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Alain Snyers

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Alain Snyers, né le 23 novembre 1951, est un artiste plasticien franco-belge vivant en France. Son œuvre se décline sur de multiples supports. Ses références se trouvent chez Marcel Duchamp, les courants post-Dadaïstes, Fluxus avec Ben Vautier et l’art sociologique.

Biographie[modifier]

Alain Snyers est né en 1951 au Congo belge d’un père belge, Jean-Marc Snyers (planteur au Kivu, fils du diplomate belge Tony Snyers) et d’une mère française, Françoise Padieu. Scolarisé à Bruxelles à l’École européenne à partir de 1959, il arrive en France en 1962. Élève au lycée Descartes (Tours) il se consacre très tôt au dessin. Il étudie les techniques traditionnelles la peinture en autodidacte.

En juillet 1971, Alain Snyers part en auto-stop vers Katmandou (Népal) et l’Inde, il passe par l’Afghanistan et l’Iran, descend vers l’Afrique du Nord (Libye, Tunisie), puis vers le Sahara oriental (le Fezzan) avant de descendre vers l’Afrique noire. Il rejoint le Nigeria et la côte du golf de Guinée. Alain Snyers a dessiné sur le motif, architectures et objets, accumulant de nombreux carnets de voyage. En 1973, il partira 3 mois en Amérique latine pour traverser l’Amazonie en remontant en bateau le rio Madéra de la Bolivie à Manaus (Brésil) puis rejoindra le Pérou du Machu Picchu, toujours pour dessiner.

En octobre 1972, il entra à l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs de Paris (ENSAD) où il se spécialisa en peinture et art mural. Il fut élève des peintres Georges Rohner, Jacques Despierre, membres de l’Académie des Beaux-arts, et de Boris Taslitzky. En 1974, il est inscrit à l’école des Beaux-arts de Paris dans l’atelier Bertholle. En 1976, il est diplômé de l’ENSAD, (promotion Paul Signac).

En 1975, Ben Vautier lui organise sa première exposition à Nice chez Malaber et Cunégonde (juillet 1975), il participe à la création du groupe Untel avec Jean-Paul Albinet et Philippe Cazal.

En 1977 et 1978, il séjourne en Allemagne à Cologne où il mènera sa première grande manœuvre d’art urbain : Vondelstrasse. Entre 1978 et 1980, avec Hervé Fischer, Alain Snyers conduit 4 manœuvres d’art sociologique qualifiées par la suite de second atelier d’art sociologique. Celles-ci se sont tenues en Allemagne (Krautscheid-Seifen), aux Pays-Bas (Amsterdam), en France (Guebwiller) et au Québec (Chicoutimi, été 1980).

Recruté par l’École régionale des beaux-arts de Nantes comme professeur de dessin et de communication visuelle en 1981, Alain Snyers s’investit dans l’enseignement supérieur artistique que se soit comme enseignant puis directeur d’école d’art, l'ESAD d’Amiens dont il en est le fondateur, ou comme membre d’associations représentatives. Il est co-fondateur de l’Association nationale des écoles supérieures d’art, membre du bureau du CIPAC puis président (2002-2004).

En 2005, coordinateur des Grands ateliers de l’Isle d’Abeau [1] Villefontaine (Isère). Alain Snyers s’installe dans le Nord-Isère, à Crémieu (38). Il contribue chaque année à la mise en œuvre du festival Grains d’Isère.

En 2012, Alain Snyers quitte ses fonctions de producteur délégué, et prend un poste à mi-temps de professeur d’arts plastiques au Centre Culturel Le Safran (Amiens).

Alain Snyers est membre du Collège de 'Pataphysique (Paris).

Parcours professionnel[modifier]

  • 1976 - Création de la Cellule pédagogique de Musée national d’art moderne/ Centre Pompidou où Alain Snyers sera animateur-conférencier jusqu’en 1993.
  • 1976 - Animation avec Pierre Cabanne de l’Atelier de rencontre de l’ENSAD (Paris) jusqu’en à 1978.
  • 1981 - Professeur de dessin à l’École régionale des beaux-arts de Nantes.
  • 1985 - Coordinateur du département communication visuelle et audiovisuelle de l’École nationale des arts de Paris-Cergy
  • 1990 - Concepteur d’une nouvelle école d’art à Amiens (Somme) qu’il dirige en tant que directeur jusqu’en 2003. Il la nomma École supérieure d’art et de design (ESAD) dont la spécificité est le design graphique et le design d’écran.
  • 1999 - Dirige l’école de dessin Maurice Quentin La Tour à Saint-Quentin (Aisne) jusqu’en 2003.
  • 2001 - Mène plusieurs missions d’études en République démocratique du Congo au Katanga et à Kinshasa dans l’Académie des Beaux-arts (ABA). Il contribue à la mise en place de l’École Supérieure d’Informatique de Salama (ÉSIS) à Lubumbashi et assure un suivi pédagogique jusqu’en 2011.
  • 2005 - Coordination des Grands-Ateliers de l’Isle d’Abeau (Isère), plateforme d’expérimentation pour les cultures constructives. Création des Expérimentations étudiantes pour la Fête des lumières de Lyon, laboratoire de la jeune création.
  • 2008-2010 Coordinateur artistique de La fête des lumières de Lyon
  • À partir de 2011, Alain Snyers anime un atelier d’arts plastiques à Amiens. (Centre Culturel Le Safran).

Œuvre[modifier]

L’œuvre artistique d’Alain Snyers se caractérise par une liberté délibérée dans le choix des supports et des attitudes sollicitées. De la peinture à l’art performance en passant par les objets, les dispositifs, les gestes ou les mots, l’œuvre connaît une large diversité d’expressions qui abordent autant une position de regardeur critique et politique sur la société que de chroniqueur burlesque de celle-ci. L’œuvre d’Alain Snyers s’est développée à travers différentes formes de questionnements sur l’urbanité, la vie en ville, les rapports au quotidien. La quotidienneté des images et des signes sociaux est interrogée par des interpellations, du détournement ou même des parodies. Dès les années 1970, l’engagement politique est affirmé par le positionnement du groupe Untel fondé en 1975 ou à travers les manœuvres militantes de l’Atelier d’art sociologique. La position de l’artiste en tant qu’acteur critique du champ social est clairement affichée. À partir des années 2000, Snyers s’oriente vers des mises en œuvre par le travail sur les mots et le détournement de situations et d’objets.

Le groupe UNTEL (1975- 1980)[modifier]

Sous l'appellation UNTEL, terme désignant anonymement un individu, Jean-Paul Albinet, Philippe Cazal et Alain Snyers s'associent pour fonder à Paris un groupe d'artistes dont le travail est mis en commun[2]. La mutualisation des forces créatives et des idées va animer ce collectif interventionniste jusqu'en 1980. Le dénominateur commun d'UNTEL est l'investigation du quotidien, social et politique, à des fins critiques imprégnées des idées contestataires de Mai 68 et de la pensée situationniste.

UNTEL va orienter sa pratique vers:

  • l'extérieur, la ville, la rue (l'espace public dans sa réalité immédiate), où le groupe procède à des actions anonymes et surprises qui rencontrent un public ainsi interpellé sur des questions d'actualités ou de société.
  • L'intérieur, le lieu culturel où les travaux exposés (affiches, photographies, images, objets, paroles, notes...) sont constitués de prélèvements urbains, d'échantillons ou de témoignages directs. Ces différents documents évoquent l'information, la consommation ou divers moments de la quotidienneté.

UNTEL mène ses actions comme des enquêtes, il prélève dans le quotidien et met en évidence la banalité et l'insignifiance de ce qui constitue notre quotidien dans ses contradictions et aliénations. Le groupe revendique comme expression artistique la pluralité des matériaux et es langages urbains considérés comme des vecteurs de communication. Ainsi l'œuvre d'UNTEL se place au centre du champ social, aux bordures de l'art pour porter le questionnement sur les faits et gestes du quotidien en milieu urbain.

La mise en scène événementielle d'actions du groupe, portée par le décalage de l'acte artistique interroge le réel de la vie dans son ordinaire à travers ses expressions spontanées et comportements en rupture. UNTEL a principalement œuvré dans l'espace public en France de façon off avec des interventions sauvages comme Le bonheur pour vous, qu'est-ce que c'est ?, Je vous offre un verre, Touristes, Appréhension du sol urbain, Socles...Ou dans le cadre de manifestations culturelles avec des dispositifs comme 350 mètres d'information, 350 mètres d'images, On joue à la photo... Le public est impliqué dans les actions d'UNTEL qui devient, souvent malgré lui, acteur.

Vie quotidienne est l'œuvre majeure du groupe. Celle-ci prit la forme d'un supermarché de l'actualité et de la vie quotidienne. De janvier à juin 1977, UNTEL a collecté près de 2500 éléments trouvés, collectés à Paris, éléments qui furent mis sous vide dans des blisters de type grande distribution. Cet environnement complet parodiant un commerce a réuni 18 thèmes de la société contemporaine (le logement, les transports en commun parisiens, le travail, la police, les lieux culturels de Paris, le chômage, les medias...). Cartes postales, affiches et bande son complétèrent cet environnement qui fut présenté pour la première fois à la Xe Biennale de Paris (Musée d'art moderne de la ville de Paris, automne 1977).

Si le groupe s'est dissous officiellement en 1980, il continue à se réunir et à diffuser ses œuvres à partir de ses archives. UNTEL prolonge ou réactualise des pièces des années 1970. Ainsi l'action Touristes s'est vue complétée d'une nouvelle édition de chemises blanches dénommées Untel la chemise touriste, édition tirée à 100 exemplaires à paris en 2015 par la galerie mfc-Michèle Didier[3]. Le nouveau multiple Les mots d'UNTEL édité par les Amis de l'Institut d'art contemporain de Villeurbanne (2016) a repris 11 mots ou fragments de phrases des années 1970 pour leurs donner une nouvelle traduction formelle.

Par ces nouvelles déclinaisons, UNTEL ne refait pas de nouvelles œuvres mais réactualise par de nouvelles formes (matériaux, techniques ou présentations) les idées et thèmes mis en avant durant la période officielle d'activité du groupe.

L’Atelier d’art sociologique (1978 - 1980)[modifier]

En 1978, Alain Snyers souhaitant mener un projet plus engagé sur le terrain social s’éloigne du groupe UNTEL et rejoint Hervé Fischer qui venait de quitter le Collectif d’art sociologique qu’il avait fondé en 1974 avec Fred Forest et Jean-Paul Thenot.

Alain Snyers considéra cette collaboration de second atelier d’art sociologique qui prit la forme d’expériences d’art et de communication. Plusieurs années plus tard, Snyers qualifia ces projets de manœuvres. Ces actions de terrain prolongèrent les arguments avancés par le Collectif d’art sociologique et cherchèrent à interroger directement divers aspects de la société par les outils de l’art. L’artiste sociologique se positionnant comme un activateur de questions et à charge du public d’en formuler les réponses.

Alain Snyers a défini la manœuvre d’art sociologique comme un processus principalement collectif qui implique non seulement différents partenaires mais aussi des modes opératoires et formes d’expression diverses articulées entres elles pour atteindre les objectifs souhaités de questionnement et de participation. Les manœuvres portées par Hervé Fischer avec Alain Snyers ont abordé des thèmes ou enjeux de la société situant leurs actions aux limites admises du champ de l’art. Ces actions posèrent la question du territoire de l’art et de sa place dans l’espace public.

Quatre manœuvres signifiantes ont été menées au cours de ces trois années. La première s’est déroulée au cours de l’été 1978 dans la campagne allemande du côté de Bonn. Son propos fut la mise en œuvre de différentes actions artistiques visant à dénoncer les effets néfastes de la pollution du plomb dans une paisible vallée rurale et d’en sensibiliser les habitants.

Deux manœuvres ont traité de la presse et de la parole populaire. La principale s’est déroulée à Amsterdam à l’automne 1978 au cours de laquelle les habitants d’un quartier central (le Jordaan) furent invités à rédiger des articles pour être publiés dans le quotidien Het Parool. 5 pages furent mises à disposition de la manœuvre d’art sociologique de façon totalement autogérée par l’Atelier. L’année suivante, c’est le journal L’Alsace qui confie à l’Atelier d’art sociologique 5 de ses pages quotidiennes pour une nouvelle manœuvre ayant pour titre et pour thème « Comment voyez vous l’avenir ? ».

La dernière des quatre manœuvres conduites avec Hervé Fischer s’est tenue à Chicoutimi au Québec au cours de l’été 1980 dans le cadre d’un Symposium international de sculptures environnementales. Contrairement aux autres artistes et sculpteurs invités, l’Atelier d’art sociologique n’avait pas de projet/ objet à proposer et a mis en œuvre un dispositif de questionnement sur la question de l’art dans la ville. Pendant plusieurs semaines, la manœuvre a demandé à la population de formuler des souhaits. Le jury populaire opta pour des projets de conservation du patrimoine local.

Après l’expérience de Chicoutimi, Alain Snyers mènera d’autres manœuvres dans l’esprit de l’Atelier d’art sociologique, plus légères excepté celle réalisée en 1982 dans le cadre d’Octobre des arts (Lyon). Cette expérience d’art et de communication urbaine avait pour propos de demander aux lyonnais d’écrire une lettre pour leurs descendants de l’an 2132 (soit 150 ans plus tard). Plus de 700 lettres « privées » ont été rédigées et déposées dans les Archives pour une éventuelle lecture en octobre 2012.

Le Cheval-jupon[modifier]

La figure du cheval-jupon est récurrente dans l’œuvre graphique d’Alain Snyers, que se soit en dessin ou en peinture. La représentation de cet élément de carnaval répond à plusieurs objectifs. Le premier étant l’usage d’une forme hybride composée d’éléments disparates (un cheval et un jupon) permet de glisser vers un registre volontairement décalé. Le recours à ce personnage de carnaval est une farce clairement affichée où le jeu est une forme d’expression. Un Cheval-jupon est par essence un collage qui télescope l’ordre établi en tournant en dérision attitudes, comportements ou objets.

La succession de représentation du Cheval-jupon dans le travail de Snyers constitue une vaste parade qui voit se dérouler des gestes absurdes, humoristiques ou graves à travers une grande variété de réalisations picturales. Réalisations avec différents moyens techniques allant du crayon de couleur à la peinture en passant par l’aquarelle, l’encre ou les craies grasses. Quelques Chevaux-jupons ont été construits comme accessoires d’interventions urbaines. La plus significative fut la remontée de la rue de Rivoli le 29 mars 2012.

Parcours artistique[modifier]

Expose depuis 1975. Co-fondateur à Paris du groupe Untel (1975) avec Jean-Paul Albinet et Philippe Cazal.

Expositions personnelles (incluant celles du groupe UNTEL) et collectives[modifier]

(sélection depuis 2000).

  • 2017 :
    • Resert. Galerie Satellite, Paris.
    • Sur les traces de Pierre Lambert. La ville des mots. Woluwe-Saint-Lambert & Woluwe-Saint-Pierre (Bruxelles) [4].
    • La comédie du langage. Musée le Carroi, Chinon (37).
  • 2016 :
    • Le temps de l’audace, (UNTEL). Institut d’art contemporain, Villeurbanne.
    • Paroles peintes. Galerie Satellite, Paris.
    • Art-O-Rama. Stand Michèle Didier. Friche Belle de mai, Marseille.
    • La sente mystérieuse. Jodoigne (Belgique).
    • Lourmar-INFO. Lourmarin (13).
  • 2015 :
    • L’art d’être touriste, (UNTEL). Galerie Michèle Didier, Paris.
    • Collection 15, (UNTEL). Institut d’art contemporain, Villeurbanne.
    • Tours et détours. Galerie Satellite, Paris.
    • Le pipi dans l’art. Atelier 34, zéro muséum, Bruxelles.
  • 2014 :
    • La boîte UNTEL, FIAC. Stand Michèle Didier. Grand-Palais, Paris.
    • La boîte UNTEL. Galerie Michèle Didier, Paris.
    • Le cheval en toutes lettres. Abbaye aux dames, Caen.
    • Phénoménal. Galerie Satellite, Paris.
  • 2013 :
    • Retour sur expériences. Le Lieu centre en art actuel, octobre, Québec [5].
    • UNTEL, FIAC. Stand Michèle Didier. Grand-Palais, Paris.
    • Vie quotidienne (UNTEL). Musée d’art moderne et contemporain, Strasbourg.
    • Grigris et fétiches. Atelier des Vertus, Paris.
    • Rêves apprivoisés. Galerie Satellite, Paris.
    • PANneauPAN. Fondation du doute, Blois.
  • 2012 :
    • Burlesque. Maison des arts, Bagneux.
    • Pan total, 59 rue de Rivoli, Paris.
    • Fiction. Galerie Satellite, Paris.
    • Le cerveau. Espace à débattre, Nice.
  • 2011 :
    • Safranimmo. Galerie Le Carré noir, Amiens.
    • Les 37 du 37bis. Atelier 37bis, Paris.
    • Exposition planétaire. Galerie Satellite, Paris.
    • Performing the city. ESADHAR, Le Havre.
    • Solosary. Galerie Test du Bailler, Vienne (38).
  • 2010 :
    • Savon de Marseille. Maison des arts contemporains, Pérouges (01).
    • La parade des chevaux jupons. Galerie Lagalerie, Paris.
    • Snyers-Immo. Atelier C. Paris.
  • 2009 :
    • Parade 69. Galerie du marchand du sel, Sète.
    • La Tour de Babel. Galerie Satellite, Paris.
    • Aujourd’HIER. Musée lapidaire, Vienne (38).
    • Espiègleries culinaires. Conseil régional d’Alsace, Strasbourg.
  • 2008 :
    • 68 tard. Galerie Salvador, Paris.
    • Roub’immo. La plus petite galerie, Roubaix.
    • Le temps retrouvé. Grand hôtel, Cabourg (14).
    • Do I know you ? Urban gallery, Marseille.
    • Paradoxe. Galerie Satellite, Paris.
  • 2007 :
    • Domestique. Maison des arts contemporains, Pérouges (01).
    • Set-immo. Galerie du marchand du sel, Sète.
    • 13 à table. Galerie l’Ébauchoir, Lyon.
  • 2006 :
    • Le tas d’esprit. Galerie Seine 51, Paris.
    • Les phares. Galerie Satellite, Paris.
  • 2005 :
    • La fête des feuilles. Parc de la Tête d’or, Lyon.
  • 2004 :
    • Cosmopolis. Musée d’art contemporain, Thessalonique.
    • Chantiers d’artistes. Commanderie Saint-Jean, Corbeil-Essonnes.
  • 2003 :
    • Briques. Galerie Les contemporains, Bruxelles.
    • Fluxus /Le milieu de l’art. Galerie Art7, Nice.
    • Terres inconnues. Galerie Satellite, Paris.
  • 2002 :
    • UNTEL 1975-1980, archives. La galerie, Noisy-le-Sec.
    • Cartes de visites. Galerie Satellite. Paris.
  • 2001 :
    • La réalité revisitée, (UNTEL). Centre d’art Cimaise et portique, Albi.
  • 2000 :
    • Fontenimmo. La Galeru, Fontenay-sous-Bois.
    • Kunstzebanknoten. Museum fûr moderne Kunst, Wendel (Allemagne).
    • Où est la vérité ? Galerie Hors-lieux, Strasbourg.

Interventions, manœuvres et lectures[modifier]

(sélection depuis 2007)

  • 2017 :
    • Levons notre verre, 21 janvier. Galerie Satellite, Paris.
    • Les excusés de la poésie, 30 janvier, Le Frigo, Paris.
    • Sur les traces de Pierre Lambert, manœuvre urbaine. Février-avril. Woluwe-Saint-Lambert & Woluwe-Saint-Pierre (Bruxelles).
    • Les excusés de Chinon, 20 mai. Musée le Carroi. Chinon.
  • 2016 :
    • Hugo Ball et le rebond de la balle. 06 février. Halle Saint-Pierre, Paris.
    • Les mots d’UNTEL, 11 février. Institut d’art contemporain, Villeurbanne.
    • Une cuiller pour…, 9 avril. Festival Giboulées. Caluire (69).
    • 5 réactualisations d’actions UNTEL. 02 & 03 juillet. Charivari, Villeurbanne.
    • Comment j’ai lu certains de ses livres ? 14 juillet. Cimetière du Père Lachaise, Paris.
    • Fashion show, la chemise UNTEL. 26 août. Art-O-Rama ; stand Michèle Didier. Marseille.
    • Frasq, 22 octobre. Le générateur, Gentilly[6].
    • Petites scènes de la vie ordinaire. 17 décembre. Sylvie Ferré, Lyon.
  • 2015 :
    • Tout se dire, 07 mars. Rue Française, Paris.
    • Vous n’êtes pas ici, 19 mars. Galerie Moissan, Paris.
    • Glissement de mots, 23 mai. Librairie Mona Lisait, Paris.
    • Le couronnement de Raymond, 14 juillet. Cimetière du Père Lachaise, Paris.
    • La leçon inaugurale, 02 octobre. Université de Picardie. Amiens.
    • Zones de confidences, 15 octobre. Rue Defly, Nice
    • Fashion show, la chemise UNTEL, 19 novembre. Galerie Michèle Didier, Paris.
  • 2014 :
    • Autour d’un verre, 26 janvier. Théâtre de verre, Paris.
    • Sacrées gueules, 12 mars. Galerie Vitoux, Paris.
    • La parade des chevaux-jupons, 16 mai. Abbaye aux dames, Caen.
    • Le camion-valise, 07 juin. Quartier Nord, Amiens.
    • Locus Solus pour les nuls 1, 12 juillet. Bibliothèque centrale, Cergy-Pontoise.
    • Locus Solus pour les nuls 2, 14 juillet. Cimetière du Père Lachaise, Paris.
    • We lost control, 23 octobre. Librairie Mona Lisait, Paris.
  • 2013 :
    • Un principe d’équivalence, 27 janvier. École d’art de Calais.
    • Les dictons de Mars, 15 mars. Espace Colette Perrier, Paris.
    • Les excusés de la peinture, 06 avril. Fondation du doute, Blois.
    • Apostrophes, 13 juin. 59 rue de Rivoli. Paris.
    • L’impression de la frite, 14 juillet. Cimetière du Père Lachaise, Paris [7].
    • Québec-immo, la vente à l’encan, 17 octobre. Le lieu, centre en art actuel, Québec.
    • Parc Abraham, octobre. Québec.
    • Perdu. Octobre. Campagne d’affiches. Québec.
    • Échange flash / le sac UNTEL (UNTEL), 23, 24, 25, 26 et 27 octobre. Stand Michèle Didier, FIAC, Grand Palais, Paris.
  • 2012 :
    • Les excusés de Bagneux, 14 janvier. Maison des arts, Bagneux[2].
    • La 10e pétition pour rien. Janvier. Maison des arts, Bagneux.
    • Poèmes à trous, 13 mars. Café de Flore, Paris.
    • La 11e pétition pour rien. 28 avril. 59 rue de Rivoli. Paris.
    • La remontée de la rue de Rivoli en cheval-jupon, 29 mars. Rue de Rivoli, Paris.
    • 5 pétitions à signer vite ! 06 et 07 octobre. Festival du livre. Mouans-Sartoux (06).
    • Perdu. Octobre. Campagne d’affiches. Mouans-Sartoux (06).
  • 2011 :
    • Je vous offre un verre (UNTEL), 12, 13 janvier. ESADHAR, Le Havre.
    • Les excusés niçois, 23 juillet. Espace à débattre, Nice.
    • Perdu, novembre-décembre. Campagne d’affiches. Quartier nord, Amiens.
  • 2010 :
    • Le grand bavardage, 02 octobre. Nuit blanche, église de Ménilmontant, Paris.
    • Pharma-mots, 08 octobre. Café la Renaissance, Lyon.
  • 2009 :
    • Pharma-mots, 13 mars. Café le François Coppé. Paris.
    • Perdu. 13 et 14 juin. Rue du Bon Pasteur, Lyon.
  • 2008 :
    • Perdu, septembre. Cours Franklin Roosevelt, Marseille.

Collections[modifier]

  • Fonds national d’art contemporain (1989-2009-2015)
  • Musée des Beaux-arts d’Angoulême (Angoulême)
  • Fonds régional d’art contemporain (Rhône-Alpes)/ Institut d’art contemporain (2015) : Le miroir[8]
  • Musée des Beaux-arts de Tourcoing /MUBA(2015)
  • Collection Yves Couthouit (2010-2012).
  • Diverses autres collections privées.

Filmographie[modifier]

  • UNTEL (Albinet, Cazal, Snyers) « Le déjeuner sur l’herbe, 1975-2013 » 25 min, présenté à la FIAC (Édition 2013)

Notes et références[modifier]

  1. Les Grands Ateliers sont des plateforme d’expérimentations des cultures constructives regroupant de écoles d’art, d’architecture et d’ingénieurs de la construction.
  2. 2,0 et 2,1 Le Chapeau Noir, « Untel », sur Chroniques du chapeau noir (consulté le 3 août 2017)
  3. mfc-michèle didier.
  4. « Alain Snyers – DéMarches », sur d-marches.org (consulté le 3 août 2017)
  5. Zone Arts - ICI.Radio-Canada.ca, « Exposition : faux biens immobiliers à vendre », sur Radio-Canada.ca (consulté le 3 août 2017)
  6. « Alain Snyers & Michel Giroud », sur www.frasq.com (consulté le 5 mars 2017)
  7. Chapeau noir, « Chapeau Maître Roussel ! », sur Chroniques du chapeau noir (consulté le 3 août 2017)
  8. Cf. Liste des acquisitions Platform

Annexes[modifier]

Bibliographie[modifier]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Monographies et documents sur l'artiste[modifier]

  • Alain Snyers, Le Récit d’une œuvre : 1975-2015, Paris : L’Harmattan, 2015, 177p. (ISBN 9782343064437) Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Voir les documents Alain Snyers à la Bibliothèque Kandinsky, du Centre Pompidou, depuis 1981.

Catalogues Untel[modifier]

  • Cahier TOURISTE (L’art d’être Touriste), éd. mfc-michèle didier, Paris, 2015.
  • Passeport TOURISTE (L’art d’être Touriste), éd. mfc-michèle didier, Paris, 2015.
  • « Journal UNTEL», in La Boîte UNTEL, éd. mfc-michèle didier, Paris, 2013.
  • UNTEL 1975-1980 Archives, français/anglais, 400 pages, co-édition: École nationale supérieure des beaux-arts de Paris ; La Galerie, Noisy-le-sec ; École nationale supérieure d’art, Dijon ; cneai, Chatou, 2004.
  • « Produit d’Untel », cahier (6 pages) in Reflets de la 10e Biennale de Paris, éd. s.m.v., Ris-Orangis, 1977
  • « Produit d’Untel », cahier (12 pages), éd. Maison de la Culture, Chalon-sur-Saône, 1977
  • « Untel à Untel », éd. Shakespeare and C °, Paris, 1977
  • « Untel », Cahiers d’Imago no 31 [diapositives], Paris, 1977
  • « Untel », éd. Galerie des Ursulines, Macon, 1976

Bibliographie générale[modifier]

  • Frédéric Bonnet, « Paroles d’artiste, collectif Untel, 40 ans après, cela a toujours de la pertinence », Le journal des Arts, n°448, Paris, 2016, p. 19.
  • Marie Brines, «Groupe Untel, l’art d’être touriste», Artpress en ligne: www.artpress.com/2015/12/28/groupe-untel-lart-detre-touriste/2014.
  • Mehdi Brit & Sandrine Meats, « Untel, [entretiens avec] Philippe Cazal et Alain Snyers », in Interviewer la performance, éd. Manuella Éditions, Paris, pp. 341–376, 2015.
  • Alain Snyers, « Les interventions urbaines, un genre artistique démocratique », Inter Art actuel 111, Québec, Canada, 2013, pp. 1–3 et 29-32.
  • Léna Monnier, « Entretien avec Philippe Cazal », in Thierry Dufrêne (dir.), Performing the City, Actions et performances dans l’espace public, 1960-1980, Cat.exp. Paris, inha - institut national d’histoire de l’art, Galerie Colbert, 15 mai- 2 août 2008/éd. inha - Institut national d’histoire de l’art, 2009 , pp. 34–43.
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  • Dominique Baqué, Pour un nouvel art politique, éd. Flammarion, coll. Champs Art, 2009, p. 147.
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  • Ben Vautier, « Groupe Untel», in Le Tas d’esprit, éd. Jnf Production, 2006, pp. 24, 38, 104.
  • « Untel, agression ? », Rue Descartes, n°47, Collège international de philosophie, PUF, Paris, 2005, p. 114.
  • Paul Ardenne, « Untel 1975-1980, l’intervention pour règle, ici et maintenant », in Archives de la saison 2001-2002, éd. la Galerie, Noisy-le-sec. 2003.
  • Paul Ardenne, « Groupe Untel, vie quotidienne et activation urbaine », Parpaings #30, éd. J.-M. Place, Paris, 2002, pp. 20–21.
  • Besson, Elisabeth, Untel : 1975-1980, archives, œuvres , Noisy-le-Sec : édition La Galerie 09.03 - 27.04.02, 2002. Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Paul Ardenne, « La rue activée », in L’Image corps-figures de l’humain dans l’art du XXe siècle, éd. du Regard, Paris, 2001, p. 347.

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