Tigran Arakelian
Tigran Arakelian né en 1990, est un entrepreneur français d'origine arménienne.
Biographie[modifier]
Études[modifier]
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Ancien élève du lycée Fénelon à Lille (France), il est titulaire d'un baccalauréat scientifique. Il décroche ensuite une licence en expertise comptable (DCG), une licence de droit à l'université Lille-II ainsi qu'un master en Droit du Numérique.
Avec des compétences en droit et en comptabilité, il se lance dans les affaires à 22 ans.
Parcours professionnel[modifier]
Il exporte dans un premier temps en faible quantité des vins et spiritueux français vers les marchés de l'ex URSS, notamment en Russie et Ukraine.[réf. nécessaire]
Il finit par s'installer à Moscou où il y développe le concept des bars à sourires (Smile Bar) sous forme de chaînes, totalisant 5 points de ventes. Après deux ans d'exploitation, il finit par revendre la chaîne à un homme d'affaires local.[réf. nécessaire]
De retour en France en 2014, il décide de s'attaquer au marché du fish and chips jusqu'alors vierge en France[réf. nécessaire] (recette britannique du poisson-frites-bière) en ouvrant plusieurs restaurants en France dédiés au fish and chips, dont une majorité en franchise. Après deux ans d'exploitation, l'ensemble des points de vente sont revendus[1],[2].
Il se reconvertit ensuite dans le développement d'applications mobiles, sa nouvelle entreprise se situe à Villeneuve d'Ascq. Son application mobile OutMySphere a pour but mesurer en temps réel l'affluence et l'ambiance dans tous les lieux accueillant du public. La technologie utilisée a fait l'objet d'un dépôt de brevet en Europe, aux États-Unis et au Canada. L'entreprise a prévu d'ouvrir un bureau de représentation à San Francisco (États-Unis) ainsi qu'un bureau au centre de recherche et de développement à Skolkovo (Russie)[3].
Fin 2016, il tente de racheter le Royal Football Club de Tournai (RFCT) évoluant en division 3 Belge. Un protocole d'accord est rapidement établi avec le président du club en place, Philippe Olivier, incluant les garanties financières, bancaires et morales mais les politiques locaux s'y opposèrent, craignant que le club perd son âme "tournaisienne". Son projet proposait l'agrandissement du stade, la construction d'un centre de formation, l'organisation de concert ainsi qu'une exploitation du complexe sportif existant pour y mettre en place un restaurant gastronomique panoramique[4],[5],[6],[7].
En juillet 2017, malgré l'opposition politique, il est toujours intéressé par le rachat du club RFCT qui éprouve de lourdes difficultés financières [8].
Notes et références[modifier]
- ↑ « Lille : le premier resto 100 % « fish and chips » de la ville s’est ouvert », sur La Voix du Nord,
- ↑ « Lille : 23 ans, deux restos, des ambitions et des projets plein les cartons... », sur La Voix du Nord,
- ↑ « OutMySphere »
- ↑ « Le RFC Tournai en passe d’être racheté par deux Français », sur DHnet,
- ↑ « Le RFC Tournai, bientôt racheté? », sur Notele,
- ↑ « Les candidats repreneurs du RFC Tournai: "Nos projets ne sont pas mégalomanes" », sur DHnet,
- ↑ « Le rachat du RFC Tournai tombe à l’eau », sur Notele,
- ↑ « Les investisseurs toujours intéressés par le RFCT », sur LaCapitale,
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