Théorème de mespeldes
Le théorème de Mesplède, autrement connu sous le nom de théorème de la dernière haine, est une tentative d'analyse des relations entre les hommes politiques[1].
Elle a pour vocation d'expliquer les alliances, parfois surprenantes, qui se forment entre des personnalités notoirement adversaires. Ce théorème pourrait être généralisé à tout comportement humain compte tenu des propositions très simples qu'il met en œuvre, mais n'a pas été développé en ce sens.
L'assertion défendue est qu'un homme politique qui doit choisir entre deux rivaux dans une situation critique et décisive préférera souvent (toujours ?) se tourner vers son plus vieil ennemi et se détourner du plus récent.
Entre Jacques Chirac et Édouard Balladur, Valéry Giscard d'Estaing a par exemple appelé à voter pour le premier à la présidentielle de 1995 alors qu'il entretenait un long et vivace ressentiment à son égard depuis l'élection de 1981. Mais il réservait alors "sa dernière haine" à Édouard Balladur qui venait de lui ravir les faveurs de l'UDF, parti qu'il a fondé.
Le théorème de Mesplède porte le surnom du journaliste politique qui l'a inventé.
Références[modifier]
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