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J'entends ta voix

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Auteur Kim Young-ha
Pays Corée du Sud
Genre Roman
Version originale
Langue Coréen
Titre 너의 목소리가 들려 (Noeui moksorika deulyeo)
Éditeur Munhakdongue Publishing Co.
Date de parution 2012
Version française
Traducteur Kim Young-sook et Arnauld Le Brusq
Éditeur Éditions Philippe Picquier
Date de parution 2015
Nombre de pages 317
ISBN 978-2-8097-1109-7

J'entends ta voix est un roman de l'écrivain sud-coréen Kim Young-ha publié en 2012.

Résumé[modifier]

Introduction : Histoire d'un magicien qui fait grimper à une corde qui monte jusqu’au ciel son jeune assistant, puis qui le suit. Des morceaux du petit corps tombent sur la scène du spectacle, mais l’assistant réapparaît ensuite sain et sauf.

Un jeune empereur crédule pense que le magicien peut faire revivre quiconque est découpé en morceau et ordonne que l’eunuque qui le ventile soit ainsi mis en pièce. Mais le magicien, horrifié, prend la fuite et jamais ne réapparaît.

Première partie [modifier]

  • 1 Dans les toilettes de la grande gare routière de Séoul une jeune fille accouche, puis tente de tuer son bébé, mais les gens présents l’en empêchent et elle se réveille dans une chambre d’hôpital.
  • 2 Jei fut élevée par Maman-cochon, qui tient un petit stand de boissons dans le marché aux fleurs grossiste de Séoul, près de la gare routière. Elle récupéra le bébé juste sauvé de l’infanticide par la meute de badauds.
  • 3 Maman-cochon avait fermé son petit bar pour aller travailler comme cuisinière dans un bar à salon de Gangnam.
  • 4 Le protagoniste, et meilleur ami de Jeï, est atteint de mutisme sélectif. Du moins, c’est ainsi qu’il a été diagnostiqué. Cela remonte à l’âge de trois ans, peut être à la suite d’avoir joué avec un hélicoptère téléguidé de son oncle. Ce dernier vivant avec son frère, commissaire, et son épouse, passa avec succès le concours de policier. Il leur arrivait fréquemment, lui et Jeï de passer du temps au nouveau travail de Maman-cochon où ils mangeaient à l’œil, se cachaient dans les réserves. Ils étaient tolérés jusqu’au moment où ils firent tomber une montagne de whisky très cher. Au bout d’un moment Jeï devint l’interprète des pensées du protagoniste.
  • 5 Regardant un film de magiciens, dont l’amante de l’un meurt prisonnière d’un tour, qui le terrifiait, Dong-kyu parla. Sa mère l’emmena jusqu’à son école spécialisée pour le faire attester par ses professeurs. Ceci voulait dire qu’il allait changer d’école. Transféré dans une école classique, il retrouve Jeï dans la cour de récréation.
  • 6 Lorsque fut entamée la rénovation du quartier la famille de Maman-cochon dut abandonner la grande maison qu’ils avaient aménagée pour en louer des parties. Mais les indemnisations couvraient à peine les cautions qu’ils devaient rendre aux locataires. C’est aussi à cette période que le mot divorce revenait, puis avait été mis en application. Maman-cochon sortait avec un certain Camé, qui prenait sûrement du Philopon. Dong-kyu était resté avec son père tandis que Maman-cochon avait gardé Jeï.
  • 7 Dong-kyu est convoqué par la professeur principal de Jeï. Celui-ci est absent depuis plusieurs jours. Il se terre en fait au sous-sol de sa maison qui va bientôt être démolie pour les travaux de construction du nouveau quartier. Il a disposé des miroirs face à face dans le but de capturer le diable un vendredi à minuit et par son aide de se venger du Camé. Il porte responsable celui-ci de la déchéance de Maman-cochon.
  • 8 Un jour que Dong-kyu rend visite à Jeï, il se fait suivre. La police, accompagné d’un membre des services sociaux capturent l’adolescent et le placent dans un établissement pour orphelins. Jeï pense que Dongkyu l’a trahi. Mais ce dernier lui envoie malgré cela une carte postale pour Noël.

Deuxième partie[modifier]

  • 1 Une nuit, dans la champignonnière voisine de l’orphelinat, mis au défi par un autre orphelin, Jeï mangea un champignon de culture et fut malade toute la nuit alors que celui-ci était parfaitement comestible. Quelque temps plus tard, il fut accroché par une fille sortant de la maison du maitre des lieux mais au lieu de répondre à ses avances, il prit la fuite.
  • 2 Une nuit, les pensionnaires de l’orphelinat furent réveillés par des alertes aux feu. La colline s’embrasait. L’incendie avait d’abord touché le haut, du côté de la champignonnière, puis s’attaquait au chenil, plus bas. Avec deux camarades, Jeï sauva les chiens de combat. On découvrit après cela le cadavre du propriétaire de la champignonnière et une fille. Le patron du chenil quant à lui, mourut accidentellement dans sa fuite de l’incendie.
  • 3 Lorsque des trafiquants de chiens viennent pour capturer les chiens sauvés de l’incendie. Jeï leur déchire les pneus à coup de canif, mais se fait prendre. Les trafiquants réclament des dommages auprès du directeur de l’orphelinat, mais celui-ci refuse catégoriquement. Il fait ensuite la morale à l’adolescent en ce qui concerne la juste faite par soi-même.
  • 4 Suite à l’événement, Jeï fut placé en isolement en guise de punition. Il entra dans une sorte de transe au cours de laquelle il se retrouva dans l’esprit d’un des chiens échappés du chenil qu’il appelle yeux-rouge.
  • 5 Avec le car, il débarque à Séoul, dans la gare où sa mère l’a mis au monde. Dans la rue Daehangno, rencontrant les multiples personnes, il a le sentiment de se transformer en robot. Repéré par un groupe b-boy, les garçons lui demandent de partir. Mais il rencontre également Yeon Mok-ran, une fille SDF dont le père réalise des films. Elle lui donne son numéro, qui se termine par trois. Mais il utilise son téléphone pour appeler Dongkyu.
  • 6 Jeï refuse l’invitation de Dongkyu de venir dormir chez lui, et commence à se débrouiller dans le rue, malgré les bandes et les difficultés en tous genres.
  • 7 Dans un cybercafé, il intègre un groupe de trois garçons, qui doivent retrouver des filles. Ces dernières vendent leur corps en échange de l’abri et la nourriture des garçons. C’est une débauche totale où Jeï leur sert d’esclave, nettoyant derrière eux. Mais après plusieurs jours de cette ambiance dépravée, l’exclusion d’un des garçons, passé à tabac par Jeï les avait probablement dénoncés au services de police qui débarqua pour embarquer ceux qui restaient, sous les yeux de Jeï.
  • 8 Le dernier groupe qu’il intégra montrait une grande violence, séquestrant une jeune fille handicapée et profitant de son allocation. Après qu’elle avait passé plusieurs jours attachée à une chaise et torturée par les adolescents, Jeï avait « puni » les membres du groupe avant de s’enfuir. Mais il s’était réveillé dans un centre commercial atteint des mêmes contusions qu’il avait provoqué. Depuis lors, il vivait seul, passant le plus clair de son temps à méditer, se nourrissant de riz cru.

Troisième partie[modifier]

  • 1 Dongkyu rencontre Mok-ran et ils parlent de Jeï. Ils se disent mutuellement de se tenir au courant si l’un ou l’autre a des nouvelles de leur ami commun.
  • 2 Le lendemain même, Jeï rend visite à Dongkyu au lycée de ce dernier. Ils se rendent ensuite dans un café situé à proximité. Jeï raconte à son frère d’adoption son année passée dans la rue.
  • 3 Après avoir vu à la télévision le groupe de b-boy qui l’avait viré de Deauhangno, Jeï se rend au café où Mok-ran travaille. Il se fait jeter dehors par le gérant après avoir « libéré » son amie du cube en plexiglas où elle se trouvait. La jeune fille vient en aide au SDF et s’enfuie avec lui après avoir été virée.
  • 4 Retrouvant les personnes qu’il a connues, Jeï leur expose sa manière de vivre. Le chiffre 3 est synonyme de chance et de bonheur, le chiffre 4, de malheur. Si la somme des chiffres de la première plaque d’immatriculation qu’il croise le matin est un multiple de 4, il ne fait rien du tout de la journée…
  • 5 Fréquentant Jeï et son charisme irrésistible, mais surtout pour pouvoir être en compagnie de Mok-ran, Dongkyu finit par quitter le foyer familial, devenant livreur à moto.
  • 6 Chaque printemps a lieu un rassemblement de motards sur les bords du fleuve Han. Jeï et Mok-ran s’y rendent, et retrouvent d’autres jeunes de leur connaissance, adepte de Jeï. Mok-ran présente Jeï à son ex-petit ami comme étant Siddhartha, le nom de naissance du Bouddha.
  • 7 Tous les trois sur une moto, ils se rendent au bord de mer à moto, retrouvant leur ami Jeong-keun.
  • 8 L’idylle des trois jeunes gens prend progressivement fin à mesure que la bande de motards dont Jeï est le leader s’étoffe. La bande s’amuse à faire le bazar en ville, et à jouer avec la police.
  • 9 Se sentant délaissés par Jeï qui couche avec différentes filles, mais pas Mok-ran, cette dernière discute avec Dongkyu. Le garçon lui avoue qu’il est amoureux d’elle, mais lorsqu’elle manifeste de l’affection pour lui, il ne réagit pas.

Quatrième partie[modifier]

  • 1 Pak Seung-tae est un policier motard. Il a eu sa première expérience homosexuelle avec un moniteur lorsqu’il était en camp sur Jéju. Depuis qu’il est policier, il fréquente les groupes de motards adolescents afin de trouver de jeunes partenaires. Mais, cela se complique avec l’arrivée de Jeï, mais il s’est d’abord fixé pour mission d’arrêter Oh Tae-ju.
  • 2 Le policier finit par arrêter le chef de bande de motards, Oh Tae-ju, en lui tendant une embuscade.
  • 3 Lors d’un contrôle de la route visant des jeunes motards, un des anciens subalternes de Pak Seung-tae a trouvé la mort. Il est donc décidé de former une unité de police spécialisée dans la traque et l’arrestation des jeunes motards, dont Seung-tae serait le chef.
  • 4 Juste avant la course annuelle du premier mars, Seung-tae arrêta Tae-ju. Cherchant à en faire un indic, il lui demanda des renseignements sur Jeï, mais Tae-ju refusa d’obtempérer et mit à sac le café où le policier cherchait à l’acheter après l’avoir passé à tabac.
  • 5 Seung-tae ramena Tae-ju chez lui et lui fit payer cher son comportement dans le café. Il le viola, puis le laissa repartir après avoir eu quelques renseignements sur Jeï.
  • 6 Pour libérer des membres de son groupe, Jeï attaque un commissariat de police. Les caméras de vidéo-surveillance permettent à Seung-tae de le reconnaître et d’avoir un motif pour l’arrêter. Les médias s’étant emparés de l’affaire.
  • 7 En planque avec le brigadier Pyo, en attente de la course du 14 août qui s’annonce exceptionnelle, Seung-tae décide finalement de repartir au poste cherche sa Harley pour participer à la traque aux motards.
  • 8 Seung-tae intègre un club de vieux motards de sa connaissance qui attend de savoir où va commencer la course et qui a l’intention de la perturber.
  • 9 D’abord orientés vers Gwanghwamun, la course est réorientée vers Jongmyo par Jeï car le premier site est bouclé par la police. Le nombre de moto est sans cesse grandissant. Le club de motards, avec Seung-tae en son sein remonte le cortège provoquant un mouvement de panique au sein de la course. Seung-tae parvient à rejoindre Jeï. Puis, vers Gangnam, la tête de cortège commença a être attaquée par la police.
  • 10 Guidé par les caméras de vidéo-surveillance, les chef de la police intiment l’ordre à leurs agents d’arrêter les motards. Grâce à l’information sur le terrain de Seung-tae, ils dressent des barricades aux abords du pont Hannam sur le fleuve Han.
  • 11 Les barrages sur le pont Hannam furent franchis et la course se poursuivit vers Teheranno. Jeï ignorait qu’une permission de deux semaines était accordée à celui qui l’arrêterait, lui qui était facilement repérable avec son drapeau jaune et son bâton lumineux.
  • 12 Suite à leur échec, les policiers reçoivent l’ordre d’arrêter impérativement Jeï. Ils forment alors de nouveaux barrages sur le pont Seongsu sachant que les motards doivent revenir sur l’autre rive pour pouvoir se disperser plus facilement.
  • 13 Finalement, les herses dressées par la police en travers de la route eurent raison des pneus de la Honda de Jeï, qui chuta et dont l’âme s’éleva au dessus des eaux du fleuve Han. Le cortège bloqué dut rebrousser chemin.
  • 14 La montée au ciel de Jeï, sous forme d’âme lumineuse ailée, fut décrite par tous les témoins, sauf Seung-tae qui, après avoir chuté, avait fermé les yeux. Trois jours plus tard, la course qui avait fait la une était déjà presque oubliée par les médias.

Après l'histoire, Kim Young-ha raconte comment s'est peu à peu mise en place l'histoire à travers les témoignages qu'il a récolté.

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