Collectif Radicalement anti-nucléaire
Le Collectif Radicalement anti-nucléaire (CRAN) rassemble des individus opposés au nucléaire en France, résidant pour la plupart à Caen et d'inspiration autonome.
Présentation[modifier]
Le CRAN apparait en 2006 comme regroupement de personnes engagées dans le militantisme antinucléaire, en opposition au projet de centrale nucléaire EPR à Flamanville et de la nouvelle ligne THT[1] devant acheminer l'électricité produite par cette centrale. Collectif informel, il appelle à l'action directe : manifestations, blocages de site, occupations de locaux, sabotages[2].
Le discours politique du collectif se veut un refus du nucléaire, de son lot de désastres, et de ses conséquences comme le contrôle social et policier, nécessaires à la sécurisation des centrales (moyens de productions centralisés) et des matières nucléaires proliférantes. Il fait référence aux textes existants pour illustrer son propos et également pour critiquer les “logiques électoralistes et [le] fétichisme organisationnel”[3].
Références[modifier]
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