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Cécile Devrièse

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Cécile Devrièse (1894-1978), est membre puis supérieure de la Congrégation de l'Union-Chrétienne de Saint-Chaumond. En 1981 elle fut reconnue par l’Église, seconde fondatrice de l’Union-Chrétienne de Saint-Chaumond.

Biographie[modifier]

Cécile Devrièse, au civil Jeanne Devrièse, naquit à Lille le . Sa vocation fut dès son adolescence une vocation missionnaire. Elle songeait à entrer chez les Franciscaines missionnaires de Marie quand éclata la Première Guerre mondiale. Elle dut quitter le nord de la France et vint à Poitiers où elle prit pension chez les Dames de l’Union-Chrétienne de Saint-Chaumond.

En 1918, elle décida d’entrer dans la communauté. Elle fit sa profession perpétuelle en décembre 1922. Sœur Cécile de Jésus allait rapidement exercer un profond rayonnement spirituel. En août 1929, elle fut élue, à l’unanimité, supérieure.

Avec elle, une vie nouvelle fut insufflée à la communauté. Sa confiance en Dieu et sa foi attirèrent les vocations. Elle travailla à l’affirmation du caractère propre de l’Institut en retrouvant ses racines historiques et spirituelles dont on avait perdu les traces depuis la Révolution. Son œuvre de reconstruction du patrimoine a été fondamental pour le nouvel essor qu’allait connaître l’Union-Chrétienne de Saint-Chaumond.

Mère Cécile amorça donc une véritable politique missionnaire. Sous son impulsion les Maisons se multiplièrent en France. Et en 1960, l’Union-Chrétienne passa les frontières : ce fut d’abord l’Espagne, puis le Portugal en attendant l’Amérique. En agissant ainsi elle correspondait aux vœux de Marie Lumague qui voulait porter la charité dans les 5 parties du monde.

Mère Cécile apparaît comme « une âme de feu, brûlant d’enthousiasme pour annoncer Jésus-Christ et étendre partout avec son règne celui de l’unité et de la paix »[1]. Son zèle s’accompagnait d’une incroyable persévérance et d’une grande prudence. Elle voulait qu’il porte partout la paix. Vincent de Paul lui servait de modèle. Toutes ses actions étaient fondées sur une vie intense de prière. Sa relation avec Dieu, elle la cherchait dans la méditation assidue de l’Écriture et dans l’amour de l’Eucharistie.

Cécile Devrièse mourut le , après 50 ans de supériorat.

Références[modifier]

  1. R. Darricau

Liens externes[modifier]

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