Bernard Forrer
Erreur Lua dans Module:Wikidata à la ligne 118 : attempt to index field 'wikibase' (a nil value). Bernard Jean-Marie Forrer, né le à Nancy et mort le à Montpellier est un général de brigade français.
Historique[modifier]
Forrer est un anglophile passionné et envisage de devenir professeur après ses études à Commercy, puis Bar-le-Duc. Il fait son service militaire en 1950 au 47e bataillon de Transmissions en Allemagne, puis rejoint les EOR à l'EA Transmissions de Montargis. Comme aspirant de réserve, il est affecté au 118e BT de Nancy de 1951 à .
Après son service militaire, il rejoint en la Tunisie comme sous-lieutenant des transmissions au 23e régiment d'infanterie. Il est admis à l'ESMIA, division corps de troupe, promotion Maréchal Franchet d’Esperey en septembre 55, d'abord à Strasbourg, puis à Coëtquidan. À sa sortie en 1956, il choisit l'arme du train. Après son stage d'application à Tours, il est affecté au 584e bataillon du train jusqu'à sa nomination de lieutenant en 1958, quand il rejoint le CIT 159 de Carpiagne jusqu'en 1961. Il effectue sa scolarité à l'École d'état-major à Paris jusqu'en , puis il est affecté à l'État-major de la 9e division d'infanterie, à la Zone Nord Algérois. Promu capitaine, il commande ensuite la CCR 270 jusque , lorsqu'il rejoint la France.
Dès 1964, il prend le commandement de la 11e compagnie du 51e bataillon des services à Trèves et poursuit son séjour à l'état-major de Trèves de 1965 à 1969. Il obtient sur place un 3e degré d'anglais qui lui permettra d'être admis en 1970 à l'école de guerre à Wellington en Inde et d'y suivre le defense service staff college. De retour en France, il sera affecté successivement comme chef de cabinet du général à l'État-major de la 4e division d'infanterie à Verdun (1971-73), puis au 88e régiment de soutien de Sissonne (1973-75), enfin l'État-major de la 7e région militaire, puis 71e division militaire territoriale à Marseille (1975-77) comme chef du BI et des Relations Publiques.
Sa connaissance de l'anglais lui vaut de devenir adjoint au chef d'état-major allié de Berlin de 1979 à 1981, après quoi il revient en France avec le grade de colonel et devient adjoint au Commandement du train du 1er corps d'armée (France) (DRT6) à Metz de 1981 à 1983, ensuite Commandant du Train (DRT 5) de la 5e région militaire à Lyon de 1983 à 1987. Il est nommé dans la 2e section en .
Retiré à Montpellier, il obtient une maîtrise d'anglais. Il dispense des cours à l'École militaire supérieure d'administration et de management (EMSAM) et participe activement à la vie associative locale et créera l'ALAD (Amicale lattoise des anciens de la Défense) en 1994.
Marié et père de deux enfants, dont sa fille Sylvie qui embrasse la carrière militaire, il est décédé le à Montpellier[1].
Décorations[modifier]
- Légion d'honneur : chevalier (14/7/1981), officier (31/12/2005).
Références[modifier]
Sources[modifier]
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