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Famille du Puy-Montbrun (Dauphiné)

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Famille du Puy-Montbrun (Dauphiné)
Image illustrative de l’article Famille du Puy-Montbrun (Dauphiné)
Armes de la famille du Puy-Montbrun (Dauphiné)

Blasonnement D'or au lion de gueules armé et lampassé d'azur
Devise « Agere et pati fortia »
Lignées du Puy-Montbrun
Branches du Puy-Rochefort-Montbrun
du Puy-Montbrun
Période 1267-1871
Pays ou province d’origine Dauphiné
Demeures château de Montbrun-les-Bains
château de la Gabelle à Ferrassières
Château de Rochefort-en-Valdaine
Charges Conseiller d'État (1611)
Chambellan du duc d'Orléans
Fonctions militaires Capitaine et chef des protestant du Dauphiné, général de la cavalerie protestante en Languedoc
capitaine général des armées du roi
généralissime des armées de terre de la République de Venise
lieutenant-généraux etc.
Récompenses civiles Chevalier de la Légion d'Honneur
Récompenses militaires Chevalier de Saint-louis,
Preuves de noblesse
Admis aux honneurs de la Cour 26 janvier 1788

La famille du Puy-Montbrun, originaire du Dauphiné, est une ancienne famille noble d'extraction chevaleresque dont la filiation suivie remonte à 1267 et éteinte en 1871. Elle portait le nom « du Puy » et possédait la seigneurie de Montbrun dans la Drôme, d'où « du Puy-Montbrun ».

Le nom « du Puy-Montbrun » est devenu célèbre à cause de l'un de ses membres, le capitaine calviniste Charles du Puy-Montbrun, dit le Brave Montbrun, condamné à mort et décapité pour sa férocité, mais longtemps considéré comme un héros par le parti protestant.

Cette famille, qui a donné plusieurs chefs militaires et lieutenant-généraux des armées, a joui d'une célébrité si grande dans la monde protestant au XVIIe siècle, que son nom « du Puy-Montbrun » a été pris à partir du XVIIIe siècle par plusieurs autres familles sans lien avec elle, « à tel point», écrit en 1974 un historien du Protestantisme, « que toutes les familles du Puy de France se dirent ou se crurent Montbrun [...] si bien qu'il y eut bien longtemps beaucoup plus de faux du Puy Montbrun que de vrais »[1].

Histoire[modifier]

Château de Montbrun en Dauphiné
Château de Rochefort-en-Valdaine

Cette famille du Puy, originaire de Peyrins en Dauphiné, présente une filiation ininterrompue depuis Alleman du Puy, chevalier, seigneur en 1267 de Montbrun et de Reilhanette en Dauphiné, fils d'Hugues et d'Emessende. Il laissent deux fils: Alleman, auteur de la ligne aînée de Rochefort, et Bastel auteur de la ligne cadette de Montbrun[2].

La famille du Puy-Montbrun a donné deux branches
  • La branche aînée, des seigneurs de Rochefort, dite « du Puy-Rochefort », appelée marquis du Puy-Montbrun par agrément du roi après l'extinction en France en 1741 de la branche cadette des seigneurs Montbrun[2]. Cette branche fit ses preuves devant Chérin en 1787 depuis 1267, fut admise aux Honneurs de la Cour le 26 janvier 1788 et comparut à Montélimar et Grenoble en 1789. Elle s'est éteinte en 1871, avec Raymond, marquis du Puy-Montbrun (1783-1871), sans postérité mâle et dernier de sa lignée[2], allié à Hélène de Valori de Lecé puis à Caroline de Vesc. De son premier mariage il laissa deux filles[3] :
    • Gabrielle du Puy-Montbrun-Rochefort (1810-1842)[3], mariée en 1831 avec Séverin de Cotton[2], dont les enfants ont été autorisés en 1866 à relever le nom "du Puy-Montbrun", d'où le patronyme qui subsiste: de Cotton du Puy-Montbrun;
    • Clotilde du Puy-Montbrun-Rochefort (1813-1846)[3], mariée en 1832 à Armand Rocher de La Baume[2], dont les enfants ont été autorisés en 1866 à ajouter à leur nom "Dupuy-Montbrun", d'où le patronyme qui subsiste: Rocher de Labaume Dupuy-Montbrun.
  • La branche cadette des seigneurs de Montbrun, dite « du Puy-Montbrun », dont le chef portait le titre de marquis de Montbrun depuis 1620. Elle s'éteignit en 1741[2],[4]. Elle était protestante.
  • Rameau « de Saint-André », issu selon certains auteurs de la branche de Montbrun[5],[6] : Charles du Puy, marquis de Montbrun-Saint-André (1681-1735), protestant, se fixa en Hollande. II fut père d'Étienne (1718-1785) dont le fils Paul-Charles, marquis de Montbrun-Saint-André, né en 1745, mourut sans postérité en 1817[2].
On trouve un Étienne du Puy, marié en 1763 en Hollande à Suzanne de Lambermont, que certains auteurs ont identifié avec Étienne, cité ci-dessus. Un fils naquit de ce mariage : Étienne du Puy, dit « le marquis de Montbrun-Saint-André », (1765-1804), marié en 1792 à Anna Von Hullesheim, et dont la postérite mâle s'éteignit en 1901 avec son petit-fils, Jean-Bernard, dit le marquis de Montbrun-Saint-André (1824-1901)[2].
Cette filiation est contestée par certains auteurs. Adolphe Coston écrit en 1878 : « Quant aux du Puy Montbrun protestants réfugiés en Hollande vers 1720, et divisés aujourd’hui en plusieurs branches, ils sont originaires des Cévennes et issus très probablement des du Puy de Nozières. L’un d’eux, qui habite les environs de Gueldres, et qui se qualifie de marquis du Puy-Montbrun-Saint-André, écrivait en Dauphiné, en 1859, des lettres fort bizarres relatives à ses prétentions généalogiques, et à l’espérance qu’elles pourraient améliorer sa position s’il revenait en France pour faire constater son illustre origine. » [7].

Principales personnalités[modifier]

Marie-Louise Sémen de Bremond, marquise du Puy-Montbrun par Elisabeth Vigée-Lebrun (1773), Hôtel du Puy-Montbrun (Montélimar)

Cette famille a donné plusieurs personnages notables, parmi lesquels:

  • Charles du Puy-Montbrun (Montbrun 1530 - Grenoble 1576), grand capitaine protestant, « seigneur de Montbrun, Ferrasière et Vergaix aux Baronnies du Dauphiné[8]», ami de Théodore de Bèze qui le convertit au protestantisme, émule du baron des Adrets, condamné par le Parlement de Grenoble pour ses exactions et décapité dans cette ville en 1576[9]. Il avait épousé en 1555 Justine Alleman.
    • Jean Alleman marquis du Puy-Montbrun (fils du précédent), (Montbrun 1568 - 1634), conseiller d'État (1611), général de la cavalerie protestante en Languedoc (brevet en 1622), fait marquis de Montbrun en 1620. De son mariage avec Lucrèce de La Tour du Pin, il laisse six fils dont:
      • Alexandre du Puy-Montbrun, (fils du précédent), (Montbrun 1600 - La Nocle 1673), capitaine français plus connu sous le nom de « marquis de Saint-André ». Placé par Henri IV auprès du Dauphin avec la qualité d'enfant d'honneur. Peu de temps après la mort du roi, il s'engage sous les ordres de Lersdiguières dans la guerre du Piémont. Les guerres de religion ayant repris en France, il rejoint les chefs du parti protestant à Nîmes, défend Privas contre l'armée royale qui le fait prisonnier. Ayant réussi à s'échapper, il s'exile auprès de la République de Venise qui lui donne le commandement général de ses armées de terre dans la guerre qu'elle mène alors contre les Turcs. En 1631 il sert dans l'armée suédoise et il est fait prisonnier par Wallenstein. Rentré en France en 1636, le roi le nomme maréchal de camps des armées protestantes en 1641, lieutenant général des armées du roi. Devenu gouverneur du Nivernais, il est rappelé par Venise pour défendre Candie, mais ne réussit pas dans cette entreprise et revient à La Nocle où il meurt en 1673[9].
      • Jean du Puy-Montbrun dit le comte de Montbrun, lieutenant-général des armées du roi (frère du précédent).
      • Charles marquis du Puy-Montbrun (Montbrun 1595 - 1666) (frère des précédents), enfant d'honneur du roi Louis XIII, mestre de camp général des armées du roi, lieutenant-général au gouvernement du Nivernois, marié en 1655 à Diane Nompar de Caumont-La-Force.
        • Jacques, marquis du Puy-Montbrun (fils du précédent), lieutenant-général des armées, marié à Charlotte du Puy de Saint-André.

Armes, blasons, devises[modifier]

Armes primitives
  • Hugues du Puy, seigneur de Peyrins, sceau attribué retrouvé à Romans-sur-Isère, datable du XIIIe siècle, en forme d'écu: inscription: DE PODI / O. + S. / UGONIS disposée autour d'une écu portant « Six paires de cerises (?) disposées 3 2 1 »[10].
Armes enregistrées
  • Du Puy-Rochefort et Du Puy-Montbrun: « D'or au lion de gueules armé et lampassé d'azur ». Légende « Agere et pati fortia ». Supports : deux lions au naturel. Devises : 1o « Virtute non genere niti », 2o « Vicit leo e tribu Juda ».
  • Marquis du Puy-Montbrun: « Écartelé au 1 de gueules à un coq d'or crêté d'argent becqué membré et armé d'azur (Bourgogne cisjurane ou Arles), au 2 d'azur à la bande d'or chargé de trois mouchetures d'hermine de sable (Montbrun), au 3 d'azur à l'aigle d'argent becquée membrée et armée de gueules (Saint-André), au 4 parti a de gueules à quatre otelles d'argent (Comminges) bordé d'or à trois pals de gueules (Foix), Sur le tout, d'or au lion de gueules » . Supports : deux lions regardants de gueules couronnés du même. Cri : « Montbrun à la rescousse! » Devises : 1o « Agere et pati fortia » 2o « Du mont bruira du seigneur la louange ».
  • Charles Gavard mentionne en 1838 que dans la Galerie des croisades Raymond du Puy est représenté avec comme armes : "Écartelé aux 1 et 4 de gueules à la croix d’argent qui est de l’ordre de Saint Jean de Jérusalem et aux 2 et 3 d’or au lion de gueules qui est du Puy"[11].
Au sujet de ces armes, Jacques-Joseph Champollion-Figeac écrit en 1847: « Malgré les soins et les lumières des personnes chargées de la rédaction officielle du texte explicatif des Galeries des croisades du Musée de Versailles de nombreuses erreurs n’ont pu manquer de se glisser dans ce travail. Pour les articles seuls de Raymond et de Hugues Du Puy on en compte trois importantes et que nous ne saurions nous dispenser de relever ici.». Il indique comme deuxième erreur : « Les armes de Raymond Du Puy sont peintes au Musée de Versailles et sont décrites dans le texte "d’or au lion de gueules". Celles de Hugues Du Puy (son père) sont figurées et blasonnées "d’or au lion de gueules armé et lampassé d’azur" ainsi que les porte encore aujourd’hui le dernier représentant de la Maison Du Puy. Pourquoi Raymond, fils puîné de Hugues, ne porte-t-il pas comme son père "un lion armé et lampassé d’azur"? Si Raymond était le père, et Hugues le fils, on comprendrait que cet armé et lampassé représentât une brisure, mais dans la position actuelle la différence ne résulte sans aucun doute que d’une omission héraldique du peintre et de l’historien[12]
Eugène Harot dans son Essai d’armorial des Grands-Maîtres de l’Ordre de Saint Jean de Jérusalem (1911) donne à Raymond du Puy les armes « D’or à un lion de gueules armé et lampassé d’azur » et écrit : « Ce sont les armes de la Maison du Puy-Montbrun en Dauphiné (de Podio en latin, del Puech en roman), à laquelle appartenait Raimond du Puy ». Il ajoute : « Dans certains recueils, bon nombre de Grands-Maîtres ont reçu des armoiries qu’ils n’ont certainement jamais portées et dues simplement à l’imagination des héraldistes, ennuyés de voir des places vides dans leur collection. Sans vouloir avancer que ces héraldistes des XVIIe et XVIIIe siècles n’étaient pas consciencieux, nous estimons qu’ils n’étaient pas très regardants[13]. »

Alliances[modifier]

Ses principales alliances sont : Adhémar de Monteil, Montbrun, Artaud, de Bellecombe (1390), de Murinais (1393), de Taulignan (1420), de Virieu-Faverges (1524), de Claveyson (1527), de Pellissier (1569), de Suffise de La Croix (1619), de Latier (1652), de Blayn (1687), de Caritat de Condorcet (1713), de Narbonne-Pelet (1751), Semen de Prémont (1779), de Valori de Lecé, de Vesc, de Cotton (1831), de Rocher (1832), de Montauban (1310), Adhémar, Corve, de Montlaur (1355), de Sade (1395), de Foix, d'Urre (1406), de Parisot de La Valette (1525), Alleman d'Allières (1548), de La Tour-du-Pin (1591), Nompar de Caumont-La Force (1637), de La Forest de Colignat de Mirabel (1640), Friesen (1654), Le Bret, Massanes, Monnereau (1739), van Deursen (1749),

Familles issues en ligne féminine en ayant relevé le nom[modifier]

Famille de Cotton Dupuy-Montbrun[modifier]

La famille de Cotton-Dupuy-Montbrun dite de Cotton du Puy-Montbrun[14],[15] est une branche éteinte d'une famille du Lyonnais, anoblie en 1673 par la fonction d'échevin de Lyon, autorisée par décret du 7 avril 1866 à ajouter à son patronyme « Dupuy-Montbrun »[15].Cette famille figure dans de nombreux dictionnaires de la noblesse ainsi que dans d’autres ouvrages de généalogie sous le nom de Cotton Dupuy-Montbrun ou Cotton du Puy-Montbrun.

F. de Saint-Simon indique à ce sujet dans le Dictionnaire de la noblesse française, supplément (1977) sous la rubrique "de Cotton (du Puy Montbrun)" : « Cette famille est issue par les femmes de la célèbre maison du Puy-Montbrun, du Dauphiné. Gabrielle du Puy-Montbrun de la branche de Rochefort, éteinte dans les mâles, était la fille aînée du dernier marquis de Puy-Montbrun; née en 1810, décédée en 1842, elle avait épousé en 1831, Séverin de Cotton et leur fils, Thomas-Charles-Raymond, né à Lyon le 20 décembre 1832, fut autorisé, par décret impérial du 7 avril 1866, à adjoindre à son nom Dupuy-Montbrun et à porter désormais de Cotton-Dupuy-Montbrun. »[16].

Information également donnée par Patrice de Clinchamps qui dans le Dictionnaire et Armorial de la noblesse (2004) écrit : « Séverin, chef d’un rameau, épousa en 1831 la fille du dernier marquis du Puy-Montbrun de Rochefort. Leur fils, Thomas-Charles-Raymond, obtint par décret du 26 avril 1866, l’autorisation de joindre à son nom celui de du Puy-Monbrun »[17].

La dernière représentante de la branche de Cotton-Dupuy-Montbrun fut Gabrielle-Marie-Yvonne de Cotton-Dupuy-Montbrun, née le 12 décembre 1872 à Lyon, 69, décédée le 12 décembre 1973 à Berzé Le Châtel (Saône Et Loire), mariée à Jacques-Joseph-Enguerrand de Thy de Milly d'où postérité[18].

La branche subsistante de la famille de Cotton ne descend pas de la famille Cotton Dupuy-Montbrun et ne porte donc pas le nom Dupuy-Montbrun ni à l'état-civil, ni dans le monde[16].

Famille de Rocher de La Baume-Dupuy-Montbrun[modifier]

La famille de Rocher de La Baume-Dupuy-Montbrun est une famille du Vivarais, confirmée noble en 1709 et qui fut admise à siéger en 1789 à Villeneuve de Berg dans l'assemblée réunie pour l'élection des députés de la noblesse aux États généraux [19].

Selon Régis Valette son principe de noblesse date de 1868 sous le Second empire avec l'octroi du titre de comte[20].

La famille de Rocher a une origine notariale et est connue depuis 1269. Son ancienneté est constatée par les lettres patentes données à Versailles en mars 1709 à titre de confirmation et de maintenue de noblesse comme noble de race et d'ancienne extraction[21]. Dans ces lettres le roi dit que les membres de cette famille ont vécu noblement depuis 400 ans, ce qui résulte de divers actes de foi et hommages, entre autres du 28 août 1375 et 24 mai 1403, dans lesquels se trouve la qualification de noble [22].

La famille de Rocher de La Baume-Dupuy-Montbrun a été titrée comte héréditaire le 22 février 1868[19].

Armand-Charles-Joseph Rocher de La Baume épousa en 1832 Agnès-Clotilde du Puy-Montbrun-Rochefort, fille cadette de Raymond, marquis du Puy-Montbrun (1783-1871), dernier de la famille du Puy-Montbrun, du Dauphiné[23],[24]. Leur fils, Louis-Gabriel est autorisé par décret du 7 avril 1866 à ajouter à son patronyme « Dupuy- Montbrun »[19] ,[4]. Cette famille a porté le nom « du Puy-Montbrun » au lieu de « Dupuy- Montbrun » comme autorisé par le décret impérial du 7 avril 1866. Un arrêt de la Cour de cassation est intervenu en 1987 pour faire droit à une « assignation en usurpation du nom » formée par la famille actuelle du nom du Puy-Montbrun (olim Del Puech puis du Puy de la Riverolle et du Puy de Melgueil, ayant pris le nom "du Puy-Montbrun" vers 1817), contre des membres de la famille Rocher de La Baume-Dupuy-Montbrun (issue en ligne féminine de la famille du Puy-Montbrun du Dauphinée et autorisée à ce titre à relever légalement le nom "Dupuy-Montbrun" par un décret impérial du 7 avril 1865). Dans sa décision, la Cour de cassation confirme la demande de la famille actuelle du nom du Puy-Montbrun. Elle souligne que le décret du 7 avril 1865 avait autorisé Louis Rocher de la Baume à relever le nom de sa mère Clotilde du Puy-Montbrun-Rochefort en ajoutant à son patronyme "Dupuy-Montbrun" (en 2 mots) et non "du Puy-Montbrun" (en 3 mots)[25].

Bibliographie[modifier]

  • Guy Allard, Histoire généalogique des familles de Du Puy-Montbrun et de Murinais, Grenoble, Laurens Gilibert, (lire en ligne)
  • E Badon, Montbrun, ou les Huguenots en Dauphiné, Paris, Prudhomme, (lire en ligne)

Notes et références[modifier]

  1. Bulletin historique de la Société protestante française. Études, documents, chronique littéraire. 1975
  2. 2,0 2,1 2,2 2,3 2,4 2,5 2,6 et 2,7 Henri Jougla de Morenas, Grand Armorial de France, tome 5, page 396.
  3. 3,0 3,1 et 3,2 marquis de Magny, Livre d'or de la Noblesse, 1846, page 378.
  4. 4,0 et 4,1 Régis Valette, Catalogue de la noblesse de France
  5. Eugène Haag, La France protestante, ou vies des protestants français, qui se sont fait un nom dans l'histoire, Gros, 1853, page 473.
  6. Intermédiaire des Chercheurs et Curieux, 20 avril 1903, pages 569-570.
  7. Adolphe Coston, Histoire de Montélimar et des principales familles qui ont habité cette ville, Volume 1, Bourron, 1878, page 79.
  8. Selon son testament en date du 30 avril 1575.
  9. 9,0 et 9,1 Nouveau Larousse illustré(1897-1904), tome VI page 187.
  10. H. Séjalon, Annales de l'Abbaye d'Aiguebelle de l'Ordre de Citeaux , Jules Céas, 1863, p. 451 et suivantes (présentation en ligne).
  11. Charles Gavard (1838) p. 4-5[réf. incomplète]
  12. Jacques-Joseph Champollion-Figeac (1847) p. 42-43[réf. incomplète]
  13. Eugène Harot (1911) p.5[réf. incomplète]
  14. Henri Jougla de Morenas, Grand Armorial de France, tome 3, page 69.
  15. 15,0 et 15,1 Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, volume XII, 1913, page 59 à 60 : notice de Cotton du Puy-Montbrun.
  16. 16,0 et 16,1 F. de saint-Simon, E. de Séréville, Dictionnaire de la noblesse française, supplément, 1977, page 132.
  17. Patrice de Clinchamps, Dictionnaire et Armorial de la noblesse (2004), tome premier, page 405.
  18. Julien Baudrier, Léon Galle, Armorial des bibliophiles de Lyonnais, Forez, Beaujolais et Dombes, volume 1, 1907, page 94.
  19. 19,0 19,1 et 19,2 Henri Jougla de Morenas, Grand Armorial de France, tome 6, page 35
  20. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française, 2002, page 165.
  21. Florentin Benoît d'Entrevaux, Armorial du Vivarais, 1908, page 421.
  22. Louis de La Roque, Le Bulletin héraldique de France, 1893, page 599.
  23. F. de saint-Simon, E. de Séréville, Dictionnaire de la noblesse française, supplément, 1977, page 314.
  24. Henri Jougla de Morenas, Grand Armorial de France, tome 5, page 395.
  25. Cour de cassation, chambre civile 1, audience publique du lundi 21 décembre 1987, N° de pourvoi: 86-14879.

Voir aussi[modifier]

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