You can edit almost every page by Creating an account. Otherwise, see the FAQ.

Maurice Fayet

De EverybodyWiki Bios & Wiki
Aller à :navigation, rechercher


Erreur Lua dans Module:Wikidata à la ligne 118 : attempt to index field 'wikibase' (a nil value).

Maurice Fayet (1922-1988) est un résistant et homme politique français.

Biographie[modifier]

Maurice René Fayet naît à Lasalle[1] le [2].

Alors métallurgiste et membre du Parti communiste français, il s'engage sous le pseudonyme « Fabien » dans les Forces unies de la jeunesse patriotique[3] qu'il s'attache à noyauter avec des camarades[1].

Il intègre le comité local de Libération de Nîmes dès 1944, puis le comité départemental plus tardivement, en [1]. Mais selon Pierre Mazier, il y est l'un des éléments communistes moteurs (alors que le président Jean Paradis s'attache à modérer leurs ardeurs) et s'y distingue déjà comme un « politicien d'avenir »[1], jusqu'à la dissolution de l'organisme pour laisser place au conseil général du Gard restauré au mois de septembre suivant.

Candidat du PCF dans le canton de Lasalle en 1964, il est battu. Élu conseiller municipal de Nîmes sur la liste d'Émile Jourdan en 1965, il devient adjoint au maire de Nîmes en 1971, où il a notamment l'initiative de l'ESAT Osaris[4]. Il succède ensuite à Jourdan comme conseiller général du Gard pour le canton de Nîmes-1 après l'élection de celui-ci à l'Assemblée nationale. Il fait alors partie, au côté de Robert Jonis ou Robert Martin, des « historiques »[5]. Battu aux cantonales de 1982, après que le canton eut été amputé de ce qui allait constituer le canton de Nîmes-6, il ne se représente pas aux élections municipales de 1983.

Il meurt le à Nîmes[2].

Sa fille, Sylvette Fayet, joue également un rôle politique[6]. Une rue de Nîmes porte aujourd'hui son nom.

Références[modifier]

  1. 1,0 1,1 1,2 et 1,3 Mazier 1992.
  2. 2,0 et 2,1 https://deces.matchid.io/search?advanced=true&ln=Fayet&fn=Maurice
  3. La Résistance dans le Gard, loc. cit.
  4. Anthony Maurin, « NÎMES Osaris, l’oasis d’une pépinière sociale et autochtone », sur objectifgard.com, (consulté le 1er août 2020).
  5. JEAN-PIERRE SOUCHE, « Nîmes : Alain Clary itinéraire d'un élu discret et populaire », Midi libre,‎ (lire en ligne, consulté le 1er août 2020).
  6. JEAN-PIERRE SOUCHE, « Municipales à Nîmes : les "fils et filles de" s'immiscent dans les listes électorales », Midi libre,‎ (lire en ligne, consulté le 1er août 2020).

Bibliographie[modifier]

  • Pierre Mazier (préf. Aimé Vielzeuf), « Fayet Maurice », dans Quand le Gard se libérait, Nîmes, Lacour, (ISBN 2-86971-615-X), p. 139.
  • « Fayet Maurice », dans La Résistance dans le Gard, Paris, Association pour des études sur la résistance intérieure, (ISBN 978-2-915742-23-7) — notice individuelle non paginée.

Erreur Lua dans Module:Catégorisation_badges à la ligne 170 : attempt to index field 'wikibase' (a nil value).Erreur Lua dans Module:Suivi_des_biographies à la ligne 189 : attempt to index field 'wikibase' (a nil value).


Cet Article wiki "Maurice Fayet" est issu de Wikipedia. La liste de ses auteurs peut être visible dans ses historiques et/ou la page Edithistory:Maurice Fayet.