Liste de victimes de l'OAS
Cette page est une liste nominative et chronologique des noms connus[Notes 1] de personnalités et personnes civiles et militaires, disparues aux mains de l'OAS, entre et , suivis de leur date et lieu de décès ou disparition.
Cette liste ne tient pas compte des victimes encore inconnues ou non encore répertoriées à ce jour. Sur des données établies par la Sûreté Nationale et la Préfecture de police d'Alger établissant un total de près de 2 200 morts et plus de 5 000 blessés, les décès sont causés par assassinats, attentats individuels, attentats collectifs, explosions et plasticages[1].
1961[modifier]
Janvier 1961[modifier]
- Me Pierre Popie[2],[3], avocat, [Notes 2], Alger
Mars 1961[modifier]
- Camille Blanc[4], maire d'Évian, , Évian
- Barthélémy Rossello, militant du Mouvement pour la Communauté (MPC), , Alger (retrouvé à Douaouda Marine)
Avril 1961[modifier]
- Cherif Belhaffaf[5], 29 ans, assassiné le , Strasbourg
Mai 1961[modifier]
- Roger Gavoury[2],[3], contrôleur général de la Sûreté Nationale, commissaire central d'Alger, , Alger
Juin 1961[modifier]
- 28 morts, 170 blessés, noms inconnus (contributions ?), attentat par déraillement du train Strasbourg-Paris, , Marne
- Docteur Émile Rémigy, 36 ans, chef de laboratoire et directeur adjoint du Centre de transfusion de Nancy, et chargé de cours d'hématologie et transfusion à la faculté de Nancy[6]
- Giancarlo Lombardini, 26 ans, fils de Dino Lombardini, chapelier à Paris.
Juillet 1961[modifier]
- Michel Schembri[7], 75 ans, médecin, maire de Fort-de-l'Eau, 19 juillet 1961, Fort-de-l'Eau
- André Palacio[8], 50 ans, proche de l'ancien maire d'Alger Jacques Chevalier, 21 juillet 1961, Saint-Eugène, Alger
août 1961[modifier]
Septembre 1961[modifier]
- Alexis Goldenberg[9], commissaire principal de la Sûreté Nationale, 40 ans, , Alger
- Larbi Mohand Amghar[10], caporal dans l'armée française et conseiller municipal algérien, 48 ans, , Guyotville, Alger
Octobre 1961[modifier]
- Louis Pélissier, officier de police principal des Renseignements Généraux, , Alger. Cet officier de police aurait été abattu par le lieutenant déserteur Alain Pigert de Grubert, frère de Jean Charles du même nom, plus connu sous le nom de Jean-Charles de Fontbrune[réf. nécessaire].
Novembre 1961[modifier]
- René Joubert[11], 39 ans, commissaire principal, 9 novembre 1961, Alger
- André ou René (source INA) Poste[11], inspecteur de police, 10 (?) novembre 1961 ou 24 octobre 1961, Alger
- William Lévy[12],[7], secrétaire général de la fédération de la SFIO, 20 novembre 1961, Alger
- Maurice Perrin[13],[14], fonctionnaire au Gouvernement Général, 23 novembre 1961, Alger
Décembre 1961[modifier]
- Simon Benkimoun[15], 8 décembre 1961, Oran
- Pierre Rançon[16], lieutenant-colonel, chef de la Sureté militaire d'Oran, 16 décembre 1961, Oran
- 14 agents français, noms inconnus (contributions ?), attentat de la Villa Faidherbe, 31 décembre 1961, Alger
- (Prénom ?) Ramirez[17],[18], cheminot employé au dépôt SNCFA, exécuté chez lui par deux tueurs de l'OAS, faubourg Delmonte, Oran
1962[modifier]
Janvier 1962[modifier]
- Me Pierre Garrigues[19], avocat au barreau d'Alger, successeur de Me Popie, janvier 1962
- André Cornet, 48 ans, géologue, chef du Service de l'Hydraulique, 13 janvier 1962, Alger[20]
- Guerrab Houari[21], militant algérien détenu, brulé vif, 13 janvier 1962, Oran
- Frih Mohamed[21], militant algérien détenu, brûlé vif, 13 janvier 1962, Oran
- Hamdani Adda, dit Si Othmane[21], militant algérien détenu, brûlé vif, 13 janvier 1962, Oran
- Aoued Bendjebbar dit Si Sabri[21], militant algérien détenu, brûlé vif, 13 janvier 1962, Oran
- Séraphin Arsène Cottet[22],[7], libraire, 19 janvier 1962, Hydra, Alger
- Omar Mohamed Selmi, militant algérien, assassiné par balles, 22 janvier 1962, 17 heures 30, Fort-de-l'Eau, Alger[23]
- Ali Guicheri, militant algérien, assassiné par balles, 22 janvier 1962, 17 heures 30, Fort-de-l'Eau, Alger[24]
- Bernard Vignat[25], janvier 1962, Alger
- (Prénom?) Mr Sadi[7], professeur de gymnastique au lycée Bugeaud, janvier 1962, Alger
- Jean Berthet[26], syndicaliste, président de la mutuelle des PTT, janvier 1962, Oran
- Attentat de la Villa Andréa, , El Biar, Alger, 19 agents français du Mouvement pour la Communauté[27], dont : (contributions ?)
- Lanfranchi
- Gauthier
- Clauzure
- Paggi
- Veillard
- Moulouk
- Aïr
- Nasser
- Bui Thé
- Lecerf
- Jim Alcheik, 31 ans
- Lobianco
- Dirand
- Maugueret
- Bellaïch
- Smadja
- Cherroux
Février 1962[modifier]
- Moula Hénine[7], étudiant du mouvement des libéraux C.E.A.L.D., début février 1962, Ben Aknoun, Alger
- Moussa Halali[28], chauffeur de taxi, 1er février 1962, Birmandreis, Alger
- Époux Fodil Abassia et Mustapha[21], 2 février 1962, Oran
- André Boulle[21], 6 février 1962, commandant de gendarmerie, Oran
- Ahmed Mouissat[28], militant algérien, 7 février 1962, route de Badjarah
- Delphine Renard (blessée), 7 février 1962, Paris
- Victor Demare, directeur des PTT d'Oran[21],[29], 15 février 1962, Oran
- William Hassan[30], directeur d'école, 16 février 1962, Oran
- Henri Quiévreux de Quiévrain[21], maire de Telagh, 22 février 1962, Oran
- Mohamed Djennadi[28], chauffeur de taxi, 23 février 1962, Hydra, Alger
- (Prénom) Péclet[28], 23 février 1962, Birmandreis, Alger
- Ouali Chaouch[21], conseiller général, 23 février 1962, Oran
- David Serfati[31], négociant en bois, 25 février 1962, Oran
- Joseph Impagliazzo[28], 24 février 1962, Hussein-Dey, Alger
- Abdelhamid Benazouz[28], militant du PCA, 25 février 1962, Kouba, Alger
- Hocine Drid[28], infirmier, 26 février 1962, Kouba, Alger
- Yahia Cherchour[28], responsable de cellule du FLN, 26 février 1962, Champ de Manœuvres, Alger
- Mohamed Hadadi[28], 27 février 1962, Kouba, Alger
- Abdelkader Badaoui[28], chauffeur de taxi, 27 février 1962, Birmandreis, Alger
- Areski Moussoui[28], 28 février 1962, Hussein-Dey, Alger
- Rabah Habib[28], 28 février 1962, Hussein-Dey, Alger
- Adab Moktar[28], 28 février 1962, Hussein-Dey, Alger
- 78 morts musulmans[21] et 150 blessés, noms inconnus (contributions ?), 28 février 1962, Oran
- Aïcha Djiari[21], 10 ans, 28 février 1962, Oran
Mars 1962[modifier]
- Brahim Benhacoub[28], 2 mars 1962, Hussein-Dey, Alger
- Said Hadj Hamou[28], 2 mars 1962, Hussein-Dey, Alger
- Youcef Beztout[28], 2 mars 1962, Hussein-Dey, Alger
- Pierre Garrigues[32], avocat, successeur de Me Popie, 3 mars 1962, Alger
- 130 explosions/attentats[33], noms et nombre exact de victimes inconnus, parmi eux (tués par balle), le 5 mars 1962, Alger :
- René Zittel, Alger
- Abdelkhader Khédine, Alger
- Mohand Yousfi, Alger
- Mahmoud Laïmeche, Alger
- Djafer Djemaï, Alger
- Mohamed Medan, Alger
- Salah Chebata, Alger
- Belmo Bendeba, Oran
- André Ruiz, Oran
- Antoine Espinosa, Ras-el-Aïn
- Léon Horbajd, Dar-el-Askri
- 2 morts et dizaines de blessés, attentat dans une prison civile[21], 5 mars 1962, Oran
- Assassinat de Château-Royal[34] :
- Mouloud Feraoun[35], écrivain, inspecteur des Centres Sociaux Éducatifs, 15 mars 1962, Ben-Aknoun, Alger
- Salah Ould Aoudia[34], inspecteur des Centres Sociaux Éducatifs, 15 mars 1962, Ben-Aknoun, Alger
- Marcel Basset, inspecteur des Centres Sociaux Éducatifs, 15 mars 1962, Ben-Aknoun, Alger
- Robert Eymard, inspecteur des Centres Sociaux Éducatifs, 15 mars 1962, Ben-Aknoun, Alger
- Ali Hammoutène, inspecteur des Centres Sociaux Éducatifs, 15 mars 1962, Ben-Aknoun, Alger
- Max Marchand, inspecteur des Centres Sociaux Éducatifs, 15 mars 1962, Ben-Aknoun, Alger
- Assassinat de 7 jeunes soldats appelés, 23 mars 1962, Alger
- Roger Oudin[19] (né le 19 avril 1942 à Saint-Étienne. Une rue à Saint-Maurice-de-Lignon porte son nom)
- Robert Nogrette
- Jean Grasset
- Philippe François
- Daniel Doutre
- Messaoud Secouh
- Saïd Benmiloud
- Léon Bardy[36], chef de bataillon des groupes mobiles de sécurité, 27 mars 1962, Oran
- 100 morts environ[37] (noms inconnus), explosion immeuble Quartier Lauriers Roses, mars 1962, Bône
Avril 1962[modifier]
- Raymond Ferrer[38], 26 ans, lieutenant, 2 avril 1962, Oran
- Marcel Bourgogne[36], 39 ans, chef d'escadrons, 11 avril 1962, Alger
- 24 musulmans morts[39], noms inconnus (contributions ?), 20 avril 1962, Alger
- Mohamed Bentayeb dit Si Abdelkrim[40], 36 ans, lieutenant, combattant algérien, 21 avril 1962, au douar autochtone Hnaichia à Sidi Bel Abbès
- (Prénom ?) Moutardier[38], sous-lieutenant, avril 1962, Oran
Mai 1962[modifier]
- Mahrez Mahi, son fils Afif, son ouvrier Hadouche, 7 mai 1962, Sidi BelatarBechikh_Hadj-43|[41]
- Bendani Hadj Youcef, sa femme Aïcha Bechikh, son fils Mohamed, 7 mai 1962, Sidi BelatarBechikh_Hadj-43|[41]
- Abdelkader Khaled[42], jeune intellectuel, 15 mai 1962, Tlemcen
- Baba Ahmed Abdelaziz[42], 15 mai 1962, Tlemcen
- René Sintès[43],[44], 29 ans, artiste peintre, instituteur, 25 mai 1962, El Biar, Alger
- 15 morts à Sidi Brahim (ex-Prudon wilaya de Sidi Bel Abbes) : Mellal Ahmed - Abdelkader o/Madani - Djoubrane Djillali - Abdellah Benbouras - Boutouizra Benali - Mekki Mohamed - Hennan Mahieddine - Houari Benamar - Saffer Baghdad - Messabih Ghalem - Maachou o/Mohamed - Harraz Habib - Bendouma Benhmidi - Guerouach Ghalem - Mekhachef Elkhair. 26 mai 1962, Sidi Brahim (Prudon)[réf. nécessaire]
Juin 1962[modifier]
- André Mariot[36], 53 ans, lieutenant-colonel, 13 juin 1962, Oran
- Philippe Ginestet[36], général de corps d'armée, 57 ans, commandant la région territoriale d'Oran, 14 juin 1962, Oran[45]
- Étienne Mabille[36], 55 ans, médecin-colonel, 14 juin 1962, Oran
- Joseph Kubasiak[46],[47], commandant de la base militaire de Blida, 24 juin 1962, Aix-en-Provence.
(*) Noms ayant fait l'objet d'une publication ou d'un témoignage public, privé, oral ou écrit
Notes et références[modifier]
Notes[modifier]
- ↑ Noms ayant fait l'objet d'une publication ou d'un témoignage public, privé, oral, écrit.
- ↑ L'OAS s'étant manifestée pour la première fois sous ce sigle le 11 février 1961, il convient de rattacher ce crime de même matrice aux appellations antérieures d'« ultras » ou « poujadistes », utilisées de 1955 à 1961.
Références[modifier]
- ↑ Sylvie Thénault et Raphaelle Branche, « Terrorisme : n’oublions pas les victimes de l’OAS ! », sur histoirecoloniale.net, (consulté le 1er novembre 2018).
- ↑ 2,0 et 2,1 Cros 1971
- ↑ 3,0 et 3,1 Duranton-Crabol 1995, p. 175
- ↑ Courrière 1990, p. 884
- ↑ « Cheif Belhaffaf assassiné à sa sortie de prison à Strasbourg »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur elwatan.com.
- ↑ « nom : REMIGY Emile », sur www.professeurs-medecine-nancy.fr
- ↑ 7,0 7,1 7,2 7,3 et 7,4 Sprecher 2000, p. 136
- ↑ Coupures de journaux du 21 et 22 juillet 1961
- ↑ Courrière 1990, p. 970
- ↑ Jacques Dauer, Michel Rodet, Les orphelins du Gaullisme, René Julliard, 1962, pp. 133-134
- ↑ 11,0 et 11,1 Harrison 2007, p. 21
- ↑ Stora et Harbi 2010, p. 438
- ↑ Jean-Pierre Bénisti, « Il y a cinquante ans, Maurice Perrin »
- ↑ Stora et Harbi 2010, p. 884
- ↑ Propos recueillis par Paul Benkimoun, « Oran, 5 Juillet 1962 : "C'était la débandade" », Le Monde, (lire en ligne).
- ↑ Duranton-Crabol 1995
- ↑ Témoignage du 28 mai 2013 de Bernard Zimmermann, écrivain
- ↑ Zimmermann et Laxenaire 2003
- ↑ 19,0 et 19,1 « Mémoire Algérienne »
- ↑ « Sellières Il y a 50 ans, André Cornet était assassiné », Le Progrès, (lire en ligne).
- ↑ 21,00 21,01 21,02 21,03 21,04 21,05 21,06 21,07 21,08 21,09 21,10 et 21,11 « l’OAS a fait un millier de victimes civiles algériennes à Oran », sur LDH-Toulon.net, (consulté le 24 décembre 2017)
- ↑ T.O. Témoignages oraux 3 et 4 mars 2013, frère et fille de Séraphin Cottet
- ↑ Témoignage familial du Dr Elyazid Selmi, Journal l'Écho d'Alger, 1er février 1962.
- ↑ Témoignage familial du Dr Elyazid Selmi, Journal l’Écho d'Alger, 1er février 1962.
- ↑ T.O. Témoignage oral famille Vignat, 4 mars 2013
- ↑ Boualem Bourouiba, Les syndicalistes algériens. Leur combat, de l'éveil à la libération, p. 137
- ↑ Lucien Bitterlin, L'Histoire des Barbouzes, Éditions du Palais Royal,
- ↑ 28,00 28,01 28,02 28,03 28,04 28,05 28,06 28,07 28,08 28,09 28,10 28,11 28,12 28,13 28,14 et 28,15 Nom provenant d'un tract OAS, intitulé Bulletin opérationnel, no 41, CAL/14, Secteur Hussein-Dey, comprenant une liste de noms à la suite de la phrase « Nous frappons fort mais juste. Ont été condamnés à mort par un tribunal de l'OAS et exécutés pour trahison envers le pays »
- ↑ « Liste des opérations de l'OAS »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur adimad.info (consulté le 25 décembre 2017)
- ↑ Fouad Soufi, « Oran 1962 : Une guerre de trois, armée française, OAS et FLN »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur LDH-Toulon.net
- ↑ [réf. incomplète]« Mensuel Droit et liberté », Mensuel Droit et liberté, no 218, .
- ↑ Horne 2012
- ↑ Coupures de journaux, mars 1962
- ↑ 34,0 et 34,1 Ould Aoudia 1992
- ↑ Stora et Harbi 2010, p. 330
- ↑ 36,0 36,1 36,2 36,3 et 36,4 Source Anpromevo
- ↑ « témoignage lecteur », Quotidien Liberté, .
- ↑ 38,0 et 38,1 Georges Fleury, Histoire secrète de l'OAS, Grasset, , p. 1020-1032
- ↑ Alistair Horne, Histoire de la guerre d'Algérie, Albin Michel, , p. 548
- ↑ « L’OAS ou les crimes impunis », sur Quotidien Réflexion, (consulté le 24 août 2014)
- ↑ Bechikh_Hadj_43-0|41,0 et Bechikh_Hadj_43-1|41,1 « https://bechikhhadj.wordpress.com/tag/ex-bosquet »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
- ↑ 42,0 et 42,1 Sadek Benkadda, article Les crimes de l'OAS, dans El Ayam-2[réf. incomplète]
- ↑ Jean de Maisonseul, catalogue exposition 1967 Centre Culturel Français d'Alger
- ↑ Stora et Harbi 2010, p. 772, 776
- ↑ Olivier Rajoelison, « Extraitsdu dossier archivé par les Archives nationales, Base de données Léonore », (consulté le 5 septembre 2019).
- ↑ Assassinat raconté par son auteur dans ses mémoires : Gilles Buscia, Au nom de l'OAS, Dualpha, (1re éd. 1981), 328 p. (ISBN 978-2-912476-49-4)
- ↑ « il ne s’est « rien » passé le 24 juin 1962 », sur histoirecoloniale.net (consulté le 1er novembre 2018).
Voir aussi[modifier]
Bibliographie[modifier]
- Jean-Paul Brunet, Charonne, lumière sur une tragédie, Flammarion, .
- Yves Courrière, La guerre d'Algérie, 1958-1962, t. II, Paris, Robert Laffont, , 950 p. (ISBN 2-221-05876-3).
- Vitalis Cros, Le temps de la violence, chronologie succincte des évènements vus d'Alger, 1er novembre 1954-5 juillet 1962, Éditions Presses de la cité, .
- Anne-Marie Duranton-Crabol, Le temps de l'OAS, Bruxelles/Paris, Éditions Complexe, , 319 p. (ISBN 2-87027-542-0, lire en ligne).
- Alexander Harrison (trad. de l'anglais), Le défi à de Gaulle, 1954-1962, Paris, L'Harmattan, , 310 p. (ISBN 978-2-296-04576-7, lire en ligne).
- Alistair Horne (traduction de « A savage war of peace : Algeria 1954-1962 » ; ed. MacMillan, Londres ; 1977), Histoire de la guerre d'Algérie, Paris, Albin Michel, , 608 p. (ISBN 2-226-00956-6, présentation en ligne).
- Jean-Philippe Ould Aoudia, L'assassinat de Château-Royal : Alger : 15 mars 1962, Paris, Éditions Tirésias-Michel Reynaud-Paris, , 197 p. (ISBN 2-908527-10-3 et 978-2908527100).
- Guy Pervillé, Pour une histoire de la guerre d'Algérie, Picard, .
- Benjamin Stora et Mohammed Harbi, La guerre d'Algérie, Paris, Robert Laffont/Pluriel, , 1039 p. (ISBN 978-2-8185-0028-6).
- Jean Sprecher, À contre-courant, Étudiants libéraux et progressistes à Alger, 1954-1962, Saint-Denis, Éditions Bouchène, , 196 p. (ISBN 2-912946-22-0), p 136.
- Sylvie Thénault, L'OAS à Alger en 1962 : Histoire d'une violence terroriste et ses agents, CNRS, Centre d'Histoire Sociale (lire en ligne)
- Bernard Zimmermann et Michel Laxenaire, Retours de mémoires sur l'Algérie, Éditions Bouchène, .
- Bernard Zimmermann, Les résistances pieds-noires à l'OAS, L'Harmattan, .
- Lucien Bitterlin, L'Histoire des Barbouzes, Palais Royal, .
- Raphaëlle Branche et Sylvie Thénault, « La guerre d’Algérie », Documentation photographique, La documentation française, no 8022, .
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
Articles connexes[modifier]
- Libéraux d'Algérie
- Guerre d'Algérie
- Assassinat de Château-Royal
- Affaire de la station de métro Charonne
- Mouvement pour la Communauté
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