Joëlle Morin (peintre)
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Joëlle Morin, née le 9 novembre 1952 à Saint-Nazaire (Loire-Inférieure), est un peintre français contemporain.
Biographie[modifier]
Joëlle Morin est née à Saint-Nazaire en Loire-Atlantique. De son enfance au bord de la mer, dans les reflets du soleil et des nuages qui jouent sur les miroirs des étiers des marais salants du Bourg de Batz, elle a appris l’importance de la lumière, qui fait partie de son univers graphique. Après des études de sociologie, elle s’oriente vers les Beaux-Arts de Caen, où elle s’initie aux différentes techniques picturales.
Ses premiers tableaux datent de 1989.
Elle s’intéresse d’abord à l’aquarelle, technique avec laquelle elle cherche à fixer la lumière dans les moindres détails de ses paysages ou natures mortes. Travaillant souvent à la loupe, elle parvient à reproduire le grain du bois d’une crosse de violoncelle, ou l’aspect cassant d’une feuille morte.
Installée dans le Nord à partir de 1992, membre active de l’association des Artistes de Villeneuve-d'Ascq et de Roubaix, elle participe à des expositions et remporte de nombreux prix, qui tous célèbrent sa vision de la lumière, du nord ou des régions qu’elle a déjà visitées (Tunisie, Pays basque, Bretagne, Normandie) :
- Wattrelos – 1993 : Grand Prix toutes catégories
- Lys-lez-Lannoy -1993 : Grand Prix toutes catégories
- Paris – 1995 : Trophée de la couleur
- Peinture Passion Paul Ricard - 1995 : Prix spécial du Jury
- Lys-lez-Lannoy – 1995 : Prix de la créativité
Sa première rencontre avec la Grèce, en juin 1996, est une révélation pour cette artiste figurative qui poursuit la lumière jusque dans ses moindres scintillements.
Elle découvre les éclats du soleil sur les marches blanchies à la chaux des escaliers qui s’échappent des ruelles de Santorin et de Tinos. Elle poursuit les yayas – les grands-mères grecques - qui gravissent les pentes, une main posée sur les reins, à la recherche des feuilles de xorta. Fruits de sa recherche permanente, de cette époque datent les premiers tableaux réalisés avec d’autres techniques que l’aquarelle. Outre le dessin, Joëlle Morin s’essaie à l’huile, la mine de plomb, la peinture acrylique, le fusain et les craies de couleur, nouveaux outils avec lesquels elle essaie de capturer les instants.
Au pied du Pendeli et de ses carrières antiques, elle s’adonne à la sculpture sur des pièces ramassées au cours de promenades et très vite, elle se rend compte que son habitude du dessin et sa minutie lui permettent d’apprivoiser ce nouveau matériau. Des petits joyaux naissent à cette époque, telle une colonne de livres empilés, ou des reproductions de statuettes cycladiques.
Cette première période grecque se conclut par une exposition en juin 2000 à Kifisia (Athènes) : « Lumières et Ombres ».
À son retour en Grèce en 2003, l’huile à son tour a domestiqué la lumière. Des portraits en sanguine, des instantanés de Singapour, d’autres sculptures sur marbre sont venues compléter son œuvre.
En décembre 2005, elle expose une partie de son œuvre au musée Skyronio de Kifissia (Athènes).
Galerie[modifier]
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Huile, cabines de Batz-sur-Mer
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Huile, colonnes du Parthénon
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Huile, Nature morte à la mandarine
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