You can edit almost every page by Creating an account. Otherwise, see the FAQ.

Gary Guiteau

De EverybodyWiki Bios & Wiki
Aller à :navigation, rechercher

Erreur Lua dans Module:Wikidata à la ligne 118 : attempt to index field 'wikibase' (a nil value).

Gary Guiteau, né le à Lascahobas, est un homme politique haïtien.

Il a été député au parlement haïtien[Quand ?].

Biographie[modifier]

Gary Guiteau est le fils de l'ancien militant politique Bazile-François Guiteau, emprisonné sous la dictature de Jean-Claude Duvalier. Son grand-père paternel Joseph Guiteau, collaborateur du Président Élie Lescot a été maire de Lascahobas avant d'être élu député en 1934[réf. nécessaire].

Gary Guiteau a fait la rencontre de Geralda Aristide, qu'il épouse en 1993 avec qui il a trois enfants : Gaëlle, Gary et Gery[réf. nécessaire].

Il est théologien de formation et juriste formé en droit international de l'environnement[réf. nécessaire].

Dans sa jeunesse, il a milité avec son père dans la clandestinité[réf. nécessaire]. À la suite de l’arrestation, l’emprisonnement et l’exil de ce dernier, il devient de plus en plus actif en politique. Craignant pour sa vie, son père cherche par tous les moyens à lui faire quitter Haïti.

En 1990, il devient à 27 ans le plus jeune député haïtien de l'histoire. Après deux mandats de député, il quitte Haïti en et s’installe à Longueuil au Québec, d’où il continue ses études en droit et en théologie.

Gary Guiteau a participé aux efforts pour réformer le mouvement Lavalas, à la fois contre le courant populiste, les dérives et les divisions intestines qui minaient le secteur. Issu du grand mouvement démocratique et populaire qui avait renversé le régime duvaliériste en 1986, Gary Guiteau a participé à toutes les luttes et manifestations socio-politiques contre les gouvernements issus des coups d’états militaires.

De 1987 à 2000, il est le fondateur et secrétaire général du MJPL[Quoi ?] à Lascahobas. Pendant ces années, il participe à toutes les luttes étudiantes, paysannes et même ouvrières.

Élu député de Lascahobas en 1990 et réélu en 1995, Gary Guiteau occupe très vite des postes de responsabilités au sein de son parti et au parlement haïtien[réf. nécessaire].

Il devient l’un des principaux parlementaires haïtiens durant ces deux mandats consécutifs à la 45e et la 46e législature[réf. nécessaire].

Le , à la suite d'une descente des militaires lourdement armés au parlement pour contraindre les parlementaires à signer la destitution du président Jean Bertrand Aristide renversé par le Général Raoul Cedras le de la même année, il refuse d'obtempérer, ce qui lui vaut une poursuite par les militaires. Il reçoit asile le de l’Ambassade d’Argentine où il séjourne jusqu’à l’obtention d’un sauf conduit du Gouvernement de Carlos Menem. Il part pour l’exil le pour l’Amérique du Nord[réf. nécessaire].

En 2006, alors qu’il poursuit une formation universitaire au Canada, il fonde avec quelques-uns de ses amis haïtiens vivant à l’étranger, le Mouvement vert de l’OPL qui devait être le pole écologique de l’OPL[réf. nécessaire].

Aux élections de 2010, faute d’un candidat de gauche au second tour de la présidentielle, il soutient et appelle à voter pour Myrlande Manigat qu'il considère comme la candidate la plus proche du secteur démocratique[réf. nécessaire].

Tout en continuant à défendre l’idée d’un secteur démocratique uni et organisé, il reconnaît que ce n’est pas facile d’être de gauche dans un pouvoir de droite. Cependant, il ne regrette pas sa participation au pouvoir du Tèt kale comme Directeur Général du Ministère des Cultes. Avant de démissionner de ce poste, il confie sur les ondes d’une station de radio haïtienne émettant aux États-Unis, que sa nomination à ce poste lui a permis d’accumuler des expériences supplémentaires[réf. nécessaire].

Aux élections de 2010, il va à l'encontre de la position de sa coalition Alternative laquelle réunissaient les partis OPL, Kid et Fusion. À la suite de sa décision de soutenir publiquement la position de tous les candidats désireux de participer aux joutes électorales, il est sanctionné par le bureau national de l’OPL et reçoit une lettre de blâme signée du Coordonnateur national Edgard Leblanc Fils[réf. nécessaire].

Entre-temps le torchon brûle au sein de l’Alternative. C’est le titre d’un article paru dans les colonnes du journal Le Nouvelliste du et aussi dans celles du journal Le Matin publie en date du .

Le député Steven Benoît et ses collègues candidats de l’Alternative, membres du courant pro électoral s'opposent à la décision prise à l’encontre de Gary Guiteau et l'appuient publiquement.

Notes et références[modifier]

Liens externes[modifier]

  • Erreur Lua dans Module:Wikidata à la ligne 606 : attempt to index field 'wikibase' (a nil value).
  • Erreur de script : la fonction « tout » n’existe pas.
  • Erreur Lua dans Module:Dictionnaires à la ligne 101 : attempt to index field 'wikibase' (a nil value).
  • Erreur Lua dans Module:Autorité à la ligne 424 : attempt to index field 'wikibase' (a nil value).

Erreur Lua dans Module:Catégorisation_badges à la ligne 170 : attempt to index field 'wikibase' (a nil value).Erreur Lua dans Module:Suivi_des_biographies à la ligne 189 : attempt to index field 'wikibase' (a nil value).


Cet Article wiki "Gary Guiteau" est issu de Wikipedia. La liste de ses auteurs peut être visible dans ses historiques et/ou la page Edithistory:Gary Guiteau.