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Martine Courtois

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Erreur Lua dans Module:Wikidata à la ligne 118 : attempt to index field 'wikibase' (a nil value). Martine Courtois (variante du nom : Chatelain-Courtois, pour les premières œuvres), née le 9 novembre 1944 à Mogador (Essaouira, Maroc), est une universitaire et auteure française.

Biographie[modifier]

Formation et carrière[modifier]

Elle passe sa petite enfance à Mogador (nom ancien d’Essaouira, Maroc), où sa mère fait les costumes des figurants sur le tournage d’Othello d’Orson Welles.

Au lycée Lalla Aïcha de Rabat, elle a pour professeurs l’écrivain Mouloud Mammeri, qui lui révèle la langue française classique, et le philosophe kantien Jean Ferrari.

Ses études supérieures commencent en khâgne à Lyon, en 1962[1]. Elle entre à l’École normale supérieure de Sèvres en 1965. Elle passe l’agrégation de Lettres classiques en 1968.

Elle soutient une thèse en littérature générale et comparée sur les Frontières du littéraire (littérature et arts plastiques ; littérature et ethnologie), à l’université de Bourgogne, en 1991.

Maître de conférences en littérature comparée à l’université de Bourgogne (1969-1994), elle y devient ensuite professeur de littérature française contemporaine (1994-2007), puis professeur émérite en 2007.

Recherches sur Élie Faure[modifier]

Ayant entrepris l’analyse des figures dans l’Histoire de l’art d’Élie Faure, elle réoriente ses recherches, après plusieurs années, sur la biographie et la bibliographie de l’auteur, encore trop mal connues. Soutenue par les trois enfants d’Élie Faure, et en particulier Jean-Pierre Faure, ainsi que par Yves Lévy, éditeur des Œuvres complètes chez Pauvert, elle crée en 1981 les Cahiers Élie Faure, édités par Le Temps qu’il fait, à Cognac. Elle fait une première édition critique de l’Histoire de l’art, en cinq volumes, chez Denoël (1985, 1986, 1987), puis en sept volumes, avec L’Esprit des formes, dans la collection « Folio Essais » de Gallimard (n°62-66, 1988-1989). Outre la préface, cette dernière édition contient plus de 800 pages de dossiers critiques. L’iconographie a été choisie au plus près de ce que voulait Élie Faure.

Avec Jean-Paul Morel, qui faisait des recherches sur la correspondance d’Élie Faure, et ses écrits sur le cinéma, elle publie Élie Faure, biographie, aux éditions Séguier en 1989.

Recherches sur le vin et l’alimentation[modifier]

Les recherches de Martine Courtois sur l’imaginaire de la nourriture ont surtout porté sur les aliments fermentés et sur le vin.

Elle organise en octobre 1981, avec Max Milner, le colloque pluridisciplinaire L’imaginaire du vin, publié par Jeanne Laffitte à Marseille en 1983, réédité en 1989 avec une préface d’Émile Peynaud. Pour la première fois, des chercheurs en littérature et en sciences humaines se réunissent avec des spécialistes de la viticulture et de l’œnologie, pour explorer les multiples voies de l’imaginaire du vin.

Elle publie Les mots du vin et de l’ivresse, avec des illustrations de Cabu, aux éditions Belin, en 1984. Le passage à Apostrophes[2], le 14 décembre 1984, lance le livre, dont l’impression ne sera arrêtée qu’en 2019. Une version de poche, sans illustrations, paraît en 2008. La Timshel Compagnie en a fait un spectacle en 2013[3], avec le comédien Fabien Boseggia et l’accordéoniste Jean-Luc Brunetti.

En 1988-1989, Martine Courtois est conseiller scientifique, pour la partie littérature et sciences humaines, de l’exposition La Vigne et le vin au musée de la Villette, Paris, et elle participe au catalogue.

Ayant fondé un petit groupe de recherches « Études pluridisciplinaires sur le vin », à l’université de Bourgogne, elle prend l’initiative d’un diplôme d’université Vin et Culture, qui réunit les enseignants des sciences de la vigne et du vin, analyse sensorielle, histoire, géographie, droit, économie, et littérature[4]. Ces premiers jalons dans les recherches pluridisciplinaires sur le vin mèneront à la création de la Chaire UNESCO Culture et Traditions du vin[5], toujours à l’université de Bourgogne, en 2007.

Recherches sur la mort[modifier]

En 1991, Martine Courtois publie aux éditions Belin Les Mots de la mort où elle étudie, en quatorze chapitres thématiques, les figures qui ont proliféré autour de l’indicible. Louis-Vincent Thomas en a fait la préface.

Recherches sur le conte merveilleux[modifier]

Après de longues années d’enseignement sur les interprétations du conte merveilleux, et quelques articles sur ce genre, Martine Courtois publie aux éditions José Corti Dans la cuisine de l’ogre, anthologie précédée d’un essai, novembre 2019. L’essai débarrasse cette figure de l’ogre des stéréotypes tenaces qui masquent sa proximité avec les humains.

Bibliographie[modifier]

Élie Faure[modifier]

Élie Faure, biographie, en collaboration avec J.P.Morel, Librairie Séguier, 1989, 309 pages. (ISBN 2-906284-63-7).

Cahiers Elie Faure, Cognac, Le Temps qu’il fait, n°1, janvier 1982 : éditorial et articles divers.

Cahiers Elie Faure, Cognac, Le temps qu’il fait, n° 2, août 1983 : éditorial et bibliographie.

Élie Faure, Histoire de l’Art, 5 volumes, édition du cinquantenaire, établissement du texte, préface, iconographie et dossiers critiques par Martine Chatelain-Courtois, Paris, Denoël :

L’Art antique, 256 p., 1985, (ISBN 2-207-10071-5) ;

L’Art médiéval, 349 p., 1985, (ISBN 2-207-10072-3) ;

L’Art renaissant, 336 p.,1986, (ISBN 2-207-10073-1) ;

L’Art moderne I, 271 p., 1987, (ISBN 2-207-10075-8).

L’Art moderne II, 336 p., 1987, (ISBN 2-207-10076-6).

Élie Faure, Histoire de l’Art, établissement du texte, préface et dossiers critiques par Martine Chatelain-Courtois, Paris, Gallimard, coll. « Folio Essais », cinq volumes, n° 62-66, 1988-1989.  

Élie Faure, Histoire de l’art. L’esprit des formes, dossiers critiques par Martine Courtois, Paris, Gallimard, coll. « Folio Essais », 2 vol., n° 176-177, 1991. (ISBN 2-07-032521-0) et 2-07-032656-X

Martine Chatelain, « Sud mélodique, Nord symphonique : la géographie lyrique d’Élie Faure », dans Actes du XVIe Congrès de la SFLGC (18-21 septembre 1980), Le Sud : mythes, images, réalités, tome II, 1984, Université Paul Valéry, p.421-429.

Martine Courtois, « Élie Faure, l’introuvable filiation », dans Le paradigme de la filiation, dir. Jean Gayon et Jean-Jacques Wunenburger, L’Harmattan, 1995, p. 317-329. (ISBN 2-7384-3040-6).

Imaginaire de la nourriture[modifier]

Les mots du vin et de l’ivresse, illustrations de Cabu, 303 pages, Paris, éditions Belin, collection « Le Français retrouvé », 1984. (ISBN 2-7011-0534-X).

Réédition sans les illustrations, éditions Belin, 2008. (ISBN 978-2-7011-4936-3)

L’Imaginaire du Vin [actes du colloque de Dijon 15-17 octobre 1981], dir. Max Milner et Martine Chatelain-Courtois, éd. Jeanne Laffitte, Marseille, 1983. Réédition augmentée 1989 avec préface d’Émile Peynaud. (ISBN 2-86276-200-8).

« Chanter le nectar, causer du pinard : sémiologie du vin et de l’ivresse », dans L’Imaginaire du Vin, dir. Max Milner et Martine Chatelain-Courtois, éd. Jeanne Laffitte, Marseille, 1983, p.399-406.

« Les mots du vin et de l’ivresse », « Le vin dans les religions antiques », « Le vin de Dionysos », « Les interdits bibliques », « Le pressoir mystique », « Bestiaire du vin », « Le vin et les femmes », articles dans le catalogue de La vigne et le vin (exposition du musée de La Villette), dir. Lucien Logette, éd. La Manufacture, 1988. (ISBN 2-7377-0397-2).

« La représentation des fruits et légumes dans le langage familier », dans Le grand livre des fruits et légumes, dir. Daniel Meiller et Paul Vannier, éditions de La Manufacture, 1991, p.173-178. (ISBN 2-7377-0291-7).

« Les ferments interdits dans la Bible », colloque de Palerme, Sicile, Le Ferment Divin, dir. Dominique Fournier et Salvatore d’Onofrio, collection « Ethnologie de la France », éditions de la Maison des Sciences de l’Homme, Paris, 1992, p.63-75. (ISBN 2-7351-0446-X).

En ligne : https://books.google.fr/books?id=hKIQaeXeBcIC&pg=PA63&lpg=PA63&dq=Martine+Courtois&source=bl&ots=rV_l_rahIF&sig=ACfU3U0eR8JpDts6mgkbv8wEd8R3gNRvjA&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwjDmKfGxfjlAhWgA2MBHetxDAM4RhDoATAAegQIChAB#v=onepage&q=Martine%20Courtois&f=false

« Sans pain ni vin » (sur l’ethnocentrisme alimentaire dans les récits de voyage), dans Mille et une bouche. Cuisines et identités culturelles, revue Autrement, série Mutations/Mangeurs n°154, mars 1995, p.89-95. (ISBN 2-86260-528-X)

En ligne : http://www.lemangeur-ocha.com/fileadmin/contenusocha/08_sans_pain_ni_vin.pdf

« ‘Comme un brouillard d’octobre’ : fumées et vapeurs du vin », Brouillards, brumes et nuées, n°26/28 de Figures. Cahiers du Centre de Recherches sur l'Image, le Symbole et le Mythe, Dijon, EUD, 2002, p. 219-225. (ISSN 0769-1548).

« Du pain d’Adam au vin de Noé : création, recréation, récréation » (colloque La Genèse, Centre Le texte et l’édition, Université de Dijon, et Centre Jacques Petit, Université de Besançon, 30-31 octobre 2001), La Genèse dans la littérature. Exégèses et réécritures, dir. Martine Bercot et Catherine Mayaux, Éditions Universitaires de Dijon, 2005, p. 29-43. (ISBN 2-915552-26-6).

« Le vin dans l’Ancien Testament, codes et rites », Rencontres du Clos Vougeot 2007. Le vin et les rites, sous la direction de Jocelyne Pérard et Maryvonne Perrot (colloque de la Chaire UNESCO Vin et Culture, 20-22 septembre 2007), Oenoplurimédia, 2008. (ISBN 978-2-905428-40-0).

La mort[modifier]

Les Mots de la mort, préface de Louis-Vincent Thomas, Paris, éditions Belin, coll. « Le Français retrouvé », 1991 ; 416 pages, 73 illustrations. (ISBN 2-7011-1155-2).

« L’image du corps dans La mort d’Ivan Ilitch », dans Écritures du corps, Cahiers du Centre de Recherches sur l’Image, le Symbole et le Mythe, Université de Bourgogne, 1988, p.87-99.

« L’expression familière de la mort », revue Sociétés, n° spécial Images sociales de la mort, dir. Jean-Didier Urbain, n° 26, 1992, p. 139-142.

Entrées « Expression métaphorique » et « Leçons des Ténèbres », Dictionnaire de la Mort, dir. Philippe Di Folco, Larousse, coll. « In Extenso », 2010, p. 434-435 et 616-617. (ISBN 978-2-03-584846-8).

« Segalen et le plus grand des voyages », Le Nouveau Magazine littéraire, « Ce que la littérature sait de la mort », n° 525, novembre 2012, p.66.

https://www.cairn.info/magazine-le-magazine-litteraire-2012-11-page-66.htm

« Toute une vie en trois fois rien. Essai sur les formes narratives de l’état civil », Du Tout. Tout, totalité, totalisation dans la littérature. Mélanges offerts à Jacques Poirier, Éditions universitaires de Bourgogne, février 2015. (ISBN 978-2-36441-117-3).

« Parler du cadavre », revue Communications, Centre Edgar-Morin, École des hautes études en sciences sociales, Paris, éditions du Seuil, n°97, Chairs disparues, dirigé par Valérie Souffron, 5 novembre 2015. (ISBN 978-2-02-121948-7).

En ligne : https://www.persee.fr/doc/comm_0588-8018_2015_num_97_1_2769

Contes, folklore[modifier]

Dans la cuisine de l’ogre. Anthologie précédée d’un essai, éditions José Corti, coll. « Merveilleux » n° 57, novembre 2019, 272 p.  (ISBN 978-2-7143-1227-3)

« Élupubrations : essai sur le folklore du loup », Le Bestiaire, des animaux et des mots, n°21-23 des Cahiers du Centre de recherche sur l’Image, le Symbole et le Mythe, Université de Bourgogne, décembre 2001, p. 51-68. (ISSN 0769-1548).

« “Nous aimons mieux que ce soit Monsieur qui nous mange“ : le conte-type 327 (Les enfants chez l’Ogre) en Europe, Afrique du Nord et Afrique de l’Ouest » (colloque de l’université de Clermont-Ferrand, 2008), Mythes sacrificiels et ragoûts d’enfants, études réunies et présentées par Sandrine Dubel et Alain Montandon, Clermont-Ferrand, Presses universitaires Blaise Pascal, 2012, p.211-224. (ISBN 978-2-84516-519-9).

« Le conte merveilleux, récit initiatique ou initiation au récit ? », Liber aureus. Mélanges d’antiquité et de contemporanéité offerts à Nicole Fick, textes rassemblés et édités par Sylvie Laigneau-Fontaine et Fabrice Poli, 2 volumes, 647 p., De Boccard éditions, Paris, 2012, p. 587-604. (ISBN 2-913667-30-9)

« Contes [la Vierge dans les —] », Dictionnaire historique de la Vierge Marie, dirigé par Philippe Martin (Université de Lyon II) et Fabienne Henryot, éditions Perrin, Paris, 2017. (ISBN 978-2-262-03981-3).

Littérature[modifier]

« Ruy Blas ou le miroir aux alouettes », Studi Francesi, Turin, Italie, janvier-avril 1981, p.24-36.

« Ethnologie » (et littérature), en collaboration avec Jean-Marie Gibbal, Dictionnaire des Littératures française et étrangères, anciennes et modernes, dir. Jacques Demougin, Larousse, 1985, t. I, p.536-538. (ISBN 2-03-508301-X).

« L’autre Beaujolais », dans Flâner en France. Sur les pas de dix-huit écrivains réunis par Jacques Lacarrière, éditions Christian Pirot, 1987. Édition augmentée en 2007.

« Roussel mais Duse », dans Du visible à l’invisible. Pour Max Milner, dir. Stéphane Michaud, Paris, José Corti, 1988, t. I, p.137-144. (ISBN 2-7143-0266-1).

« Roussel à pile ou face », Monitoires du Cymbalum Pataphysicum, n°27, mars 1993.

« Les objets dans la trilogie de Samuel Beckett », Hommages à Suzanne Roth, A.B.D.O., Dijon, 1994, p.237-251.

« Soleils funestes », introduction de Soleils funestes, n° 13-14 de Figures, dir. Martine Courtois, Cahiers du Centre de Recherche sur l’Image, Université de Dijon, 1995, p.7-22. (ISSN 0769-1548).

« Les frères Tharaud ou Marrakech fantôme », colloque L’Imaginaire de Marrakech, Université de Marrakech, 18-20 avril 1996.

« Apollinaire : Merlin et la vieille femme, ou à rebours », dans Alcools, en corps, dir. Jean-Yves Debreuille, Recherches et Travaux, hors-série n°14, Université Stendhal-Grenoble 3, 1998, p.151-160.

« La vipère mâle et la serpente : sexes et genres chez Apollinaire », dans L’un (e) miroir de l’autre, dir. Max Véga-Ritter et Alain Montandon, Centre de Recherches sur les Littératures Modernes et Contemporaines, Université Blaise Pascal, 1998, p.229-237. (ISSN 1275-3734).

« Espace et forme poétique dans Stèles », dans Equipée. Stèles. Victor Segalen, dir. Paule Plouvier, éd. Ellipses-Marketing, 1999, p.35-46.

« Apollinaire : le vin de saint Vit », Hommages à Yvette Quenot, Université de Dijon, 1999, p.11-23.

« Segalen : les stèles occidentées ou l’Occident en déroute », Cahier Victor Segalen n°6, mars 2000, p.55-61.

« André Malraux : le désert de Saba, farfelu ou absolu », Le Désert, n°25 de Figures. Cahiers du Centre de Recherche sur l'Image, le Symbole et le Mythe, EUD, 2002.

« “Moment“ : où le poème cela ceci » (colloque de l’Association Victor Segalen, ENS rue d'Ulm, 30-31 mai 2003), Ce que le poème dit du poème, dir. Anne-Elizabeth Halpern et Christian Doumet, coll. « L’Imaginaire du Texte », Presses Universitaires de Vincennes, 2005, p.177-188. (ISBN 2-84292-168-2).

« Picasso, Le désir attrapé par la queue : fiction et figuration », dans Et in fabula pictor. Peintres écrivains au XXe siècle : des fables en marge des tableaux, dir. Florence Godeau, éd. Kimé, 2006, p.51-68. (ISBN 2-84174-400-0)

« Espace chinois et forme poétique dans Stèles de Victor Segalen », conférence à l’Université Fudan, Shanghai, 19 avril 2007.

碑》的诗意形式与中国空间   dans   中国比较文学  janvier 2008 (Comparative literature in China )

« L’auteur et l’artiste. Les didascalies dans Le Désir attrapé par la queue », dans Regarder l’impossible. L’écriture didascalique au XXe siècle, dir. Florence Fix et Frédérique Toudoire, Éditions Universitaires de Dijon, 2e semestre 2007, p.171-179. (ISBN 978-2-915552-72-0).

L’Imaginaire du feu. Approches bachelardiennes (colloque du Centre Gaston Bachelard, 3-5 juin 2004), dir. Martine Courtois, Lyon, Jacques André éditeur, 2007. (ISBN 978-2-7570-0101-1).

Édition critique de Claude Bernard, Arthur de Bretagne, établie, présentée et annotée par Martine Courtois (« Claude Bernard et ses chemins de traverse », p.7-94), Villefranche-sur-Saône, éditions du Poutan, 2013. (ISBN 978-2-918607-34-2).

« Exotisme et érotisme chez Victor Segalen. “Quand je te connaîtrai toute, je ne t’aimerai plus“ », Cahiers Victor Segalen, « Exotisme et altérité. Segalen et la Polynésie », Honoré Champion, janvier 2015, p.80-101. (ISBN 978-2-7453-2899-1).

Notice d’autorité[modifier]

BnF

https://catalogue.bnf.fr/rechercher.do;jsessionid=8148C3C94D603C81D101F2BC6A39CD28?motRecherche=Courtois%2C+Martine&critereRecherche=0&depart=0&facetteModifiee=ok

International Standard Name :

http://isni.oclc.org/xslt/COOKIE=U51,KENDUSER,I28,B0028%2B%2B%2B%2B%2B%2B,SY,NISNI,D1.2,Ed74bfee0-e,A,H1,,3-28,,30-41,,43-59,,65-70,,74-75,R90.57.118.143,FY/DB=1.2/FKT=8006/FRM=Courtois,%2BMartine/IMPLAND=N/LIBID=0028%2B%2B%2B%2B%2B%2B/LNG=EN/LRSET=2/SET=2/SID=d74bfee0-e/SRT=LST_nd/TERMS_OF_USE_AGREED=Y/TTL=1/XSLBASE=http%253A%252F%252Fisni.oclc.org%253A8080%252Fisni%252Fworldcat_gui/XSLFILE=%25253Fid%25253D%24c%252526db%25253D%24d/SHW?FRST=1

IdRef Identifiants et référentiels pour l’enseignement supérieur et la recherche

https://www.idref.fr/02829176X

Sudoc

http://cuivre.sudoc.abes.fr/xslt//DB=2.1/SET=1/TTL=1/CMD?ACT=SRCHA&IKT=1&SRT=RLV&TRM=Courtois%2C+Martine

Library of congress

http://id.loc.gov/search/?q=Courtois%2C+Martine

WorldCat

http://www.worldcat.org/identities/lccn-n82254806/


[1] Arnaud Costechereire, Parcours de khâgneux du Lycée du Parc et du Lycée de jeunes filles de Lyon 1924-1968, thèse de doctorat d’histoire, Université de Lyon 2, 2011, dossier « Martine C. ». En ligne : http://theses.univ-lyon2.fr/documents/lyon2/2011/costechareire_a


[2] « La gourmandise et le vin », Apostrophes, émission de Bernard Pivot, 14 décembre 1984 : visible sur le site de l’INA, https://www.ina.fr/video/CPB84056988

[3] https://www.dailymotion.com/video/xvaen9

[4] Ce DU est devenu le DU Vin, culture et œnotourisme.

[5] Créée sous la direction de Jocelyne Pérard et Maryvonne Perrot, après le départ de Martine Courtois : https://chaireunesco-vinetculture.u-bourgogne.fr/la-chaire-unesco/presentation.html


[6] En ligne : https://www.persee.fr/doc/comm_0588-8018_2015_num_97_1_2769

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