Vers une nouvelle génération
Vers une nouvelle génération est le vingt-huitième et dernier volume du manga Kenshin le vagabond.
Résumé par chapitre[modifier]
La furie[modifier]
Face à Enishi, Kenshin utilise le « ryūmeisen », qui consiste à ranger à grande vitesse le sabre dans son fourreau et générer ainsi des ultrasons qui paralysent l'adversaire.
Enishi, qui a les sensations décuplées, subit de plein fouet cette attaque. Mais sans hésiter il se crève le tympan pour continuer à se battre, car il n’a plus rien à protéger.
Un nouveau pas[modifier]
Kenshin mesure son « dragon divin » à la technique de Wadojutsu de Enishi. La différence cruciale est la détermination de Kenshin, qui lui permet de détruire le sabre de Enishi.
Le retour du sourire[modifier]
Alors que celui-ci se relève, prêt à en découdre aux poings, Heishin tire au pistolet sur Kenshin et va l'achever lorsque Kaoru s’interpose. Revivant la scène où sa grande sœur Tomoe se fait tuer, Enishi frappe Heishin et va l’achever quand Kenshin l’en empêche, affirmant ne plus jamais vouloir voir mourir quelqu’un. Il remercie Enishi, brisé, d’avoir protégé Kaoru.
Hurry go round[modifier]
Alors que la police va l’emmèner en bateau vers le continent, Kaoru donne à Enishi le journal intime de Tomoe. Mais Enishi disparaît du bateau en route. Seul Oiboré le retrouve en train d’errer, et reste à côté de lui, sans lui dire qu’il est son père.
Kenshin et Kaoru viennent se recueillir sur la tombe de Tomoe, et repartent la main dans la main.
Le vent d’automne[modifier]
Megumi annonce au groupe son intention de repartir dans sa ville natale d'Aizu. Elle confie à Kenshin, qui en était déjà conscient, que son corps a subi des dommages importants à cause de la technique Hiten Mitsurugi, et qu'il ne pourra probablement plus se servir d’un sabre d’ici quelques années.
Kenshin alors envoie une lettre à Hajimé pour l’inviter à venir régler leurs comptes une fois pour toutes, mais celui-ci ne se rend pas sur le lieu du duel, confiant à Chô que sa vengeance est contre Battosai l’assassin, pas contre Kenshin qui a renoncé à tuer.
Les jours paisibles du début du printemps[modifier]
Aoshi annonce que lui et Misao partiront le même jour que Megumi, pour rentrer à Kyōto, et aussi pour donner une sépulture correcte aux membres d’Oniwabanshû avant que le sol ne soit trop gelé.
Après le départ de Aoshi, Misao et Megumi, Sanosuké est rattrapé par les troubles qu’il a causés à Shinshū et poursuivi par la police s'enfuit.
Le cours du temps[modifier]
Quelques jours plus tard il refait surface, et annonce à ses amis qu'il part sur le continent en quête d’action. Il encourage Yahiko avant de partir.
Plusieurs années passent. Yahiko, devenu maître adjoint du dōjō Kamiya, s'est taillé une belle réputation en ville, et l’utilise pour protéger Tsubamé.
Conclusion - Vers une nouvelle génération[modifier]
À la demande de Kenshin, Yahiko se rend au dōjō. Kenshin et Kaoru lui rappellent que c’est l'anniversaire de ses quinze ans et Kenshin lui demande de faire un combat en une manche.
Yahiko perd le combat, mais Kenshin, constatant que Yahiko y a mis toute son âme, lui donne son sabre à lame inversée en lui demandant de l'utiliser de la meilleure façon et de le surpasser, lui, Kenshin, l’assassin. Yahiko accepte.
Restés seul, Kenshin et Kaoru contemplent leur heureux futur avec leur fils Kenji
Bonus : Meteor Strike[modifier]
(cette histoire ne fait pas partie de l'histoire de Kenshin le vagabond)
Shinya, collégien, rêve de justice mais n’est pas fort du tout. Un jour il reçoit sur la tête une météorite, qui s’incruste dans son crâne et lui donne une force extraordinaire.
Bonus spécial pour la France : Le sabre à lame inversée de Yahiko[modifier]
(cette histoire n’a pas été publiée dans les volumes reliés au Japon)
Yahiko est parti s’occuper du dôjô tenu par l’ami du père de Kaoru (car il doit s’absenter) à la demande de celle-ci et de Kenshin.
En arrivant au dôjô, il tombe en pleine prise d’otages et se laisse prendre sans se séparer de son sabre à lame inversée. Avec lui se trouvent trois élèves, la fille du maître du dôjô, le ravisseur et deux de ses acolytes. La fille ne représente aux yeux de la police que l’unique personne à sortir indemne.
Pris pour un lâche par les élèves devant sa passivité à utiliser son sabre, Yahiko décide de faire bouger les choses une fois les informations essentielles récoltées. Il s’avère que le vrai père de la fille est l'ancien seigneur du fief et que le chef des ravisseurs est un homme faisant partie des troupes de Shishio. Celui-ci proclame se battre pour la liberté et l’égalité. Valeurs pour lesquelles Shishio n’a jamais combattu.
Après avoir assommé les deux hommes de mains avec un shinai (sabre de bois), Yahiko interpelle le ravisseur en lui demandant en quoi ses actes correspondaient à ses paroles. Sous le poids de ces questions, celui-ci finit par se rendre et tout le monde s’en sort vivant.
Sauf que le commissaire veut se débarrasser de l’inoffensif preneur d'otage en lui tirant dessus à bout portant. Yahiko réagit au quart de tour pour empêcher cette exécution sommaire et le neutralise avec son sabre avant qu'il ne l’achève.
Il se voit féliciter par la fille d’avoir résolu l’affaire sans mort.
À son retour au dôjô Kamiya, Kaoru et Kenshin, ayant eu vent de ce qui s’était passé, voulaient féliciter Yahiko, mais ce dernier ne mentionna pas l’incident (qui lui aurait valu pas mal d'ennuis sans leur intervention discrète).
Kenshin et Kaoru constatent de plus avec amusement que Yahiko retourne immédiatement à Akabéko retrouver Tsubamé.
La réponse |
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