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Jérémie Piolat

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Jérémie Piolat
Naissance (57 ans)
Nice (France)
Activité principale
Auteur, anthropologue
Auteur
Langue d’écriture Français
Mouvement Décolonialisme, antiracisme, déseurocentrisme
Genres
Essais, recherche scientifique

Œuvres principales

Portrait du colonialiste

Jérémie Piolat est Docteur en Sciences politiques et sociales, anthropologue des migrations, des discriminations et du corps, chargé de cours invité à l'Université Catholique de Louvain-la-Neuve, et membre du LAAP (Laboratoire d'Anthropologie Prospective)[1] de l'UCLouvain. Il est né le 23 mai 1967 à Nice (Provence-Alpes-Côte d’Azur). Il a été chanteur de 1987 à 1991 puis de 2000 à 2016, acteur et danseur professionnel de 1990 à 2002 et réalisateur de 2000 à 2015, et il est l'auteur d'articles, chapitres d’ouvrages et de trois ouvrages.

Biographie[modifier]

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Jérémie Piolat est né à Nice le 23 mai 1967 d’un père directeur commercial dans l’édition économique et d’une mère professeur de français, tous deux militants communistes. En 1968 ils s'installent tous à Paris dans le Nord parisien. Il passe son enfance et son adolescence entre le 18e et le 19e arrondissement[réf. nécessaire].

Son passif familial[Quoi ?] et le militantisme de sa famille lui donnent très tôt une conscience politique. Musicalement c’est aussi l’émergence de groupes urbains undergrounds parfois extrêmes, qui l’amène naturellement au punk et au post-punk. Toute cette ambiance va avoir une influence décisive sur son parcours et sa pensée[source secondaire nécessaire].

Punk, Génération Chaos et première réalisation[modifier]

Jérémie Piolat s’est fait connaître d’abord en tant que musicien et membre du groupe de Rock post-punk Witches Valley de 1987 à 1991 (l’album "extreme return to the source" produit par Atypeekmusic sort en 1990). Sur le site wikimicSource insuffisante , les Witches Valley sont présentés comme « un groupe culte de Garage country punk hardcore performer, complètement barrés et inspirés par la scène underground américaine Flipper, Cramps, Butthole Surfers, Dead Kennedys, Fugazi... {…} Le premier 45 tour du groupe « trouve un écho extrêmement favorable dans les médias nationaux et internationaux (Best, Rock&Folk, Maximum Rock'n'Roll, etc...[réf. nécessaire] et leur ouvre une tournée internationale ainsi que les scènes des plus grands festivals français[lesquels ?]. En 1990 les Witches Valley sortirent "Extreme return to the source" produit par Harvey Birrell (Crass, Silverfish...), album enregistré au Southern Studios (AutoDaFé Records)"[2].

En 1989, le journaliste Thierry Ardisson, dans l’émission « Lunettes noires pour nuit blanche » dit également du groupe : « C’est l’enfer, voilà La Vallée des sorcières, alias Witches Valley. Le rock-n-roll en camisole … »[3].

Par la suite, J. Piolat a travaillé comme acteur et danseur de 1990 à 2002 au sein de la troupe française Génération Chaos[4] [réf. non conforme][la source ne cite pas Piolat] sous la direction du metteur en scène Marc’0.

À la même époque, il écrit régulièrement dans la revue de critique politique et sociale « Les Périphériques vous parlent [5]Source insuffisante » et obtient un master en philosophie sous la direction du philosophe Alain Badiou, autour du thème de « Danser, c’est penser[réf. nécessaire] ».

En l'an 2000, il réalise le film « Philosophes guerriers de Yeumbeul »[6], sur les rappeurs et « philosophes de rue » d’une banlieue excentrée de Dakar. Le film obtient en 2000 au festival « Vues d’Afrique » le Prix de l’œuvre la plus marquante pour l’Afrique et les pays créoles[réf. nécessaire].

Hydra et Portrait du colonialiste[modifier]

À partir de 2006, J. Piolat s’installe en Belgique, et participe à différents projets musicaux, notamment rap (Groupe Hydra dont l’album produit par Folklore de la Zone Mondiale sort en 2007)[réf. nécessaire].

Evoquant le premier EP d’Hydra, le site La DistroySource insuffisante  écrit « Le style de Hydra porte un nom bien précis et dont les 4 lettres commencent à se faire entendre: D.A.R.M. Dialectique Apatride Rythmique Mélodique. Comme l'Espagne a le flamenco, le Portugal, le fado, l'Algérie le chaabi... cette part de la France et de l'Europe de l'Ouest qui refuse de nier son versant oriental a désormais sa musique traditionnelle moderne faite pour danser, se donner de la force, rythmer les instants phares de l'existence, naissances, mariages, enterrements, combats, deuils. Hydra n'en est que le premier assault. D.A.R.M.[réf. nécessaire]".

Durant la même période, Jérémie Piolat conçoit et organise pendant dix ans des ateliers ethnographiques et d’écriture auprès de publics migrants au sein d’une dizaine d’associations belges d’Éducation permanente. Chaque atelier débouche sur un livre ou un film[7],[8], notamment « A la recherche du Gitan perdu »[9] (diffusion Canal Tizef[réf. nécessaire]) en 2010 et « Douleurs et femmes » en 2015 (diffusion CVB)[réf. nécessaire]. De ce dernier film, l'association bruxelloise Le GAFFISource insuffisante  dira "La valorisation des paroles, des récits, des problématiques, des réalités, des richesses culturelles que portent les femmes migrantes est au centre du projet"[10].

En 2011, Jérémie Piolat publie aux éditions « Les empêcheurs de penser en rond / La Découverte », « Portrait du colonialiste »[11]Source insuffisante , ouvrage de philosophie politique questionnant les conséquences de la modernité euro-centrée sur la vie, l’imaginaire, les danses et les corps des Européens de l’Ouest euro-descendants.

En 2021, Jérémie Piolat rompt son contrat[réf. nécessaire] avec les éditions La Découverte, et les Éditions Libre[12] rééditent son ouvrage Portrait du colonialiste en version augmentée de nombreuses notes, d’une préface de l’autrice et podcasteuse Grace Ly, d’une postface de l’autrice et comédienne Audrey Vernon, et d’un long avant-propos de l’auteur mettant en lumière le lien déterminant entre enjeux culturels et question décoloniale.

Réactions à Portrait du colonialiste[modifier]

2011-2020[modifier]

Au sujet de Portrait du colonialiste, Noumbissie M. Tchouaké, enseignant à la Faculté des Lettres de l'Université de Dschang (Cameroun), écrit : « En 1961, Jean Paul Sartre, dans la préface de Les damnés de la terre de Frantz Fanon, usant de la violence des mots de l’époque, faisait déjà un diagnostic de l’état clinique du colonisateur. En affirmant : « Nous aussi, gens de l’Europe, on nous décolonise : cela veut dire qu’on extirpe par une opération sanglante le colon qui est en chacun de nous. Regardons-nous, si nous en avons le courage, et voyons ce qu’il advient de nous », il posait déjà les balises de l’ouvrage de Jérémie Piolat »[13].

Au cours du passage de Jérémie Piolat, dans l’émission, « Ce Soir ou Jamais », Frédéric Taddéï dit de l’ouvrage « Portrait du colonialiste » : « Pourquoi les français ne dansent-ils plus ? C’est la question très intéressante que se pose Jérémie Piolat. {…} Jérémie Piolat, vous êtes philosophe, vous êtes le premier à vous interroger sur la déculturation des pays développés, notamment la France »[14][source primaire (interview).

Le quotidien, Le Parisien, écrit, quant à lui : « Jérémie Piolat a observé la disparition progressive des cultures musicales populaires en France et en Europe de l'Ouest. Autrefois transmis de génération en génération, danses et chants populaires ont disparu au profit de modes éphémères et de chants moins évolués comme «la danse des canards»[15][source primaire (interview).

Suite au passage dans l’émission de Frédéric Taddéï, les propos de Jérémie Piolat sur la disparition des cultures et des danses populaires en Europe de l’Ouest et en France, ne font pas toujours l’unanimité. Ils deviennent même l’objet de critiques assez virulentes notamment sur les sites faisant la promotion des danses traditionnelles en France. Ainsi sur le forum TradzoneSource insuffisante , un internaut (Tradzonnard) dit au sujet de l’auteur :

« Je trouve horrible de voir une émission diffusé en grand public où il en arrive à dire qu'il y a un vide dans la culture française de la danse bla bla... à croire que tout ce qui tourne autour de la danse trad/folk au sein de la France n'existe pas(festival comme gennetines, les ateliers dans des associations...). Je trouve dommage d'en arriver là".

2020-2023[modifier]

En 2021, à l’occasion de la réédition augmentée du livre aux Éditions Libre, au sein du podcast Kiffe ta race (Binge audio),Source insuffisante  la journaliste Rokhaya Diallo, s’adressant à Jérémie Piolat, dit « C’est vraiment une fusion du Portait du colonisé et de Discours sur le colonialisme {…} Tu prouves qu’il y a une réflexion très ancienne sur les questions raciales depuis la France et depuis ses périphéries colonisées. {…} Dans ton livre, tu adresses un point de vue terminologique qui part du constat de départ que le monde occidental a vu disparaître des pratiques culturelles populaires, notamment les chants et les danses traditionnelles, et tu parles non pas de blancs et de non blancs mais d’occidentaux et d’extra-occidentaux »[16].

Sur la page Youtube du podcast, Kiffetarace présente ainsi l’ouvrage de Jérémie Piolat :

"La danse des canards est-elle une tradition qui illustrerait la culture blanche ? Si la colonisation a eu un impact sans précédent sur les pays et les populations colonisé·es, on peut aussi se demander à quel point elle a créé un vide culturel chez les Occidentaux·ales. Contrairement aux cultures non-blanches qui ont su, malgré la violence du colonialisme, perpétuer leurs traditions, leurs coutumes ou leurs danses, le monde occidental a vu disparaître ses pratiques culturelles populaires en même temps qu’il imposait son empire colonial. Dans quelles mesures la culture coloniale a-t-elle eu des conséquences sur les chants et les danses de tradition occidentale ?"[17]

Critiques des positions et propos de Jérémie Piolat[modifier]

En juin 2021, Jérémie Piolat donne aux côtés des journalistes et autrices Rohaya Diallo et Grace Ly, la conférence titrée « Puissance et empowerment des racisés »[18], dans le cadre du mois décolonial de Grenoble. Dans un article consacré à cet événement, l’avocat français Gilles-William Goldanel dit de Jérémie Piolat qu’il décrit comme faisant partie des « racialistes » : « On aura aussi à cœur de citer le chercheur belge (qui est français) Pierre-Jérémie Piolat. Pour celui-ci, les Occidentaux éprouveraient une manière de jalousie pour les modes de vie des non blancs, ce qui les conduirait à adopter des positions racistes ». Il cite ensuite les propos suivant prononcés par l’anthropologue : «Les populations européennes qui ne sont pas reliées à une culture extra-occidentale se retrouvent assez silencieuses et hostiles face aux cultures extra-occidentales. En fait elles ressemblent à des gens qui n'ont pas de culture.» . Puis Goldanel ajoute que Jérémie Piolat se serait dit : « favorable à la «classification des hommes» et aurait ajouté que « La blanchité nous exclut des non blancs » [19]».

De l’université au Sudalisme[modifier]

De 2014 à 2016, il passe son master 2 en anthropologie à l’UCLouvain, et écrit un mémoire « Piraterie civilisée. Souffrir, duper, faire société » sur « les ruses et stratégies des migrants en situation d’inhospitalité »[réf. nécessaire] (non encore publié, mais dont la publication est en projet).

De 2016 à 2020, il mène, sous la direction de l’anthropologue Jacinthe Mazzocchetti[20], une recherche doctorale « L’alphabétisation ambiguë » (financée par la Bourse FRESH (FNRS-FSR), au sein du Laboratoire d’Anthropologie Prospective (LAAP) de l’UCLouvain, sur les milieux de l’alphabétisation des migrants en région bruxelloise, et sur la rencontre, parfois conflictuelle, entre les imaginaires du public migrant et des enseignants majoritairement blancs. Sa réflexion s’articule essentiellement autour de la question du corps, de la violence, des différentes formes de « recompositions coloniales » et des ruses, imaginaires et perspectives des groupes et personnes minorisés.

Il obtient son doctorat en octobre 2020[réf. nécessaire], au terme de l’écriture de sa thèse : « Du Sudalisme. Ethnographie d’une alphabétisation ambiguë et d’un inquiétant clivage ». C’est au fil de cette recherche doctorale que Jérémie Piolat crée le concept de « Sudalisme », désignant « un certain imaginaire rendant inévitable le racisme » et « une certaine disposition chez la majorité des euro-descendants euro-centrés à disqualifier tous savoirs, réalités, conceptions et pratiques culturelles venant du Sud ou extra-occidentaux".

Donnant régulièrement des conférences autour du concept central de sa thèse, Jérémie Piolat travaille comme consultant indépendant « discriminations et interculturalités » auprès de différentes structures[lesquelles ?], et comme[Quoi ?] de recherche et de formation au sein de l’ASBL bruxelloise BePax, qui a pour vocation de visibiliser la dimension systémique et non seulement individuelle, spectaculaire et idéologique du racisme.

Sudalisme[modifier]

Son second livre Sudalisme, l’imaginaire qui nourrit le racisme[21] sort en février 2023 aux Éditions Libre. La couverture reprend le tableau de la plasticienne franco-algérienne Sonia Merazga[22],[23] « Autoportrait ».

Cet ouvrage est tiré de la thèse en anthropologie (Sciences politiques et sociales)· "Du Sudalisme. Ethnographie d’une alphabétisation ambiguë et d’un inquiétant clivage », réalisée à l'Université Catholique de Louvain-la-Neuve, 2020, écrite et soutenue en octobre 2020[24].

Avant d’être un livre le « Sudalisme » est un concept forgé par l’auteur, au fil d’une recherche financée par la bourse FRESH du Fond National de la Recherche Scientifique (Belgique). Ce concept sert à visibiliser la disposition de la majorité des occidentaux à disqualifier spontanément les pratiques culturelles et les conceptions identifiés comme extra-occidentaux[25].

Par ailleurs, l’association belge Bepax[26] demande en 2021-2022 de concevoir une formation sur le Sudalisme : « Sudalisme : un imaginaire qui rend inévitable le racisme »[27].

Réactions au Sudalisme[modifier]

A l’annonce de la conception du module de formation sur le Sudalisme, les réactions critiques ne se font pas attendre. Ainsi le site « Observatoire des idéologies identitaires et du décolonialisme » écrit au sujet de cette formation :

« Quoi de plus raciste qu’une association qui œuvre à l’alphabétisation des migrants? Qu’est-ce qui reproduit plus la domination blanche que les enseignants de FLE travaillant auprès des migrants? Si ces questions vous désarçonnent, alors vous ne connaissez sans doute pas encore le concept de « sudalisme » : BePax propose des séances de rééducation payantes, pour que les « travailleurs en contact avec des personnes migrantes ou descendantes de migrant.e.s extra-occidentaux » travaillent à déconstruire leur sudalisme, cet « imaginaire qui rend inévitable le racisme »[28].

Vie privée[modifier]

Il est marié à la plasticienne Sonia Merazga depuis 2020.

Publications[modifier]

Ouvrages[modifier]

  • Sudalisme. L'imaginaire qui nourrit le racisme. Editions Libre, Paris, 2023.
  • “Portrait du colonialiste. L'effet boomerang de sa violence et de ses destructions”, seconde édition augmentée, Editions Libre, Paris, 2021.
  • “L’action pour la santé en contexte multiculturel[29] », Cultures et santé asbl, éditeur responsable Denis Mannaerts, Promotion de la santé 2016, Bruxelles, 2016. D/2016/4825/9.
  • “Portrait du colonialiste. L'effet boomerang de sa violence et de ses destructions »., Première édition (épuisée), La Découverte / Les empêcheurs de penser en rond, Paris, 2011, (ISBN 978-2-35925-050-3)

Coauteur[modifier]

  • « POPHARS, Drogues en festival : Perceptions des stratégies de prévention, de réduction des risques, de traitement et de maintien de l’ordre », BELSPO, Programme Fédéral Recherche Drogue, Ghent, Bruxelles, 2021.
  • Codirection d’ouvrage, avec l’économiste Thierry Amougou (UCL) « Une trajectoire décoloniale ? Des development studies aux postcolonial studies » (165 pages), P.U.L, Louvain-la-Neuve, 2021.

Notes et références[modifier]

  1. « Laboratoire d'anthropologie prospective », sur UCLouvain (consulté le 5 février 2023)
  2. « Witches Valley - wikimic.org », sur 134.213.31.82 (consulté le 5 février 2023)
  3. « Indies : Monotones et Witches Valley - Archive INA » (consulté le 5 février 2023)
  4. « Génération chaos - Christophe Bourseiller - X-trême - Éditions Denoël - Littérature - Essais - Romans policiers - Science fiction - Romans graphiques », sur www.denoel.fr (consulté le 18 août 2022)
  5. « sommaire », sur www.lesperipheriques.org (consulté le 18 août 2022)
  6. Etonnants Voyageurs, « Philosophes guerriers de Yeumbeul », sur Etonnants Voyageurs, (consulté le 18 août 2022)
  7. Denis, « Je ne vous oublieré jamais même si j'ai élogné de vous », sur cultures-sante.be (consulté le 5 février 2023)
  8. « G.A.F.F.I. : Groupe d’Animation et de Formation pour Femmes Immigrées - Ne blesse pas mon corps deux fois », sur www.gaffi.be (consulté le 5 février 2023)
  9. « A la recherche du gitan perdu (Belgique, 2009) - Bretagne & diversité », sur bed.bzh (consulté le 18 août 2022)
  10. « G.A.F.F.I. : Groupe d’Animation et de Formation pour Femmes Immigrées - Douleurs et Femmes », sur www.gaffi.be (consulté le 5 février 2023)
  11. « Portrait du colonialiste. L'effet boomerang de sa violence et de ses destructions Jérémie Piolat. », sur NPA, (consulté le 18 août 2022)
  12. « Portrait du colonialiste (Jérémie Piolat) - L'effet boomerang de sa violence et de ses destructions », sur Editions LIBRE (consulté le 5 février 2023)
  13. Noumbissie M. Tchouaké, « Jérémie Piolat, Portrait du colonialiste. L’effet boomerang de sa violence et de ses destructions », Lectures,‎ (ISSN 2116-5289, lire en ligne, consulté le 5 février 2023)
  14. « "Pourquoi les Français ne dansent-ils plus ?", Jérémie Piolat chez Frédéric Taddeï, 2012.  » (consulté le 5 février 2023)
  15. Par Le 25 avril 2012 à 11h24, « Pourquoi les Français ne dansent plus? », sur leparisien.fr, (consulté le 5 février 2023)
  16. « #79 - Y a-t-il une « culture blanche » ? » (consulté le 5 février 2023)
  17. « #79 - Y a-t-il une « culture blanche » ? » (consulté le 5 février 2023)
  18. « Table ronde du Mois décolonial : Puissance et empowerment des “racisé-e-s" (avec Rokhaya Diallo) », sur www.ici-grenoble.org (consulté le 5 février 2023)
  19. « Gilles-William Goldnadel: «L'obsession pour la race est en train d'emporter notre civilisation» », sur LEFIGARO, (consulté le 5 février 2023)
  20. « Jacinthe Mazzocchetti », sur UCLouvain (consulté le 18 août 2022)
  21. « Sudalisme (Jérémie Piolat) - L'imaginaire qui nourrit le racisme », sur Editions LIBRE (consulté le 5 février 2023)
  22. « Artivist/artiviste » (consulté le 5 février 2023)
  23. « Mais où est Sonia ? », sur Lallab Magazine (consulté le 5 février 2023)
  24. « Défense publique de la thèse "Du Sudalisme" de Jérémie Piolat, 19.10.2020, UCL. » (consulté le 5 février 2023)
  25. « Sudalisme. Détour empirique et émergence d’un concept - Partie 1 », sur BePax (consulté le 5 février 2023)
  26. « BePax », sur BePax (consulté le 5 février 2023)
  27. « Sudalisme : un imaginaire qui rend inévitable le racisme », sur BePax (consulté le 5 février 2023)
  28. « Au suivant!… Le « sudalisme », cet « imaginaire qui rend inévitable le racisme » (BePax)Observatoire du décolonialisme », sur Observatoire du décolonialisme, (consulté le 5 février 2023)
  29. Super User, « L'action pour la santé en contexte multiculturel », sur www.cultures-sante.be (consulté le 18 août 2022)


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