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Mouvement pro-nucléaire

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Le mouvement pro-nucléaire désigne l'ensemble des individus et des groupes qui soutiennent l'utilisation et le développement de l'énergie nucléaire civile pour des raisons de protection de l'environnement (notamment de lutte contre le changement climatique), économiques, sanitaire, de préservation de l'emploi ou encore de sécurité énergétique (diminution de la dépendance aux sources d'énergie importées).

Contexte[modifier]

L'utilisation de l'énergie nucléaire est un sujet qui revient régulièrement dans les débats et dans les médias. Malgré cela, la population française méconnaît le sujet[1],[2].

Les pro-nucléaire soulignent le fait que l'énergie nucléaire ne produit pratiquement pas de pollution atmosphérique conventionnelle ni de gaz à effet de serre, contrairement aux sources d'énergie fossiles[3]. Les partisans font valoir que les risques perçus liés au stockage des déchets sont exagérés et soulignent un bilan de sécurité opérationnelle dans le monde occidental qui est excellent par rapport aux autres grands types de centrales électriques[3].

Le récipiendaire du prix Pulitzer Richard Rhodes ne comprend pas que les écologistes puissent s'opposer au nucléaire[4].

Historique[modifier]

Cette section est écrite implicitement du point de vue français et doit être internationalisée (mai 2021).

Années 1950[modifier]

L'énergie d'origine nucléaire est apparue sur le marché de l'électricité dans les années 1950. C'était une période de grand enthousiasme et de grande activité de recherche et développement, nourrie de l'espoir de pourvoir l'humanité d'une nouvelle source d'énergie bon marché et pratiquement inépuisable. L'atome utilisé à des fins pacifiques est devenu symbole de progrès et de bienfaits pour l'humanité[5].

Années 1960[modifier]

Au cours des années 1960, l'énergie d'origine nucléaire a fait ses preuves sur le plan technique et s'avéra commercialement viable[5].

Années 1970[modifier]

À mesure que le nucléaire se dégageait de l'intimité des laboratoires et perdait de son prestige en tant que discipline scientifique à mesure qu'il se transformait, au cours des années 1970, en réalités industrielles, le public en prenait conscience, s'y intéressait et s'en inquiétait[5].

En 1979 est survenu pour la première fois un grave accident dans une centrale nucléaire, celle de Three Mile Island, aux États-Unis. L'industrie nucléaire du monde entier en a été ébranlée ; l'opposition s'en est trouvée renforcée[5].

Années 1980[modifier]

Le s'est produit à Tchernobyl, en Ukraine, la pire catastrophe jamais survenue dans une centrale nucléaire ; des morts ont été déplorés et d'importantes quantités de radioactivité emportées au-delà des frontières du pays. Les fondements mêmes de l'option nucléaire, et son avenir, ont été fortement ébranlés[5].

L'énergie nucléaire reste un domaine controversé de la politique publique[6]. Le débat sur l'énergie nucléaire a culminé au cours des années 1970 et 1980[7].

Années 1990[modifier]

En 1990, un autre sondage de l'Ipsos montre cependant que le risque d'accident nucléaire est la menace jugée la plus inquiétante, la question du stockage des déchets arrivant en seconde position dans ce classement des menaces écologiques[8].

Années 2000[modifier]

Depuis le début des année 2000, l'industrie nucléaire a lancé une campagne médiatique et de lobbying internationale pour promouvoir l'énergie nucléaire comme solution à l'effet de serre et au changement climatique[9],[10].

Le Nuclear Energy Institute américain a formé divers sous-groupes pour promouvoir l'énergie nucléaire. Il s'agit notamment de la Clean and Safe Energy Coalition[11], sise à Washington, créée en 2006 et dirigée par Patrick Moore. Christine Todd Whitman, ancienne directrice de l'USEPA, a également été impliquée. Clean Energy America est un autre groupe également parrainé par le Nuclear Energy Institute.

L'initiative Nuclear for Climate[Quoi ?] est lancée dans ce sens[12].

La Chine et la Russie ont de grande ambitions en matière de nucléaire[13].

Années 2010[modifier]

Après l'accident sur la centrale nucléaire de Fukushima, la confiance dans cette technologie a chuté dans le monde entier[13]. En , quelques mois après l'événement, la part des Français qui voient dans le nucléaire une énergie d'avenir baisse de 52 à 34 %. La défiance vis à vis du nucléaire passe de 35 % en 2012, année de l'élection de François Hollande, à 46 % en 2018[14].

Années 2020[modifier]

Plus de dix ans après l'accident sur la centrale japonaise, la confiance dans l'énergie nucléaire a très nettement augmenté, le taux d'opposition étant au plus bas depuis avant 1986 (date de l'accident nucléaire de Tchernobyl). Les sondages révèlent que 43 % des personnes interrogées estiment que le nucléaire est une énergie d'avenir, contre 30 % de celles convaincues du contraire[14],[15].

Le mouvement écologiste, qui s'est construit dans les années 1960 autour de l'anti-nucléarismeSource insuffisante , voit émerger des voix dissonantes, car le réchauffement climatique a pris le pas sur à peu près tous les autres sujets. Le Français Yann Arthus-Bertrand change d'avis : « Je me dis que le nucléaire peut être l'une des solutions face au réchauffement climatique. Cela mériterait un grand débat national »[16]. En Allemagne, des inflexions se produisent malgré la sortie du nucléaire civil : en , deux figures du mouvement antinucléaire allemand, les scientifiques Anna Veronika Wendland et Rainer Moormann, publient une tribune dans Die Zeit appelant à une sortie des énergies fossiles avant celle du nucléaire, car l’intermittence des énergies renouvelables conduit nécessairement à une augmentation des importations de gaz et mettre la priorité sur la fermeture de centrales au charbon permettrait de réduire de 10 % les émissions de CO2 du pays[17].

Professionnels du secteur nucléaire[modifier]

Au niveau international[modifier]

Entreprises leaders du secteur[modifier]

Les entreprises majeurs du secteur sont : en Chine, Compagnie nucléaire nationale chinoise (CNNC) ; au Japon, Tokyo Electric Power Company (TEPCO) ; en Inde, Nuclear Power Corporation of India ; en Russie, Rosatom ; au Canada, Ontario Power Generation ; en Suède, Vattenfall.

Groupements professionnels[modifier]

L'Association nucléaire mondiale (en anglais World Nuclear Association, WNA) regroupe la plupart des principaux acteurs du secteur nucléaire civil ; elle fait la promotion de l'industrie nucléaire mondiale et propose un large éventail de statistiques et d'études techniques.

Institutions[modifier]

L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et l'Agence pour l'énergie nucléaire, organisation intergouvernementale spécialisée de l’OCDE, produisent de nombreux rapports et des bases de données sur l'énergie nucléaire.

L'Agence internationale de l'énergie (AIE) prend fréquemment position en faveur de la contribution du nucléaire à la transition énergétique[18].

Investisseurs[modifier]

Bill Gates a co-fondé en 2006 la société TerraPower, qui développe des projets innovants de réacteurs nucléaires : réacteur à onde progressive et réacteur à sels fondus. Lors d’un discours prononcé au MIT en 2010, il a salué le potentiel de l’énergie nucléaire dans les pays où les énergies solaire et éolienne sont rares : « C’est presque infini. Nous pourrons d’ailleurs bientôt extraire de l’uranium des océans, à un coût très bas, afin de faire fonctionner ces machines aussi longtemps que le soleil brillera »[19].

Au niveau français[modifier]

Entreprises leader du secteur[modifier]

Les principales entreprises du secteur nucléaire ont une communication axée sur la promotion de ses avantages, par exemple en France : EDF, Orano, Framatome[20].

Groupements professionnels[modifier]

Le Groupement des industriels français de l’énergie nucléaire (GIFEN) rassemble la branche de l'industrie nucléaire en France depuis 2018[21].

Agences gouvernementales[modifier]

Institutions[modifier]

Associations pro-nucléaires[modifier]

Au niveau international[modifier]

Au niveau français[modifier]

La Société française d'énergie nucléaire (SFEN) se veut une société savante qui publie des études solidement étayées en faisant appel à l'expertise de ses membres ingénieurs ou chercheurs dans le secteur nucléaire. Dans un registre plus militant, Sauvons le climat publie des argumentaires en faveur du nucléaire et des réfutations des arguments contestables des partisans du tout-renouvelables. La Fédération nationale des mines et de l'énergie CGT défend l'emploi de ses adhérents, dont une grande part travaille dans la filière nucléaire.

Personnalités publiques ayant défendu publiquement le nucléaire civil[modifier]

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Personnalités politiques des principaux pays producteurs de nucléaire[modifier]

Plusieurs dirigeants ont mené des politiques de maintien du parc nucléaire existant de leur pays, ou de développement du nucléaire civil de manière temporaire ou par nécessité, bien qu'ils ne se réclament pas nécessairement comme « pro-nucléaire » ou appartenant à un mouvement pro-nucléaire.

Le président Joe Biden a intégré dans son programme[26] la contribution du nucléaire à la transition énergétique grâce aux petits réacteurs modulaires[27]. Son envoyé spécial pour le climat John Kerry précise cette position : « Nous devons garder ouverte une position de repli au cas où l'on ne réussirait pas une percée dans le stockage des batteries, si on ne réussit pas à créer une économie de l'hydrogène [...] je ne pense pas que cela prendra la forme ancienne de ces énormes centrales qui sont actuellement sur le marché et qui sont trop chères pour être réellement viables »[28].

Le gouvernement britannique est également favorable au nucléaire : Boris Johnson, présentant en novembre 2020 la feuille de route qui doit permettre au Royaume-Uni d'atteindre son objectif de neutralité carbone à l'horizon 2050, promet 525 millions de livres pour aider au développement des grandes centrales mais aussi de plus petits sites, grâce aux réacteurs modulaires avancés[29]. Il annonce en décembre 2020 l'ouverture de discussions avec EDF pour la construction d'une nouvelle centrale nucléaire Sizewell C[30].

Au Canada, le gouvernement de Justin Trudeau voit l'énergie nucléaire comme « un élément important du panier d'énergies propres actuel du Canada » et il fait pression sur l'étranger pour qu'elle soit incluse dans les discussions sur la lutte contre les changements climatiques[31].

Au Japon, Shinzō Abe déclare en 2016 : « Notre pays pauvre en ressources ne peut se passer de l'énergie nucléaire pour se garantir un approvisionnement régulier en énergie »[32] et son gouvernement approuve en 2018 un plan énergétique visant à atteindre une part de 20 % à 22 % d’électricité d’origine nucléaire à l’horizon 2030 contre 2 % fin 2017[33]. Son successeur Yoshihide Suga fixe en octobre 2020 l'échéance de 2050 pour que le Japon atteigne la neutralité carbone ; il précise que le pays va promouvoir l'utilisation des énergies renouvelables et de l'énergie nucléaire[34].

En Chine, le président Xi Jinping s'engage en septembre 2020 à atteindre la neutralité carbone en 2060. La Chine compte porter la part du nucléaire dans Énergie en Chine#Secteur électriqueson mix électrique de 4,9 % en 2020 à 10 % d’ici à 2035, au rythme de construction de six à huit réacteurs par an, soit près d’une centaine en quinze ans[35]. Une ébauche de trajectoire de neutralité carbone publiée en par l’université Tsinghua prévoit un accroissement de la production d'électricité nucléaire de 382 % d'ici 2060[36].

En Russie, le président Vladimir Poutine critique la politique énergétique de certains États européens : « Nos partenaires, notamment en Europe, se compliquent considérablement la tâche, parce que de nombreux pays abandonnent l’énergie atomique ». La part du nucléaire dans la production électrique de la Russie est d’environ 19 %[37].

Personnalités politiques françaises[modifier]

Journalistes, chercheurs, experts[modifier]

  • James Lovelock : « il n'existe qu'une source d'énergie immédiatement disponible qui ne cause pas de réchauffement climatique : c'est l'énergie nucléaire. [...] L'opposition à l'énergie nucléaire est fondée sur des craintes irrationnelles [...]. Ces craintes sont injustifiées, et l'énergie nucléaire, depuis ses débuts en 1952, a prouvé qu'elle est la plus sûre de toutes les sources d'énergie. [...] La civilisation est en danger imminent et doit utiliser le nucléaire, la seule source d'énergie sûre et disponible dès maintenant, ou sinon subir les maux qui vont nous être infligés par notre planète outragée »[45]; de nombreux autres biologistes sont en faveur de l'utilisation pacifique du nucléaire[46].
  • James E. Hansen et trois autres spécialistes du réchauffement climatique ont publié en 2013 une lettre ouverte aux anti-nucléaires : « la poursuite de l'opposition à l'énergie nucléaire menace la capacité de l'humanité à éviter le danger du changement climatique »[47]
  • Sylvestre Huet
  • Georges Charpak
  • Thierry Caminel, un des rares adhérents d'Europe Écologie-Les Verts en faveur du nucléaire : « Si on veut assurer pour nos petits-enfants un socle minimum d'énergie, le nucléaire est indispensable. Il faut le voir comme un amortisseur des chocs à venir »[16]

Écologistes[modifier]

  • Yann Arthus-Bertrand : « Les écologistes refusent le débat car leur histoire se confond avec celle du mouvement pacifiste, contre la bombe atomique. Ils parlent des déchets nucléaires, mais nous empoisonnons tous les jours notre terre et nos enfants avec des pesticides ou des herbicides qui recouvrent 30 % du pays ! Si le changement climatique est la priorité des Verts et si ces déchets sont le prix à payer pour fermer les centrales à charbon, c’est leur responsabilité d’ouvrir le débat sans tabou »[48].
  • Jean Marc Jancovici : « On n'a pas trouvé mieux que le nucléaire pour produire de l'électricité sans trop polluer. […] Il y a de 10 à 100 fois plus de métal dans l'éolien et le photovoltaïque que dans le nucléaire par kilowatt-heure produit. Il faut donc faire 10 à 100 fois plus de trous dans la terre pour aller chercher les métaux »[49].
  • Michael Shellenberger, fondateur de l'association Environmental Progress et du think tank Breakthrough Institute, explique : « J'étais initialement, comme beaucoup de gens, assez hostile à l'énergie nucléaire. Mais j'ai changé d'avis en me rendant compte qu'une économie moderne ne peut pas reposer sur le solaire et l'éolien. Ils ne font que rendre chaotique la production d'électricité et facilitent le développement des énergies fossiles »[50]; plus généralement tous les écomodernistes.
  • Zion Lights, porte-parole du mouvement Extinction Rebellion jusqu'en juin 2020, quitte l'organisation notamment pour défendre l'énergie nucléaire qu'elle considère comme « une source d’énergie fiable à faible émission de carbone dans laquelle nous pouvons investir dès maintenant. […] Entourée d’activistes antinucléaires, j’avais laissé la peur des radiations, des déchets nucléaires et des armes de destruction massive s’infiltrer dans mon subconscient. J’ai réalisé que j’avais été dupée dans le sentiment anti-science depuis tout ce temps »[51].
  • Patrick Moore, co-fondateur et l'un des premiers présidents de Greenpeace, dont il dirigea l'antenne canadienne pendant sept ans, écrit en 2006 : « en trente ans, mes idées ont évolué... Le nucléaire est peut-être la source d’énergie qui peut préserver notre planète. Les mouvements verts doivent revoir leur position »[52].
  • George Monbiot a durement condamné les méthodes anti-scientifiques du mouvement anti-nucléaire : « le mouvement a trompé le monde sur les effets des rayonnements sur la santé humaine. […] Incapable de fournir des sources, réfutant des données avec des anecdotes, sélectionnant uniquement les éléments qui lui conviennent dans les études, dédaignant le consensus scientifique, invoquant une dissimulation pour l'expliquer : tout ceci est horriblement familier. Ce sont les habitudes des climato-sceptiques, contre qui le mouvement vert a lutté vaillamment, appelant la science à son aide. Il est désolant de découvrir que lorsque les faits ne leur conviennent pas, les membres de ce mouvement recourent aux folies qu'ils ont dénoncé »[53].
  • Le climatologue Tom Wigley considère que le recours aux énergies renouvelables sera insuffisant pour contrer le changement climatique et que « la poursuite de l’opposition à l’énergie nucléaire menace la capacité de l’humanité à faire face au danger du changement climatique »[54].

Critiques[modifier]

Le média français Reporterre s'inquiète de voir nombre d'écologistes se réclamer du mouvement pro-nucléaire[pourquoi ?][55].

Voir aussi[modifier]

Articles connexes[modifier]

Notes et références[modifier]

  1. huet, « Nucléaire et climat : la grande tromperie », sur {Sciences²}, (consulté le 28 novembre 2020).
  2. « Que pensent les Français du nucléaire ? », L'Usine Nouvelle,‎ (lire en ligne, consulté le 28 novembre 2020).
  3. 3,0 et 3,1 (en) Thom Patterson CNN, « Environmental scientists tout nuclear power to avert climate change », sur CNN (consulté le 1er mai 2021)
  4. (en) « Why Nuclear Power Must Be Part of the Energy Solution » [« Raison pour laquelle le nucléaire doit être une part de la solution énergétique »], sur Yale Environment 360 (en), .
  5. 5,0 5,1 5,2 5,3 et 5,4 N.L. Char et B.J. Csik, L'énergétique nucléaire: son passé et son avenir, IAEA (iaea.org/sites/default/files/29304781925_fr.pdf [PDF])
  6. (en) « Wayback Machine » [PDF], sur web.archive.org, (consulté le 1er mai 2021).
  7. (en) Jim Falk, Global fission : the battle over nuclear power, Melbourne ; New York : Oxford University Press, (lire en ligne).
  8. « Comment l'opinion française a évolué sur le nucléaire », sur LExpress.fr, (consulté le 1er mai 2021).
  9. Martin Rousseau, « Réponse au lobby du nucléaire - cf. Interview France Culture de Jean-Marc Jancovici », sur Club de Mediapart (consulté le 1er mai 2021)
  10. « Climat : les géants de l'énergie mènent un lobbying intense depuis la COP21 », sur LExpress.fr, (consulté le 1er mai 2021)
  11. (en-US) « Clean and Safe Energy Coalition » (consulté le 1er mai 2021).
  12. « Le nucléaire n'est pas une bonne réponse au réchauffement climatique », sur Reporterre (consulté le 1er mai 2021).
  13. 13,0 et 13,1 « Nucléaire. Le retour du syndrome Tchernobyl », sur Courrier international, (consulté le 1er mai 2021).
  14. 14,0 et 14,1 Michel Revol, « Les Français soutiennent de plus en plus le nucléaire », sur Le Point, (consulté le 1er mai 2021).
  15. « Les Français de plus en plus favorables au nucléaire », sur theworldnews.net (consulté le 1er mai 2021).
  16. 16,0 16,1 et 16,2 Peut-on être écologiste et défendre le nucléaire ? On a tenté de trancher le débat en répondant à cinq questions, France Info, 15 juillet 2020.
  17. Quand l’urgence climatique invite les écologistes antinucléaires à revoir leurs priorités, lenergeek.com, 23 septembre 2020.
  18. « La France doit avoir du nucléaire et du renouvelable », juge le directeur de l'Agence internationale de l'énergie, Les Échos, 12 février 2020.
  19. Une entreprise énergétique co-fondée par Bill Gates développe un réacteur nucléaire d’un nouveau genre, Trust My Science, 3 décembre 2018.
  20. 20,0 20,1 et 20,2 « Les grands lobbies français : pro-nucléaire », sur L'Internaute (consulté le 28 novembre 2020)
  21. Le nucléaire français enterre ses haches de guerre et crée le Gifen, L'Usine nouvelle, 27 juin 2018.
  22. Fermer Fessenheim et d’autres réacteurs est un contre-sens [PDF], avis de l’Académie des sciences, 7 juillet 2020.
  23. « I2EN - International institute of nuclear energy », sur i2en.fr (consulté le 2 décembre 2020).
  24. (en-US) « Clean and Safe Energy Coalition – Nuclear Energy is America's Clean and Safe Energy Solution » (consulté le 2 décembre 2020)
  25. (en-GB) « Welcome to website of the Supporters of Nuclear Energy (SONE) UK », sur Supporters of Nuclear Energy (SONE) (consulté le 2 décembre 2020)
  26. (en) The Biden Plan for a Clean Energy Revolution and Environmental Justice, joebiden.com.
  27. États-Unis: Joe Biden compte avec le nucléaire pour ses projets d'énergie propre, Forum nucléaire suisse, 22 juillet 2020.
  28. Nucléaire : les États-Unis comptent sur les petits réacteurs, Les Échos, 4 avril 2021.
  29. Le Royaume-Uni se dote d'une feuille de route ambitieuse pour atteindre la neutralité carbone d'ici à 2050, Les Échos, 18 novembre 2020.
  30. Londres annonce des discussions avec EDF sur la construction d'une nouvelle centrale nucléaire, La Provence, 14 décembre 2020.
  31. Climat : le gouvernement Trudeau mise aussi sur le nucléaire, Radio-Canada, 15 mars 2018.
  32. Nucléaire: le Japon ne peut se passer de l'énergie atomique selon Abe, Capital, 10 mars 2016.
  33. Sept ans après Fukushima, le Japon reprend le chemin du nucléaire, Le Monde, 3 juillet 2018.
  34. Le Japon se fixe un nouvel objectif de neutralité carbone d'ici 2050, RTS, 26 octobre 2020.
  35. La Chine, championne de l’énergie atomique, Le Figaro, 10 mars 2021.
  36. Nucléaire, solaire, éolien... : Comment la Chine veut atteindre la neutralité carbone en 2060, Novethic, 23 octobre 2020.
  37. Comment vont-ils se «réchauffer» ? Poutine plaisante sur la politique anti-nucléaire des Allemands, RT France (Russia Today), 23 septembre 2020.
  38. « Emmanuel Macron écrit sur l’énergie nucléaire », {Sciences²},‎ (lire en ligne, consulté le 28 novembre 2020)
  39. « VIDÉO - Nucléaire : vers une annonce "historique" d'Emmanuel Macron ? », sur RTL.fr (consulté le 28 novembre 2020)
  40. « Réchauffement climatique : le nucléaire, une "chance" selon Emmanuel Macron », sur La Dépêche du Midi,
  41. Eric Wattez, « Edouard Philippe, un nucléocrate à Matignon ? », sur Capital.fr, (consulté le 28 novembre 2020)
  42. « François Bayrou, Haut-commissaire au Plan, veut de nouveaux réacteurs nucléaires », sur L'EnerGeek, (consulté le 28 avril 2021)
  43. « Hauts-de-France. Xavier Bertrand fermement opposé aux éoliennes, il se déclare « pro-nucléaire » », sur www.msn.com (consulté le 28 avril 2021)
  44. « Les Insoumis atomisent Montebourg sur fond de bisbilles sur le nucléaire », sur HuffPost,
  45. (en) James Lovelock : Nuclear power is the only green solution, The Independent, 24 mai 2004.
  46. (en) « Nuclear power is the greenest option, say top scientists », sur The Independent,
  47. « Top climate change scientists issue open letter to policy influencers – CNN.com », CNN,‎ (lire en ligne) La lettre est signée par James E. Hansen, Ken Caldeira, Kerry Emanuel et Tom Wigley.
  48. Peut-on être écologiste et pro-nucléaire ?, Goodplanet, 25 mai 2020.
  49. « On n'a pas trouvé mieux que le nucléaire pour produire de l'électricité sans trop polluer », Le Point, 17 juin 2019.
  50. (en) « A radioactive wolf in green clothing: Dissecting the latest pro-nuclear spin », sur Independent Australia (consulté le 15 juin 2019)
  51. « La porte-parole d'Extinction Rebellion se convertit en... lobbyiste pro-nucléaire », sur Valeurs actuelles (consulté le 20 novembre 2020)
  52. « Flambée du pétrole, une chance pour la France, leader du nucléaire », Le Figaro,‎ (lire en ligne)
  53. George Monbiot, « Evidence Meltdown », The Guardian,‎ (lire en ligne[archive du ]).
  54. By, « Top climate change scientists issue open letter to policy influencers », sur CNN (consulté le 1er mars 2021).
  55. « Comment le nucléaire gagne la bataille des réseaux sociaux », sur Reporterre, .

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