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Jean Henry Constance Auger

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Jean Henry Constance Auger, vicomte de Guilleragues[modifier]

État civil[modifier]

Né le 5 janvier 1750 à Bordeaux, décédé en 1795 (ou 1800). Il épouse Margueritte Marie Victoire Louise Benech de Solon le 28 novembre 1786, dont il eut deux enfants Marie Auger (1788-1862, épouse de Laval ) et Joseph Marie Auger de Guilleragues (1790 – 1851).

Origine de la famille[modifier]

La famille Auger de Guilleragues ne descend pas de Gabriel Joseph de Lavergne de Guilleragues, auteur des Lettres portugaises et ambassadeur de Louis XIV à Constantinople, ni bien sûr de sa fille la Marquise d'O. Cette famille originaire de la région de Bordeaux à pour ancêtre Jean Auger, né vers 1625, dont la fortune s'est bâtie sur la traite négrière, des alliances avec de riches familles bordelaises et de colons aux Antilles. il racheta les terres et le titre de Guilleragues à la famille Lavergne de Guilleragues en 1757.

Histoire[modifier]

Sous-lieutenant au régiment Orléans le 1er Janvier 1768, à abandonné en 1777, fourrier Major des deux compagnies des Gardes de Monseigneur le Comte d’Artois[Qui ?]. Émigré, sa présence est signalée en 1790 à Turin, puis à Southampton en 1795 ou il prend part aux préparatifs de l’expédition de Quiberon. Il est cité à deux reprises pour ces activités dans ce port anglais. Le 27 février 1795 le vicomte de Guilleragues fait figure comme sous-lieutenant (avec 15 ans de service) sur la liste, proposée par le comte d’Oilliamson et approuvée le 2 mars 1795 par Windham, des officiers d'un corps commandé par lui-même. Il est alors précisé qu’il a le grade de major depuis 1788 et est chevalier de Saint Louis.

Sa disparition en 1795 ou 1800 reste à éclaircir. Selon une lettre manuscrite en possession de l’auteur, adressée par son fils Joseph Marie Auger de Guilleragues officier en demi solde en 1815, à une commission chargée d’examiner les droits des officiers sous la restauration , Jean Henry Constance Auger de Guilleragues est fusillé à Quiberon alors que lui, son fils, est âgé de 10 ans (soit en 1800 et non en 1795) Or, il ne figure sur aucune liste des fusillés à la suite de cette tentative avortée de débarquement des forces royalistes.[réf. nécessaire] Il participa cependant très probablement[réf. nécessaire] à cette expédition puisque cité dans des listes d’officier de régiments ayant pris part à l’opération. Nous en voulons[style à revoir] aussi pour preuve[interprétation personnelle] la dernière lettre adressée à son épouse par Edme de la Chapelle depuis la prison de Vannes, le 2 août, deux jours avant son exécution, il écrit « J’ignore le sort de Guilleragues j’espère qu’il pourra encore, un jour, se retrouver dans les bras de sa mère . Dieu veuille qu’il s’y retrouve, vertueux et digne d’elle ! »

Enfin, une dernière hypothèse apparait à la lecture des cahiers du Bazadais (76 81) où il est dit qu’il est « décédé à Saint Domingue en Prairial an VII (Juin 1799) et que son épouse vivante l’année suivante est tutrice de leurs enfants et gère le domaine situé dans la juridiction » cette hypothèse n’est pas à négliger car on sait qu’une importante partie des régiments d’émigrés évacués de Quiberon furent envoyés aux colonies et à Saint Domingue en particulier

Citations[modifier]

Mémoires du Comte Edme de la Chapelle

« Tu es bien sûr, mon cher fils, de tout le plaisir que m’a fait ta lettre. Je ne l’ai reçu que hier. J’avais été la veille à Southampton pour savoir si Monsieur de Guilleragues avait de tes nouvelles. Il n’en avait pas encore reçu. »

Relations de la Normandie et de la Bretagne avec les iles de la Manche pendant l’émigration. D’après des documents recueillis par le Dr Hoskins, membre de la Société royale de Londres et de la Société des antiquaires de Normandie, Charles Hettier 1885 :

D'Olliamson s'adresse à Puisaye en ces termes « J'aurai l'honneur, mon général, de vous rendre compte de tous ces objets dans le plus grand détail à mon arrivée à Londres; j'y serai vendredi soir, je crois utile que M. le vicomte de Guilleragues se rende ici lundi prochain, et qu'il y reste jusqu'au moment que les derniers officiers passeront pour se rendre à Guernesey; en attendant son arrivée, M. de La Lande, ancien officier, dont le fils est très-malade ici, sera chargé des détails ».

Notes et références[modifier]

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