You can edit almost every page by Creating an account. Otherwise, see the FAQ.

Éric Kaija Guerrier

De EverybodyWiki Bios & Wiki
Aller à :navigation, rechercher


Erreur Lua dans Module:Wikidata à la ligne 118 : attempt to index field 'wikibase' (a nil value).

Éric Kaija Guerrier, né en 1971 en Alsace, est un écrivain, auteur-compositeur, arrangeur et musicien français (guitares acoustiques et électriques, samples, programmations, viole de gambe, chœurs et chant). Il est cofondateur et ancien membre, en tant que guitariste et choriste, du groupe de chanson française Weepers Circus, d' à . Les textes qu'il compose pour cette formation – mais aussi dans le cadre de ses publications en solo – témoignent de son goût marqué pour la théologie et la littérature illuministes et occultistes des XVIIIe et XIXe siècles. À ce jour, en plus des treize opus réalisés et publiés avec le Weepers Circus, il a réalisé et publié cinq albums, deux EP's et six singles en solo, quatre vidéogrammes, trois essais d'histoire des idées, un recueil poétique, un ouvrage illustré de commentaires poético-philosophico-mystiques, deux ouvrages pour enfants, une nouvelle, huit recueils collectifs de poésie et quelques articles. Il a également composé une musique pour une pièce de théâtre et un indicatif radiophonique. De même, il a supervisé des ateliers pédagogiques de musique (dans le secondaire et à l’université). Plus rarement, il s’est aussi exercé au rôle de conférencier, de comédien et de coréalisateur de documentaire. De à , il prend la direction du festival Au Grès du Jazz de La Petite Pierre, en Alsace.

Biographie[modifier]

Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (janvier 2020)
Pour l'améliorer, ajoutez des références vérifiables [comment faire ?] ou le modèle {{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source.

Il est titulaire d'un DEA de philosophie obtenu en 1998 à l'université de Strasbourg sous la direction de Philippe Lacoue-Labarthe. En 1999, il entreprend une thèse de doctorat à l'École pratique des hautes études, sous la direction de Jean-Pierre Laurant, dont le sujet est consacré à Oswald Wirth, en particulier à l'influence de ce dernier sur les rituels et les institutions de la franc-maçonnerie lors de la première moitié du XXe siècle. Il abandonne officiellement cette thèse en 2002 mais continue de travailler sur les questions liées à la tradition maçonnique, en particulier quant aux liens entre christologie et franc-maçonnerie.

En , il publie son premier opus en solo : il s'agit d'un livre-disque, publié aux éditions Yves Meillier (pour le livre) et aux éditions Laurent Balandras (pour le disque), intitulé La Traversée de l'Intervalle - aperçus fragmentaires de l'influence de la mystique rhénanique sur la franc-maçonnerie christique.

Le , il est en concert (inédit), en duo avec Christine Ott, dans l’agora du Parlement européen de Strasbourg[pertinence contestée].

En , il publie un deuxième ouvrage, aux éditions du Cosmogone, intitulé Le Christ initiatique - une christologie au cœur de la franc-maçonnerie, .

En , il publie son deuxième et son troisième albums : Argentoratum : eine Huldigung zu Ehren der unter dem Deutschen Kaiserreich erbauten Stadtviertel Straßburgs (1871-1918) [Argentoratum : un hommage aux quartiers de Strasbourg construits sous l’Empire Allemand (1871-1918)] et Les Contemplations : une Évocation Théurgique du Grand-Œuvre Alchimique.

En , il publie son troisième ouvrage, aux éditions L'Harmattan, intitulé Le problème du mal dans une métaphysique de l'alchimie - une filiation insolite entre Luther, Böhme et Schelling.

En , il participe — au titre de comédien — à la création de la pièce de théâtre intitulée Éclaircie, écrite et mise en scène par Magalie Ehlinger, au Hall des Chars, à Strasbourg, dans le cadre du festival Inact[pertinence contestée].

En , il publie son quatrième album en solo : Protocole de la Réintégration : la Règle des Huit Grades Maçonniques du Rite écossais rectifié.

En , il publie son quatrième ouvrage, aux éditions L'Harmattan, intitulé Franc-maçonnerie chrétienne et féminité - un itinéraire poétique au Rite écossais rectifié. Ce livre est l'accompagnement écrit de l'album Protocole de la Réintégration.

En , il publie douze textes sous le titre Les douze seuils initiatiques à travers douze pochettes d'albums. .

En , il publie son cinquième ouvrage, un livre pour enfants, aux éditions Passiflores, intitulé Aurore n'a plus peur de la mort, illustré par Maggy Pottier.

En , il publie son cinquième album en solo : Un Florilège pour l'Éveilleur : Ésotérisme et Symbolisme. Cet album est une sélection (réarrangée pour voix seule et pour guitare seule) de ses anciennes chansons déjà parues, soit dans le cadre du Weepers Circus, soit en solo, sur les thèmes du symbolisme ésotérique, en particulier celui de la tradition issue de la franc-maçonnerie. Il y est accompagné par Émilie Fend à la guitare acoustique. L'opus est clôturé par un titre inédit : une lecture (sur musique) du texte Granum sinapis de Maître Eckhart, à partir d'une traduction en français d'Antoine de Vial.

En , il publie un single : L'Empyrée (en duo avec Susan Lindsay). En , il publie L'Empyrée II, toujours en duo avec Susan Lindsay, réarrangé et remixé par Christian Houllé, sous le nom de LiPS.

En , il publie un single : L'Île des Morts (en duo avec Lyett et en collaboration avec Foes). Il s'agit d'un hommage à L’Île des morts (Die Toteninsel), une série de cinq tableaux réalisés de 1880 à 1886 par Arnold Böcklin (1827-1901).

En , il publie un single : Berlin (accompagné par trois musiciens de l'Ensemble de Percussion du Pays de Hanau - La Petite Pierre, sous la direction de Rémy Huck). Il publie également un vidéo clip (de la chanson Les Nombres), réalisé par Christian Houllé, à partir d'une session en public[pertinence contestée].

En , il publie son sixième ouvrage, une nouvelle pour jeune public, en auto-édition, intitulé Hildegarde et le vieil homme, dont la couverture est illustrée par Fanny Saint-Pierre.

En , il publie un single : La Désunion (en duo avec Miel), accompagné de son vidéogramme réalisé par Mélanie Decq.

En , il publie un EP : Ecce Femina – Portraits de Dames de la Peinture Préraphaélite (en collaboration avec Hélène Weissenbacher). Il s'agit un piano/voix – sur des textes du poète Julien Soulier – consacré au thème de cinq portraits de dames de la peinture préraphaélite : 1. "Lady Godiva" (1897) de John Collier (1850-1934). 2. "Ophélie" (1852) de John Everett Millais (1829-1896). 3. "Beata Beatrix" (1872) de Dante Gabriel Rossetti (1828-1882). 4. "Lady of Shalott" (1888) de John William Waterhouse (1849-1917). 5. "The Rose Bower" (1890) d'Edward Burne-Jones (1833-1898).

En , il publie son septième ouvrage, un conte pour jeune public, à la fois sous format livre et sous format kamishibaï, illustrés par Laurianne Lième, aux éditions MK67 (Rhinau), intitulé Gertrud et le loup.

De à , il prend la direction du festival Au Grès du Jazz de La Petite Pierre, en Alsace[réf. nécessaire].

En , il publie un EP : Alsatia Mythica – Légendes Anciennes Alsaciennes.

En , il publie un single : Expérience de Mort Imminente (en duo avec le groupe Inhumate), accompagné d'un vidéogramme réalisé par Thomas Lincker.

En , il publie une version alsacienne de son conte pour jeune public, sous format livre (et kamishibaï) contenant un CD (du récitatif de l'histoire), illustrée par Laurianne Lième, traduite par Isabelle Grussenmeyer, aux éditions MK67 (Rhinau)[pertinence contestée], intitulée S'Gertrüdel ùn de Wolf. Toujours en , il publie, en auto-édition, un ouvrage (de commentaires poético-philosophico-mystiques) illustré par Léa Zamolo, intitulé La rencontre.

Œuvre[modifier]

Discographie avec le Weepers Circus[modifier]

Discographie (en solo)[modifier]

Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (janvier 2020)
Pour l'améliorer, ajoutez des références vérifiables [comment faire ?] ou le modèle {{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source.
  • 2010 : La Traversée de l'Intervalle (bande originale du livre) (album)[1] (Believe & Balandras Éditions)
  • 2012 : Argentoratum : eine Huldigung zu Ehren der unter dem Deutschen Kaiserreich erbauten Stadtviertel Straßburgs (1871-1918) (album)[1] (Believe & Balandras Éditions)
  • 2012 : Les Contemplations : une Évocation Théurgique du Grand-Œuvre Alchimique (album)[1] (Believe & Balandras Éditions)
  • 2013 : Protocole de la Réintégration : la Règle des Huit Grades Maçonniques du Rite écossais rectifié (album) (Believe & Balandras Éditions)
  • 2016 : Un Florilège pour l'Éveilleur : Ésotérisme et Symbolisme (album) (Believe & Balandras Éditions)
  • 2017 : L'Empyrée I (single) (en duo avec Susan Lindsay) (Believe & Balandras Éditions)
  • 2017 : L'Empyrée II (single) (en duo avec Susan Lindsay, feat. Christian Houllé / LiPS) (Believe & Balandras Éditions)
  • 2017 : L'Île des Morts (single) (en duo avec Lyett, feat. Foes) (Believe & Balandras Éditions)
  • 2017 : Berlin (single) (feat. l'Ensemble de Percussion du Pays de Hanau - La Petite Pierre) (Believe & Balandras Éditions)
  • 2018 : La Désunion (single) (feat. Miel) (Believe & Balandras Éditions)
  • 2018 : Ecce Femina : Portraits de Dames de la Peinture Préraphaélite (EP) (feat. Hélène Weissenbacher) (Believe & Balandras Éditions)
  • 2020 : Alsatia Mythica : Légendes Anciennes Alsaciennes (EP) (Believe & Balandras Éditions)
  • 2020 : Expérience de Mort Imminente (single) (feat. Inhumate) (Believe & Balandras Éditions)
  • 2020 : S'Gertrüdel ùn de Wolf (récitatif audio du livre éponyme) (Éditions MK67)

Compilation[modifier]

  • 2014 : Les Enchanteurs (volume 1). Aux côtés de Louis Ville et Weepers Circus, on y trouve deux extraits des albums en solo d'Éric Kaija Guerrier : La Séquence de l'Apprenti (feat. Denis Leonhardt) (extrait de l'album Protocole de la Réintégration) et Le Souffre, le Sel et le Mercure (feat. Christine Ott) (extrait de l'album Les Contemplations).

Participations extérieures (sur disques)[modifier]

Autre[modifier]

Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (janvier 2020)
Pour l'améliorer, ajoutez des références vérifiables [comment faire ?] ou le modèle {{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source.

Livres[modifier]

Articles et poésie[modifier]

  • 1990 : Naissance et Mort (recueil collectif Encres Jetées, no 1, éditions Les Presses Littéraires, Saint-Estève).
  • 1992 : Révélation en douze temps, Voici le temps du beau et La nef du grand feu (recueil collectif Encres Jetées, no 2, éditions Les Presses Littéraires, Saint-Estève).
  • 1994 : L'angle et le circulaire (recueil collectif Encres Jetées, no 3, éditions Les Presses Littéraires, Saint-Estève).
  • 1996 : J'instabilise (recueil collectif Encres Jetées, no 4, éditions Les Presses Littéraires, Saint-Estève).
  • 2000 : La conduite jolie (recueil collectif Encres Jetées, no 6, éditions Les Presses Littéraires, Saint-Estève).
  • 2002 : La rencontre (recueil collectif Encres Jetées, no 7, éditions Les Presses Littéraires, Saint-Estève).
  • 2004 : La parole perdue (recueil collectif Encres Jetées, no 8, éditions Les Presses Littéraires, Saint-Estève).
  • 2006 : Le jour se lève (recueil collectif Encres Jetées, no 9, éditions Les Presses Littéraires, Saint-Estève).
  • 2006 : Mystique et alchimie en terre rhénane (revue Les Saisons d'Alsace, no 33, Strasbourg).
  • 2009 : Faire de Strasbourg la capitale intellectuelle de l'Europe (en collaboration avec Michel Rocard, Véronique Kretz et Charlotte Ricateau, Revue Le Diable probablement, no 7, Paris) (ISBN 978-2-864326-00-7).
  • 2011 : Livré aux rêves (court texte méditatif, non mis en musique, intégré dans la partie livre du livre-album du Weepers Circus intitulé N'importe où, hors du monde, éditions Balandras & BAZ Production) (ISBN 978-2-362710-00-1).
  • 2012 : Quel avenir pour la musique actuelle à Strasbourg ? (tribune - site internet Rue89 Strasbourg).
  • 2014 : Les douze seuils initiatiques à travers douze pochettes d'albums (douze textes intégrés à l'ouvrage collectif L'Almanach insolite, éditions Mines de Rien, Ussac) (ISBN 978-2-917848-34-0).
  • 2016 : Les ombres (court texte accompagnant un écrin photographique dans le cadre d'une exposition de l'artiste Simon Wolff à la Maison de l'Amérique Latine à Strasbourg).
  • 2016 : La Saga du Rock à Strasbourg et sa Région (1960-2015) de Jean Paul Demeusy, éditions Bastian (Hipsheim). Un article consacré à Eric Kaija Guerrier y figure.
  • 2017 : Du pouvoir au Palais du Rhin de Strasbourg et De l'âme et de l'esprit au Palais Universitaire de Strasbourg (deux textes intégrés à l'ouvrage collectif Impressions Strasbourg, éditions Scribest, collection Les Contemporains, série Les Carnets du Passeur, Hoenheim) (ISBN 979-10-92758-07-8).
  • 2017 : Léopoldine HH : sagacité excentrique et chronique de l'album Fonetiq Flowers (2017) du groupe Lo'Jo (revue Hexagone, n°6, Paris).
  • 2018 : chronique de l'album J'aime pas la chanson (2018) de Juliette Noureddine (revue Hexagone, n°7, Paris).
  • 2018 : chronique de l'album Le désordre des choses (2018) d'Alain Chamfort (revue Hexagone, n°8, Paris).
  • 2018 : À propos de la diffusion de "L'Exorciste" (1973) de William Friedkin à l'église Saint-Guillaume de Strasbourg (tribune - Dernières Nouvelles d'Alsace - édition de Strasbourg).
  • 2018 : Samuele ira au paradis (revue Hexagone, n°10, Paris).
  • 2019 : L'édition maçonnique - Quand les francs-maçons lisent et écrivent de Jiri Pragman, auto-édition : Eric Kaija Guerrier y est cité (ouvrages et propos attribués).
  • 2020 : chroniques des albums The Love Album (2020) de Paul Barbieri et Amours d'Aelle (revue Hexagone, n°17, Dinan) + portraits de ces deux artistes pour la version numérique.
  • 2020 : Dictionnaire biographique des protestants français de 1787 à nos jours, tome 2 (lettres D à G), sous la direction de la Société de l'Histoire du Protestantisme Français et de Patrick Cabanel & André Encrevé, éditions de Paris, Paris. Un article (biographique, bibliographique et discographique) consacré à Eric Kaija Guerrier y figure, signé par Philippe François (ISBN 978-28-46212-88-5).

Documentaires[modifier]

  • 2008 : Artis opus : les hommes politiques et (leur) culture : entretiens avec Robert Grossmann, Catherine Trautmann, Roland Ries et Jacques Bigot (film documentaire réalisé avec la collaboration de Christian Houllé) (BAZ Production).
  • 2012 : Un territoire entre deux nations : les mémoires d'une paysanne alsacienne du XXe siècle (enregistrement sonore - inédit).

Allocutions[modifier]

Vidéogrammes[modifier]

  • 2017 : Les Nombres (clip vidéo réalisé par Christian Houllé lors d'une session en public).
  • 2018 : La Désunion (clip vidéo réalisé par Mélanie Decq).
  • 2018 : Godiva (clip vidéo réalisé par Christian Houllé).
  • 2020 : Expérience de Mort Imminente (clip vidéo réalisé par Thomas Lincker).

Théâtre[modifier]

  • 2013 : Éclaircie (pièce écrite et mise en scène par Magalie Ehlinger) : Éric Kaija Guerrier y participe au titre de comédien.

Télévision[modifier]

Notes et références[modifier]

Liens externes[modifier]

Sur les autres projets Wikimedia :

  • Erreur Lua dans Module:Autorité à la ligne 424 : attempt to index field 'wikibase' (a nil value).

Erreur Lua dans Module:Catégorisation_badges à la ligne 170 : attempt to index field 'wikibase' (a nil value).Erreur Lua dans Module:Suivi_des_biographies à la ligne 189 : attempt to index field 'wikibase' (a nil value).


Cet Article wiki "Éric Kaija Guerrier" est issu de Wikipedia. La liste de ses auteurs peut être visible dans ses historiques et/ou la page Edithistory:Éric Kaija Guerrier.