Gérard de Wallens
Erreur Lua dans Module:Wikidata à la ligne 118 : attempt to index field 'wikibase' (a nil value). Gérard de Wallens, né le 29 avril 1961 à Uccle (B) est un historien de l’art franco-belge, chercheur et professeur d’histoire de l’art et d’histoarchéométrie. Il est l’un des spécialistes du peintre Camille Corot (1796-1875), le seul pour le peintre Jacques-François Delyen (1684-1761). Il est également un spécialiste de la peinture belge du XVIIIe siècle.
Membre associé de l’Académie des sciences morales, des lettres et des arts de Versailles et de l’Ile-de-France (2016). Membre de l'Institut historique belge de Rome[1] (2001-2004).
Travaux et recherches[modifier]
Collaborateur scientifique (= chercheur associé) à l’université catholique de Louvain (Faculté de philosophie, arts et lettres, Institut Incal) depuis 2016. L'essentiel de ses travaux portent sur Camille Corot (1796-1875), Jacques-François Delyen (1684-1761), la peinture belge du XVIIIe siècle et l'histoarchéométrie. Il s'intéresse également à la muséologie et à la vulgarisation scientifique.
Corot[modifier]
Corot est l’objet de ses recherches depuis 1991. GW a publié de nombreux ouvrages ou articles sur le sujet, seul ou en collaboration[2],[3]. Il a notamment été assistant-commissaire de l’exposition rétrospective consacrée au peintre en 1996 à l’occasion du bicentenaire de sa naissance[4]. Elle a été présentée au Grand Palais (Paris)[4], au Metropolitan Museum (New York) et au Musée des Beaux-Arts du Canada (Ottawa) en 1996 et 1997[5]. Elle a réuni 850 000 visiteurs sur les trois sites[6]. Il est l’un des spécialistes incontournables du peintre Camille Corot.
Delyen[modifier]
Jacques-François Delyen est son sujet de doctorat. Portraitiste, maître à Gand en 1705, élève de Nicolas de Largillierre, pensionnaire à l’Académie de France à Rome (1719-1723), membre de l’Académie royale de peinture et de sculpture de Paris de 1725 à sa mort, à Paris, en 1761.
Ce travail de recherche a été l’occasion de révéler l’œuvre d’un artiste peu connu au-delà du cercle des amateurs avertis, ainsi qu’une importante communauté de peintres actifs en Belgique au XVIIIe siècle. Parmi ces 732 artistes, 129 ont séjourné ou se sont établis à Paris durant le XVIIIe siècle. Il s’agit de deux découvertes majeures pour la peinture belge du XVIIIe siècle, dont la faiblesse et la disparition sont unanimement décrites par les auteurs depuis le début du XIXe siècle.
Sa thèse de doctorat[7] a été publiée en 2010, par l’Institut historique belge de Rome, chez Brepols : Les peintres belges, actifs à Paris au XVIIIe siècle, à l’exemple de Jacques François Delyen, peintre ordinaire du Roi (Gand, 1684 - Paris, 1761), préface de Pierre Rosenberg (de l’Académie Française, Président-directeur honoraire du Musée du Louvre), Bruxelles, 2010, 578 p.
Cette thèse a également renouvelé la connaissance dans les domaines suivants :
- Répertoire des peintres actifs à Paris au XVIIIe siècle, nés ou formés en Belgique[8].
- Domicile romain et atelier de Carlo Maratti. La situation et la composition de son habitation/atelier ont pu être reconstituées avec précision entre 1642 et 1713 (année de son décès) et sa dévolution jusqu’en 1728[9].
- Etablissement d’un modèle de structure de la base de données pour l’informatisation complète des Status animarum romains[10].
- Etat des Status animarum romains pour 1719 et 1720[11].
- Mise au point d’un protocole d’examen scientifique d’un tableau, adaptable aux dessins et gravures[12].
- Découverte à Saint-Louis-des-Français d’un petit fonds d’archives inconnu relatif à Saint-Julien-des-Flamands[13].
- Constitution d’une base de données des dictionnaires et biographies d’artistes centrée sur les peintres du XVIIIe siècle (242 titres)[14].
Peinture belge du XVIIIe siècle[modifier]
Ce courant de peinture, est l'objet des recherches de GW depuis son travail de fin d’études présenté à l’Université catholique de Louvain (La peinture flamande du XVIIIe siècle conservée au Musée National de Versailles, sous la direction du Pr Roger Van Schoute).
Il a publié 73 notices de peintres nés, formés ou actifs à l’intérieur des frontières actuelles de la Belgique, dans l’Allgemeines Künstlerlexikon[15].
Histoarchéométrie[modifier]
Enfin, l’histoarchéométrie est le fil conducteur de ses recherches. Elle consiste en l’étude de l’œuvre d’art par l’application et l’interprétation des données des sciences naturelles aux études en histoire de l’art, combinées aux méthodes traditionnelles de l'enquête historique et des sciences dites auxiliaires habituellement associées.
C’est dans le « Laboratoire d’étude des œuvres d’art par les méthodes scientifiques » du Pr Roger Van Schoute (1930-2017), à l’Université catholique de Louvain, que GW a découvert cette approche scientifique de l’histoire de l’art. Elle est comparable à l'archéométrie, très courante depuis les années cinquante du XXe siècle en archéologie et en préhistoire.
Il s’est spécialisé dans la pratique des trois méthodes de base de l’imagerie histoarchéométrique : la radiographie, la réflectographie dans l’infrarouge et la fluorescence d’ultraviolets[16].
Enseignement[modifier]
- Depuis septembre 2007 : professeur à l’Institut Supérieur d’Histoire de l’Art et d’Archéologie de Bruxelles[17] : titulaire des enseignements de l’Histoire de l’Art du XVIIIe siècle et de l'histoarchéométrie.
- Depuis 2002 : professeur d’histoarchéométrie à ATPFormation (formation de restaurateurs de peintures, école de niveau II, à Paris)[18].
- Mai 2014 : Ecole Nationale de la Magistrature (dans le cadre de la formation continue des magistrats) : Histoarchéométrie. Une discipline indispensable pour démêler le vrai du faux.
- Septembre 2006 - septembre 2008 : assistant professeur associé à l’Université du Luxembourg.
- Septembre 2006 - septembre 2008 : chargé de cours invité à l’Université catholique de Louvain.
Commissariat d’expositions[modifier]
- 2015 - 2016 : membre du comité scientifique de l’exposition Corot et le Limousin au Musée des Beaux-Arts de Limoges[19],[20](projet reporté sine die pour cause de budget supprimé)[21].
- 2012-2014 : Commissaire associé et membre du commissariat scientifique de l’exposition : Corot dans la lumière du Nord, Musée de la Chartreuse de Douai, Musée des Beaux-Arts de Carcassonne[22].
- Septembre 2001 - Septembre 2002 : Co-commissaire de l’exposition L’Ecole de Barbizon. Peindre en plein-air avant l’Impressionnisme au Musée des Beaux-Arts de Lyon.
- 1er novembre 1994 - 15 juin 1996 : Assistant-commissaire de l'exposition Corot (Paris, Ottawa, New York), au Département des peintures du Musée du Louvre, Paris.
- 1er janvier 1995 - 2 mars 1996 : Co-directeur scientifique du Colloque International Jean-Baptiste Camille Corot. Musée du Louvre, Paris.
Ouvrages[modifier]
- Les peintres belges, actifs à Paris au XVIIIe siècle, à l’exemple de Jacques François Delyen, peintre ordinaire du Roi (Gand, 1684 - Paris, 1761). Institut Historique Belge de Rome, préface de Pierre Rosenberg (de l’Académie Française, Président-directeur honoraire du Musée du Louvre), Bruxelles, 2010, 578 p.
- Les rites de la royauté attachés à la personne du Roi chez les Bushoong, Les 40 cerisiers, 2002, 65 p.
- Camille Corot, Paris, Co-édition Le Chêne - Somogy, 1996 (présentation de V. Pomarède), 144 p. (épuisé, 10 000 exemplaires vendus).
- Camille Corot, Paris, Editions France et Belgique Loisirs, 1996 (présentation de V. Pomarède), 120 p. (épuisé, 5 000 exemplaires vendus).
- Corot. La mémoire du paysage, coll. « Découvertes Gallimard/Arts » (no 277), Paris, Gallimard, 1996 (avec Vincent Pomarède), 176 p., réédité en 2007 (23 000 exemplaires vendus[23]).
- Corot. The poetry of landscapes, Londres et New York, 1996 (avec V. Pomarède), 159 p.
Publications scientifiques et divers[modifier]
Il est l'auteur de nombreux articles scientifiques, d'articles de dictionnaires, de supports de cours, etc. dont la liste complète est consultable sur Academia.edu, où elles peuvent être lues et téléchargées[24]. La liste commentée des publications relatives à Corot est consultable sur son blog[25], sur lequel il intervient essentiellement sur des sujets d'histoire de l'Art et de muséologie.
Documentaires[modifier]
- L’histoire de la peinture de paysage en images et paroles[26], réalisé par Sophie Cambier, (Cinequanon Productions), produit par la Ville de Meudon, avec Madeleine Mentasti, mai 2012, 9 minutes. Documentaire réalisé à l’occasion de la réouverture, après rénovation, du Musée d’Art et d’Histoire de Meudon au sein duquel a été créé un Département du paysage français.
- Corot, un lieu, un destin[27], réalisé par Laure Delalex en 2012, produit par le Conseil général des Hauts-de-Seine, documentaire de 52 minutes sur la vie et l’œuvre de Corot, dont Gérard de Wallens est le conseiller scientifique et l’intervenant « fil rouge ». Les œuvres sont approchées en retraçant la vie de Corot à la façon du journalisme d’enquête.
- Portrait : Gérard de Wallens, fonctionnaire du Ministère des Affaires étrangères chargé de conserver le patrimoine de l'État français, réalisé par Alexandre von Sobeck-Skal (ZDF, 1ère chaîne allemande), Arte, Zoom Europa, 12 septembre 2008, 3 min.
- Les journées du patrimoine au Ministère des Affaires Etrangères en 2008[28]. Interview de GW, chef du Bureau du Patrimoine au Ministère des Affaires Etrangères et Européennes, lors des Journées du Patrimoine de septembre 2008 (France-diplo.tv, WebTV du Ministère des Affaires étrangères). Présentation de la restauration, la conservation des œuvres d'art et du patrimoine au service de la diplomatie française.
- Les gardiens des trésors de la République. Des Racines et des Ailes, France 3, réalisé par Philippe Poiret, assisté par Marie Maurice, 24 octobre 2007, 105 min. GW est suivi par une équipe de l’émission à Rome et à Paris.
- Intervention dans Les années Belges : l’Academia Belgica à Rome, 27 mars 2003, RTBF TV (Radio Télévision Belge Francophone).
- Intervention dans Les années Belges : l’Institut Historique Belge à Rome, 22 novembre 2002, RTBF TV.
- Gérard de Wallens est l’auteur du texte d’un documentaire de 52 minutes : L’impossible Monsieur Degas. Film produit et réalisé par Igor Barrère et Sylvie Ros en 1997. La vie et l’œuvre de Degas sont racontés uniquement à partir de propos réellement tenus par Degas. Ce film est régulièrement rediffusé sur différentes chaînes de télévision tous les ans depuis 1997.
Théâtre[modifier]
- Messieurs les ronds de cuirs, adaptation pour le théâtre du livre de Georges Courteline, à paraître en 2018.
- Appelez-moi Degas, texte original rédigé à partir de propos tenus par Degas lui-même, à paraître en 2018 (texte complet rédigé pour le documentaire L'impossible Monsieur Degas, augmenté des coupes).
Autres activités[modifier]
Gérard de Wallens a également géré administrativement et scientifiquement, lorsqu’il était chef du bureau du patrimoine au Ministère des Affaires Etrangères (2006-2011), la collection d’œuvres d’art de ce ministère réparties entre la France et les différentes implantations diplomatiques françaises. Cette collection comptait 22 000 œuvres de toute nature, soit l’équivalent d’un Musée des Beaux-Arts à rayonnement régional.
Dès la fin des années 90, il s’intéresse à l’édition numérique et crée en 2000 Les 40 Cerisiers, une micro maison d’édition scientifique basée sur le numérique et l’impression à la demande. L’objectif était de publier des textes universitaires d’Histoire de l’Art que l’édition traditionnelle ne permettait pas d’éditer compte tenu du coût. La réduction de 30 % du prix de revient et la disparition du stock par l’impression en nombre utile et à la demande ouvraient de belles perspectives.
GW a été un des pionniers de la mise à disposition des particuliers des méthodes d’imagerie scientifique pour étudier une œuvre d’art en créant en 1996 le Laboratoire de recherches et d’analyses scientifiques de tableaux (radiographie, réflectographie dans l’infrarouge, fluorescence d’ultraviolets, microscopie, lumière directe et rasante).
Il est parmi les premiers, sinon le premier, à remplacer systématiquement à partir de 1993, l’expression française « thésard », par « doctorand »[29] qui ne se rencontrait jamais à cette époque. « En thèse » était aussi utilisé en France, alors qu’en Belgique des périphrases permettaient de définir l’étudiant poursuivant des études de doctorat. Il utilise encore la terminaison « d » par référence au latin, mais l’usage a imposé le « t », ce qui permet de féminiser aisément. Son objectif essentiel est atteint : un adjectif précis remplace une expression argotique, souvent à consonance péjorative, assez laide qui plus est. D’autres doctorants[30] se sont ensuite chargés de lui donner un statut et un cadre qui n’existaient pas du tout au début des années 90[31].
Autres sociétés[modifier]
Depuis 2013 : membre de la Société d’Histoire de l’Art Français (parrainé par Pierre Rosenberg, de l’Académie Française, Président-directeur honoraire du Musée du Louvre et Emmanuel Starcky, Conservateur Général du Patrimoine, directeur du Musée des Plans Reliefs aux Invalides à Paris).
Depuis 2010 : Membre de la Société Scientifique, historique et archéologique de la Corrèze.
Depuis 2006 : Administrateur de l’Association des amis du paysage français[32].
2001-2004 : membre de l’Institut historique belge de Rome[1].
2000 : bourse de la Fondation nationale princesse Marie-José (Bruxelles)[33].
Depuis 1997 : Membre de la Société des gens de lettres et de la Société civile des auteurs multimédia, Paris.
Inscrit sur la liste d’aptitude aux fonctions de maître de conférences (France).
Notes et références[modifier]
- ↑ 1,0 et 1,1 « Institut historique belge de Rome », sur www.bhir-ihbr.be (consulté le 10 avril 2018)
- ↑ Roland Recht, « Corot fait grosses impressions. À l'occasion de l'expo parisienne, les ouvrages se multiplient. », Libération, 10 avril 1996. (lire en ligne)
- ↑ « Camille Corot », Liste détaillée des publications de GW relatives à Corot, sur www.corot.org, 1992-2018 (consulté le 10 avril 2018)
- ↑ 4,0 et 4,1 Philippe Dagen, « Beaucoup de livres, peu d'auteurs », Le Monde,
- ↑ « Camille Corot », sur culture.gouv.fr, (consulté le 10 avril 2018)
- ↑ G. de Wallens, « Redécouvrir Camille Corot. Bilan de l’exposition du bicentenaire de la naissance de l’artiste », La Revue des Archéologues et Historiens d'Art de Louvain, , p. 133-135 (lire en ligne)
- ↑ Soutenue à l'Université catholique de Louvain, sous la direction des professeurs Roger Van Schoute et Hélène Verougstraete.
- ↑ G. de Wallens, Les peintres belges..., Turnhout, Brepols, , 562 p. (ISBN 978-90-74461-72-6), p. 277-335
- ↑ G. de Wallens, « Status Animarum et domicile romain du Cavalierre Carlo Maratti. Un exemple de l’apport de ce type de document », Bulletin de l’Institut Historique Belge de Rome, , p. 405-441
- ↑ G. de Wallens, Les peintres belges..., Turnhout, Brepols, , 562 p. (ISBN 978-90-74461-72-6), p. 377-380
- ↑ G. de Wallens, Les peintres belges..., Turnhout, Brepols, , 562 p. (ISBN 978-90-74461-72-6), p. 381-386
- ↑ G. de Wallens, Les peintres belges..., Turnhout, Brepols, , 562 p. (ISBN 978-90-74461-72-6), p. 386-389
- ↑ G. de Wallens, « Inventaire sommaire des documents relatifs à Saint-Julien-des-Flamands et à la Fondation Darchis conservés aux Archives de Saint-Louis-des-Français à Rome », Bulletin de l’Institut Historique Belge de Rome, vol. LXXV, , p. 155-159. (lire en ligne)
- ↑ G. de Wallens (Base de données à usage interne, dont les enregistrements sont consultables dans cette bibliographie), Les peintres belges..., Turnhout, Brepols, , 562 p. (ISBN 978-90-74461-72-6), p. 456-468
- ↑ Voir la liste complète sur Academia.edu
- ↑ (en) Réné de La Rie (La notice Wikipedia n'existe pas encore. Voir :), « Ultraviolet radiation fluorescence of paint and varnish layers », Art History and Laboratory. Scientific Examination of Easel Paintings (PACT 13), , p. 91-108.
- ↑ « Corps professoral », sur art-histoire.be (consulté le 11 avril 2018)
- ↑ « Professeurs », sur www.atpformation.com (consulté le 11 avril 2018)
- ↑ « L'oeuvre de Corot en Limousin », sur Franceinfo, (consulté le 4 avril 2018)
- ↑ « Recherche d'oeuvres de Camille Corot », sur Ville de Limoges, (consulté le 4 avril 2018)
- ↑ « Editorial », La Lettre des amis du Musée des Beaux-Arts de Limoges, n° 64, , p. 1
- ↑ « Corot dans la lumière du Nord », sur La Tribune de l'Art.com, (consulté le 4 avril 2018)
- ↑ Chiffre de l'éditeur en juin 2017.
- ↑ « Gérard de Wallens », sur Academia.edu, (consulté le 4 avril 2018)
- ↑ « Corot », sur Blog G. de Wallens (consulté le 4 avril 2018)
- ↑ « La peinture de paysage », sur vimeo.com, (consulté le 10 avril 2018)
- ↑ « Corot un lieu un destin », sur ina.fr, (consulté le 10 avril 2018)
- ↑ « Les journées du patrimoine 2008 », sur dewallens.org, (consulté le 10 avril 2018)
- ↑ Voir toutes ses publications entre 1994 et 2005.
- ↑ Notamment La Guilde des doctorants fondée en 1995.
- ↑ « Décès : In memoriam Pr William McAllister Johnson (1939-2016) », sur dewallens.org, (consulté le 10 avril 2018)
- ↑ « Association des amis du paysages français », sur paysagefrancais.fr (consulté le 10 avril 2018)
- ↑ « Fondation nationale princesse Marie-Josée », sur academiabelgica.it (consulté le 10 avril 2018)
Liens externes[modifier]
- Page de Blog consacrée à Camille Corot (1796-1875) • Page de Blog consacrée à Jacques-François Delyen (1684-1761). GW n’est pas à l'origine des notices wikipedia consacrées à Corot et Delyen.
- Notice biographique sur le site de l'Académie des Sciences Morales des Lettres et des Arts de Versailles et d'Île-de-France.
- Blog, éditeur, médias sociaux et université : Academia.edu • Blog personnel • Editions Gallimard • Linkedin • Université Catholique de Louvain.
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