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Tableau des antiennes Ô de l'Avent

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Les grandes antiennes « Ô » de l'Avent sont habituellement de sept ou huit. Des études approfondies démontrent que ces huit antiennes (y compris O Virgo virginum) se trouvent toutes dans le rite romain (catholicisme) mais également les plus anciennes : Les huit textes se trouvent, sans exception, dans les premiers manuscrits du chant grégorien, copiés au IXe siècle y compris en Angleterre (deux manuscrits en témoignent). Elles sont aussi chantées par l'Église luthérienne mais pas dans l'église orthodoxe. Si le répertoire des antiennes chantée avant Noël fut tardivement enrichi jusqu'à vingt environ, le nombre traditionnel des antiennes de l'Avent est le plus souvent de sept ou de neuf antiennes.

Antiennes supplémentaires en faveur de l'Avent[modifier]

D'autres antiennes complétaient souvent les sept représentant les sept dons du Saint-Esprit pour donner en tout, neuf antiennes comme neuf chœurs des anges. L'une est, en fait, un chant tardif alors que l'une autre demeure la plus ancienne dans la liturgie catholique :

------ Antiennes supplémentaires ------
O Thomas Didyme O Domine O Virgo virginum
—→ antienne « Ô » du 21 décembre
O Thomas Didyme, qui Christum meruisti cernere, te precibus rogamus altisonis, succurre nobis miseris, ne damnemur cum impiis in adventu iudicis Ô Thomas Didyme, vous qui méritâtes de voir le Christ, nous vous adressons à haute voix nos prières, secourez-nous dans notre misère, afin que nous ne soyons pas condamnés avec les impies, quand le Juge arrivera.
Au Moyen Âge : O Thomas Didyme, dès le XIIIe siècle, remplaça généralement celle de O Gabriel en certains lieux, elle était chantée le jour de la fête de l'apôtre Saint Thomas. Remplacée au XVIIe siècle par «  Ô Pastor Israël ».
—→ antienne « Ô » du 23 décembre[1]
O Virgo virginum, quomodo fiet istud ? Quia nec primam similem visa es nec habere sequentem. Filiae Jérusalem, quid me admiramini ? Divinum est mysterium hoc quod cernitis. Ô Vierge des vierges, comment est-il possible que vous apparaissiez comme nulle autre avant vous ni comme nulle autre après vous ? Filles de Jérusalem, pourquoi me regardez-vous ? C'est un mystère divin qu'ici vous contemplez. La dernière, lorsque 8 antiennes « Ó » étaient employées, notamment en Angleterre au Moyen Âge ainsi que chez les religieux Prémontrés formait un huitième jour d'antienne après les sept autres lesquelles formaient une semaine de journées. Cet antienne fut supprimée par le Pape Pie V ce qui fait que à Rome il n'en resta que sept, et remplacée au XVIIe siècle par « Ô Sancte Sanctorum »[2]. Pourtant, il s'agit d'une antienne grégorienne authentique, trouvée dans le répertoire le plus ancien. Ainsi, Amalaire de Metz précisait dans le Liber de Ordine Antiphonarii (vers 830) : « Caput (chapitre) XIII, De antiphonis quæ in principio habent (Avent) O, ... Octava (8e), O virgo virginum »[3].


Série de 12 à 13 antiennes « Ô »[modifier]

De surcroît, certaines églises médiévales avaient jusque douze antiennes en l'honneur des douze apôtres, et douze prophètes qui ont prophétisé la venue du Christ [4] ou même treize antiennes, ajoutant le « O Rex Pacifice », « O Mundi domina », « O Hierusalem ». « O Gabriel, nuntius cœlorum », par la suite remplacé par l'antienne « O Thoma Didyme » pour la fête de l'apôtre saint Thomas (21 décembre).

En 1908, dans son livre Nombre musical grégorien, Dom André Mocquereau de Solesmes présentait l' Antiphonaire de Monza (I-MZ C.12/75, XIe siècle), qui comptait également treize antiennes « Ô » (folio 108 - 109)[5]. De même, il y a deuze grandes antiennes « Ô », dans l' Antiphonaire de Hartker, manuscrit le plus correct des antiennes grégoriennes ainsi que base de l'Antiphonale monasticum en édition critique (depuis 2005). Donc, à cette époque-là, le répertoire était déjà enrichi.

  • 12 antiennes « Ô », dans l' Antiphonaire de Hartker (vers 990 - 1000), folios 40 et 41, auprès de la bibliothèque de l'abbaye de Saint-Gall :
    I. « O Sapientia », II. « O Adonay », III. « O Radix iesse », IV. « O Clavis David », V. « O Oriens », VI. « O Rex gentium », VII. « O Emmanuel », VIII. « O Virgo Virginum », IX. « O Gabriel », X. « O Rex pacifice », XI. « O Mundi Domina » et XII. « O Hierusalem » [manuscrit en ligne]
    Il faut remarquer que le copiste sangallien ajoutait la lettre significative t (tenere = certaine tenue, doucement) au neume attribué à « Ô » de huit premières antiennes alors que les quatre dernières manquent de cette lettre. Cela signifie l'importance absolue de ces huit antiennes les plus anciennes. Malgré cela, toutes ces douze antiennes possèdent leur mélodie grégorienne authentique, grâce à une qualité exceptionnelle de ce manuscrit. D'où, il faut conserver ces douze trésors musicaux dans la liturgie en forme extraordinaire.

La musicologue médiévale Susan Rankin de l université de Cambridge releva en tout dix-huit types d'antiennes depuis les livres liturgiques du VIIIe siècle, ce qui correspond aux dix-huit exclamations des hébreux :


------ 18 Antiennes ------
O Sapientia O Adonai O Summe Artifex
O Radix Jesse O Clavis David O Mundi Domina
O Oriens O Rex Gentium O Rex Pacifice
O Emmanuel O Joseph O Sancte Sanctorum
O Gabriel O Thomas didyme O Rex Justiciæ
O Virgo Virginum O Pastor Israël O Caelorum Domine


  • O Sancte sanctorum, speculum sine macula Dei maiestatis, et imago bonitatis illius : veni ut deleatur iniquitas, et adducatur iustitia sempiterna.
    « Ô Saint des saints, miroir sans tache du Dieu de majesté et image de sa bonté, venez effacer l'iniquité et apporter la justice éternelle ». Le 20 décembre
  • O Pastor Israel, et dominator in domo David, cuius egressus ab initio, a diebus æternitatis : veni ut pascas populum tuum in fortitudine, et regnes in iustitia et iudicio.
    « O Berger d'Israël et souverain de la maison de David, son chemin de liberté dès le commencement et pour l'éternité, venez nourrir votre peuple de courage, et régner avec justice et droiture. » Le 23 décembre. (réf. Michée, évangile attribué à Jean 10, 11-18)
  • O Gabriel, nuntius cælorum qui ianuis clausis ad me intrasti et Verbum nuntiasti, concipies et paries, Emmanuel vocabitur.
    « Ô Gabriel, messager des cieux, qui es entré chez moi toutes portes closes, et m'as annoncé le Verbe en disant : vous concevrez et enfanterez un fils, il sera nommé Emmanuel ».
  • O Hierusalem, civitas Dei summi, leva in circuitu oculos tuos, et vide Dominum tuum, quia iam veniet solvere te a vinculis.
    « Ô Jérusalem, ville du Dieu Très-Haut, lève les yeux autour de toi et vois ton Seigneur qui va venir pour te dégager de tes liens ».
  • O Rex pacifice, tu ante saecula nate, per auream egredere portam, redemptos tuos visita, et eos illuc revoca, unde ruerunt per culpam.
    « Ô Roi Pacifique ! vous qui êtes né avant les siècles, hâtez-vous de sortir par la porte d'or : visitez ceux que vous devez racheter, et faites-les remonter au lieu d'où le péché les a précipités ».
  • O Mundi Domina regio ex semine orta ex tuo iam Christus processit alvo tamquam sponsus de thalaamo.hic iacet in praesepio qui et sidera regit Hymne trouvé en Hongrie avec un texte différent.
  • O Summe Artifex, polique rector siderum altissime, ad homines descende, sedentes in tenebris et umbra mortis. Chantée en Allemagne et en Belgique : quelques ordres prémontrés dont Saint-Pierre à Anderlecht et de Saint-Pierre à Louvain, Liège, le 23 décembre[6],[7].

Antienne « Ô » oubliée[modifier]

Si, de nos jours, l'antienne O Virgo Virginum n'est plus chantée durant l'Avent, il s'agissait d'une des antiennes « Ô » authentiques dans le rite romain. Ainsi, le répertoire le plus ancien du chant grégorien conservait cette œuvre. Une modification de distribution provoqua, en effet, la disparition de l'exécution de celle-ci. Sa pratique restait continuellement, en Angleterre, jusqu'au XXe siècle.

— antienne « Ô » du 23 décembre
O Virgo Virginum, quomodo fiet istud ? Quia nec primam similem visa es nec habere sequentem. Filiae Jérusalem, quid me admiramini ? Divinum est mysterium hoc quod cernitis. Ô Vierge des vierges, comment est-il possible que vous apparaissiez comme nulle autre avant vous ni comme nulle autre après vous ? Filles de Jérusalem, pourquoi me regardez-vous ? C'est un mystère divin qu'ici vous contemplez.
Hortus conclusus : C'est un jardin que ma sœur fiancée, une source fermée, une fontaine scellée (Cantique des Cantiques, IV, 12).

Ces antiennes firent inspirer parfois les auteurs des hymnes et des prières. Ainsi, l'hymne O Veni, O veni Emmanuel est directement issue de l'antienne O Emmanuel. Au XVIIIe siècle, Jean-Baptiste-Elie Avrillon écrivit une série de prières dans la Conduite pour passer saintement le temps de l'Avent[8].

Antienne rarissime[modifier]

—→ antienne « Ô » du 23 décembre
O Domine, fac mirabilia, cogitationes antiquas fideles: Virgo pariat filium: mulier conterat caput serpentis: hoc erit memoriale nominis tui, cum manus feminae dejecerit eum[9] Ô Seigneur faites des merveilles, selon les promesses des anciens fidèles ; La Vierge enfante son fils : la femme écrasera la tête du serpent : ce sera là un mémorial de ton Nom, que tu l'aie repoussé par une main de femme. Beaucoup plus rare, on la trouve par exemple dans le Breviarium Bellovacense.

Antiennes « Ô » dans le vieux-fond[modifier]

Il est probable que l' Antiphonarius fut préparé en faveur de la consécration de l'abbaye royale de Compiègne en 877 par le roi de France Charles II le Chauve. À cette époque-là, les religieux exécutaient le chant grégorien par cœur, et donc sans notation. Trouvés dans ce livre de chant, l'authenticité et l'ancienneté des grandes antiennes « Ô » sont indiscutables, depuis la publication de l'Antiphonale missarum sextuplex en 1935.

Avec sa longue histoire, les antiennes « Ô » ne sont autre qu'un ensemble des chants, composés durant plusieurs siècles. Au regard du chant grégorien authentique, le texte issu du document original selon le rite romain, dit « vieux-fond », fut fixé à la fin du VIIIe siècle environ[10].

Lors de la composition de ce chant, c'était le moine Alcuin († 804) qui était chargé de corriger le texte octroyé par le Saint-Siège, en faveur de Charlemagne. Donc, il n'est pas inutile à consulter son œuvre De Laude Dei, selon lequel on compte dix antiennes « Ô ». Les premiers sept sont tout à fait les sept grands antiennes « Ô », si l'ordre et un peu de textes sont différents. Aussi peut-on considérer que ces sept chants grégoriens sont authentiques, d'après le vieux-fond.

Certes, il ne s'agissait pas de livre du chant grégorien. Toutefois, l'Antiphonarius (Antiphonaire de Compiègne), l'un des premiers livres de chant sans notation, contient exactement les grandes antiennes « Ô » de l'Avent, selon l'ordre actuel :

  • 7 (8) Grandes antiennes « Ô » de l'Avent, dans l'Antiphonarius (vers 877), folio 36r [manuscrit en ligne].

D'ailleurs, la huitième antienne dans le De Laude Dei ainsi que l' Antiphonarius n'est autre qu' « O Virgo Virginum ». D'où, il semble que la tradition gardée en Angleterre et à Rouen, à savoir huit grandes antiennes de l'Avent, fût, soit plus ancienne, soit une variante. Le neuvième antienne « Ô », une autre, se trouve encore dans l'Antiphonarius.

Principaux témoins manuscrits des antiennes "O" de l'Avent[modifier]

Le Corpus antiphonalium officii de René-Jean Hesbert(1963), atteste la présence des antiennes «O» dans les manuscrits les plus représentatifs du répertoire grégorien ancien[11].

  1. C (Compiègne) : Bibliothèque nationale de France latin 17436, Antiphonaire dit de Compiègne (IXe siècle)
  2. G (Durham) : manuscrit B iii 11, dit Antiphonaire français (XIe siècle)
  3. B (Bamberg) : manuscrit Lit. 23, dit Antiphonaire de Bamberg (XIe siècle)
  4. E (Ivrée) : manuscrit 106, Antiphonaire (Xe ou XIe siècle)
  5. M (Monza) : manuscrit C. 12/75, Antiphonaire (XIe siècle)
  6. V (Vérone) : manuscrit XCVIII, Antiphonaire (XIe siècle)
  • datable au plus tard du IXe siècle(huit grandes antiennes « Ô » selon le fonds du rite romain ancien, consacré à la Vierge Marie, précédant Noël)
  1. O Sapientia (CGBEMV)
  2. O Adonai (CBE) ; O Adonay (GMV)
  3. O Radix jesse (CGBEMV)[12]
  4. O Clavis David (CGBEMV)
  5. O Oriens (CGBEMV)[13]
  6. O Rex gentium (CGBEMV)
  7. O Emmanuel (CGBEV ; 9e dans le M, déjà remplacée par O Gabriel)
  8. O Virgo Virginum (CGBEMV)
  1. O Gabriel (HBEM)
  2. O Rex pacifice (HBEMV)
  3. O mundi Domina (HBEM)
  4. O Hierusalem (HBEMV)
  • Au Xe ou XIe siècle
  1. O Thoma Didime (GMV ; E)
    Une particularité de celle-ci se trouve dans le manuscrit d'Ivrée 106 (E) : cette antienne se plaçait dans l'office des laudes et à sa fin (cinq antiennes, Évangile, une antienne et enfin O Thoma)[14]
  • Jusqu'au XIe siècle
  1. O summe Artifex (G)
  2. O Celorum Domine (E)

Selon le classement de Dom Hesbert, les antiennes « Ô » supplémentaires appartiennent aux manuscrits du groupe A (dit germanique ou est) alors que le groupe B (dit latin ou ouest) ne contient que les huit premières antiennes « Ô », selon le groupement de Dom Hesbert. Il est possible que les antiennes surnuméraires soient issues d'usages liturgiques locaux[15]. Aucune des antiennes surnuméraires ne se trouve dans l'antiphonaire de Compiègne, le plus ancien. Leur ordre n'est pas le même dans tous les manuscrits.

ordre Compiègne Saint-Gall (Hartker) Durham Bamberg Ivrée Monza Vérone
I O Sapientia O Sapientia O Sapientia O Sapientia O Sapientia O Sapientia O Sapientia
II O Adonai O Adonay O Adonay O Adnai O Adnai O Adnay O Adnay
III O Radix Jesse O Radix Iesse O Radix Jesse O Radix Jesse O Radix Jesse O Radix Jesse O Radix Jesse
IV O Clavis David O Clavis David O Clavis David O Clavis David O Clavis David O Clavis David O Clavis David
V O Oriens O Oriens O Oriens O Oriens O Oriens O Oriens O Oriens
VI O Rex gentium O Rex gentium O Rex gentium O Rex gentium O Rex gentium O Rex gentium O Rex gencium
VII O Emmanuhel O Emmanuel O Emmanuhel O Emanuel O Emanuhel O Gabrihel O Hemanuhel
VIII O Virgo virginum O Virgo virginum O Virgo virginum O Virgo virginum O Virgo virginum O Virgo virginum O Virgo virginum
ordre Compiègne
[vers 877]
Saint-Gall (Hartker)
[germanique]
Durham
[latin]
Bamberg
[germanique]
Ivrée Monza
[germanique]
Vérone
IX O Gabriel O summe Artifex O Gabriel O Gabrihel O Emanuhel O celes puidica Sponsa
X O Rex pacifice O Thoma Didime O Rex pacifice O Rex pacifice O Thoma Didime O Rex pacifice
XI O mundi Domina O Hierusalem O mundi Domina O Rex pacifice O Hierusalem
XII O Hierusalem O mundi Domina O Hierusalem O mundi Domina O Thomas Didime
XIII O celorum Domine O Hiersalem

Attente de la naissance de Jésus[modifier]

Dom Prosper Guéranger a mis en parallèle son commentaire des antiennes dans l'Année liturgique, avec le voyage de Marie vers Bethléem (cf. « L' Avent liturgique », antienne par antienne[16].

Voir aussi[modifier]

Notes et références[modifier]

  1. [lire en ligne] Bréviaire de Rouen note n° 1
  2. [lire en ligne] Prosper Guéranger, L'année liturgique: L'Avent liturgique
  3. [lire en ligne] ⇒ voir rubrique Liber De Ordine Antiphonarii, CAPUT (chapitre) XIII (pdf p. 1269)
  4. Honoré d'Autun, Gemma animae, III, V, de antiphonis O, Migne, p.643.
  5. Ce passage est partiellement présenté sur un site de Pierre Billaud : voir Fig. 275 et 276 (I O sapientia et XIII O rex pacifice) http://pbillaud.fr/html/greg12.html
  6. Analecta Praemonstratensia, Volume 32 page 145 « Les antiennes O dans la liturgie des Prémontrés » et Les ordinaires des collégiales Saint-Pierre à Louvain et Saints-Pierre-et-Paul à Anderlecht d'après des manuscrits du XIVe siècle
  7. [1] Medieval Hungarian Christmas Music
  8. [2] ; on y trouve quelques prières accompagnant les antiennes sur l'Incarnation de Jésus Sagesse éternelle (O Sapientia) et Verbe fait chair pour méditer l'octave du 16 au 24 décembre à partir du 16 : Hommage à l'Esprit de Jésus dans la Crèche.- à la bouche adorable de Jésus naissant.- aux mains sacrées de Jésus dans la Crèche.- aux Yeux de Jésus.- aux pieds adorables de Jésus dans la Crèche.- à la Chair de Jésus dans la Crèche, au Sang de Jésus dans la Crèche.- à l'âme de Jésus nouveau né. - Hommage à la Divinité de Jésus dans l'étable.
  9. Bréviaire de Sens et de Paris.
  10. Daniel Saulnier, Le chant grégorien, Abbaye Saint-Pierre de Solesmes, 2003, p. 115
  11. Corpus antiphonalium officii, tome I, p. 28 - 31.
  12. Le copiste du manuscrit M écrivit stans au lieu de stas, mais il ne s'agit autre que d'une erreur (p. 29).
  13. Seulement le C écrivit æternel tandis que d'autres donnaient eternel.
  14. CAO, tome I, p. 29
  15. http://palmus.free.fr/Article.pdf p. 9 (rubrique Les difficultés)
  16. Dom Prosper Guéranger, Année Liturgique, « Avent ».

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