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Société nationale des Québécoises et Québécois des Laurentides

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Société nationale des Québécoises et Québécois, région des Laurentides
Logo de l’association
Cadre
Forme juridique Organisation à but non lucratif
But La valorisation du français, de l’histoire et de la culture sur le territoire des Laurentides
Surnom SNQL
Zone d’influence Région des Laurentides
Fondation
Fondation 23-10-1952
Fondateur Monseigneur Émilien Frenette
Identité
Siège 487, rue Laviolette, Saint-Jérôme (Québec) J7Y 2T8
Président Gilles Broué
Vice-président André Garant
Secrétaire général Alexandre Morin
Directeur général André Marion
Trésorier Réjean Arsenault
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Site web http://www.snq-laurentides.quebec/

Notes

administrateurs: Diane Arsenault, Michel Kieffer, Vincente Lemay-Thivierge, Roland Leduc

La Société nationale des Québécoises et Québécois des Laurentides, à l'origine appelée Société Saint-Jean-Baptiste du diocèse de Saint-Jérôme (lettres patentes 1959)[1], est créée en 1952.

Objectifs de la SNQL[modifier]

  • Valoriser le Jour du drapeau chaque 21 janvier[2], en invitant la population à faire la promotion du fleurdelisé[3].
  • Promouvoir la langue française avec entre autres la remise du Prix d’excellence en français Gaston-Miron[4] organisé en partenariat avec le Mouvement Québec français des Laurentides (MQFL). Ce prix est décerné annuellement à des personnes, des entreprises ou des organismes qui se distinguent par leur contribution à la promotion de la langue française[5].
  • Reconnaître l’importance de l’enseignement de l’histoire par la remise des Prix du Mérite en histoire[6] lors de la Journée nationale des Patriotes aux étudiants de niveau secondaire.
  • Coordonner les célébrations de la Fête nationale du Québec dans la région et éveiller la fierté de la population en les invitant à célébrer le 24 juin[7].
  • Soutenir les groupes communautaires œuvrant sur son territoire.
  • Travailler à l’épanouissement et à l’affirmation du peuple Québécois
  • Travailler à la souveraineté du Québec[8].
Siège social de la SNQ des Laurentides

Histoire[modifier]

À l'automne 1952, un groupe de nationalistes aidé par l’évêque, Monseigneur Émilien Frenette, une Société Saint-Jean-Baptiste des Laurentides est mise sur pied, sur le modèle de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal. Le but est de promouvoir la langue et la culture française parmi la population qui fait face à l’industrialisation des moyens de production par une élite anglo-saxonne. Le premier président fut Charles-Eugène Roy[9], bijoutier de Sainte-Thérèse.

La SNQ des Laurentides est responsable des festivités de la Fête nationale sur le territoire des Laurentides.

Les premiers procès-verbaux révèlent au programme d’actions : la fondation des caisses d’épargne scolaires[10]. Également, elle accordait des prix de langue française dans les écoles et y organisait des concours de chant[11], exigeait des services en français de la compagnie de téléphone Bell[12], envoyait des membres du conseil d’administration faire un stage à la commission d’étude sur le cercle d’Entraide[13], évaluait la possibilité de fonder des sections dans les différentes paroisses, participait au congrès de la Fédération des SSJB, qui se tenait à Hull[14].

En résumé, voici quelques autres exemples des actions menées durant cette période :

  • Les concours scolaires sur l’histoire
  • Participation au concours national du Bon parler français[15]
  • Les campagnes d’achat chez nous[16]
  • Souscription patriotique dans les paroisses[17]
  • Organisation de la Fête de Dollard[18]
  • Fraternité française : collectes en faveur des minorités des autres provinces[19]
  • Cours de formation nationale initiés par la Fédération des SSJB[20]

Guy Mercier est embauché comme chef du secrétariat [21]de la SSJB des Laurentides en septembre 1959.  En 3 ans, de 369 membres, la SSJB du diocèse de Saint-Jérôme en compte plusieurs millier. Une quinzaine de sections seront créées dans les Laurentides.

Le Prêt d’Honneur aux étudiants

La SSJB de Montréal avait lancé en 1944 le Prêt d’Honneur afin de permettre aux jeunes doués, mais peu fortunés d’accéder à des études supérieures et de faire leur marque dans la société. En 1954, la Société Saint-Jean-Baptiste du diocèse de Saint-Jérôme décide de mettre sur pied son propre Prêt d’Honneur aux étudiants.  Dès la première attribution, soit le 24 août 1960, 31 prêts étaient accordés à des étudiants répartis dans 13 municipalités du territoire qui entreprennent ou poursuivent des études dans 14 branches différentes. Depuis ses débuts, quelque mille dossiers ont été traités, totalisant plus d’un million de dollars en appuis financiers consentis aux bénéficiaires[22].

L’association fait peau neuve

En 1969, la Société Saint-Jean-Baptiste du diocèse de Saint-Jérôme amorce un processus pour un changement de nom. La nouvelle désignation de SOCIÉTÉ NATIONALE DES QUÉBÉCOIS, RÉGION DES LAURENTIDES[23] est adoptée le 8 novembre 1971.

Financement[modifier]

Le service d'entraide[modifier]

Depuis les débuts du Service d’Entraide au décès (assurances)[24], la SNQ a distribué des millions de dollars à plusieurs centaines de foyers éprouvés par un deuil[25].  À l’origine, une protection de 1 000 $ seulement était offerte[26]; depuis, elle peut maintenant atteindre 12 000 $.  Les effectifs ont fluctué au cours des ans jusqu'à atteindre 12 000 assurés; actuellement moins de 2000 membres adhèrent à ce système de protection pour un volume de plus de 10 180 000 $.

Les kiosques de Loto-Québec[modifier]

À la fin de septembre 1978, la SNQ s’engage dans la distribution de Lotomatique[27] en détenant un permis à cette fin.  Suivront des démarches en vue d’obtenir la gérance de kiosques de Loto-Québec.  En 2021, la SNQL opère quatre points de vente, et les profits générés oscillent entre 40 000 $ et 60 000 $ par année.

Coordination de la Fête nationale[modifier]

En vertu d’un mandat accordé par le MNQ (Mouvement national des Québécoises et Québécois), la SNQ des Laurentides coordonne quelque 40 événements de la Fête nationale organisés chaque année sur son territoire.  Cette activité ne génère pas de surplus mais permet à tous les groupes régionaux et locaux de recevoir des fonds provenant du gouvernement du Québec pour la présentation de leurs activités.[28],[29]

La langue française[modifier]

Entre autres actions pour la défense du français, une Commission sur le français fut formée dès 1966[30], présidée par le Dr. Roderick Jodoin. Elle analysait tous les problèmes suscités à propos de l’éducation des enfants et invitait la société à éviter les écueils de l'expérience vécue à ville Saint-Léonard[31].

À la suite de la parution du rapport Gendron en 1973, la SNQ prend position sur le français langue de travail et langue officielle[32]. À l’automne 1977, une initiative de TéléUniversité[33] voit le jour sous l’habile direction du juge Robert Cliche. Une vaste campagne de revalorisation du français déferle sur le Québec avec le leitmotiv « Le français, je le parle par cœur »[34]. Il en sera de même en 1984, 1985 et 1986, lorsque la SNQ des Laurentides s’est jointe à la SSJB de Montréal et au MNQ pour réaliser les opérations connues sous les noms de : « Je vis en français et je l’affiche »[35], « Ne touchez pas à la loi 101 »[36] et « Québec, je t’aime en français »[37]. Prises de position et appuis aux initiatives du milieu et entre autres, en 1989, une grande complicité existe entre la SNQ des Laurentides et la CSN pour traiter : « le français au travail ça s’impose[38] ».

Elle participe également à un concours sur l’affichage commercial en partenariat avec l’Office de la langue française[39]. Dans un premier temps, elle sollicite des suggestions concernant les raisons sociales des commerces et institutions et dans un deuxième temps et ensuite préconise un affichage plus conforme aux normes fixées par la loi[40].

La SNQ des Laurentides appuie la loi 101. Dès 1988, une opération se met en branle qui vise à solliciter l’engagement des organismes et des municipalités quant au respect de son application[41].

En congruence avec sa mission de promotion et de défense de la langue française, la SNQL soucieuse de dénoncer des situations outrageuses et de développer des activités encourageant le perfectionnement de la langue française, s'efforce de reconnaître des efforts permettant de sensibiliser la population à la beauté de l'héritage linguistique francophone[42],[43],[44],[45],[46].

Devant l’envahissement de la langue anglaise dans la chanson[47], en 2009 et 2010, la SNQ des Laurentides explore une nouvelle avenue en organisant un concours avec 24 écoles de musique privées de la région afin d’inciter leurs élèves à interpréter une chanson francophone lors de leur spectacle de fin d’année. Un prix de la SNQL était remis à l’élève gagnant dans chaque école participante. Depuis 2011, la SNQL remet des prix aux jeunes artistes participants, chantant en français, à Blainville en chansons[48] et au Secondaire en spectacle[49].

Différents rendez-vous francophiles ont été organisés au cours des dernières années[50]. Ainsi, en 2012, avec le Mouvement Québec français des Laurentides, est créé le Prix d’excellence Gaston-Miron.

Différentes prises de position ont émané de la SNQL dont l'appui à un manifeste sur l’apprentissage précoce des langues secondes, élaboré par l’Institut de Recherches sur le Québec.

Soutien communautaire[modifier]

À travers ses 70 ans d’existence, la SNQL a été présente dans le milieu laurentien sous différentes formes d’implication dont la vie communautaire; prêts d’Honneur aux étudiants, prix régionaux de la culture québécoise[51], prix Hommages à l’engagement communautaire[52] et développe des collaborations avec le Conseil de la culture des Laurentidesl’Association des auteurs des Laurentides, la Société d’histoire des Mille-Îles et de la Rivière-du-Nord, Québec-France, les commissions scolaires, le Cégep de Saint-Jérôme et les écoles privées de musique et le Mouvement Québec français des Laurentides (MQFL)  pour la création du Prix d’excellence en français Gaston-Miron.

Ses appuis tangibles à la Marche des femmes, au collectif pour un Québec sans pauvreté, sa participation à la marche du Sommet des peuples, au mouvement Démocratie et Citoyenneté, à la Coalition pour un Québec des régions, à la Coalition pour l’enseignement de l’histoire sont là quelques-unes de ses actions ou prises de position pour améliorer la vie collective laurentienne.

Implication sociale[modifier]

Dès sa fondation en 1952, la SNQL a concrétisé de différentes manières son intérêt pour les grands enjeux sociaux du territoire tels que l’organisation des loisirs, le pouvoir politique, la dépendance économique et la planification du développement au Québec[53].

C’est à travers l’organisation des micro-forums, des clubs québécois, des soupers-causerie et lors des nombreuses participations aux tables régionales de concertation que la SNQL a cherché à faire avancer les débats. La rédaction de certains mémoires présentés à différentes instances a été un autre moyen utilisé par la SNQL pour la démocratie avec une croyance profonde dans le projet de se doter d’un pays, le Québec[54].

Ses conférences faisant suite à ses assemblées générales annuelles ont suscité des réflexions sur la souveraineté, la coopération, l’enseignement de l’histoire, la maitrise de nos richesses naturelles.[55]

À travers ces années, la SNQL a délégué plusieurs membres de son C.A. aux différentes activités du MNQ, entre autres, les rencontres « nommées » Université d’été[56]

Il faut souligner également les conférences des peuples de langue française[57] ainsi que les colloques de l’Institut de recherche du Québec (IRQ) qui ont été des temps forts de discussion entre des spécialistes et les autres membres des Sociétés nationales alimentant et aiguisant les préoccupations reliées aux grands enjeux québécois.

La Société nationale des Québécoises et Québécois, région des Laurentides, est convaincue de la pertinence et du besoin que le Québec se dote de sa propre Constitution et le dépôt du rapport de la commission Bouchard-Taylor renforce cette conviction. D’ailleurs un texte, qui pourrait servir de Préambule à une future Constitution québécoise[58] et qui se veut le plus succinct possible fût élaboré par des membres du conseil d’administration. Ce document exprime les croyances de la SNQL dans les valeurs démocratiques d’un Québec égalitaire, laïc, francophone et souverain. En 2008, il a été soumis à toutes les instances politiques du Québec en souhaitant susciter une réflexion et, si possible, des actions qui favoriseront le déclenchement d'une consultation populaire sur le projet de la Constitution du Québec

Certes, la question nationale, non résolue à ce jour, a été l’objet de plusieurs interventions de la SNQL au cours de ses 70 ans. Elle participe aux États généraux du Canada français en 1966-67[59], collabore avec le Conseil de la souveraineté[60], participe activement aux référendums de 1980 et de 1995 sur l’avenir constitutionnel du Québec[61] et finalement coopère avec le mouvement Cap sur l’indépendance[62] et son réseau de communication Synapse.

La culture[modifier]

La Société Saint-Jean-Baptiste du diocèse de Saint-Jérôme, devenue par la suite la Société nationale des Québécoises et Québécois des Laurentides, s’est dès sa fondation, impliquée activement dans la vie culturelle de son milieu. La Société y joua un rôle de précurseur et celui-ci fut important pour la suite des choses.

En 1961 la SSJB fit l’acquisition d’une presse. Destinée à imprimer les publications nécessaires au secrétariat, on élargit la production. La permanence devint en quelque sorte une maison d'édition. Les Éditions Étendard[63] furent rapidement une source de collaboration gratuite au bénéfice de la culture régionale. Impression de plaquettes de poésie, invitations à des vernissages, affiches et billets de spectacles, c’était l’émergence de la culture régionale.

Le Jour du drapeau[modifier]

Le 21 janvier 1948, Maurice Le Noblet Duplessis, alors premier ministre de la province de Québec dota celle-ci d’un drapeau.

Le premier ministre déclara :

"Le fleurdelisé flottera aujourd’hui à trois heures de l’après-midi, sur la tour centrale du Parlement, il remplacera l’Union Jack[64]"

Le drapeau fleurdelisé fut adopté par décret ministériel et la nouvelle présentée à l’Assemblée législative. Le 9 mars 1950, la législature adopta une loi gouvernant l’usage du drapeau. Une version plus récente de celle-ci fut adoptée en 2002.[1]

Depuis déjà plusieurs années la Société nationale des Québécoises et Québécois des Laurentides souligne cette journée mémorable par la tenue de différentes activités : entrevue à une radio étudiante, rencontre avec des étudiants, concours et entrevue à la radio locale, concours dans les hebdos régionaux, communiqués rappelant l’importance et la fierté d’arborer son drapeau[64].

Jour du drapeau 2017 - radio étudiante École Notre-Dame
Jour du drapeau 2017 - radio étudiante École Notre-Dame
Jour du drapeau - Gilles Broué
Jour du drapeau - Gilles Broué

Les Prix du Mérite en histoire[modifier]

C’est en 2004 que la SNQL, par son comité fierté et culture et en respect de sa mission, "de promouvoir notre langue, notre culture et notre histoire", a mis en place le nouveau "Prix du Mérite en Histoire" [65]avec la collaboration du MNQ et du ministère de l’Éducation du Québec. Il fut mis au calendrier annuel des activités de la SNQL tout en commémorant la Journée nationale des Patriotes.

En plus des certificats méritas, les prix distribués consistent en l’allocation de bourses en argent offertes par le MNQ, de cadeaux aux effigies et thématiques québécoises, qui sont remis à chaque élève méritant et à des prix de présence pour l’auditoire.

Les récipiendaires des Prix Mérite en histoire 2019
Les récipiendaires des Prix Mérite en histoire 2019

Lors de ces soirées, en présence de dignitaires, des jeunes méritants, leur famille et amis, la SNQL  leur a offert des prestations de conférenciers et chansonniers de renom.

De plus, lors de cette fête au nom de l’histoire québécoise et de nos Patriotes, les organisateurs et les députés du gouvernement du Québec de notre territoire, soucieux de reconnaître le travail des enseignants dans leur tâche d’enseigner l’histoire du Québec, reconnaissent par la même occasion, les mérites d’un enseignant qui s’est démarqué dans la transmission de l’histoire auprès de ces jeunes méritants, en lui décernant la médaille de l’Assemblée nationale du Québec.

Les Rendez-vous culturels[modifier]

Fort de sa mission qui consiste à promouvoir l’identité québécoise, le Mouvement national des Québécoises et Québécois a imaginé de grandes rencontres sous le signe de l’art, de la culture et de l’histoire pour transmettre le goût du Québec aux allophones. En 2020, le MNQ a reçu le mandat du ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration d’implanter Les Rendez-vous culturels[66] dans toutes les régions du Québec.

Objectifs principaux :

  • Donner le goût du Québec par la culture.

Objectifs secondaires :

  • Se familiariser avec l’histoire et la culture québécoises.
  • Fréquenter les lieux et institutions culturelles des régions.
  • Améliorer la connaissance du français oral et écrit.
  • Favoriser la socialisation et l’intégration.
  • Créer des liens avec la nouvelle communauté.

Pendant sept semaines consécutives, un groupe de 20 personnes est invité à participer à une séance hebdomadaire où lui est proposée une activité ludique et participative. Chaque activité est organisée en collaboration avec un artiste, une institution ou un organisme de la région (musées, sociétés historiques, théâtres, bibliothèques, maisons de la culture, etc.). Le programme vise également à favoriser la socialisation et l’intégration des participants, en les amenant à créer des liens dans leur communauté, ainsi qu’à encourager la fréquentation d’institutions et de lieux culturels dans leur région.

Rendez-vous culturels
Rendez-vous culturels






Présidents de 1952 à 2021[modifier]

  • Charles-Eugène Roy
  • P. André Lambert
  • Robert Trudel
  • Maurice Dumas
  • Conrad Legault
  • Roderick Jodoin
  • Jean Meilleur
  • Maurice G. Vallière
  • Bertrand Blondin
  • Jules Théorêt
  • Yvon Leclerc
  • Jean-Guy Lorrain
  • Harry Cloutier
  • Jeannette Lavalle
  • Jean Coulombe
  • André Garant
  • France Laverdière
  • Gilles Broué
  • Louis Labonté
  • Réjean Arsenault
  • Gilles Broué

Sociétés affiliées au Mouvement national des Québécoises et des Québécoises[modifier]

Notes et références[modifier]

  1. « Gazette officielle du Québec », périodique,‎ , p. 28 (lire en ligne)
  2. « Drapeau et symboles nationaux », sur Ministère de la justice (consulté le 24 août 2021)
  3. « Journal le Nord », périodique,‎ , p. 33 (lire en ligne)
  4. « Prix d'excellence en français Gaston Miron - Mouvement Québec français - Défenseur de la langue française », sur Mouvement Québec français (consulté le 24 août 2021)
  5. « Accès, le journal des pays d'en haut », périodique,‎ , p. 43 (lire en ligne)
  6. « Prix du Mérite en histoire | Mouvement national des Québécoises et Québécois » (consulté le 24 août 2021)
  7. « Accès, journal des pays d'en haut », périodique,‎ , p. 16 (lire en ligne)
  8. « La naissance du mouvement souverainiste - Le début d'un temps nouveau », sur www.larevolutiontranquille.ca (consulté le 24 août 2021)
  9. « Semaine de la francophonie: remise du Prix d'excellence en français Gaston-Miron », sur Nord Info - Journal de la ville de Blainville, Ste-Thérèse et les environs sur la rive-nord, (consulté le 23 septembre 2021)
  10. « Caisses d'épargne scolaires », sur Centre de services scolaire de Montréal, (consulté le 24 août 2021)
  11. « La revue de Terrebonne », périodique,‎ , p. 3 (lire en ligne)
  12. « La presse », périodique,‎ , p. 3 (lire en ligne)
  13. « Le devoir », péridodique,‎ , p. 12 (lire en ligne)
  14. « Le Canada français », périodique,‎ , p. 3 (lire en ligne)
  15. « La presse », périodique,‎ , p. 43 (lire en ligne)
  16. « Le Soleil », périodique,‎ , p. 32 (lire en ligne)
  17. « Le bien public », périodique,‎ , p. 6 (lire en ligne)
  18. « La presse », périodique,‎ , p. 7 (lire en ligne)
  19. « L'Action », périodique,‎ , p. 15 (lire en ligne)
  20. « Le nouvelliste », périodique,‎ , p. 3 (lire en ligne)
  21. « Le droit Ottawa », périodique,‎ , p. 8 (lire en ligne)
  22. « La revue de Terrebonne », périodique,‎ , p. 24 (lire en ligne)
  23. « La revue de Terrebonne », périodique,‎ , p. 1 (lire en ligne)
  24. « La revue de Terrebonne », périodique,‎ , p. 3 (lire en ligne)
  25. « La revue », périodique,‎ , p. 15 (lire en ligne)
  26. « La presse », périodique,‎ , p. 39 (lire en ligne)
  27. « Programme Lotomatique de Loto-Québec », sur Le Nouvelliste, (consulté le 24 août 2021)
  28. « La revue », périodique,‎ , p. 3 (lire en ligne)
  29. « Accès journal des pays d'en haut », périodique,‎ , p. 16 (lire en ligne)
  30. « La revue de Terrebonne », périodique,‎ , p. 30 (lire en ligne)
  31. « Le patriote », périodique,‎ , p. 13 (lire en ligne)
  32. « La revue de Terrebonne », périodique,‎ , p. 6 (lire en ligne)
  33. « Télé-université (TÉLUQ) », sur Réseau de l'Université du Québec (consulté le 24 août 2021)
  34. La Fondation pour la langue française, « Je parle français par coeur », sur Fondation pour la langue française (consulté le 24 août 2021)
  35. « La presse », périodique,‎ , p. 4 (lire en ligne)
  36. « Le Devoir », périodique,‎ , p. 2 (lire en ligne)
  37. « Le Devoir », périodique,‎ , p. 2 (lire en ligne)
  38. « Le Quotidien », périodique,‎ , p. 18 (lire en ligne)
  39. « Accueil - Office québécois de la langue française », sur www.oqlf.gouv.qc.ca (consulté le 24 août 2021)
  40. « La Revue », périodique,‎ , p. 16 (lire en ligne)
  41. « La revue », périodique,‎ , p. 11 (lire en ligne)
  42. « La presse », périodique,‎ , p. 4 (lire en ligne)
  43. « L'Avenir du Nord », périodique,‎ , p. 9 (lire en ligne)
  44. « L'Avenir du nord », périodique,‎ , p. 5 (lire en ligne)
  45. « L'Avenir du nord », périodique,‎ , p. 1 (lire en ligne)
  46. « Le droit », périodique,‎ , p. 3 (lire en ligne)
  47. « Français, diversité culturelle et diversité linguistique », revue,‎ , p. 19 (lire en ligne)
  48. « Blainville en chansons », programme,‎ , p. 2 (lire en ligne)
  49. « Nord-Info », périodique,‎ , p. 1 (lire en ligne)
  50. « Le revue de Terrebonne », périodique,‎ , p. 6 (lire en ligne)
  51. « La revue », périodique,‎ , p. 8 (lire en ligne)
  52. « La revue », périodique,‎ , p. 22 (lire en ligne)
  53. « La revue de Terrebonne », périodique,‎ , p. 2 (lire en ligne)
  54. « La revue », périodique,‎ , p. 4 (lire en ligne)
  55. « La presse », périodique,‎ , p. 37 (lire en ligne)
  56. « L'action nationale », périodique,‎ , p. 64 (lire en ligne)
  57. « L'action nationale », périodique,‎ , p. 3 (lire en ligne)
  58. « Le devoir », périodique,‎ , p. 7 (lire en ligne)
  59. « Le devoir - cahier des états généraux du Canada français », cahier,‎ (lire en ligne)
  60. « Journal SSJB », périodique,‎ , p. 3 (lire en ligne)
  61. « Les référendums au Québec », cahier,‎ (lire en ligne)
  62. « Le patriote », périodique,‎ , p. 15 (lire en ligne)
  63. « L'avenir du nord », périodique,‎ , p. 13 (lire en ligne)
  64. 64,0 et 64,1 « Drapeau du Québec : le fleurdelisé », sur www.ameriquefrancaise.org (consulté le 25 août 2021)
  65. « Mérite en histoire », sur mnq,quebec
  66. « Les Rendez-vous culturels | Mouvement national des Québécoises et Québécois » (consulté le 25 août 2021)



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