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Bibliothèque et médiathèques de Grasse

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Présentation
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Pays France
Ville Grasse
Adresse 1 impasse Ernest Boursier-Mougenot
(ex Bd A. Maure)
06130 GRASSE
Informations
Site web https://www.mediatheques.grasse.fr/

Le réseau des bibliothèque & médiathèques de Grasse[1] est constitué d'un établissement patrimonial, la villa Saint-Hilaire, du nom du naturaliste[2] & artiste Jean Henri Jaume Saint-Hilaire, et de deux annexes de quartier : la médiathèque annexe Saint-Jacques et la médiathèque annexe du Plan de Grasse[3]. Une nouvelle grande médiathèque est en construction dans le centre ancien de Grasse ; sa date d'ouverture au public est envisagée pour 2021[réf. nécessaire].

Outre la mise à disposition, voire le prêt, pour divers publics, de fonds et collections d'ouvrages et autres objets, fonctionnalité usuelle et générique des bibliothèques et des médiathèques, les bibliothèque & médiathèques de Grasse en proposent, autant que possible, des versions dématérialisées[4]. La Bibliothèque est par ailleurs actrice dans la production de numérisations de certains de ces fonds (cf. infra).

Historique[modifier]

Créée au moment de la révolution française, la bibliothèque est le plus ancien service de la ville de Grasse. Hébergée dans divers locaux, généralement peu compatibles avec les missions de conservation nécessaires pour garantir la pérennité des collections, c'est en 1969 qu'elle s'installe définitivement dans un bâtiment[5] adapté à ses besoins. Si, néanmoins, la lecture publique naissante se fait discrète à cette époque, l'important développement qu'elle connait dans les années qui suivent a pour conséquence d'occuper quasi exclusivement l'espace de travail initialement dédié au patrimoine, qu'elle doit également se partager avec le service des archives communales.

Après plus de quarante ans, l'équipement est devenu vétuste. Une rénovation est entreprise.

Rénovation de la bibliothèque patrimoniale[modifier]

Quatre ans d'interruption (de 2011 à 2015) sont nécessaires pour permettre une réhabilitation[6],[7] totale du bâtiment et initier un travail approfondi sur les collections (inventaire, désherbage, rétroconversion, numérisation, etc.).

À la réouverture, en 2020, l'établissement fête ses 50 ans au service de la lecture publique.

L'agencement d'un espace de 1 800 m2, entièrement modernisé, intègre désormais une salle d'exposition, un auditorium, ainsi que plusieurs salles de lecture dont une est réservée à la consultation des ouvrages rares et précieux.

Située sur les hauteurs de la ville, tout en étant proche du centre, la bibliothèque bénéficie d'un panorama particulier sur la campagne grassoise et la Méditerranée. De par cette situation géographique, ainsi que les collections de lecture publique seulement composées des thématiques suivantes : Maison, Jardin et Paysages, son complément de nom est « centre de ressources, maison, jardin & paysage ».

Après avoir réhabilité l'intérieur du bâtiment, il a été imaginé de réhabiliter également son aménagement extérieur afin de terminer l'ensemble. Un projet de passerelle est présenté en 2017 par l'artiste Cédric Teisseire[8].

Un nouveau nom, une thématique signifiante[modifier]

La bibliothèque patrimoniale de Grasse s'appelle donc, depuis sa réouverture en juin 2015 « la Villa Saint-Hilaire, centre de ressources, maison, jardin & paysage »[9],[10].

Renforcée par la municipalité dans ses missions de conservation d'un patrimoine riche et varié, la Villa Saint-Hilaire, centre de ressources, maison, jardin & paysage, s'inscrit dans un projet global qui conjugue la lecture publique, le patrimoine écrit et la création artistique. Ses activités et son offre documentaire sont axées sur les rapports individuels que les hommes entretiennent avec la nature, que ce soit par la médiation des jardins, du paysage ou de l'architecture. Les collections, organisées en quatre pôles : paysage & territoire, jardin, maison, et art de vivre, s'adressent à tous les publics (y compris aux universitaires) à partir de six ans. Une large place est accordée à la fois aux aspects pratiques et scientifiques tout en conservant une vulgarisation indispensable à tous. L'action culturelle est diversifiée (expositions, conférences et discussions) et complète l'offre documentaire. Elle s'appuie sur les recherches scientifiques et artistiques les plus récentes dans les domaines de l'aménagement du territoire et plus particulièrement celui de l'art des jardins.

Elle est également membre de la fédération des maisons d'écrivains pour son fonds important concernant l'artiste Marguerite-Burnat Provins[11].

Une bibliothèque "troisième lieu"[modifier]

Le projet culturel, scientifique, économique et social de la bibliothèque patrimoniale prend en compte une volonté d'accessibilité et d'ouverture aux publics les plus diversifiés. C'est ainsi qu'outre l'aménagement d'espaces entièrement dédiés à l'action culturelle[12], des dispositifs audiovisuels et interactifs favorisent la médiation avec les expositions[13] et toutes les opérations qui participent de la valorisation des collections[14],[15],[16].

Cette volonté d'ouverture aux publics les plus divers requiert une qualification de type « bibliothèque troisième lieu ». Ce modèle, hérité des « ideas store » anglais, s'est imposé dans la conception des médiathèques de lecture publique.

Les fonds patrimoniaux de la bibliothèque de Grasse[modifier]

Les collections représentent aujourd'hui environ 250 000 documents, avec les titres de presse ancienne et contemporaine. Environ 45 000 ouvrages patrimoniaux sont inventoriés et cotés, dont 124 manuscrits, 13 incunables, 600 titres de périodiques anciens, 1200 cartes postales et photographies. Le fonds antérieur à 1914 s'élève environ 35000 volumes dont 15000 sont des éditions des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles. Outre certaines collections spécialisées (voir ci-après), de très nombreux documents sont issus des confiscations religieuses et de dons (fonds sur le théâtre, bibliothèque religieuse du sanatorium du clergé de France, manuscrits littéraires du XXe siècle…). Des opérations de numérisation ont été menées sur la presse ancienne et les revues de parfumerie (entre autres). Une bibliothèque numérique est accessible à partir du portail du réseau, à partir duquel on peut aussi consulter le catalogue des documents patrimoniaux.

En complément de ce fonds livres, la bibliothèque est accessoirement dépositrice de quelques collections d'objets, d'art ou pas : papiers dominotés, tableaux, monnaies, médailles et divers autres objets.

Fonds local sur la Provence orientale[modifier]

Le fonds local, constitué de documents patrimoniaux et contemporains en langue française relatifs à la Provence, et notamment à la Provence orientale, est abondant : il comprend des ouvrages dans toutes les disciplines, mais aussi des brochures, des revues et des documents iconographiques.

Pôle d'excellence sur la parfumerie[modifier]

La parfumerie à Grasse est un secteur artistique et industriel emblématique de la ville et de sa région. Sur ce sujet, l'importance de sa collection de documents, anciens et contemporains, permet à la villa Saint-Hilaire de s'afficher comme centre de ressources. Cette collection s'enrichit considérablement en 2016 grâce au mécénat de deux parfumeurs grassois[17] qui acquièrent la bibliothèque privée d'un parfumeur belge, Eugène Laruelle, et l'offrent à la bibliothèque de Grasse.

Celle-ci est, par ailleurs, un membre actif de soutien aux travaux de l'association « patrimoine vivant du pays de Grasse », qui porte le dossier d'inscription des savoirs faire de la parfumerie, au titre de patrimoine culturel immatériel de l'humanité auprès de l'UNESCO[18].

Poésie : le fonds Vendel[modifier]

Grasse est une terre de poésie : nombreux sont les écrivains, et parmi eux les poètes, qui ont chanté cette ville. Dès le XVIe siècle, Bellaud de la Bellaudière est le chantre d'une véritable poésie provençale, alors qu'Antoine Godeau, évêque de Grasse au XVIIe siècle, est l'un des membres fondateurs de l'Académie française.

Au XIXe siècle Juliette Lambert chante les parfums de Grasse.

Dans les années 1940, un groupe d'étudiants passionnés de poésie se réunit, qui, dans les murs de la bibliothèque municipale, en partagent leur amour. Un inspecteur des bibliothèques, Henri Vendel, lui-même poète,  remarque ce groupe. En étroite collaboration avec le conservateur de l'époque et avec l'administrateur général de la Bibliothèque nationale (future BNF), Julien Cain, il fait en sorte que Grasse reçoive un des trois exemplaires des ouvrages de poésie déposés au Dépôt légal. Cela est effectif entre 1950 et 1996, date de réorganisation du dépôt légal. En résulte un fonds de 40 000 ouvrages de poésie contemporaine. Les conservateurs successifs mettent à l'honneur ce fonds bien particulier : animations, mises en valeur, transmission auprès de la population et des écoles, achats complémentaires.

La musique imprimée et manuscrite ancienne[modifier]

Un important patrimoine musical, constitué de partitions manuscrites ou imprimées et de livrets d'opéra couvrant une large période du XVIe siècle au XXe siècle est conservé à la fois par la Bibliothèque municipale et par le Musée d'art et d'histoire de Provence de Grasse. Le plus important de ces fonds est le « fonds Maubert ». Il provient de deux membres d'une même famille fortement liée à l'histoire grassoise : Alexandre Maubert (1743-1827), négociant, cousin du peintre Jean-Honoré Fragonard, et Jean-Baptiste Maubert Fragonard (né en 1797).

La richesse de ce fonds musical lui permet, dans les années 1997, d'être inventorié, sous l'égide et la direction du ministère français de la culture.

La numérisation intégrale de ces ouvrages (88 recueils de partitions et 152 livrets d'opéra) et leur mise en ligne permettent de reconstituer ce fonds, de valoriser les collections musicales anciennes de la ville de Grasse, et d'apporter une contribution importante à la connaissance du patrimoine musical provençal.

Les livres d'artistes[modifier]

Le fonds de livres d'artistes de la villa Saint-Hilaire comporte 370 documents en 2017. Le livre d'artiste, quelle que soit sa forme, est une œuvre d'art. C'est un moyen d'expression artistique exploré par les artistes au même titre que d'autres « arts ». Cependant son rapport avec le livre demeure par sa forme (même mise à mal quand le livre ne ressemble plus vraiment à un livre, quand les pages sont des feuilles ou des bouts de bois) et cette association indispensable à tout livre d'artiste : un artiste et un écrivain travaillant ensemble dans la réalisation de cet objet.

Les papiers dominotés[modifier]

La bibliothèque patrimoniale conserve une étonnante collection de papiers dominotés[19]. Utilisés au XVIIIe siècle pour couvrir les livres brochés, ils faisaient appel à une technique particulière basée sur l'impression du papier au moyen d'une planche de bois ou d'une plaque de cuivre incisée, avec des passages en couleurs nécessitant autant de planches gravées. Ces documents, forts rares, constituent une collection d'environ 150 volumes.

La collection de pipes de la baronne Alice de Rothschild[modifier]

La bibliothèque patrimoniale de Grasse conserve également une collection de pipes[20]. Léguée à la commune de Grasse en 1927 par la baronne Alice de Rothschild, elle comptabilise plus de 400 pipes à fumer issues de différents pays et d'inspirations très diverses, datées du XVIIe au XIXe siècles. Un congrès international, organisé à Grasse en 2010, a permis à des collectionneurs d'examiner une sélection de pièces. Les travaux et études scientifiques résultants de ces journées ont été publiés par l'Académie internationale de la pipe. La collection est progressivement signalée sur la base nationale JOCONDE[21].

Le signalement des collections dans les catalogues nationaux et internationaux[modifier]

La rétro-conversion des catalogues des fonds antérieurs à 1914 réalisée au cours des deux années 2011 et 2012 est aujourd'hui achevée. Cette opération a représenté le premier volet de l'informatisation de l'ensemble des collections patrimoniales. Elle a été suivie, en 2012 par la rétroconversion du catalogue des fonds postérieurs à 1914 et complétée par une saisie locale des documents non inventoriés et non traités (ouvrages, nombreuses brochures, presse, documents iconographiques…). Le réaménagement des collections dans le bâtiment réhabilité s'est accompagné d'une nouvelle cotation et d'un équipement en radio-étiquettes pour l'ensemble des documents patrimoniaux. Les ouvrages sont ainsi progressivement tous signalés dans le système informatique de gestion des bibliothèques.

La valorisation des collections dans les autres catalogues[modifier]

Parallèlement, la bibliothèque s'est engagée dans un chantier de signalement de ses collections dans les catalogues nationaux et participe aux bibliothèques numériques nationales :

Numérisation et bibliothèque numérique[modifier]

Plusieurs campagnes de numérisation ont été menées (et continuent à l'être) dans le cadre de l'appel à projet du Ministère de la Culture (MRT), encouragées et soutenues par la DRAC Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Le signalement en ligne et la numérisation des contenus permettent de mieux exploiter les ressources de la bibliothèque, dont 60% seulement étaient identifiées auparavant. La numérisation a permis de constituer une bibliothèque numérique avec la presse ancienne locale, les manuscrits médiévaux, le patrimoine musical régional, etc. Parmi les 124 manuscrits conservés à la Bibliothèque de Grasse, 3 sont des manuscrits médiévaux enluminés en rapport étroit avec l'histoire de la ville. La numérisation de 34 manuscrits des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles a suivi, complétée des manuscrits musicaux et de certains manuscrits contemporains.

Quant à la presse locale, elle concerne principalement la presse d'information générale publiée à Grasse ou des éditions relatives à la ville et à l'arrondissement de Grasse pendant le XIXe siècle et la première partie du XXe siècle. Cette collection suscite un large intérêt pour le grand public et les chercheurs, les étudiants et les historiens. Elle est également utilisée par les enseignants comme base de projets pédagogiques, par des professionnels, les services municipaux et les journalistes.

Œuvres d'art dans les jardins[modifier]

Elle accueille dans son jardin une statue d'Ivan Bounine offerte le 3 juin 2017 par Andreï Kovaltchouk[24],[25].

Notes et références[modifier]

  1. « BD, théâtre, expositions... La bibliothèque et les médiathèques de Grasse ouvrent leurs étagères virtuelles », sur Nice-Matin, (consulté le 11 août 2020).
  2. Jean Henri Jaume Saint-Hilaire et Firmin Didot, La flore et la pomone françaises : histoire et figuré en couleur, des fleurs et des fruits de France ou naturalisés sur le sol français, par M. Jaume Saint-Hilaire, À Paris, chez l'auteur, rue Furstemberg, n°3, abbaye Saint-Germain, (lire en ligne).
  3. « Médiathèque annexe du Plan de Grasse », sur ArL Paca (consulté le 11 août 2020).
  4. « Les Bibliothèques et Médiathèques de Grasse lancent le "Click and Collect" », sur Jérôme Viaud, (consulté le 11 août 2020).
  5. Jules Vannérus, « Quand et par qui a été créé le terme «toponymie» ? », Revue Internationale d'Onomastique, vol. 6, no 4,‎ , p. 257–259 (ISSN 0048-8151, DOI 10.3406/rio.1954.1448, lire en ligne, consulté le 16 juin 2020).
  6. Hélène Bocard, « Le fonds photographique des architectes Ballu (INHA) », dans Architectes et photographes au XIXè siècle, Publications de l'Institut national d'histoire de l'art, (ISBN 978-2-917902-62-2, lire en ligne)
  7. « Un nouveau projet pour les bibliothèques de Grasse - Art Côte d'Azur », sur www.artcotedazur.fr (consulté le 6 août 2020)
  8. « Présentation projet d'aménagement de la Villa Saint Hilaire », sur Jérôme Viaud, (consulté le 6 août 2020)
  9. « Villa Saint-Hilaire | Tourisme Pays de Grasse », sur tourisme.paysdegrasse.fr (consulté le 6 août 2020).
  10. « Villa Saint-Hilaire - bibliothèque patrimoniale », sur ArL Paca (consulté le 6 août 2020).
  11. « Villa Saint-Hilaire - Centre de ressource Maison, Jardin & Paysage - Guide - Fédération des Maisons d'écrivains et des patrimoines littéraires », sur www.litterature-lieux.com (consulté le 6 août 2020).
  12. « MBA France équipe la Bibliothèque Antoine Maure à Grasse. », sur Actualités Pro de Museumexperts, (consulté le 6 août 2020).
  13. « Exposition « Dans les yeux de Bounine » » (consulté le 6 août 2020).
  14. « Grasse Mat' - nuit médiévale », sur www.grassemat.info (consulté le 11 août 2020).
  15. « Médiathèque de Grasse – Mandalas et Reves » (consulté le 11 août 2020).
  16. « Pique-nique de livres // Partir en livre | Grasse | Alpes-Maritimes », sur Kidiklik (consulté le 11 août 2020).
  17. « La Villa Saint Hilaire s'enrichie de nouveaux ouvrages ! », sur Jérôme Viaud, (consulté le 6 août 2020).
  18. « UNESCO - Les savoir-faire liés au parfum en Pays de Grasse : la culture de la plante à parfum, la connaissance des matières premières naturelles et leur transformation, l'art de composer le parfum », sur ich.unesco.org (consulté le 16 juin 2020).
  19. Librairie L'amour Qui Bouquine Livres Rares | Rare Books, « Le Bibliomane Moderne : Bibliophilie et autres Bibliomanies ...: Papiers dominotés de la bibliothèque de la ville de Grasse (Alpes-Maritimes). », sur Le Bibliomane Moderne, (consulté le 11 août 2020).
  20. INHA, « Grasse, bibliothèque municipale », sur collections.rothschild.inha.fr, (consulté le 11 août 2020)
  21. « Joconde - catalogue - dictionnaires », sur www2.culture.gouv.fr (consulté le 2 septembre 2020)
  22. « Villa Saint-Hilaire. Grasse, Alpes-Maritimes », sur ccfr.bnf.fr (consulté le 11 août 2020).
  23. « Journaux numérisés | Presse locale ancienne », sur presselocaleancienne.bnf.fr (consulté le 3 septembre 2020)
  24. Татьяна dit, « Inauguration officielle de la statue d'Yvan Bounine », sur Русский очевидец | L'Observateur Russe (consulté le 6 août 2020).
  25. Zoya ARRIGNON-REELEV, « Inauguration de la statue d'Ivan Bounine à Grasse », sur LA RENAISSANCE FRANÇAISE, (consulté le 6 août 2020).

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