Sophie Saint-Laurent
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Sophie Saint-Laurent, née le à Montréal, est la journaliste mode et beauté de l'édition québécoise du magazine Châtelaine depuis 2009. Elle vit actuellement[Quand ?] à Blainville.
Dans sa jeunesse, Sophie Saint-Laurent a toujours eu un intérêt particulier pour le monde de la mode, elle travailla d'ailleurs comme conseillère en ventes dans des boutiques de vêtements. À la suite d'études en commercialisation de la mode au Collège Lasalle de Montréal et en gestion de la mode à l'UQAM, Saint-Laurent a su s'établir comme pilier dans le milieu de la mode Montréalais tout d'abord comme relationniste et par la suite comme journaliste. Sa belle plume et sa facilité à communiquer lui ont permis de travailler dans plusieurs types de médias tels que les journaux, la télévision, les magazines et le web.
Débuts[modifier]
Fille d'un chimiste ayant sa propre compagnie, Saint-Laurent commence des études au Cégep de Saint-Hyacinthe en Sciences Humaines, mais change rapidement d’idée et insiste auprès de sa famille pour aller étudier au Collège Lasalle en Commercialisation de la mode. Elle s’y découvre une passion pour les designers de mode et l’écriture. À la suite de sa graduation, elle fait une session de cours universitaires en communication avant d’entamer un Baccalauréat en gestion de la mode à l’Université du Québec à Montréal en 1992. Elle est d’ailleurs de la première cohorte d’étudiants, en 1994, à avoir été diplômée de ce programme.
Carrière[modifier]
De relationniste[Quoi ?] à journaliste[modifier]
En 1994, à la fin de son Baccalauréat en gestion de la mode, Sophie fait un stage en Relations Publiques et Ventes chez le détaillant Grenier, spécialisé en vente de sous-vêtements pour femmes. Elle conservera ce poste au cours de l’été, mais retournera à l’université pour terminer ses derniers cours. En décembre, à sa graduation, elle se trouve un emploi comme représentante des ventes pour la ligne Magaret M (créé par l’ancien propriétaire de la chaîne de magasins Femme de Carrière). Elle se rend vite à l’évidence que la vente ne l’intéresse pas et elle tente de développer des relations avec les médias montréalais afin de leur présenter sa ligne de vêtements. Son talent de relationniste se fait vite remarquer et Sophie se trouve un emploi comme Responsable des Communications chez Shan. En 1998, à la suite de la fusion avec Montréal Mode, Sophie devient relationniste pour plusieurs designers québécois tels que Dénommé Vincent, Jean-Claude Poitras et Gino Catalano. Ce poste lui permet de rencontrer plusieurs hauts-gestionnaires de la Caisse de Dépôt de Placement du Québec (un des principaux actionnaires de Montréal Mode) qui la prennent sous leur aile. Elle se développe une solide réputation de relationniste et commence à écrire des communiqués de presse pour plusieurs clients. En 2000, Sophie décide de devenir pigiste et commence à travailler à son compte toujours comme relationniste. Elle organise des défilés de mode, monte des dossiers de presse, présente de nouvelle collection aux médias pour tous ses clients designers. En 2001, elle aide d’ailleurs l’organisme Sensation Mode à organiser leur premier événement qui deviendra la Semaine de la Mode de Montréal.
Or, bien qu’elle soit très populaire comme relationniste, Sophie Saint-Laurent souhaite devenir journaliste. C’est en 2001 qu’elle saisit sa chance en appliquant pour un poste de journaliste au journal La Presse. Elle l’obtenu et fut chroniqueuse mode et beauté pour le cahier Actuel jusqu’en 2010. Son nouveau poste à La Presse lui permet de se trouver d’autres clients tels que mokasofa.ca et Clin d’œil où elle écrit la brève mode pendant 5 ans. Elle a aussi écrit pour les magazines Loulou, Mariage Québec et Fashion.
En 2009, de retour de son congé de maternité, Sophie se fait offrir un contrat comme pigiste pour le magazine québécois Châtelaine. L’association entre le magazine et la pigiste va tellement bien, qu’en décembre de la même année, Sophie Banford (alors rédactrice en chef), créé un poste de journaliste mode et beauté expressément pour Saint-Laurent.
Châtelaine[modifier]
Comme journaliste mode et beauté pour Châtelaine. Sophie Saint-Laurent est extrêmement impliqué dans toutes les étapes nécessaires à la production du magazine. De la recherche des sujets à l’écriture en passant la supervision de séance photo et la mise en page de ses textes, Sophie s’assure que chacun de ses articles correspondent aux besoins de ses lectrices. Elle est souvent appelée à voyager à l’extérieur afin d’aller couvrir des événements médiatiques tels que des défilés de mode, des lancements de produits ou des conférences de presse.
En plus de magazine, Sophie Saint-Laurent signe aussi des textes pour le blogue de la rédaction de Châtelaine. Elle y parle de ses coups de cœurs et de ses découvertes.
La télévision[modifier]
Comme plusieurs autres journalistes ou chroniqueurs, Sophie Saint-Laurent a touché à la télévision. Elle fit ses débuts comme chroniqueuse mode à l’émission 2 filles le matin en compagnie de France Beaudoin. Par la suite, elle fut approchée par l’émission Métamorphose à Canal Vie et y travailla comme spécialiste beauté pendant 4 ans et demi.
Philanthropie[modifier]
Par l'entremise de son employeur, Roger, Sophie s'implique auprès de l'organisme Centraide Québec.
Distinctions[modifier]
Sophie a reçu en 2011 le P&G Awards pour le meilleur article beauté pour un magazine francophone.
Notes et références[modifier]
Annexes[modifier]
Articles connexes[modifier]
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mars 1974
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