Bourg-des-Glands
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Blason du village |
Drapeau du village |
Bourg-centre et ses quartiers du Sud, novembre 2024 | |
Administration | |
---|---|
Maire Mandat |
Gad de Molay 2022 - |
Code postal | 4889 |
Démographie | |
Gentilé | Glandois, glandoise |
Population | 152 hab. (Novembre 2024) |
Densité | 109 hab./km2 |
Géographie | |
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Altitude | Min. −23 m Max. 136 m |
Superficie | 139,624 024 ha = 1,396 240 24 km2 |
Bourg-des-Glands est une commune rurale du Royaume des Quiz, situé à la jonction d'un biome de toundra alpine, d'un de prairies et d'un de forêts de milieu tempéré, dans la province minecraftienne glandoise. En novembre 2024, la commune compte 152 habitants.
Placé au pied Ouest d'un massif, l'unité démographique principale de Bourg-des-Glands s'est développée en petits quartiers de part et d'autre des champs communs, situés, eux, au centre du village. Ils marquent l'entrée dans la région naturelle des plaines vallonnées. L'économie de la commune repose majoritairement sur l'agriculture et l'industrie minière.
Bourg-des-Glands compte un site notable datant de l'histoire précoce du village, figurant le plus ancien habitat connu de la région. Bourg-des-Glands est un point de passage vers la mer, située plus au Sud. Point stratégique avec le développement du commerce à partir d'août 2022, la commune est fortifiée à plusieurs reprises dès lors, les mottes et la tour de guet érigée par le Baron Heartless de Quarrel-Drengot connaissant les derniers combats le 2 septembre 2022.
La commune abrite six monuments historiques : le syssition du Gâtouf Amitié, la maison du 1 rue Balzac, le HLM La Hutte, le calvaire à la guerre, la chapelle des Ouvriers et le siège de la Compagnie Poquelineau, auxquels s'ajoutent d'autres édifices comme le calvaire de la forêt domaniale et la fontaine du Pré-Catelan.
Géographie[modifier]
Localisation[modifier]
Bourg-des-Glands est un village bâti à l'Ouest du petit col montagneux de Heinmayard (formé, au Sud, par une extrêmité des Monts-Effroids, et, au Nord, par les Monts Tordus), à la limite d'un biome mêlant prairies, monts et forêts, au Nord du littoral de la côte de Cobblestone. Ses coordonnées sont -80.743, 51.156. La commune est à environ 620 m au Nord de l'autre commune de Beau-Rivage.
Le territoire du Bourg, sans ses hameaux, d'une superficie de 65 536 12 860 m², comprend environ 3 215 m² de montagnes.
Le village est limité au nord par une faille géologique s'enfonçant à 23 m sous le niveau de la mer. Bourg-des-Glands étant déjà assez élevé par rapport à ce dernier, cela représente donc une profondeur d'approximativement 115 m.
Quartiers, hameaux et communes limitrophes[modifier]
Les quartiers du village sont, au Nord-Ouest, les récents Saules-en-Garroz, au Nord, La Faillette, développé autour de la faille géologique, et à l'Est, Le Trou du Qiou, construit dans la montagne. Aussi, au Sud-Est, le très agricole Pré-Catelan ainsi que la très urbaine Vallée de Misère. Au Sud enfin, la Nouvelle-Syttie fait office d'extension démographique du village. Les hameaux extramuros du Bourg sont au nombre de trois. Au Sud-Ouest se situe le petit village de savane du Serengeti. Un petit peu au Sud du Bourg, est perché sur le mont enneigé du Canasson-Pendu La Ferme des Bouseux. au Nord-Est, au cœur des Monts-Effroids, se situe le petit village de Helheim. Enfin. Au Sud-Ouest se trouve le hameau agricole et forestier de Poquelinopolis. Concernant les communes limitrophes, une seule est pour l'instant recensée ; au Sud-Sud-Est de La Ferme des Bouseux, le village déjà cité de Beau-Rivage et son hameau de Longuerive.
Géologie et relief[modifier]
Bourg-des-Glands est situé à l'Oues-Sud-Ouest d'un ensemble de massifs, à la charnière avec un paysage de petits monts et de légères vallées. Cette transition est constituée par une ligne d'escarpement orientée Ouest-Est entre le sommet, d'une altitude moyenne de 130 m au-dessus du niveau de la mer, et une plaine avec une certaine régularité de niveau, aux environs de 93 m au-dessus du niveau de la mer. La partie la plus élevée de la commune est située sur ce même sommet ; à 136 m d'altitude. Ce point, qui est en fait un arbre de bonne taille aménagé en lieu d'observation, est nommé l'Arbre Panorama Royal.
Ses sols sont majoritairement composés de roches classiques. On peut y trouver en plus du granite, mais aussi de la diorite et de l'andésite. Ces roches volcaniques sont alors les dernières témoins de l'activité d'un volcan depuis bouché, qui dormait en ce massif. L'andésite, particulièrement, nous renseigne sur la présence d'une zone de convergence des plaques tectoniques en cet endroit. Aucun séisme n'a pourtant été signalé à Bourg-des-Glands depuis sa fondation. Certaines fouilles préventives ont aussi révélé la présence de filons de charbon, mais assez peu de fer.
Hydrographie[modifier]
Le territoire de Bourg-des-Glands est assez pauvre en eau de source. Le seul lieu d'écoulement d'eau de la montagne se situe au Nord de la commune et a été peu exploité jusqu'à maintenant. Une maison, appartenant à la baronne Wooyoungi de Quarrel-Drengot, la couvre d'ailleurs en partie.
Le lieu-dit du Pré-Catelan est le seul endroit possédant une mare publique. On la dit naturelle car issue d'une nappe phréatique, mais les recherches ne semblent pas confirmer cette idée. Sûrement ne date-t-elle que de la fondation du village, les premiers habitants ayant puisé l'eau de la source mentionnée pour l'amener chez eux. Chaque point d'eau qui a été ultérieurement creusé sur le territoire du Bourg, servant pour les habitants, le bétail, les champs ou pour l'esthétique d'un lieu, a été constitué en exploitant l'eau de ladite mare.
Climat[modifier]
Bourg-des-Glands connaît un climat tempéré. L'influence de l'océan et de ses dépressions se fait sentir sous la forme d'un vent marin souvent fort, de secteur Sud. L'effet conjugué du vent et des marées engendre des changements climatiques rapides dans une même journée, le soleil et la pluie pouvant se succéder à quelques heures d'intervalle. Aussi, des orages peuvent éclater de manière assez violente, avec de régulières et puissantes décharges de foudre.
Cependant, ces variations brutales ont aussi pour effet de favoriser la croissance d'une flore diverse. Beaucoup de plantes et d'arbres locaux mais aussi exotiques (acajou, chêne noir, acacia, etc...) poussent ainsi malgré une insolation moyenne.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Ensoleillement (h) | 194,9 | 158,1 | 92,7 | 66,5 | 59,5 | 114,3 | |||||||
Précipitations (mm) | 38 | 48,4 | 87,1 | 93,6 | 98,6 | 73,1 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
20 10 80 | 20 10 80 | 20 10 80 | 20 10 80 | 20 10 80 | 20 10 80 | 20 10 80 | 20 10 38 | 20 10 48,4 | 20 10 87,1 | 20 10 93,6 | 20 10 98,6 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Milieux naturels et biodiversité[modifier]
Une partie du territoire de Bourg-des-Glands fait l'objet d'un classement de protection depuis septembre 2022. Les espaces protégés et réglementés de Bourg-des-Glands couvrent environ 5 898 m², soit 9 % du territoire de la commune.
Ces zones sont regroupées sous une même dénomination, la forêt domaniale. La fertilité des sols, permise en plus par le climat, y fait prospérer une multitude d'espèces de plantes. Chacune des espèces possède une variante plus grosse, élevée et entretenue par le village à but culturel. Il y a ainsi un sapin géant, dont la pousse provient d'au-delà des Monts-Effroids, loin à l'Est du village. Il y a aussi un acajou, un acacia et un chêne géants. La forêt domaniale ne peut être exploitée qu'en partie et seulement sur dérogation, et bénéficie de campagnes de plantation régulières.
Urbanisme[modifier]
Typologie[modifier]
Bourg-des-Glands est une commune rurale, car elle est catégorisée comme commune peu ou très peu dense. Par ailleurs, le village, première installation royale aussi bien en terme historique qu'en terme d'importance, est également le chef-lieu de son canton ainsi que de la région royale minecraftienne.
Occupation des sols[modifier]
L'occupation des sols de la commune est marquée par une certaine importance des territoires agricoles et dédiés à l'exploitation du bétail et autre espèce (30.77 % en décembre 2024, contre 32% en décembre 2022). La répartition détaillée est la suivante : zones agricoles hétérogènes (50 %), pâturages (41.67 %), ferme apicole (4.17 %), autres (4.16 %).
Concernant la classification des zones de manières générale cette fois : zones d'habitation (41.03 %), zones agricoles (30.77 %), zones de construction diverses (28.2 %).
Morphologie urbaine[modifier]
Typique d'un village traditionnel, l'habitat est dispersé en six unités urbaines, cinq centralisées sur la première, qui est le centre de Bourg-des-Glands. Deux typologies urbaines se rencontrent sur la commune : un habitat ancien, dense et de petite taille, et un habitat plus sophistiqué et imposant, les deux séparés par des divisions administratives. Pour encadrer cette évolution, le plan local d'urbanisme est soumis au règlement rendu obligatoire par la loi royale relative à la sécurité et à la conformité des logements.
Habitat ancien[modifier]
Les constructions anciennes sont en général de plain-pied, ont plus rarement un étage ou une cave. Elles sont bâties avec des matériaux locaux : le chêne, ou parfois du sapin, pour les murs et de la roche agglomérée pour les toitures. Ces maisons sont construites en forme rectangulaire ou carrée, alignées et parallèles à la rue.
Les deux principales unités urbaines bâties majoritairement selon un modèle ancien sont le village et le Trou du Qiou. Ces deux lieux de vie comptent respectivement huit et trois habitations organisées le long de rues principales. Le village est situé au centre du territoire communal, en terrain plat, tandis que le Trou du Qiou est bâti quasi exclusivement dans la montagne. Ces deux endroits disposent de commerces, dont un alchimiste, un tisserand et un fléchier au village, et un forgeron, un armurier et un épicier au Trou du Qiou. Le village central dispose du manoir royal, lieu du pouvoir politique de la commune, et le Trou du Qiou possède la chapelle des ouvriers, lieu de culte principal.
Quelques habitats traditionnels sont situés aussi à La Faillette ainsi qu'en Nouvelle-Syttie. Loin d'être des points isolés des autres, ils servent tout autant à la vie économique de ces quartiers. Il y a ainsi un armurier à La Faillette, un boucher et un épicier ainsi qu'un entrepôt à denrées en Nouvelle-Syttie.
Habitat récent[modifier]
Les constructions récentes sont reconnaissables par des styles novateurs. Elles sont liées au développement démographique de la commune depuis septembre 2022, aussi bien en mitage de l'habitat ancien, bien que plus rare, comme avec la tour du Pote Hiquaire ou la maison de l'armatrice Wooyoungi, ou en développement de nouveaux quartiers, comme avec le siège de la compagnie Poquelineau de Bonald ou la maison de la fusilière Oxyless. À la différence de l'habitat ancien, ces constructions de grandes tailles sont situées au milieu de parcelles de tailles moyennes et grandes. Cet habitat s'est étendu au coup par coup, avec une organisation spatiale reprenant la logique traditionnelle.
Les quartiers de Nouvelle-Syttie, de La Vallée de Misère et de Saules-en-Garroz sont construits en majorité selon un style nouveau. Certaines architectures novatrices se veulent toutefois hybrides, reprenant les matériaux les plus anciens pour des édifices d'inspiration plus moderne, comme avec l'immeuble La Pulga, en Vallée de Misère, ou la gare de Roubaud, en Nouvelle-Syttie, tous les deux bâtis quasi exclusivement avec de la roche agglomérée.
Logements[modifier]
En juin 2024, le nombre total de logements à Bourg-des-Glands était de 32, dont 27 résidences principales, ainsi que 5 résidences secondaires et logements occasionnels. La commune compte dans son total 6 HLM. La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants, était de 84.38 % en décembre 2024.
décembre 2022 | décembre 2024 | |
---|---|---|
Résidences principales | 17 | 27 |
Résidences secondaires et logements occasionnels | 7 | 5 |
Total | 24 | 32 |
Voies de communication et transports[modifier]
Infrastructures routières[modifier]
La commune relie ses bâtiments et ses quartiers grâce à un système de routes très souvent droites, faites de terres et bordées de pierres. Elles sont au nombre de 26 :
- Avenue de La Percée
- Rue Balzac
- Rue Buissonnière
- Rue d’Ondorre
- Rue de l’Hôtel-Dieu
- Rue de la Fossapurin
- Rue de la Maistrie
- Rue de La Marquise
- Rue de la Piailleuse
- Rue de la Potence
- Rue des Conquêtes
- Rue des Lilas
- Rue des Myosotis
- Rue des Pécores
- Rue du 5 Février
- Rue du Champ de Mars
- Rue du Claquemuré
- Rue du Col de Roncevaux
- Rue du Rif
- Rue du Sif
- Rue du Temple
- Rue Louis Ier
- Rue Ludoweg
- Rue Scipion l’Africain
- Rue Sundar Pichai
Liaisons et transports en commun[modifier]
Bourg-des-Glands est relié quotidiennement à ses hameaux et à Beau-Rivage grâce à un réseau de trois lignes de chemin de fer, d'abord inauguré par le Baron Heartless de Quarrel-Drengot, ensuite développé par une alliance économique Gad de Molay-Louis Ier-Poquelineau de Bonald. La gare principale est celle dite de Roubaud, située au quartier de Nouvelle-Syttie, permettant de relier La Ferme des Bouseux, Serengeti et Beau-Rivage. D'autres gares mineures se situent dans les quartiers de La Percée, reliant le village à Helheim, et à Saules-en-Garroz, pour rejoindre Poquelinopolis.
La gare doit son nom à un Glandois, Roubaud, qui fut le cœur battant de la gare jusqu'à sa disparition mystérieuse le 21 décembre 2022.
Début septembre 2023, le conseil municipal, à l'initiative du même Baron déjà mentionné, vote pour la construction d'un métro. Le chantier se réalise alors à une vitesse prodigieuse. Les premières voies sont percées le 6 septembre, et les gares sont inaugurées le 16. Au départ prévu pour relier quatre points importants de Bourg-des-Glands, les dépenses sont ensuite balancées pour ne garder que trois stations. Le budget économisé est transvasé dans la construction d'une spatieuse seconde gare, en sous-sol de la première, dédiée audit métro. Ainsi, la Régie Autonome des Transports Glandois (RATG) gère un petit trafic régulier entre les stations Abel Filuzeau (Gare de Roubaud), Manal Chagiri (La Faillette) et Le Baron (Trou du Qiou).
Risques naturels[modifier]
La commune est soumise à deux risques majeurs principaux : des tremblements de terre, bien qu'il n'y en ait encore jamais eu, et les incendies provoqués par la foudre.
Le risque sismique est considéré comme faible à Bourg-des-Glands, non pas tant par l'étude géologique que par les observations faites depuis août 2022, ne montrant aucun signe d'activité sismique depuis déjà des années en arrière.
Cependant, le risque d'incendie est, lui, bien à redouter. Avant la politique des paratonnerres, qui ne fut pas sans problème, Bourg-des-Glands était victime de la foudre qui tombait régulièrement et violemment sur les maisons, qu'elles soient basses ou hautes. Ainsi, le premier siège de la compagnie Poquelineau et une maison du centre du village furent les deux premiers bâtiments en partie consumés. La pose vraiment efficace de paratonnerres fut tardive car les Glandois crurent d'abord à une punition divine, notamment lorsque la foudre tomba sur l'ancienne maison close, aujourd'hui magasin de flèches. Ensuite, des protections consistant en des renforcements des toits avec de la pierre et des tiges de cuivre furent installées. Cela fut inefficace et conduisit au scandale des paratonnerres, aussi appelé KelrozGate.
Toponymie[modifier]
Bourg-des-Glands[modifier]
Les chroniques historiques d'août 2022 mentionnent le choix du nom fait par le décidément influent Heartless, sans pour autant donner davantage de détails quant à la raison. L'hypothèse la plus relayée, loin de celle des milieux paillards évoquant la stupidité des premiers colons, décrit une origine s'inspirant des chênes qui poussent non loin des fondations du village.
Microtoponymie[modifier]
Les quartiers et hameaux sont quasiment tous nommés dans du français moderne. On peut toutefois discerner quelques variations d'éléments de langue bretonne pour certaines divisions du Bourg, sans explication très poussée pouvant être donnée. D'autres influences linguistiques interviennent pour nommer les hameaux
- Helheim : Ce hameau très enneigé et venteux, ayant été refondé par le connétable-maire Gad de Molay et le roi Louis Ier après en avoir chassé les êtres malveillants qui s'y trouvaient, fut nommé, en allusion à cet épisode, selon le monde des morts de la mythologie scandinave.
- La Faillette : un brin ironique quand on considère la taille de la faille géologique. Ce quartier doit cependant bien son nom à celle-ci, le suffixe en « -ette » voulant réduire l'importance de cette dernière, peut-être pour encourager les habitants à s'y installer...
- La Ferme des Bouseux : Ce hameau doit simplement son nom à la première ferme qui fut construite, très sommaire, dont les murs ont été érigés en blocs de terre gelée.
- La Percée : L'origine de ce nom se trouve simplement dans celui du chantier de la Compagnie Poquelineau, désormais abouti, qui visait à perforer les Monts-Effroids de part en part.
- Le Trou du Qiou : l'on dit dans les bas-fonds du village que ce quartier doit son nom à une cavité dans la montagne qu'on disait « aussi sombre que dans le cul d'un âne ». La sonorité du mot pourrait porter du crédit à cette légende vulgaire mais son origine bretonne la démonte finalement. En effet, « Qiou » vient d'une dérivation du mot breton « keou » qui signifie « retranchement ». Ainsi, ce coin serré du village peut être vu comme un retranchement sous la protection de la montagne.
- Le Pré-Catelan : fait référence à un épisode de l'histoire du Royaume des Quiz, connu sous le nom de Scandale du Mariage. Rien à voir cependant avec le capitaine des chasses Théophile Catelan mais plutôt avec l'endroit si réputé où le damné voulait piéger les éminences royales. Il est étonnant qu'un nom rappelant de si fâcheux souvenirs ait pu être choisi pour un endroit bucolique.
- Le Serengeti : C'est le hameau au climat le plus sec de Bourg-des-Glands. En référence au continent africain qui partage les mêmes températures, ce hameau a été nommée pareillement que la célèbre savane tanzanienne.
- La Vallée de Misère : est une ancienne expression catholique pour désigner la Terre, lieu d'origine de tous les péchés. Ce nom a été donné à la suite de la construction d'un immeuble HLM. On peut se demander alors s'il fait référence à la tristesse du cimetière situé en ce même lieu-dit ou bien au manque de débouchés professionnels des Glandois qui résident dans ce coin reculé du village, entre deux petits monts.
- Nouvelle-Syttie : là encore pour remémorer un épisode de l'histoire des Quiz, la Syttie est donc un endroit que continuent d'explorer des troupes entières de Quizeurs royaux dans l'espoir de ramener de prolifiques cerveaux au royaume, et aussi, pourquoi pas, au village. Ce quartier se destine de ce fait à être la continuité principale du village par de larges apports démographiques.
- Saules-en-Garroz : Le quartier le plus récent de Bourg-des-Glands ne fut pas tant nommé par rapport au grand cerisier planté sur son axe principal, ni même par la présence de salix, mais plutôt pour la concordance phonétique entre l'idyllique pittoresque et un fameux stade de tennis, passion royale.
Histoire[modifier]
Histoire précoce[modifier]
L'histoire très précoce du site de fondation est parcellaire. Il ne reste de cette époque seulement la maison du 1 rue Balzac, appartenant à l'entrepreneur Poquelineau de Bonald. Les souvenirs que le village entretient proviennent de l'histoire orale. Il est dit alors que des colons aventuriers seraient descendus des montagnes pour s'installer là où la terre pouvait les nourrir. Il est raconté aussi que le premier campement se faisait sans toit, le roi Louis Ier se terrant avec son connétable Gad de Molay dans une fosse pour dormir.
Puis furent construites ensuite les premières maisons, qui se sont formées autour des champs communs, dès le début conçus pour avoir de gros rendements. Le premier Glandois à s'installer après nos colons est d'ailleurs saint Symphorien.
Avant la chapelle des Ouvriers, le premier lieu de culte était le syssition du Gatouf Amitié, construit à cette époque de croissance démographique. La pratique de cette Foi consistait en la célébration de l'hospitalité lors de l'accueil des autres futurs Glandois qui s'installaient au village. Cependant, cette religion déclina rapidement et les abus s'enchaînèrent avec notamment la profanation des Gatoufs qui devaient être servis à chaque nouvel arrivant.
Histoire récente[modifier]
Le premier hameau fondé est celui du Trou du Qiou. Servant avant tout, avec le creusement de mines, à se procurer du charbon pour chauffer les nouvelles maisons plus efficacement, une partie de la population vint s'installer progressivement autour pour former cette nouvelle industrie. L'« âge d'or du Caillou » débute alors et l'entrepreneur Poquelineau de Bonald fonde sa société minière à cette époque, le 29 août 2022. Son premier chantier, terminé le 17 septembre 2023, est celui de La Percée, consistant en le terrassement d'une des montagnes du massif attenant au village, afin d'y ouvrir une voie plus praticable vers l'Est. La difficulté de la tâche et les nombreux morts sur le chantier ont longtemps freiné l'avancement du projet avant l'invention d'une foreuse à explosifs en avril 2023.
Le village devenant prospère et populeux, il se confronte désormais à l'enjeu de la sécurité pour pérenniser tout cela. Les sauvages qui sortent la nuit pour déambuler dans le bourg à la recherche d'une pauvre âme à kidnapper sont de plus en plus insistants. L'officier Heartless décide alors, avec l'appui du roi, de partir en expédition en des terres profondes et insondables, accompagné de la comtesse Nekomaru de la Rochefoucauld, pour ramener des pierres solides afin d'ériger une redoute au-dessus de son magasin d'apothicaire.
L'autre danger est celui climatique, plus précisément les orages. Voyant la puissance que peut déployer la foudre sur des arbres non loin, le roi Louis Ier décide, le 22 août 2022, de l'obligation pour les constructions de se voir attribuer un paratonnerre, pensant sécuriser l'ensemble de la population. Dès lors, de nombreux incendies se déclarent dans le village à chaque orage. La foudre, qui semble privilégier certains bâtiments, telles que la cabane de Poquelineau de Bonald, à une époque où ce dernier martyrisait des Glandois, ou bien la maison close, actuel magasin de flèches, est vue comme un châtiment divin par les habitants. Mais avec le temps, et grâce aux recherches de la comtesse Nekomaru, il est découvert que le cuivre dont sont faits ces paratonnerres attire la foudre, et est à l'origine, indirectement, des incendies. Le scandale qui s'ensuit, le 2 septembre 2022, appelé parfois le KelrozGate, force le roi à s'éloigner du village. Cet événement, ayant causé la mort de quelques Glandois, déclenche aussi une course à la mer par le Sud, et donc la fondation plus tardive de Beau-Rivage. Les paratonnerres sont alors soit détruits, soit posés sur des pylônes plus éloignés des maisons, et étant par conséquent plus efficaces.
Peu après, et pour pouvoir redorer son blason, le roi Louis Ier termine l'électrification de la ville, qui est, cette fois, une franche réussite.
Parallèlement, des expéditions sont organisées par la compagnie Poquelineau, parrainées par le pouvoir royal, afin d'explorer en direction de chaque point cardinal. Souvent, ces voyages aux confins sont couronnés de succès, tantôt les explorateurs ramenant quantité de fer des Monts-Effroids le 23 août, tantôt ramenant des objets et autres pousses exotiques le 25. On note dès lors que des caravanes de marchands passent par le village, qui prend véritablement sa place de centre commercial stratégique.
Mais, évidemment, plus le village prend en importance, plus les dangers apparaissent. Le premier raid massif de pillards, après quelques attaques éparses en petit nombre recensées durant la fin du mois d'août 2022, a lieu durant le deuxième jour du mois suivant. Cet assaut se caractérise alors par une alliance de bandits armés d'arbalètes et de haches, parfois montés sur des taureaux de guerre, avec des sorcières aux bombes empoisonnées destructrices et des mages invocateurs. Ces hordes remettent ça le 13 septembre et encore une dernière fois à la mi-septembre 2022, et sont repoussées à chaque fois par le connétable Gad de Molay, l'officier Heartless, l'armatrice Wooyoungi, la comtesse Nekomaru et le fusilier Kilian. Ces derniers, forts d'une expérience militaire solide, s'étaient déjà confrontés à des menaces plus grandes dans les profondeurs obscures de La Faillette.
Après ces tentatives d'invasions citées, ordre fut donné par le connétable de Molay de construire des longs murs et d'installer des défenses (fosses à piques, barbelés végétaux, trous à magma, …) au Sud de la Nouvelle-Syttie afin de rendre vivable cette partie de la commune. La roche utilisée pour les bâtir vinrent alors de la production de La Percée.
Cette saisie des biens de la compagnie Poquelineau fut autorisée par le fait que le chef d'entreprise, déjà remonté par la gestion démographique du village qu'il considère comme décadente, fut emprisonné après l'organisation d'un attentat. En effet, une attaque à la bombe se produisit au niveau de la ferme Demahturin, dans la rue du Col de Roncevaux, le 6 septembre 2022. Les principales victimes furent des vaches et des moutons, alors que le Glandois qui habitait dans la maison ciblée ne s'en sortit miraculeusement qu'avec des blessures. L'entrepreneur fut appréhendé et jeté en la prison du bourg dans la foulée.
Héraldique[modifier]
Blasonnement :
D'argent au chevron de gueules, surmonté en chef d’une fleur-de-lys d’or, accompagnée d’une gerbe d’or liée de gueules, et d’une hie de sable, et en pointe d’un chêne de sinople fruité d’or terrassé de sinople.
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L’argent représente la loyauté au Royaume. Le chevron de gueules symbolise le courage démontré lors de l’aménagement de Bourg-des-Glands au pied de montagnes protectrices. La fleur-de-lys d’or surmontée représente l’autorité du roi Louis Ier. La gerbe symbolise la fertilité des terres et des habitants du village. La hie de sable, liée au percement et à l’aplanissement d’un flanc d’une desdites montagnes, symbolise l’alliance de l’effort et de la science habile. Le chêne de sinople fruité d’or représente la force tranquille au service de Dieu, les glands faisant référence de surcroît au nom du village.
Politique et administration[modifier]
Administration municipale[modifier]
L'assemblée municipale compte neuf membres. Le connétable-maire Gad de Molay en est le président. En plus de certains partis regroupant des corporations de métiers, dont le Parti Paysan et le Parti Artisan, qui y ont le même nombre de siège, on compte dans le paysage politique quelques courants, notamment en faveur, ou non, d'une croissance accompagnée de la démographie. Pour cette question, l'entrepreneur Poquelineau de Bonald se place comme seul opposant politique du Bourg.
Administration provinciale[modifier]
Le Bourg abrite aussi l'institution de l'assemblée provinciale, réunissant les maires du Bourg et de Beau-Rivage, ainsi que les consuls élus de chaque hameau sous leur giron respectif.
Finances locales[modifier]
La commune de Bourg-des-Glands n'est pas totalement ancrée dans le système monétaire du royaume. Bien que le diamant soit en vigueur, il reste très peu utilisé. La monnaie en circulation est alors l'émeraude, plus accessible pour tous les Glandois.
En décembre 2024, le budget communal principal s'équilibre à environ 20 émeraudes, prélevées sur les marchands itinérants extérieurs au Bourg, les rendements des champs et les diverses taxes des notables. Ces dernières sont réglementées par le mur des lois de la rue du Rif. Notamment, le montant qui est retiré pour chaque crime s'adapte par rapport à la richesse de celui ou celle concerné(e) et le taux reste donc fluctuant.
Équipements et services publics[modifier]
Eau et déchets[modifier]
L'approvisionnement en eau potable est assurée majoritairement par la mare publique du Pré-Catelan. S'y servir est gratuit dans la mesure du respect des quantités. Les mares qui relèvent des terrains de la baronne Wooyoungi de Quarrel-Drengot et de la vétérane Oxyless sont totalement privées, les Glandois ne peuvent s'y servir qu'avec l'accord des propriétaires.
Pour le vidage des ordures, il existe une déchetterie dans la rue Ludoweg. Celle-ci est nommée selon une sainte du Royaume des Quiz, Loïs d'Habboz, fêtée annuellement le 8 septembre. La déchetterie principale de Bourg-des-Glands arborerait ce nom suite à la légende de la sainte : connue à la base pour ses jérémiades incessantes et ordurières, le Royaume les lui fit un jour avaler en lui clouant le bec. Depuis, la légende s'est imagée pour représenter la déchetterie, qui avale également les déchets. Chacun doit d'ailleurs y porter les choses qu'il a à jeter puisque aucun service à domicile n'est organisé. Il n'existe pas de recyclage des déchets, ces derniers étant tous brûlés.
Service de courrier[modifier]
Il n'existe, à l'heure actuelle, aucun bureau central du courrier au Bourg-des-Glands. L'essentiel de la correspondance se fait à l'initiative des particuliers par la déposition de planches gravées devant les maisons. La plupart ont d'ailleurs un but officiel ou professionnel.
Santé[modifier]
Bourg-des-Glands compte une apothicairerie tenue par l'officier Heartless. Les Glandois y vont s'y faire soigner, et ce, gratuitement, ce qui est un des grands avantages du village, ayant encouragé son développement démographique. Le contrôle des traitements sous forme de potions qui sont donnés aux blessés et aux malades est établi par l'autorité royale. La provenance et la fiabilité des produits sont le principal sujet de ces inspections.
Justice et sécurité[modifier]
Du ressort de la Justice royale, Bourg-des-Glands possède une place publique rue d'Ondorre, nommée l'Agora. Il s'y tient aussi bien les séances du tribunal qui juge ainsi des affaires civiles et communales. La peine de mort étant légale au Royaume, celle-ci s'applique au Bourg-des-Glands par l'usage d'une potence située au quartier de La Vallée de Misère, où les condamnés finissent dans une fosse, enseveli de gravier.
Pour assurer la sécurité au quotidien, des patrouilles de policiers sont organisées jour et nuit dans toute la ville. Certaines zones sont d'ailleurs plus ceinturées que d'autres, en raison de l'activité commerciale ou bien des catégories sociales rassemblées.
Population et société[modifier]
Démographie[modifier]
Évolution démographique[modifier]
La hausse de la démographie de Bourg-des-Glands à partir d'août 2022 correspond à un certain afflux de population en relation avec le développement des activités économiques. Ainsi, entre le août 2022 et le 28 juin 2024, la population a connu une augmentation de 5 600%.
Recensement royal des Quiz | ||
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décembre 2024 | 169 | + 50.9 % |
juin 2024 | 112 | + 415 % |
décembre 2022 | 27 | + 1250 % |
août 2022 | 2 | + 0 % |
Répartition des habitants :
- Bourg-des-Glands : 118
- Bourg : 30
- La Faillette : 10
- La Percée : 2
- La Vallée de Misère : 18
- Le Pré-Catelan : 0
- Le Trou du Qiou : 19
- Nouvelle-Syttie : 21
- Saules-en-Garroz : 18
- La Ferme des Bouseux : 9
- Helheim : 7
- Poquelinopolis : 17
- Serengeti : 18
Cultes[modifier]
La paroisse catholique de Bourg-des-Glands est officialisée le 20 décembre 2022, avec la finalisation de la chapelle des Ouvriers située rue du col de Roncevaux. D'elle dépend le cimetière Saint-Symphorien situé non loin, rue des Myosotis. À l'intérieur de l'édifice religieux se trouve un autel dédié à la mémoire des ouvriers morts sur le chantier de La Percée ainsi qu'un autre dédié à la mémoire de saint Symphorien, mort en martyr.
Il n'existe pas de lieu de culte actif d'autres religions dans la commune à l'exception du sissytion du Gatouf Amitié, qui est devenu un temple-monument du fait que sa communauté de fidèles a quasiment totalement disparu du village. Cela dit, chaque hameau possède sa propre paroisse (paroisse Saint-Bernard de Menthon à la Ferme des Bouseux, paroisse Saint-Moïse l'Ethiopien au Serengeti, paroisse Saint-Anschaire de Brême à Helheim, paroisse Saint-Ildéfonse de Tolède à Poquelinopolis)
Économie[modifier]
Revenus de la population et fiscalité[modifier]
En novembre 2024, la commune comptait deux foyers fiscaux. Il est à noter que ceux-ci relèvent des notables installés au Bourg sans compter le connétable et le roi. La population citoyenne n'est, quant à elle, pas du tout imposée. En contrepartie, elle ne connaît aucune vacance et doit toujours être en mesure d'entretenir un commerce riche et varié de toutes les choses que produit Bourg-des-Glands.
Emploi[modifier]
En décembre 2022, la population de Bourg-des-Glands compte 97.78 % d'actifs ayant un emploi. Cette situation de plein emploi est cependant en tension, les secteurs d'activité peinant à trouver d'autres débouchés économiquement variés.
Secteurs économiques[modifier]
Bourg-des-Glands se repose sur le secteur primaire, via l'agriculture, et le secteur secondaire, avec l'industrie minière. Le premier est surtout développé au Bourg et au quartier du Pré-Catelan, avec l'exploitation des champs communs de blé, de betteraves, de pommes de terre et de carottes. Il existe aussi des exploitations mineures, apicoles, de bambouseraie, d'élevage bovin, porcin et ovin, de cacaoyers, de pastèques et de citrouilles. La pêche, bien que moins importante, continue d'être pratiquée.
Le deuxième secteur, au cœur de l'activité de La Faillette et du Trou du Qiou, se focalise sur l'extraction de minerais et la transformation de ces derniers. Cette branche est monopolisée par l'entrepreneur Poquelineau de Bonald dans le cadre du chantier de grande envergure qu'est La Percée.
Enfin, le secteur tertiaire, représenté par le commerce, est présent partout puisque chaque Glandois se fait marchand des produits ramassés, exploités, fabriqués.
Culture locale et patrimoine[modifier]
Lieux et monuments[modifier]
Monuments historiques[modifier]
- Calvaire à la Guerre (Pré-Catelan)
- Chapelle des Ouvriers (Le Trou du Qiou)
- Maison du 1 rue Balzac (Bourg-centre)
- Résidence HLM La Hutte (Bourg-centre)
- Siège de la Compagnie Poquelineau (Nouvelle-Syttie)
- Syssition du Gatouf Amitié (Bourg-centre)
Autre patrimoine[modifier]
- Musée de La Percée (La Percée)
- Arbres géants (Bourg-centre)
- Calvaire de la forêt domaniale (Bourg-centre)
- Fontaine (Le Pré-Catelan)
- La faille (La Faillette)
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