Lucette Alquier

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Lucette Alquier (1920-2012) fille d'un capitaine d'infanterie de la Première Guerre mondiale ^[1] est une militaire française de la Seconde Guerre mondiale, combattant dans la Résistance^[2] et en service pour le Bureau central de renseignements et d'action (BCRA) avec l'alias de Alvirez Juannes^[3].

Biographie[modifier]

Née en Algérie à Ferryville^[4], elle s'est engagée comme parachutiste en novembre 1942 ^[5] est passée dans le 1^er bataillon de choc et a fini la guerre avec le grade de capitaine ^[6]

Après la dissolution de son bataillon, Lucette Alquier a servi dans l'infanterie coloniale ^[7] pendant la guerre d'Indochine ^[8] et la guerre d'Algerie ^[9]

Décorations[modifier]

Chevalier de la Légion d'Honneur
Croix de guerre
Médaille de la Résistance
Croix du combattant volontaire 39/45

Bibliographie[modifier]

Journal officiel de la République française (1953).
Mario Faivre, Le Chemin du Palais d'Été: Alger, 1942, Regirex-France, 1982.
Roger Carcassonne-Leduc, Gérard Linquier, 8 novembre 1942: la première victoire, éditions Médiqualis, 2000.

Liens externes[modifier]

Notes et références[modifier]

↑ 1915: M. Alquier. capitaine au 165° de ligne grièvement blessé au champ d'honneur... a reçu, dimanche, la croix de la Légion d'honneur"
↑ Mario Faivre, Le Chemin du Palais d'Été: Alger, 1942, Regirex-France, 1982, p. 95: "D'autres résistants, comme le colonel Rime-Bruneau, Lucette Alquier, prirent la relève. En contact avec le colonel Jousse, ils poursuivaient les actions de résistance et de renseignement"
↑ http://www.servicehistorique.sga.defense.gouv.fr/sites/default/files/SHDGR_INV_28P11_BCRA-AGENTS-RESEAUX_0.pdf: GR 28 P 11 / 04 DOSSIER 12758 ALQUIER, Lucette ALVIREZ, Juannes
↑ http://ferryville-menzel-bourguiba.com/siteen2004/histferry8.html
↑ "1942. Dimanche 8 novembre. La grasse matinée dominicale est interrompue par une nouvelle inouïe: les Américains sont en train de débarquer en Algérie et au Maroc. On ignore que parmi les «comploteurs d'Alger» qui ont préparé le débarquement (opération Torch) il y a une sage femme ferryvilloise, Lucette Alquier (elle ne s'en tiendra pas là et terminera la guerre en occupant Vienne (Autriche) avec les paras)"
↑ http://1erbataillondechoc.forumactif.com/t1003p25-bonjour-fils-d-ancien
↑ http://laguerreenindochine.forumactif.org/t1980-obseques-a-identifier
↑ Journal officiel de la République française (1953): Alquier rédactrice de 2 classe = capitaine
↑ "Pour l'encadrement des troupes spéciales: le capitaine ALQUIER, les lieutenant SERGENT, DORSINFANG, le capitaine DE LA BARGE DE CERTEAU, le lieutenant BECQ DE FOUQUIERES. Interprètes de langue arabe M. LONG, interprète lieutenant, est affecté au bureau régional du territoire du Tafllalet, à lisar-es-Souk." Georges Fleury, Histoire de l'OAS, 2002: "Jean Yves Alquier, homme pondéré et cité au feu en Algérie, n'avait pas hésité à dire à Pierre Sergent, lors d'une rencontre à Paris, qu'il était de tout cœur avec lui, mais qu'il entendait toutefois s'engager d'une autre manière dans le combat pour l'Algérie française."

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[1] 1915: M. Alquier. capitaine au 165° de ligne grièvement blessé au champ d'honneur... a reçu, dimanche, la croix de la Légion d'honneur"

[2] Mario Faivre, Le Chemin du Palais d'Été: Alger, 1942, Regirex-France, 1982, p. 95: "D'autres résistants, comme le colonel Rime-Bruneau, Lucette Alquier, prirent la relève. En contact avec le colonel Jousse, ils poursuivaient les actions de résistance et de renseignement"

[3] ttp://www.servicehistorique.sga.defense.gouv.fr/sites/default/files/SHDGR_INV_28P11_BCRA-AGENTS-RESEAUX_0.pdf: GR 28 P 11 / 04 DOSSIER 12758 ALQUIER, Lucette ALVIREZ, Juannes

[4] ttp://ferryville-menzel-bourguiba.com/siteen2004/histferry8.html

[5] "1942. Dimanche 8 novembre. La grasse matinée dominicale est interrompue par une nouvelle inouïe: les Américains sont en train de débarquer en Algérie et au Maroc. On ignore que parmi les «comploteurs d'Alger» qui ont préparé le débarquement (opération Torch) il y a une sage femme ferryvilloise, Lucette Alquier (elle ne s'en tiendra pas là et terminera la guerre en occupant Vienne (Autriche) avec les paras)"

[6] ttp://1erbataillondechoc.forumactif.com/t1003p25-bonjour-fils-d-ancien

[7] ttp://laguerreenindochine.forumactif.org/t1980-obseques-a-identifier

[8] Journal officiel de la République française (1953): Alquier rédactrice de 2 classe = capitaine

[9] "Pour l'encadrement des troupes spéciales: le capitaine ALQUIER, les lieutenant SERGENT, DORSINFANG, le capitaine DE LA BARGE DE CERTEAU, le lieutenant BECQ DE FOUQUIERES. Interprètes de langue arabe M. LONG, interprète lieutenant, est affecté au bureau régional du territoire du Tafllalet, à lisar-es-Souk." Georges Fleury, Histoire de l'OAS, 2002: "Jean Yves Alquier, homme pondéré et cité au feu en Algérie, n'avait pas hésité à dire à Pierre Sergent, lors d'une rencontre à Paris, qu'il était de tout cœur avec lui, mais qu'il entendait toutefois s'engager d'une autre manière dans le combat pour l'Algérie française."

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