province du Brabant, 1859, p. 97 : « Esemael, Ezemalia, 1075, 1089, 1126, Mir : Ezemaele, Eezemael, Wesemael. Le premier radical de cet appellatif, à notre avis, west, l'ouest. Ce nom est donc identique à notre avis à limite de l'ouest (C'était en effet la limite du Brabant vers la province de Liège »lire en ligne.
  3. Cette prairie avait jadis fait partie de la baronnie d'Esemael dont le dernier seigneur féodal semble avoir été, sauf preuve du contraire, Jean-Louis de Berlaymont de la Chapelle, baron de Jauche.
  4. Une annonce publicitaire n'indiquant pas le nom du ou des vendeurs a été publiée dans les Annonces et avis divers du département de l'Escaut, no 9 du 20 octobre 1802 :

    « A vendre de la main à la main la terre d Esemael située à une lieue de Tirlemont et à une demi lieue de la chaussée de cette ville à St Trond à Liège sur la rivière la Gete arrondissement de Louvain département de la Dyle Cette terre consistant en treize bonniers de prairie et en quelques rentes était ci devant la seigneurie du village d Esemael qu avait un censal et féodal droit de relief et congé dit pontgeld chasse et pêche haute et basse justice et conferait les places des mayeurs reffier et échevins Les amateurs sont priés s adresser pour plus amples informations, ainsi que pour le prix au ci devant notaire Goossens réfuge de Malthe à Tirlemont A Gand chez AB Stéven imprim marché aux Grains »

    « Annonces et avis divers du département de l'Escaut, no 9, 20 octobre 1802 », sur Google Books, (consulté le 28 janvier 2015).

Références[modifier]

  1. 1,0 1,1 et 1,2 Jean-François HOUTART, Anciennes familles de Belgique, Recueil LXI de l'Association royale office généalogique et héraldique de Belgique, Bruxelles, 2008, pp. 302-303 : « Issue de Jacques Sauvaige dit de Wilde, tailleur d'habits à Hougaerde puis à Meldert, cité le 22 février 1614 avec le père de sa première femme (…) ».
  2. Paul JANSSENS et Luc DUERLOO, Armorial de la noblesse belge, 1992. Lire en ligne
  3. 3,0 et 3,1 Oscar COOMANS DE BRACHÈNE, État présent de la noblesse Belge, Annuaire de 1983, seconde partie, Wi - Zu, Collection "ETAT PRESENT" a. s. b. l., 1983.
  4. Jean-François Houtart, Anciennes familles de Belgique, Bruxelles, 2008, p. 252 : « Charles Verbrugghen (1748-1808), avocat, est échevin d'Alost en 1794. Son petit-fils Charles Verbrugghen (1823-1911), échevin d'Alost, est membre de la Chambre des représentants. Son autre petit-fils Joseph Verbrugghen (1825-1892) est notaire à Alost. Charles Verbrugghen (1749-1826), marchand d'étoffes est maire de Ternat ».
  5. Jaak Ockeley, "De Familie Verbrugghen, een oud geslacht uit het land van Aalst", dans : Het Land van Aalst, Jaargang XXXII, 1980.
  6. Listes des décorations octroyés durant aux combattants civils et militaire de la Grande guerre
  7. Blaise D'OSTENDE-À-ARLON, Noblesse belge d'aujourd'hui, Vol. II à II., Les Cahiers nobles, 1967 Lire en ligne
  8. Manque indication : Cour féodale de...le...., investiture le...?
  9. Molenecho’s |Belgisch Molenbestand : « Gasthuismolen, Brugmolen. Molen Smolders. Gasthuismolenstraat, 33. Tienen op de Grote Gete, kadasterperceel H 601.
    Eigenaars-molenaars na 1830 :
    -voor 1830, eigenaar : De Wilde Mathieu, de weduwe, handelaarster te Tienen.
    -18.08.1839, erfenis : de kinderen : a) Dewilde Antoine Ernest, b)Dewilde Henri Matthieu, c) Dewilde Pierre Ignace, d) Dewilde Gustave, e) Dewilde Charles, f) Dewilde Dominique, g) Dewilde Eugène, h) Dewilde Philippe en i) Dewilde Justinus (overlijden van de weduwe van Mathieu Dewilde)
    - 06.01.1843, deling : a)De Wilde Eugène Mathieu Étienne en b) De Wilde Marie Thérèse Pauline Justine, te Tienen (notaris Vinckenbosch).
    - 25.03.1873, erfenis : De Wilde Eugenius Matheus Stephanus, eigenaar te Hoegaerden (overlijden van Marie Thérèse De Wilde)
    -05.07.1878, verkoop : Smolders-De Groodt Ludovicus, molenaar te Tienen (notaris Crampen) ». Lire en ligne.

Liens externes[modifier]

Articles connexes[modifier]

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