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Michel Sicard et Mojgan Moslehi

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Michel Sicard et Mojgan Moslehi
Image associée au collectif
Michel Sicard et Mojgan Moslehi forment un couple d'artistes depuis 2004
Date de création 2017
Site web https://sicard-moslehi.com/fr/
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Michel Sicard (né le à Toulon en France) et Mojgan Moslehi (née le à Téhéran, en Iran) sont des artistes plasticiens et photographes, évoluant entre abstraction, art informel et art conceptuel. Ils vivent et travaillent à Paris. À la fois créateurs et chercheurs, Michel Sicard et Mojgan Moslehi en tant que couple d'artistes interrogent dans leurs œuvres et installations communes les forces physiques, cosmiques, les flux vibratoires, le monde flottant, dans une pensée proche du zen.

Biographie[modifier]

Michel Sicard[modifier]

Michel Sicard a fait des études de Philosophie à Nice, où il rencontre Michel Butor, et de Lettres à Paris X-Nanterre. Il écrit sur Sartre, se lie d'amitié avec lui, sur qui il publie plusieurs ouvrages[1], avant de se consacrer à l'art. D'abord théoricien de l'art, écrivant sur des membres du groupe Cobra (Christian Dotremont et Pierre Alechinsky), il participe en 1984 au commissariat de l'exposition inaugurale de la Villa Arson à Nice, Les écritures dans la peinture, y devient artiste boursier-résident. Il se sent assez proche de l'École de Nice, de Fluxus et de Supports/Surfaces, fréquente Ben, Noël Dolla, Marcel Alocco, Claude Viallat, Michel Vachey[2] et expose à la Librairie-Galerie Jacques Matarasso. Puis il est chargé de Mission à la Villa Médicis à Rome, en 1986-1987. Il s'intéresse au livre d'artiste, en tant que poète et en tant que plasticien, entrelaçant aussi la notion d'écriture et la création plastique dans ce qu'il appelle les écrivures. Il entre dans les collections du FRAC de Basse et Haute-Normandie[3] et reçoit le Prix Fontenelle décerné par la ville de Rouen. Il passe en 1995 une habilitation à diriger des recherches sur Art et langage, est élu en 1998 professeur d'arts visuels à l'Université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne, où il dirige une soixantaine de thèses[4], tout en poursuivant sa carrière d'artiste. Nombreuses expositions personnelles à Avignon, Bruxelles, Saint-Lô, Strasbourg, Berlin, Bratislava, Bucarest, Séoul, Pékin... L'Université Normale de Harbin (Chine) lui décerne en 2008 le titre de Docteur Honoris Causa.

Mojgan Moslehi[modifier]

Mojgan Moslehi remporte plusieurs prix dans des Biennales de peinture et des expositions annuelles à Téhéran, et à la triennale de New Delhi. Elle entre dans les collections du Musée d'Art contemporain de Téhéran et du Musée Niavaran Elle s'est intéressée à l'art extrême-oriental sur lequel elle a écrit son mémoire de maîtrise à l'Université Azad. Elle expose dans diverses galeries dont la Assar Art Gallery à Téhéran. Elle vient à Paris en . Elle rejoint le groupe Divar-é-sefid (Le Mur blanc), dont elle se séparera peu de temps après. Boursière du Ministère de la Culture et du Musée d'art contemporain de l'Iran, elle séjourne pendant les deux premières années à la Cité internationale des arts. Elle met en œuvre ses travaux picturaux dans une concision accrue, quant au geste et quant au choix des couleurs : un noir envahissant qui embrasse à la fois la présence et l'absence. Elle passe en Sorbonne un DEA, puis rédige une thèse de doctorat sur L'art du vide : la présence du vide dans l'art contemporain, soutenue en Sorbonne en 2010.

Le couple d'artistes[modifier]

Michel Sicard et Mojgan Moslehi exposent leurs œuvres conjointement à partir de 2004 au Seoul Art Center[5] et à la Galerie Artlink: de Séoul, puis à la Galerie Itinerrance à Paris en 2006, au Museum of Modern Art à Nankin en 2008 et à la Galerie de l'Académie Nationale de Peinture de Pékin en 2010. En 2011, Michel Sicard et Mojgan Moslehi officialisent leur duo d'artistes, dans des œuvres et installations communes, où ils mêlent peintures, dessins, objets, photos et vidéos, comme au Seokdang Museum à Pusan et au Museum of Art de Daejeon[6] en Corée du Sud en 2016, ou à la Galerie d'Art Contemporain d'Auvers-sur-Oise en 2017.

Démarche artistique[modifier]

Dans leurs créations, Michel Sicard et Mojgan Moslehi utilisent plusieurs médias pour créer des réseaux d'échanges et de communication. Ils explorent l'espace vu comme des énergies entre les choses. Mettant en relief les qualités vibratoires et sonores des objets et images qui effacent les frontières entre extérieur et intérieur, visible et invisible, ils révèlent de nouvelles cognitions, dans un paysage d'images, de particules de propagations. Ils étudient ainsi les changements, les fragmentations, les failles, du pelliculaire à la profondeur, du mesurable au non-mesurable, de la présence à l'absence, du matériel à l'immatériel, du chromatisme au trou noir. Expériences multiples, parfois paradoxales, entre images et traces, ou écritures, entre objets et reflets, entre flux vital et travail conceptuel, entre le plastique et le poétique. Comme par exemple dans ce long couloir de verre vide, ces miroirs et cette inscription répétée sur les parois : Non œuvre non présence, au Musée de Saint-Denis[7], qui donne au vide sa densité créatrice et sa puissance de refus. Ils pratiquent une peinture très technique, travaillée dans ses strates infimes et impondérables. Leurs séries Dark energy, Light gravity, Appear/desappear, jouent sur des ondes nouvelles où dominent les transparences, les rayonnements et les ombres. Ils utilisent aussi des miroirs mis en abyme qui accueillent et segmentent la vision, la mettent en apesanteur[8]. Ils créent des assemblages d'objets, qui sont en même temps des structures mobiles, flottantes, ou des désassemblages, dans une logique de la catastrophe ou du chaos[9],[10][réf. insuffisante].

Photographies[modifier]

Dans leurs séries de photographies dominent les effets de vitesse, le flou[11], le fluide, le vide avec des thèmes comme les trains, les forêts, l'eau[12], les vagues, la pluie, la neige, ou même la nature menacée, fragmentée. Ils publient en 2020 l'ouvrage Temps interférentiel dans la photographie[13],[14]. « En 2021, ils publient Photongraphie, un volume qui explore les ondes lumineuses déplaçant les limites des objets représentés dans la photographie[15]. »

Livres d'artiste[modifier]

Leurs livres d'artiste se caractérisent par une totale imbrication entre le signe d'écriture et le langage plastique. Tantôt ils utilisent le feuillètement, en cahiers ou en accordéon, tantôt le repliement, par pliages successifs ou en rouleau. D'autres fois leurs livres se déploient dans l'espace de façon imprévisible. Heiner Wittmann voit dans ces assemblages mobiles, comparables à leurs sculptures en papiers flottants, une pratique de déconstruction: « Le livre constitué par des poèmes et des images, ou des dessins sans reliure, évoque une possibilité déconstructive de type feuillets non pliés, feuillets épars non numérotés, envolés ou en tout cas écartelés dont les fragments de phrase peuvent se lire de façon aléatoire[16]. Dans une dernière période, il ne reste que l'emboîtage cartonné nimbé d'un brouillard de peinture, le livre étant expurgé de tout message décryptable, pour ne devenir qu'une forme vide, qui cependant fait mémoire.

Quelques livres d'artiste :

  • A l'onglet du silence, livre manuscrit peint et livre-objet, boîte en plexiglass, tampon de coton hydrophile, Paris, 2004.
  • À l'orée des ténèbres, livre manuscrit et peint, reliure Véronique Sala-Vidal, Paris, 2004.
  • La Langue des astres, peintures et écritures, 2004.
  • Nuit mon silence, graphies d'écritures folles et peintures, 2006.
  • À l'appel des nuages, graphies d'écritures folles et peintures de Mojgan Moslehi, 2006.
  • Livres de poussière I à X, 10 livres tous exemplaires uniques, 2012-2013.
  • Enfouissements I à XX, 20 livres, dimensions variables, tous exemplaires uniques, 2014.

Réalisations[modifier]

Les réalisations de Michel Sicard et Mojgan Moslehi ont été installées pour la plupart dans de vastes lieux muséaux où se dévoilent davantage les échanges, les tensions entre les énergies et les jeux du chaos et du hasard dans un espace ouvert:

  • Seoul Arts Center, Traces essentielles, 2004, peintures et dessins, avec les premières collaborations Sicard et Moslehi sur grands papiers.
  • Galerie Itinerrance, Paris, 2006, Michel Sicard et Mojgan Moslehi[17], juxtaposent dessins, peintures et photographies.
  • Museum of Art, Nankin, 2008, peintures, installations et performances.
  • Seokdang Museum of Art, Mind/Time, Pusan, 2016, ensemble de peintures, de photos et d'installations, avec notamment les premières séries des miroirs encâblés.
  • Museum of Art, Daejeon (Corée du Sud), Things change, 2016, installations modifiant des séries précédentes connues par leur réorganisation dans l'espace.
  • Musée des Arts et Métiers, Corps dessinant, Paris, 2016, performance dans la Chapelle : Corps, limites de 45' de Michel Sicard, chorégraphie Mojgan Moslehi.
  • Galerie d'Art contemporain, Notes de brouillard, Auvers-sur-Oise, 2017, rétrospective de la période récente.
  • Musée d'art et d'histoire de Saint-Denis, Enfermement, 2019 : pièces sur panneau Dibond alu brossé et lettrages Non œuvre Non présence (12 × 157 cm) et Les stades du miroir (18 miroirs 150 × 50 cm) : « Sur un pont vitré traversant le cloître, dans le vide d'une non-œuvre, retentissement des événements, des passages, des chants ou présences incertaines ou définies, qui dépassent tout l'enfermement par son absence et recréent perpétuellement son devenir. » (Catalogue Enfermement, Musée d'art et d'histoire Paul Éluard, Saint Denis, 2019, p. 14.)[18],[19]

Expositions (choix)[modifier]

  • 2004 : Michel Sicard et Yeo Tae-Myung - Traces essentielles, Séoul, Seoul Arts Center
  • 2004 : Michel Sicard Livres d'artiste, Séoul, Artlink Gallery
  • 2005 : The 21 st South Region Contemporary Art Festival, Gwangju (Corée du Sud)
  • 2006 : Salon Page(s) 9, Paris 12e, espace Charenton, stand Éditions inédites
  • 2006 : Michel Sicard et Mojgan Moslehi, Paris, Galerie Itinerrance
  • 2007 : Michel Sicard, Bratislava (Slovaquie), Chapelle des Franciscains/Ambassade de France
  • 2008 : Michel Sicard et Mojgan Moslehi, Nanjing (Chine), Museum of Art
  • 2008 : The 22 nd South Region Contemporary Art Festival, Gwangju (Corée du Sud)
  • 2008 : Michel Sicard, Harbin (Chine), Galerie de l'Université Normale
  • 2008 : Michel Sicard - Signes et flux, Paris 13e, Banque CIC, Agence Avenue de France
  • 2008 : Michel Sicard - Signes et Sens, Bucarest (Roumanie), Musée d'Art de Mogosoaia, Château de Brâncoveanu[20]
  • 2009 : L'eau, Poprad (Slovaquie), Galerie Nationale Slovaque
  • 2009 Pages d'écriture et autres textes, œuvres dans la collection du FRAC Haute-Normandie, Grand Quevilly, Maison des Arts
  • 2010 : Michel Sicard et Mojgan Moslehi, Beijing (Chine), The Art Gallery of China, National Academy of Painting
  • 2011 : Taches, Shanghai, Musée d'Art Qihzan Zhu
  • 2011 : Michel Sicard - Le Temps des flux, Lille, Galerie Annie Wable
  • 2012 : Repenser l'ordinaire, Paris, Couvent des Cordeliers
  • 2012 : Livres anciens, estampes, dessins, Paris, Grand Palais, Stand Véronique Sala-Vidal
  • 2014 : Sicard et Moslehi - Non corps du temps, film, Valenciennes, Université d'Artois, École Supérieure des Arts et de l'Éducation (ESPE)
  • 2014 : Michel Sicard - Suite pour Elseneur, Le Havre, Lycée Jeanne d'Arc, exposition organisée par le FRAC de Haute-Normandie
  • 2014 : Caméléon Vermillon, Montauban, galerie de la Médiathèque, Biennale Passage(s) design, Arts et Transmission
  • 2014 : Michel Sicard - Suite pour Elseneur, Bernay, Collège Le Hameau, puis Le Havre, Lycée Jeanne d'Arc, expositions organisées par le FRAC de Haute-Normandie
  • 2014 : Entre-Mondes, Paris, Patronage laïque Jules Vallès
  • 2015 : Michel Sicard et Mojgan Moslehi - No Way time, film court-métrage, Arras, Maison de la Recherche
  • 2016 : Michel Sicard et Mojgan Moslehi - Mind/Time, Pusan (Corée du Sud), Seokdang Museum of Art
  • 2016 : Michel Sicard et Mojgan Moslehi - Things change, Daejeon (Corée du Sud), Museum of Modern Art
  • 2016 : Michel Sicard et Mojgan Moslehi - Cendres noires, organisée par L'UNAM, Villefranche-sur-Mer[21], Chapelle Sainte Élisabeth, hommage à l'attentat de Nice : Les cris de l'âme de la Baie des Anges
  • 2016 : Corps dessinant, Corps, limites, performance, Paris, Musée des Arts et Métiers
  • 2017 : Design(s) Noir(s) : promenades chromatiques, Toulouse, Maison de la Recherche, Université Toulouse Jean-Jaurès, Biennale Passage(s) du design
  • 2017 : Michel Sicard et Mojgan Moslehi - Notes de brouillard, Auvers-sur-Oise, Galerie d'Art contemporain
  • 2019 Enfermement, Sicard et Moslehi : Les stades du miroir, Saint-Denis, Musée d'art et d'histoire Paul Éluard
  • 2021 Daegu Photo Biennale, Michel Sicard & Mojgan Moslehi in Main exhibition, Missing Agenda : Even Below 37,5
  • 2021 50 x 50', Exposition anniversaire du cinquantenaire de L’École des Arts de La Sorbonne, – 6 novembre- Paris, Galerie Michel Journiac
  • 2021 Image of Creation, Gongju (Corée du Sud), Illak Gallery, Gongju National University of Education, 21 -

Œuvres dans les collections publiques (choix)[modifier]

Articles, catalogues et ouvrages[modifier]

  • Michel Sicard, Le livre en mouvement, in Gaëlle Pélachaud, Livres animés, du papier au numérique, Paris, L’Harmattan, 2010, p. 11 à 20 (ISBN 978-2-296-13779-0).
  • Mojgan Moslehi, L'œuvre du chaos, in Les enjeux de l'art et du chaos, par Guy Lecerf (dir.), Fernelmont (Belgique), E.M.E. et InterCommunications éditions, 2012 (ISBN 978-2-8066-0211-4).
  • Michel Sicard, Du livre manuscrit : expérimentations, tendances, in Le livre d'artiste depuis 1980 en France et au Royaume-Uni, Publications de l'Université de Saint-Étienne, 2014 (ISBN 978-286272-658-8).
  • Michel Sicard, Pour une esthétique des Entre-Mondes, Paris 15e, Association Actisce, 2014.
  • Michel Sicard, Physique et métaphysique du papier, in Odile Aussédat-Perrin, Transparences : métamorphoses et métaphores du papier, Paris, L’Harmattan, 2015, p. 11 à 28 (ISBN 978-2-343-04369-2).
  • Michel Sicard, Métamorphoses de l’écrit aux XXe et XXIe siècles : le livre d’artiste et le contemporain, in Métamorphoses - Un bâtiment, des collections, par Christophe Didier et Madeleine Zeller (dir.), Strasbourg, Bibliothèque nationale et universitaire, 2015, p. 294 à 301 (ISBN 978-2-85923-056-2).
  • Michel Sicard et Mojgan Moslehi : Mind/Time[22], Pusan (Corée du Sud), Seokdang Museum, 2016.
  • Michel Sicard et Mojgan Moslehi : Things change, Daejeon (Corée du Sud), Museum of Modern Art, 2016.
  • Michel Sicard, Corps, limites, in Corps dessinant, Paris, Institut Acte/CNRS et Musée des Arts et Métiers, 2016.
  • Michel Sicard et Mojgan Moslehi : Notes de brouillard, Auvers-sur-Oise, plaquette-catalogue, Galerie d'Art Contemporain, 2017.
  • Michel Sicard et Mojgan Moslehi, Attachements, fractures, in Enfermement, revue Création et Patrimoine, no 7, Paris, Institut Acte, 2019.
  • Michel Sicard, Photographie et interprétation, in Interprétation et art, par F. Soulages (dir.), Paris, L'Harmattan, 2019.
  • Michel Sicard et Mojgan Moslehi : Temps interférentiel dans la photographie, Paris, L'Harmattan, coll. Retina.Création, 2020 (ISBN 978-2-343-19967-2).
  • Michel Sicard, Mojgan Moslehi : Photongraphie, Paris, L'Harmattan, coll. Retina.Création, 2021 (ISBN 978-2-343-24609-3).

Liens externes[modifier]

Notes et références[modifier]

  1. ↑ Michel Sicard a dirigé l’édition des deux numéros de la revue Obliques de Sartre et Sartre et les arts, Nyons, Éditions Borderie, 1979, 384 p. ; et 1981, 320 p. ISSN 0180-9660 Article de Bertrand Poirot-Delpech, Un écrivain d’avenir publié dans Le Monde, le . Article de Michel Contat, Sartre dans la revue Obliques bis, . Le Monde, . Sicard a publié aussi La Critique littéraire de Jean-Paul Sartre, t. 1 et 2, Paris, Éd. Minard, 1976 et 1980 (ISBN 2-256-90350-8 et 2-256-90380-X).
  2. ↑ Fondateur du Groupe Textruction, Voir: Michel Vachey/.
  3. ↑ FRAC de Basse-Normandie: Michel Sicard.
  4. ↑ Thèses dirigées par Michel Sicard.
  5. ↑ Yeo Tae Myong, Michel Sicard : Paris Seoul, in revue Cama, no 55, Séoul, , p. 42-45. (ISSN 1599-4295)
  6. ↑ | Exposition Michel Sicard et Mojgan Moslehi, Things change
  7. ↑ Samantha Deman, [1] Des temps de silence à Saint-Denis, Arts/Hebdo/Médias, .
  8. ↑ Cf. expositions Mind/Time au Seokdang Museum, à Pusan, et Les stades du miroir, in Enfermement, Musée d'Art et d'histoire de Saint-Denis, 2019.
  9. ↑ Voir l'article de Mojgan Moslehi L'œuvre du chaos , in : Les Jeux de l'art et du chaos, de Guy Lecerf (dir), Eme Éditions, 2012.[réf. incomplète]
  10. ↑ Catherine Dufour, Montages et assemblages, in revue Mélusine, dir. par Henri Béhar, 7 février 2021, p. 10.[réf. incomplète]
  11. ↑ Sur le thème du flou : Sicard, M. & Moslehi, M. Dis/appear III, 2012, photographie, image de couverture pour le livre de Biagio d’Angelo & François Soulages, Le Flou de l’image, Paris, Éditions L’Harmattan, 2019 (ISBN 978-2-343-17228-6).
  12. ↑ Exposition à la Galerie nationale slovaque à Poprad en 2009 sur le thème de l'eau organisée par Philippe Sanguinetti et Gilles Rouet: Vysoketatry, Slovaquie, Mesto Vysoké Tatry, Vyslo, , voir :Mikuláš Jacečko: « Tatry sú môj druhý domov ».
  13. ↑ Compte rendu : Un manuel de photographie: Michel Sicard & Mojgan Moslehi, Temps interférentiel dans la photographie
  14. ↑ Vincent Metzger, Michel Sicard et Mojgan Moslehi : Temps interférentiel dans la photographie, Paris, revue Europe, n° 1109-1110, septembre-octobre 2021, p. 352-353.[réf. incomplète]
  15. ↑ https://romanistik.info/rezension-michel-sicard-mojgan-moslehi-photongraphie | Rezension: Michel Sicard, Mojgan Moslehi, Photongraphie
  16. ↑ Heiner Wittmann, Du montage-livre aux assemblages mobiles de Michel Sicard, in: revue Recherches en Esthétique, no 25, , p. 124.
  17. ↑ Galerie Itinerrance et Michel Sicard, L'Empreinte des éphémères et Mojgan Moslehi, œuvres, juin et
  18. ↑ Samantha Deman, Des temps de silence à Saint-Denis , dans :Art Hebdo Media, 26 septembre 2019.[réf. incomplète]
  19. ↑ Diane Watteau, Enfermement , in TK-21, La revue n° 94, 26 mai 2021.[réf. incomplète]
  20. ↑ Raluca Ilaria Demetrescu, Michel Sicard – Sens et flux, revue Time Out Bucaresti, no 79, 25-, p. 48.
  21. ↑ Jean-Michel Poupart, Décrochage tout en émotion pour l’UMAM à Villefranche-sur-Me, pour l’exposition Cendres noires, Les cris de la Baie des Anges, in Nice-Matin, 15 nov. 2016.
  22. ↑ Michel Sicard et Moslehi Mojgan: Thomas J. Watson Library dans Metropolitan Museum of Art à New York.

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