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Breizhistance

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La Gauche indépendantiste bretonne (Breizhistance-indépendance et socialisme)
Présentation
Porte-parole Jonathan Guillaume
Fondation Octobre 2009
Membres du bureau national Maiwenn Salomon
Morgan Cotten
Gaël Roblin

Guillaume Bricaud
Positionnement Extrême gauche[1]
Idéologie Indépendantisme breton[1]
Socialisme
Communisme
Couleurs Rouge et noir
Site web breizhistance.tv
Représentation
Conseil régional
0 / 83
Côtes-d'Armor
0 / 54
Finistère
0 / 54
Ille-et-Vilaine
0 / 54
Morbihan
0 / 42

Breizhistance, de son nom complet, la Gauche indépendantiste bretonne (Breizhistance-indépendance et socialisme) est un mouvement politique breton fondé en octobre 2009 à l'initiative de militants actifs du mouvement Emgann.

Son organe de presse est le site de contre-information Bretagne-Info[2]. Site autogéré et impulsé par la Gauche Indépendantiste qui se définit au service du peuple et des travailleurs de Bretagne dans la perspective de leur émancipation collective en tant que classe sociale et peuple ayant comme tous les peuples le droit de se déterminer librement pour proposer un modèle économique, social et écologique au bénéfice du plus grand nombre et de la démocratie locale. De fait Bretagne-Info est ouvert à tous les collectifs, partis, cercles, groupements, associations, syndicats et individus partageant ces objectifs.

Historique[modifier]

Origine[modifier]

Article détaillé : Emgann.

Le parti se créé dans une période où le mouvement indépendantiste breton est en pleine mutation. Le mouvement indépendantiste combatif qui rythmait la vie politique bretonne depuis 30 ans a choisi une voie pacifique début 2000. Les derniers prisonniers politique sortent peu à peu des prisons française entre 2000 et 2008. Il apparaît nécessaire à la gauche indépendantiste de se réorganiser dans cette situation nouvelle. À la suite de la libération progressive des militants d'Emgann incarcérés, le mouvement tente de lancer la plateforme BZH en juin 2006, dans l'objectif de créer un nouveau mouvement et afin de « tourner la page » de la lutte armée. Cette tentative infructueuse est relancée en mars 2007, avec une nouvelle structure nommée République bretonne[3]. L'objectif de République bretonne est d'entamer « un mouvement de rénovation du mouvement national breton de progrès ». C'est-à-dire renouveler et adapter au présent et à l'avenir, le discours, les structures et les ambitions politiques de ce qu'on pouvait appeler la « gauche nationale » ou la « gauche indépendantiste ». Ce mouvement a lancé une campagne : « Bretons, nous sommes une nation nous avons le droit de décider ». République Bretonne sera un échec.

Emgann-MGI a également décidé de mettre en retrait le nom du parti pour les élections municipales et cantonales de 2008 et ses militants ont fait partie de listes de gauche sous le sigle Breizhistance[4].Cette plateforme permettra d'ouvrir la structure politique à de nouvelles et de nouveaux militants, et les résultats poussent le parti à progresser dans la voix d'un cadre politique rénovée pour la gauche indépendantiste.

Quelques mois avant le congrès d'octobre 2009, Gaël Roblin, figure historique du mouvement, faisait part de sa volonté de créer une nouvelle structure à l'occasion des élections régionales de 2010 en proposant une alliance avec d'autres nationalistes bretons allant du Parti breton au maire autonomiste Christian Troadec[5]. Avant finalement, à la suite de désaccords, de soutenir et présenter des candidats sur la liste d'Europe Écologie Les Verts.

Lors du congrès de Fougères en octobre 2009, les militants les plus actifs et des jeunes nouvellement arrivés lancent une nouvelle organisation politique, Breizhistance, avec l'objectif d'intégrer Emgann dans la nouvelle structure. Malgré un vote majoritaire, une minorité nostalgique de l'époque 80-90 refuse le processus et décide de maintenir Emgann en vie et dissocié de Breizhistance. Progressivement, depuis 2012, les communiqués sont signés sous le nom de la Gauche Indépendantiste Bretonne en lieu et place de Breizhistance indépendance et socialisme, conservé entre parenthèses. Ceci dans un souci de lisibilité et de clarté.   

La Gauche Indépendantiste Bretonne (Breizhistance indépendance et socialisme) est un parti politique indépendantiste breton d'extrême-gauche. Il a été fondé en 2009 par des militants actifs de la gauche indépendantiste bretonne venant du mouvement Emgann.

La Gauche Indépendantiste Bretonne (Breizhistance indépendance et socialisme) considère que les bretonnes et les bretons forment une nation, c'est-à-dire une communauté humaine, stable, historiquement constituée, née sur la base d'une communauté de langue, de territoire, de vie économique et formation psychique qui se traduit dans une communauté de culture.Considérant que les institutions actuelles n'offrent qu'une faible marge de manœuvre en termes de démocratie, de juste répartition des richesses, de création de nouvelles solidarités et de défense de l'identité bretonne, et considérant que chaque peuple a le droit libre et souverain de déterminer la forme de son régime politique, La Gauche Indépendantiste Bretonne (Breizhistance indépendance et socialisme) milite pour la constitution d'une république indépendante bretonne. L’indépendance étant, pour l'organisation, la forme de souveraineté pour l'instant la plus aboutie.

La Gauche Indépendantiste Bretonne (Breizhistance indépendance et socialisme) est issue du mouvement socialiste autogestionnaire, ainsi Emgann se définissait comme un mouvement de libération nationale du peuple breton pour le socialisme autogestionnaire, l'organisation regroupe cependant tous les courants de la gauche anticapitalistes : anarchistes (certain militant du CBIL rejoindront Breizhistance lors de sa dissolution), communistes et socialistes. Il défend ainsi l'idée que la souveraineté acquise par le peuple lors de l'indépendance serait illusoire si elle n'était pas accompagnée de libération sociale, c'est-à-dire de reprise en main par les travailleurs de leurs outils de production. Cet engagement anticapitaliste de la gauche indépendantiste se traduit par sa présence dans les manifestations anticapitalistes, antifascistes (contre le FN et les groupuscules fascistes), antimilitariste, anti-impérialiste, antisexiste.

Nom du mouvement[modifier]

Lors du 1er congrès le sous-titre du mouvement était « Parti socialiste de Bretagne ». Lors du 2e congrès cette appellation a été abandonnée au profit d’ « Indépendance et socialisme »[6]. Progressivement, depuis 2012, les communiqués sont signés sous le nom de la Gauche Indépendantiste Bretonne en lieu et place de Breizhistance indépendance et socialisme, conservé entre parenthèses. Ceci dans un souci de lisibilité et de clarté.

Programme et propositions[modifier]

Depuis la fondation en 2009, la Gauche Indépendantiste Bretonne (Breizhistance indépendance et socialisme) est présente dans des luttes diverses dont :

Réunification[modifier]

Breizhistance lutte pour l'unité territoriale de la Bretagne aussi bien sur le terrain institutionnel avec son appartenance à l'association Bretagne réunie, que sur le terrain populaire avec sa participation aux actions et manifestations du collectif 44=Breizh comme lors de la manifestation du 18 juin 2011 à Nantes, le 15 décembre 2012 à Morlaix, le 19 avril 2014 à Nantes et le 28 juin 2014 toujours à Nantes à la suite de l'annonce de la réforme territoriale du gouvernement français. Breizhistance est toujours à l'origine de la formation de cortèges anticapitalistes lors de ces manifestations, défendant ainsi l'idée que la souveraineté acquise par le peuple lors de l'indépendance serait illusoire si elle n'était pas accompagnée de libération sociale.

De nombreux membres de la Breizhistance militent aussi au sein du collectif 44=Breizh, dont sont également membres des militants de l'UDB, d'EELV-Bretagne entre autres. Le porte-parole de 44=Breizh, Jonathan Guillaume, est membre du Bureau national de Breizhistance, un des piliers de 44=Breizh, le nantais Brendan Guillouzic-Gouret, est également membre du parti.

Breizhistance se prononce pour l'organisation d'un référendum sur la question de la réunification. Une consultation d'initiative populaire organisée à la base posant la question d'une assemblée pour la Bretagne à cinq départements, instance dotée de pouvoirs économiques et législatifs, à l'instar des parlements gallois, écossais, catalans ou basques. En mai 2013, dans le cadre de la plateforme « Libérons les énergies en Bretagne », la Breizhistance a organisé à Nantes un forum sur le référendum d'initiative populaire catalan de 2012[Lequel ?] en présence de l'avocat breton Yann Choucq et de parlementaires indépendantistes catalans dont la coordinatrice du groupe Ana Gabriel Sabaté.

Langue bretonne[modifier]

Breizhistance considère la langue bretonne comme langue nationale du peuple breton, tout en reconnaissant pleinement la diversité linguistique actuelle en Bretagne (langue gallèse et langues issues de l'immigration). Elle est engagée dans la promotion de la langue bretonne et réclame son officialisation. Elle a participé aux différentes mobilisations exigeant l'officialisation du breton comme la manifestation de Quimper réclamant l'officialisation des langues minorisées le 31 mars 2012 ou la manifestation du 9 février 2013 exigeant une télévision publique bilingue sur le modèle de France 3 Corse Via Stella. Elle participe également aux rassemblements de soutien lors des procès de militants de Stourm Ar Brezhoneg (SAB) ou d'Aï'ta !. L'officialisation de la langue bretonne est présente dans les programmes électoraux des candidats présentés ou soutenus par la Breizhistance et l'ensemble du bureau politique est bretonnant.

La communication politique, écrite comme orale, se fait autant en français qu'en langue bretonne.

Soutien aux prisonniers politiques[modifier]

Breizhistance milite pour la libération de tous les prisonniers politiques dans l’État français et ailleurs. La gauche indépendantiste a ainsi participé aux différents rassemblements et conférences de presse en soutien aux prisonniers politiques basques, notamment devant la prison des femmes de Rennes où sont emprisonnées trois prisonnières politiques basques, ou devant la prison de Nantes où sont emprisonnés deux militants basques. Elle a également réclamé la libération du prisonnier politique libanais Georges Ibrahim Abdallah, incarcéré en France depuis 30 ans (libérable depuis 15 ans) pour des actes terroristes. Lors des journées de Corte, le parti a réclamé au côté d'organisations indépendantiste ou autonomistes corses, basques, irlandaises, catalanes, guyanaises, martiniquaises, siciliennes, kanaks, sardes et tahitiennes la libération de tous les prisonniers politiques.

Écologie politique[modifier]

Breizhistance se prononce pour l’écologie politique et a pour but d'élaborer des alternatives économiques rompant avec le modèle libéral qui ruine la biodiversité et met en danger à court terme l’avenir de la planète. Il affirme la souveraineté collective, indiscutable et inaliénable de la nation bretonne sur ses ressources naturelles : l’eau, la terre, le vent et les ressources souterraines.

Elle combat tous les projets de développement qui mettent en danger la planète, comme le nucléaire civil et militaire, les OGM, ou l'aéroport de Notre-dame-des-Landes.

Lutte contre le projet d'aéroport de Notre-Dame-des-Landes[modifier]

Breizhistance se positionne depuis sa création contre le projet d'aéroport du Grand Ouest. C'est pour cela qu'il fait partie de la Coordinations des organisations contre l'aéroport de Notre-dame et a participé aux diverses mobilisations contre le projet comme lors de la manifestation de réoccupation des terres (17 novembre 2012), de la chaîne humaine (11 mai 2013) ou dans les rassemblements devant les préfectures lors des interventions policières en 2012 et manifestations dans les villes de Bretagne. Breizhistance a été un élément moteur de la mobilisation entre 2012 et 2014, sur le terrain de la ZAD, mais aussi à Nantes ou Rennes lors des manifestations d'ampleur. Ses militants ont aussi, en 2012 participé à la construction d'une cabane sur piloti « Kerstank » sur la ZAD (Zone à défendre). Elle est également présente dans les comités bretons de lutte contre l'aéroport.

La suppression du projet a été dans le programme de tous les candidats présentés ou soutenus par Breizhistance aux diverses élections (municipales, cantonales, législatives).

Breizhistance est aux côtés des militants que la répression touche durement depuis 2012, à l'occasion de manifestations de soutien diverses. Le parti a présenté un prisonnier politique, militant anti-NDDL, Enguerrand Delanous, aux élections européennes de mai 2014.

Plateforme « Libérons les énergies en Bretagne »[modifier]

La plateforme « Libérons les énergies en Bretagne » a été cosignée par 12 organisations politiques et syndicales, et Breizhistance en a été l'un des premiers signataires. Présentée en conférence de presse le 4 avril 2013 à Rennes, elle revendique :

  • la création d’une assemblée bretonne dotée pouvoirs législatifs et d’une fiscalité lui permettant de fonctionner.
  • la réunification de la Bretagne dans le cadre d’une collectivité unique englobant les départements de la Bretagne administrative, la Loire-Atlantique et la Région Bretagne.
  • le statut co-officiel de la langue bretonne permise par la ratification de la Charte européenne des langues minoritaires.
  • un pôle TV-Radio publique bilingue

Pour promouvoir la plateforme auprès de la population, cette dernière a organisé un débat citoyen, le forum citoyen de Bretagne, le samedi 15 juin 2013 à Nantes ou 150 personnes se sont rendus. Ce forum a évoqué les possibilités de l'organisation d'un référendum d'initiative populaire, sur le modèle catalan. Ana Gabriel, coordinatrice du groupe des députés de la gauche indépendantiste au parlement catalan a présenté le référendum sur l'indépendance organisé entre 2009 et 2011.

Instances et organisation du mouvement[modifier]

Congrès de fondation[modifier]

  • 1er congrès de fondation : 24 et 25 octobre 2009 à Fougères[7].
  • 2e congrès : 1 et 2 mai 2010[6].
  • 3e congrès : 7 et 8 mai 2011 à Comblessac[8].

Bureau national[modifier]

Bureau élu à l'issue du 1er congrès[7] :

  • Porte-paroles : Jonathan Guillaume et Thomas Baudoux
  • Secrétaires aux affaires intérieures : Fanch Oger et Goulven Le Gag
  • Trésoriers : Blandine Baudoux et Stefan Legrand
  • Secrétaires chargés des relations extérieures : Gaël Roblin et Édouard Brichet
  • Relations internationales : Corentin Lemonnier.

Bureau élu à l'issue du 3e congrès en 2011 à Comblessac :

  • Porte-parole : Jonathan Guillaume
  • Secrétaires aux affaires intérieures : Fabris Cadou, Morgane Cotten
  • Trésorière : Maiwenn Salomon
  • Secrétaires aux relations avec les partis politiques :Gaël Roblin, Guillaume Bricaud

Comités locaux[modifier]

Relations internationales[modifier]

Breizhistance entretient des relations avec la Candidature d'unité populaire (CUP, parti de la gauche indépendantiste catalane), le Republican Sinn Féin (parti politique irlandais), et le Parti national écossais (SNP, parti indépendantiste écossais). Le parti participe également aux journées internationales de Corte aux côtés de partis autonomistes et indépendantistes du monde entier.

Participation aux élections[modifier]

Élections cantonales de 2008[modifier]

En 2008, la nouvelle plateforme électorale Breizhistance présente huit candidats lors des élections cantonales.

En Loire-Atlantique, trois candidatures ont été présentées : Rémi le Seac'h sur le canton du Pellerin qui totalise 3,44 % pour 435 voix, Freddy Joulain sur le canton de Vertou-Vignoble qui obtient 2,56 % avec 264 voix, et Nathalie Roynard sur le canton de Saint-Julien-Vouvantes qui totalise 6,36 % pour 175 voix et devança ainsi le PCF.

En Ille-et-Vilaine, deux candidatures ont été présentés : Pascal Laizé (ancien prisonnier politique) avec un suppléant LCR sur le canton d'Antrain totalise 5,74 % avec 291 voix, Françoise Dubbu (LCR) avec un suppléant Breizhistance sur le canton de Fougères-Nord obtient 3,79 % avec 413 voix.

Dans les Côtes d'Armor, la candidature de Jan-Maï Salomon à Belle-Isle-en-Terre obtient 9,11 % avec 349 voix.

Dans le Finistère, deux candidatures ont été présentés : Yannig Laporte à Quimper 1 totalise 2,71 % avec 310 voix et Arno Vannier (ancien prisonnier politique) à Douarnenez obtient 4,27 % avec 234 voix.

Élections municipales de 2008[modifier]

Lors des élections municipales de 2008, la plateforme Breizhistance s'est réunie avec des militants de la gauche radicale sans étiquettes, de syndicalistes, d'écologistes, de féministes ou de militants de la LCR ou du PCF. Quatre listes ont été présentés, dont 3 en Loire-Atlantique : Rouans à Gauche! (21 % des voix), Saint-Herblain à Gauche Toute (7,73 % des voix et un élu), Nantes à Gauche Toute (3,74 % des voix) et Rennes à Gauches Toutes (4,99 % des voix).

Élections régionales de 2010[modifier]

Lors des élections régionales de mars 2010, Breizhistance soutient la liste Europe Écologie Bretagne portée par Europe Écologie Les Verts et l'Union démocratique bretonne[9],[10]. Deux candidats de la gauche indépendantiste rejoignent la liste en tant que candidat d'ouverture : Lionel Henry et Morgane Cotten. La liste obtient 11,5 % avec 25 617 voix au premier tour. Au deuxième tour la liste totalise 17,21 % avec 41 927 voix.

Élections cantonales de 2011[modifier]

Lors des Élections cantonales de mars 2011, Breizhistance présente 13 candidatures aux côtés du NPA[11]. Pour être plus précis, on peut dire qu'un accord a été passé entre Breizhistance et la section du NPA d'Ille-et-Vilaine[12].

En Ille-et-Vilaine, 10 candidatures ont été présentés :

  • Yoann Colas sur le canton de Liffré totalise 2,68 % avec 198 voix,
  • Morgane Cotten sur le canton de Rennes Centre obtient 0,61 % avec 65 votants,
  • Corentin Lemonnier sur le canton de Rennes Centre-ouest totalise 1,72 % avec 75 votants,
  • Valérie Faucheux (NPA) avec Flavien Mignau en suppléant (Breizhistance) obtient 1,36 % avec 69 votants,
  • Gaël Roblin totalise 1,66 % avec 164 votants,
  • Charline Gatel (NPA) avec Pascal Laizé en suppléant (Breizhistance, ancien prisonnier politique) obtient 2,30 % avec 101 voix,
  • Françoise Dubbu (NPA) avec Christian Georgeault en suppléant (Breizhistance, ancien prisonnier politique) sur le canton de Fougères Sud a obtenu 4,2 % avec 241 voix.

En Loire-Atlantique, un accord identique est passé entre Breizhistance et la section NPA de Loire-Atlantique[13], et Breizhistance présente 2 candidature : Morvan Coarer sur le canton de Nord-sur-Erdre obtient 2,52 % avec 196 votants et Céline Etrillard sur le canton de Rougé totalise 3,51 % avec 54 votants.

Élections législatives de 2012[modifier]

Lors des Élections législatives de juin 2012, Breizhistance présente des candidats dans trois circonscriptions : Maiwenn Salomon sur la 4e circonscription des Côtes d’Armor (Guingamp) obtient 1,40 % avec 711 voix, Jonathan Guillaume sur la 6e circonscription de Loire-Atlantique (Châteaubriant) totalise 1,10 % avec 703 voix et Éloïse Cordier allié à l'UDB (suppléant Jean-François Monnier, UDB) et soutenu par EELV sur la 4e circonscription d’Ille-et-Vilaine (Redon) obtient 4,46 % avec 2161 voix[14].

Élections municipales de 2014[modifier]

Lors des municipales de mars 2014, plusieurs candidats de la Gauche Indépendantiste se présentent dont Primael Petit comme tête de liste à Saint-Herblain qui obtient 10,06 % au 1er tour et 7,67 % au 2e et nombre de membres sur des listes de petites communes rurales dans le Trégor notamment. Faute de moyens financiers, les négociations ayant abouti avec le NPA à Rennes n'ont pu se concrétiser.

Élections européennes de 2014[modifier]

Lors des élections européennes 2014, La Gauche indépendantiste bretonne (Breizhistance indépendance et socialisme) se présente dans la circonscription Ouest aux côtés du NPA : 0,46 % des voix soit 12 600 voix.

Élections régionales de 2015[modifier]

Notes et références[modifier]

Voir aussi[modifier]

Articles connexes[modifier]

Liens externes[modifier]



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