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Conférence monarchiste internationale

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Conférence monarchiste internationale (CMI)
International Monarchist Conference (IMC)
Internationale Monarchistische Konferenz (IMK)
Conférence monarchiste internationale.png
Situation
Création 2008
Type Organisation non gouvernementale
Secrétariat Paris, France
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Langue Français, anglais, allemand, espagnol
Organisation
Membres 79 organisations
Président NML (2009)
Personnes clés Frédéric Andrieux dit «de Zarma» (2008)
Secrétaire général

Site web Internationale Monarchiste

La Conférence monarchiste internationale (CMI) est une association de droit français fondée le 1er janvier 2008 par Sylvain Roussillon, Frédéric Andrieux de Zarma et Soreasmey Ke Bin. Elle regroupe des personnes morales de droit ou de fait et s'appuie sur une communauté (Support Your Local Monarch (SYLM)) qui rassemble pour sa part les personnes physiques.

La charte[modifier]

Les organisations membres de la Conférence adhèrent à une charte[1] qui donne de la monarchie une définition plus large et humaniste que dans son acception courante. Ainsi, la CMI considère comme monarchiste toute nation, tout gouvernement, toute organisation ou tout individu prônant l'instauration ou la préservation d'un système politique organisé autour d'un pouvoir incarné et souverain, défenseur des libertés naturelles et disposant d'une indépendance accrue vis-à-vis des oligarchies, notamment économiques et politiques et rappelle que la monarchie n’est pas un système politique universel. Mais elle est, pour beaucoup de peuples et de nations, une réalité heureuse ou une aspiration à une société plus juste et soucieuse de protéger les intérêts de ses membres.

Cette souplesse a pour but de permettre à des organisations très différentes sur le plan de la doctrine et des contingences historiques ou géographiques mais concordantes dans leur finalité systémique, de se côtoyer au sein d'une même institution.

La charte définit les personnes morales ayant la capacité de devenir membre. La liste exclut notamment les personnes physiques.

La charte garantit à ses membres une totale souveraineté pour ce qui concerne leurs orientations et leurs stratégies individuelles.

La charte est publiée en allemand, anglais, espagnol, français, italien, portugais, roumain, russe, slovène et serbe.

Les objectifs[modifier]

Compte tenu de l'extrême diversité des organisations monarchistes et des monarchies en place, la Conférence travaille principalement à favoriser la mise en relation de ses membres entre eux, l'échange d'informations et la coordinations d'actions communes (défense de la liberté de pensée, élections européennes, etc.). En outre, elle veut promouvoir les échanges entre des organisations monarchistes souvent confidentielles et le grand public, afin de permettre une meilleure connaissance des idées défendues par celles-ci.

La Conférence publie un magazine[2] en français, traitant de thématiques contemporaines et visant à replacer cette idée dans une perspective internationale.

L’affaire Zamani[modifier]

Manifestation du 3 novembre 2009 à Paris.

Le 8 octobre 2009, le tribunal révolutionnaire de Téhéran a condamné à mort quatre militants monarchistes iraniens, Mohammad-Reza Ali-Zamani (en) (37 ans), Davood Fardbacheh Mir-Ardabili (36 ans), Hamed Rouhinejad (24 ans) et le jeune Arash Rahmanpour (20 ans) à la suite des manifestations de juin 2009 protestant contre la réélection contestée de Mahmoud Ahmadinejad à la présidence de la République islamique d’Iran.

La Conférence monarchiste internationale (CMI) a alors lancé une campagne internationale pour obtenir la grâce des condamnés en utilisant ses relais à l’étranger.

Une pétition, qui a réuni plus de 70 000 signatures en provenance de 96 pays, a été lancée, un « Collectif pour la libération de Mohammad-Reza Ali-Zamani » a été créé avec notamment la participation de l'actrice iranienne Behi Djanati Ataï[3], et un rassemblement de protestation, réunissant plusieurs organisations iraniennes ainsi que des représentants de la presque totalité des mouvements monarchistes français, s'est tenu le 3 novembre 2009 devant l'ambassade d'Iran à Paris [4] .

Depuis, la CMI poursuit sa politique de dénonciation de la répression anti-monarchiste en Iran avec l'aide de la diaspora iranienne[5].

La CMI et la Libye[modifier]

Dès le début du Printemps arabe (soulèvements populaire dans les pays d'Afrique du Nord et d'Arabie), la Conférence monarchiste internationale est intervenue pour soutenir les réformes en publiant plusieurs communiqués. Dans ce vaste mouvement, la CMI a rapidement pris fait et cause en faveur du soulèvement libyen et a dénoncé, via ses réseaux, la présence de mercenaires tchadiens sur le sol libyen (communiqué du 14 mars 2011). Dénonciation reprise par une partie de la presse internationale et de l’opposition tchadienne.[réf. nécessaire]

La Conférence monarchiste internationale aujourd'hui[modifier]

Désormais présente sur le réseau social Facebook (2013), la Conférence monarchiste internationale regroupe 3000 adhérents de tous pays ainsi que divers mouvements politiques monarchistes internationaux.

À la suite de la démission de Sylvain Roussillon, de son poste de président et le retrait de Soreasmey de Khemara de la CMI, c'est désormais Frédéric de Zarma qui assure la présidence par intérim et Frédéric de Natal, le secrétariat général par intérim.

Le Conseil d’administration[modifier]

Administrateurs élus le 1er mars 2009 :

Administrateur de droit (membre fondateur) :

Le bureau[modifier]

La CMI est dirigée par un bureau élu le et composé de :

  • Président - Nepalese Monarchist League (Népal)
  • Vice-président - Alliance royale (France)
  • Secrétaire général (2008-2013) : Sylvain Roussillon.
  • Secrétaire général par intérim (depuis 2013): Frédéric de Natal et Frédéric de Zarma
  • Secrétaire général Adjoint, Trésorier (depuis 2008) : Frédéric de Zarma.

Les membres[modifier]

La liste des organisations adhérentes à la Conférence est publiée sur son site[6]. Elle regroupe à ce jour 79 organisations issues de 37 nations ; certaines n'ayant plus aucune visibilité politique mais conservant leur existence légale tandis que d'autres disposent d'une représentation parlementaire.

Parmi les membres citons notamment le Mouvement du Parti de la Légalité en Albanie, Belgische Unie - Union belge et l'Alliance Belge en Belgique, l'Alliance royale, le Centre royaliste d'Action française et la Nouvelle Action royaliste en France, le Parti populaire monarchiste au Portugal, le Mouvement démocratique serbe du renouveau en Serbie....

Sources :

Liste des adhérents à la Conférence monarchiste internationale[modifier]

Membres associés[modifier]

Membres Bloggeurs associés[modifier]

Anciens membres (2008-2013)[modifier]

Notes et références[modifier]

Voir aussi[modifier]

Articles connexes[modifier]

Liens externes[modifier]

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