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Philippe Morande-Forgeot

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Erreur Lua dans Module:Wikidata à la ligne 118 : attempt to index field 'wikibase' (a nil value). Philippe Morande-Forgeot, né à Bordeaux le et mort à Bordeaux le , est un fonctionnaire d'État dans l'Administration des Postes sous la Restauration.

Biographie[modifier]

Il est le fils naturel de Philippe Rey Morande, d'une famille originaire de Charolles, et d'Élisabeth Pitrot, fille de Barthélemy Pitrot, comédienne et future épouse de Nicolas-Julien Forgeot[réf. nécessaire]. Celui-ci élève l'enfant et lui donne son nom, ce qui fut officialisé par décision royale en mai 1817[réf. nécessaire].

Lors d'une de ses missions auprès de Joachim Murat, roi de Naples et accompagné de son ami Hector Daure, comte d'Aure, il rencontre Cécile Bochet veuve en premières noces de Henry Panckoucke décédé de fièvres à Naples en 1812[réf. nécessaire]. Rentré en France, il l'épouse le [1],[2] et ils résident au 50 rue du faubourg Poissonnière, hôtel familial des Bochet, voisin de l'hôtel des Marcotte au no 89[réf. nécessaire].

Il poursuit sa carrière dans l'administration des Postes située au 9 rue Jean-Jacques Rousseau à Paris. Il est décoré chevalier de l'ordre royal de la Légion d'honneur en 1817[réf. nécessaire][pourquoi ?] et il est fait baron le 31 juillet 1821[réf. nécessaire][pourquoi ?]. Par son mariage, il devient un des proches de Jean-Auguste-Dominique Ingres qui lui dédiera le le portrait à la mine de plomb de Marie Cécile Panckoucke en mariée, épouse de Jacques-Raoul Tournouër.

En 1830, il revient à Bordeaux et s'installe dans son hôtel particulier du 27 rue Saint-Fort. Son beau-fils Henri Panckoucke y finit ses études et devient Trésorier de la ville de Bazas puis Trésorier Payeur Général de la Gironde[réf. nécessaire]. Les Morande-Forgeot amènent à Bordeaux leurs neveux comme les Marcotte de Quivières qui s'installent à Mérignac en achetant le château du Parc de Bourran. Henri Panckoucke épouse en 1836 sa cousine germaine, Joséphine Marcotte de Quivières, et leur descendance passera leur jeunesse à Bordeaux dans la résidence des Morande-Forgeot au 27 rue Saint-Fort. [pertinence contestée].

Cécile Bochet décède en 1865 dans l'hôtel de la rue Saint-Fort. Les Panckoucke regagnent Paris et leurs propriétés de l'Oise alors que les Marcotte de Quivières s'établissent définitivement dans le sud-ouest, à l'exemple de Augustin Marcotte de Quivières.

Notes et références[modifier]

  1. Matthieu de Oliveira, « Le clan Panckoucke : stratégie professionnelle et ascension sociale d’une famille lilloise à l’époque des Lumières et de la Révolution », Revue d’histoire moderne & contemporaine,‎ (lire en ligne)
  2. « PRIVAT-DESCHANEL Georges | Cour des comptes », sur www.ccomptes.fr (consulté le 1er août 2023)

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