Steves Hounkponou
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Steves Hounkponou est au Bénin, à Cotonou. Il est Chef d'entreprise et a créé la marque BlackHats Paris[1].
Biographie[modifier]
Auteur d'un best-seller, instapreneur[Quoi ?] aux divers talents[interprétation personnelle], Steves Hounkponou est surtout expert en image de marque et conférencier international.
Plus jeune directeur commercial de la multinationale dans laquelle il travaillait dans le luxe, Steves Hounkponou n’était pourtant pas destiné à ce métier. Dernier d'une fratrie de neuf enfants, il a grandi dans une famille aisée : son père était dans le domaine du pétrole et sa mère, une « Nana Benz »[2], travaillait dans l'import-export de wax[3].
Enfant, au Bénin, une passion le dévore[non neutre], celle du ballon rond. Le football fait alors partie de son emploi du temps quotidien avec l'envie d'imiter des footballeurs connus. Il est repéré et rapatrié en France pour intégrer le centre de formation de AJ Auxerre[réf. secondaire souhaitée]. En mai 1998, lors d'un match de détection, il est gravement blessé sur un tacle. Hospitalisé, les medecins détectent alors une maladie, la spondylarthrite ankylosante, à l'origine du mal qui le ronge de l'intérieur, provenant de l'antigène HLA B27. Il est alors exposé à un risque accru de développer certaines maladies rhumatismales. Après la consultation de plusieurs hôpitaux, les médecins pronostiquent une paralysie des jambes à vie. Il s'en suivra plusieurs opérations, une incapacité de marcher de deux ans, et de longs mois pour réapprendre sa mobilité et déjouer les pronostics[réf. secondaire souhaitée]. Ses rêves de foot professionnel anéantis, il se relève, et rêve de construire[non neutre] une carrière dans le luxe et la mode.
Fasciné par l'univers d'Yves Saint Laurent, il entreprend de longues études. Ainsi, il obtient un Bachelor - Management international à Cambridge en 2007 et un Master 2 - Marketing Management de Luxe à l'ISC PARIS en 2009 et un MBA - Finance à l'ISG PARIS en 2010[réf. secondaire souhaitée].
Le chapeau devient un « accessoire identitaire » en [réf. secondaire souhaitée].
La même année, en 2012, il lance son compte Instagram « theblackwiththeblackhat », qui le positionne progressivement au statut d'influenceur[réf. secondaire souhaitée]. Il réalise divers partenariats notamment pour des marques comme : Petit Bateau[4], Evian, Facebook, Instagram, Google, Mini[réf. secondaire souhaitée], dont il est ambassadeur depuis 2020.
En , son compte est suivi par 138 000 personnes[5].
En , il crée BlackHats Paris, nommée ensuite BHP, sa marque de vêtements et d'accessoires qui prône la confiance en soi, avec plus de 40 points de distribution de la marque notamment au Japon. . Il associe le cuir à la wax[6]. Les tissus sont achetés au Bénin tandis que la production est réalisée à Paris[4].
En parallèle, Steves Hounkoponou, conseille avec son équipe plusieurs marques, personnalités publiques et chefs d'entreprise[réf. secondaire souhaitée] grâce à son agence d'image publique "STEVES HOUNKPOUNOU".
Sa communauté ne cesse de croître[non neutre] et compte en 2023, plus de 200k abonnés sur Instagram, Facebook et Youtube.
Elu meilleur influenceur africain en 2019, l'agence Steves.Hounkpounou aide les marques (personnes, entrepreneurs et marques) à avoir un positionnement fort, basé sur un storytelling, des valeurs et un symbole forts afin d'avoir la place de leader sur les réseaux sociaux et une image adaptée grâce à sa méthode[non neutre] : LA METHODE STEVES ;
"partir des points faibles de la marque pour l'accentuer en points positifs, déclencheurs de l'identité et de l'ADN de la marque"
En 2021, il devient auteur à succès[réf. nécessaire], avec l'édition du livre "J'avais toutes les excuses" aux éditions Dunod, un livre best-seller. Et, il participe au Ted X Paris sur le thème du regard[pertinence contestée].
Divers[modifier]
En , Il participe à Little Africa[pertinence contestée], un « guide du Paris africain »[7] rédigé par Jacqueline Ngo Mpii[8].
Publications[modifier]
- J’avais toutes les excuses, Paris, Dunod, 2021, 224 p. (ISBN 2100817892)
Notes et références[modifier]
- ↑ « Blackhats Paris », (consulté le 8 mars 2023)
- ↑ Muriel Signouret, « Le crépuscule des Nanas Benz », sur Jeune Afrique, (consulté le 24 avril 2020)
- ↑ « Mode - Moi, Steves Hounkponou, influenceur, noir, immigré, handicapé », sur France 24, (consulté le 7 août 2020)
- ↑ 4,0 et 4,1 Katia Dansoko Touré, « Accessoire identitaire et culturel, le chapeau revient en tête de la mode masculine », sur Jeune Afrique, (consulté le 7 août 2020)
- ↑ Mustapha Kessous, « Steves Hounkponou, le style envers et contre tout », Le Monde, (lire en ligne, consulté le 28 avril 2021)
- ↑ « Découvrez la première collection d’accessoires de Blackhats Paris », sur Gala, (consulté le 7 août 2020)
- ↑ Léo Pajon, « Le Paris africain de Jacqueline Ngo Mpii », sur Jeune Afrique, (consulté le 7 août 2020)
- ↑ « Le City Guide de l'Afrique à Paris est de retour pour une seconde édition », sur Little Africa, (consulté le 27 avril 2020)
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