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Famille (de) Frésart

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Frésart
Armoiries de la famille.
Armoiries de la famille : Frésart

Blasonnement d'or, à une paire de forces de sable, les bouts en bas, accompagnée de trois merlettes du même, les deux du chef affrontées.
Branches Frésart de Clercx de Waroux
de Frésart
Période XVIe siècle - nos jours
Pays ou province d’origine Drapeau de la Principauté de Liège Principauté de Liège
Demeures Chokier, Flône, Mouffrin
Charges bourgmestre

La famille Frésart est une famille originaire du pays de Liège[1]. Sa généalogie est établie jusqu'à Collar Frechar dont le mariage est mentionné en 1574. Elle donna aux siècles suivants des juristes et s'est alliée à des familles de la noblesse belge. À la suite d'une alliance, une branche fut autorisée en 1930 à s’appeler Frésart de Clercx de Waroux.

Origines[modifier]

Cette famille est issue de Collar Frechar qui se marie avec Isabeau Jadoule de Holongnoule en 1574[1], date de la première mention d'un membre cette famille. Aux XVIIIe siècle, XIXe siècle et XXe siècle cette famille donne des juristes et des banquiers.

Branche Frésart de Clercx de Waroux[modifier]

À la suite du mariage en 1901 du banquier Charles Frésart (1878-1933), bourgmestre de Chokier, avec Clary de Clercx de Waroux (1880-1948), dont la famille était propriétaire du château de Waroux et du château de Chokier, le fils né de ce mariage, Emmanuel Frésart (1910-1986) obtient en 1930 autorisation de substituer son nom par Frésart de Clercx de Waroux, étant donné que la famille noble de sa mère était en voie d'extinction; la dernière de cette famille était sa tante Marthe de Clercx de Waroux (1886-1961)[2].

Branche de Frésart[modifier]

À la suite d'une décision du tribunal de première instance de Liège, Edouard Frésart (1887-1962) a été autorisé le 26 avril 1946 à faire rectifier son nom et celui de ses enfants en y adjoignant la particule "de".

Banque Frésart[modifier]

En 1826, Michel Frésart fonde à Liège la banque Frésart[3] avant de la céder à son fils Emile en 1842. Emile s'associe ensuite à son frère Jules avant que ce dernier ne reprenne seul les affaires[3] et n'en profite pour renommer la banque sous son nom "Jules Frésart". Le 15 décembre 1899, Jules s'associe à son fils Félix pour fonder la banque Frésart & Fils qui reprendra le 1er janvier 1900 les activités de la banque Jules Frésart[3]. A la mort de Félix, c'est son, fils Charles qui reprend les affaires bancaires. La banque Frésart était spécialisée dans les investissements dans les pays d'Europe de l'Est[4]. La Révolution russe de 1917 mis à mal la banque qui avait beaucoup investi dans les pays de l'Est et Charles Frésart négocie en 1918 la reprise de ses activités par la Banque Générale de Liège[5]. Charles Frésart devint administrateur de la Banque Générale de Liège et le resta jusqu'à son décès en 1933. Cette banque était une banque patronnée créée par la Société Générale en 1882 lors de la reprise de la banque privée Victor Terwagne et Cie.[4] Un autre fils de Michel Frésart, Oscar Frésart fût également banquier, il était directeur de la banque namuroise à Namur[3].

Filiation[modifier]

Ci-dessous, une filiation succinte de la famille Frésart[6],[7],[8] :

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  • Collar Frechar, marié le à Isabeau Jadoule de Holongnoule
    • Michel Frechar, marié à Anne de la Vignette
      • Nicolas Frésart, né 1614, marié à Marie de Chaweheyd
        • Nicolas Frésart, né en 1636 et mort en 1694, orfèvre, marié à Marguerite de Stienne
          • Jacques Frésart, né le et mort le (à 53 ans), marié le à Marie-Elisabeth de Rorive
            • Nicolas Frésart, né le , marié à Sibile Simonis
              • Branche éteinte en ligne masculine
            • Laurent Frésart, né le et mort le (à 59 ans), juriconsulte et avocat, marié à Marie-Jeanne Lance
              • Georges Frésart, né le et mort en 1768, juriconsulte et avocat
                • Sans postérité
              • Pierre-Jacques Frésart, né le
              • Arnold-Laurent Frésart, né le , prêtre
              • Hubert Frésart, né le et mort le (à 82 ans), juriconsulte et avocat, marié à Catherine Bérard (24/08/1735-10/12/1788)
                • Jacques Frésart, né le et mort le (à 83 ans), conseiller à la Cour d'appel de Liège, marié à Anne-Cécile d'Erckenteel (12/10/1758-28/10/1839)
                • Charles Frésart, né le et mort le (à 39 ans), prêtre
                • Georges Frésart, né le
                • Henry Frésart, né le , greffier de la justice de paix de Liège, marié à Elisabeth Bussy
                • Michel Frésart, né le et mort le (à 86 ans), courtier en fonds publics, puis banquier et président du tribunal de commerce de Liège, marié à Charlotte Groyen (05/07/1786-24/11/1870)
                  • Edouard Frésart, né le et mort le (à 28 ans)
                    • Sans postérité
                  • Emile Frésart, né le et mort le (à 93 ans), banquier, marié à Ernestine Quiriny (12/07/1820-24/07/1879)
                    • Albert Frésart, né le et mort le (à 26 ans)
                      • Sans postérité
                  • Félix Frésart, né le et mort le (à 77 ans), docteur en droit, avocat
                    • Sans postérité
                  • Benjamin Frésart, né le et mort le (à 83 ans), rentier, marié à Joséphine-Jeanne Nélissen
                    • Emile Frésart, né le et mort le (à 73 ans), marié le 22 avril 1901 à Joséphine Fontaine
                      • Branche éteinte en ligne masculine
                  • Jules Frésart, né le et mort le (à 78 ans), banquier, bougmestre de Flône, marié le 1er mars 1848 à Anaïs Dury
                    • Félix Frésart, né le et mort le (à 65 ans), banquier, consul de Bolivie, marié le 5 mai 1877 à Emma de Vaux
                      • Charles Frésart, né le et mort le (à 55 ans), banquier, bourgmestre de Chokier, marié le 12 février 1901 à Clary de Clercx de Waroux
                        • Emmanuel Frésart de Clerx de Waroux, né le et mort le (à 75 ans), industriel, marié le 30 avril 1935 à Jeanine Elie-Lefèvre
                          • Postérité subsistante
                      • Jules Frésart, né le et mort le (à 26 ans)
                        • Sans postérité
                      • Albert Frésart, né le et mort le (à 79 ans), marié le 16 juin 1926 à Anne Peten (16/06/1897 - 07/03/1948)
                        • Sans postérité
                  • Oscar Frésart, né le et mort le (à 67 ans), banquier, marié le 2 février 1851 à Adèle Pirlot (04/07/1828 - 24/10/1902)
                    • Edouard Frésart, né le et mort le (à 47 ans), fabricant d'armes, marié le 15 septembre 1877 à Anne van Zuylen (15/06/1854 - 06/09/1940)
                      • Edouard de Frésart, né le et mort le (à 75 ans), marié le 27 octobre 1908 à Marie le Paige (17/01/1883 - 08/01/1968), fille de Constantin
                        • Edouard de Frésart, né le et mort le (à 70 ans)
                          • Postérité subsistante
                        • Raphaël de Frésart
                          • Branche éteinte en ligne masculine
                        • Michel de Frésart, né le et mort le (à 87 ans)
                          • Postérité subsistante
                        • Constantin de Frésart
                          • Sans postérité
                        • Philippe de Frésart
                          • Branche éteinte en ligne masculine
                    • Oscar Frésart, né le et mort le (à 68 ans), fabricant d'armes, marié le 11 mai 1895 à Hortense Chandelon (01/1874 - 20/10/1964)
                      • Oscar Frésart, né le et mort le (à 87 ans)
                        • Sans postérité
            • Arnold Frésart, né le
          • Nicolas-Hubert Frésart, né le , prêtre
          • Pierre Frésart, né le et mort en octobre 1773, docteur en médecine
            • Sans postérité

Personnalités[modifier]

  • Pierre Frésart (1672-1733), docteur en médecine
    Il étudie à Avignon et est licencié en médecine le 23 juin 1701[9]Il est maître de l'hôpital Saint-Abraham à Liège en 1716 et était également médecin de la léproserie de Cornillon[10]. Il s'intéresse à différents sujets et publie plusieurs traités de médecine dont Emmenologia, in qua fluxus muliebrus menstrui phoenomena, periodi, vitia, Cum medendi Methodo, ad rationes Physico-medicas exiguntur : Acceffit in fine Caput peculiare de Fluxu Muliebri albo en 1707[11] qui traite du flux menstruel et Dissertation sur les patrons des acides de la fermentation, et des levains dans les voyes du sang, pour origine des maladies en 1725[12]. Il semble être le premier à avoir signalé l'émotion parmi les causes de métrorragies[13]. Ses travaux sont repris dans de nombreux ouvrages en Europe.
  • Michel Frésart (né à Liège le et mort à Liège le ), banquier et Président du Tribunal de Commerce de Liège[14].
    Après avoir été courtier en fonds publics (agent de change)[15] jusqu'à ce que l'ancienne principauté de Liège se retrouve sous contrôle hollandais, il fonde la banque Frésart en 1826. Il céda la banque à son fils Emile en 1842 et s'occupa du Tribunal de Commerce dont il fut Président. Il acquiert en viager le 10 août 1818 le Couvent des Capucines de Liège et, une fois le viager éteint, offre le couvent et ses dépendances à la communauté des Filles de la Croix[16],[17] dont sa fille Cordule, dite Coralie était membre.
    Très généreux et amateur de peinture et de musique, Michel Frésart mit les anciens locaux de sa banque à disposition de la nouvelle Ecole Royale de Musique de Liège créée par Guillaume Ier en 1826 et ouverte en mai 1827[18]. C'est dans cette école, devenue en 1830 le premier Conservatoire royal de Belgique que César Franck apprend le piano et le solfège[19].
  • Émile Frésart (né à Liège le et mort à Liège le (à 93 ans)), fils du précédent, banquier et industriel.
    En plus de ces activités au sein de la banque Frésart, Emile fonde en 1850 avec Jean-Baptiste Lammens, Adolphe Weustenraad et Louis Lhoest, son cousin germain, une fabrique de papier portant initialement le nom de Lhoest-Weustenraad et Cie[20], dont le capital social est fixé à 187.500 florins néerlandais, représentés par 21 parts sociales. Les statuts de fondation de l'entreprise prévoient que les trois associés d'Emile Frésart investissent chacun 15.000 florins néerlandais, le reste étant apporté par ce dernier et des associés passifs. Emile entraîne son frère Jules, son cousin Guillaume Lhoest (frère de Louis), Nicolas Doreye et Petrus Regout dans l'aventure[20]. Chaque associé se retrouve finalement avec 2 parts sociales, sauf Nicolas Doreye (1 seule part) et Emile Frésart (12 parts)[20]. Les frères Frésart possèdent donc la majorité du capital et augmentent encore leur engagement vis-à-vis de l'entreprise en reprenant les parts de Pierre Regout, qui quitte l'entreprise quelques mois après la création, et de Adolphe Weustenraad en 1859, quelques mois avant sa mort[20]. Adolphe Weustenraad était en conflit avec les autres fondateurs depuis plusieurs années et n'était déjà plus actif dans l'entreprise depuis 1857, lorsque celle-ci fut renommée Lhoest Lammens & Cie. Les 6 associés restants seront actifs au sein de l'entreprise jusqu'à leur mort. Malgré qu'ils aient apporté la majorité du capital et que la banque Frésart ait consenti un prêt de plusieurs centaines de milliers de florins pour financer la construction de la fabrique et l'achat des outils de production nécessaires, les frères Frésart n'ont, semble-t-il, jamais souhaité que l'entreprise porte leur nom[20]. La société changera encore de nom en 1875 et deviendra la Papeterie Royale Hollandaise (Koninklijke Nederlandsche Papierfabriek), nom qu'elle conservera jusqu'en 1993. De nos jours, la société existe toujours et porte le nom de Sappi Maastricht.
    Emile Frésart est Officer de l'Ordre de Léopold, Commandeur de l'Ordre de Saint-Grégoire-le-Grand et décoré de la Croix Commémorative[3].
  • Jules Frésart (né à Liège le et mort à Liège le (à 78 ans)), frère du précédent, bourgmestre de Flône, banquier et industriel.
    Il est à la tête de la banque Jules Frésart puis de la banque Frésart & Fils jusqu'à sa mort[21],[3]. Jules est également administrateur de la Papeterie Royale Hollandaise à partir de 1875 et Président du conseil d'administration à partir de 1887 jusqu'à sa mort[20].
    Il achète l'ancienne abbaye de Flône devenue château en 1868. Le château sera revendu aux Dames du Sacré-Cœur en 1902[22]. Jules voyage beaucoup, à une époque où les moyens de déplacements sont encore limités, afin de trouver de nouveaux débouchés commerciaux. Collectionneur d'œuvres d'art, il profite également de ses nombreux voyages pour enrichir ses collections[3]. Jules Frésart est bourgmestre de Flône de 1872 à sa mort et président d'honneur de l'Œuvre des sourds-muets de Liège[3] . Il est fait Chevalier de l'Ordre de Léopold par le Roi Léopold II le 11 juin 1888[23] et est également Commandeur de l'Ordre de Saint-Grégoire-le-Grand.
  • Félix Frésart (né à Liège le et mort à Liège le (à 66 ans)), fils du précédent, banquier et industriel
    Félix est à la tête de la banque Frésart du 1er janvier 1900 à sa mort. Il est également Commissaire aux comptes de la Papeterie Royale Hollandaise de 1911 à 1918 avant de devenir administrateur de cette même société[20].
  • Édouard Frésart (né à Liège le et mort à Liège le (à 46 ans)), fabricant d'armes. Edouard Frésart s'associe à son oncle Gustave Pirlot, fabricant d'arme également, pour former la société Pirlot & Frésart. En 1870, la société s'associe aux maisons Ancion, Dresse-Laloux & Cie et Auguste Francotte pour former un atelier commun : l'Atelier du Petit Syndicat[24] dans le but de construire ensemble des fusils à destination du gouvernement belge. Le 10 novembre 1886, les fabricants d'armes Jules Ancion & Cie, Dumoulin frères, Dresse-Laloux & Cie, Joseph Janssen, Émile et Léon Nagant, Albert Simonis et Pirlot & Frésart fondent une nouvelle société sous le nom "Les Fabricants d'armes réunis"[24] ayant peu ou prou les mêmes objectifs que ceux qu'une partie d'entre eux avaient en 1870 lors de la création de l'Atelier du Petit Syndicat. Le 3 juillet 1889, les membres des Fabricants d'armes réunis s'associent à d'autres fabricants d'armes : La Manufacture Liégeoise d'Armes à Feu, Henri Pieper, Auguste Francotte ainsi qu'avec le Crédit Général Liégeois et Nicolas Vivario pour former la Fabrique Nationale d'Armes de Guerre, ceci afin de pouvoir répondre à une commande de 150.000 fusils passée par le gouvernement belge[25]
  • Oscar Frésart (né à Liège le et mort à Liège le (à 68 ans)), frère du précédent, fabricant d'armes.
    Il rejoint son frère au sein de la société Pirlot et Frésart. Il sera ensuite administrateur aux Anciens Établissements Pieper (de) après la 1ère guerre mondiale[26].

Armes[modifier]

D'or, à une paire de forces de sable, les bouts en bas, accompagnée de trois merlettes du même, les deux du chef affrontées.

Notes et références[modifier]

  1. 1,0 et 1,1 Jean-François Houtart, Anciennes familles de Belgique. Bruxelles, 2008, p. 212 [anno 1574]. Anno 2020 des membres de cette famille habitent toujours dans le pays de Liège ou la ville de Liège, voir: Carnet mondain (2020).
  2. État présent de la noblesse belge (1986), p. 234 [de Clercx de Waroux].
  3. 3,0 3,1 3,2 3,3 3,4 3,5 3,6 et 3,7 Victor Ambroisse, Deux siècles de présence liégeoise, Générale de Banque, 1988, p 42 à 58
  4. 4,0 et 4,1 Hermann Van der Wee et Monique Verbreyt, La Générale de Banque - Un défi permanent, Editions Racine, 1997, p 97-103
  5. Archives des banques patronnées par la société générale de Belgique, BNP Paribas Fortis Historical Centre, Octobre 2008
  6. Honderd jaren papierfabriek, Koninklijke Nederlandsche Papierfabriek N.V., Maastricht, 1950, p. 179
  7. Yves Danet des Longrais, Arbre généalogique de la famille Fresart, Liège, 1889
  8. Marc Belvaux, Portrait d'Adèle Frésart dans Le Parchemin n° 461, Office Généalogique et Héraldique de Belgique, 2022, p. 491 à 494
  9. Bulletin de l'Institut archéologique liégeois, Volume III, Maison Curtius, Liège, 1857, p 453 et 454
  10. Bulletin de l'Institut Archéologique Liégeois, Tome XCVI, Maison Curtius, Liège, 1984, p 123 et 124
  11. Cet ouvrage est disponible en ligne : https://books.google.be/books?id=Q8dEAAAAcAAJ
  12. Cet ouvrage est disponible en ligne : https://books.google.be/books?id=sg5eAAAAcAAJ
  13. Revue française de gynécologie et d'obstrétriques, Volume 7, 1922, p 20
  14. Ulysse Capitaine, Nécrologe liégeois pour 1860, F. Renard Editeur, 1864, p 20
  15. Maurice Kunel, César Franck - L'homme et son œuvre, Editions Bernard Grasset, 1947, p 15
  16. Théodore Gobert, Les rues de Liége, tome III, Librairie Louis Demarteau
  17. Bloc-notes, Bulletin trimestriel du Trésor de liège, numéro 37, décembre 2013, p 14
  18. Jacques Bureau, De la musique primitive aux contemporains : 65 vocations de musiciens, Gründ, 1961
  19. Jean Gallois, Franck, Editions du Seuil, 1966
  20. 20,0 20,1 20,2 20,3 20,4 20,5 et 20,6 Honderd jaren papierfabriek, Koninklijke Nederlandsche Papierfabriek N.V., Maastricht, 1950
  21. Archives provenant du Château d'Halloy, Université de Liège, 2010
  22. Émile Poumon, Abbayes de Belgique, Office de Publicité, Bruxelles, 1954, p. 78-79
  23. Moniteur Belge, 15 juin 1888, partie officielle, p 1
  24. 24,0 et 24,1 Auguste Francotte, Claude Gaier et Robert Karlshausen, Ars Mechanica - Le grand livre de la FN, La Renaissance du Livre, 2007, pages 33 à 42
  25. Auguste Francotte et Claude Gaier, FN 100 ans - Histoire d'une grande entreprise liégeoise - 1889-1989, Didier Hatier, 1989, page 31
  26. Michel Druart, BAYARD - Les hommes, les armes et les machines du Chevalier - Pieper & Cie - 1859-1957, 2004, p. 193

Bibliographie[modifier]

Voir aussi[modifier]

Articles connexes[modifier]

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