Le Scandale Ric Hochet
Le Scandale Ric Hochet | ||||||||
33e album de la série Ric Hochet | ||||||||
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Scénario | André-Paul Duchâteau | |||||||
Dessin | Tibet | |||||||
Assistant | Didier Desmit | |||||||
Genre(s) | Policier | |||||||
Langue originale | Français | |||||||
Éditeur | Le Lombard | |||||||
Nb. de pages | 44 planches | |||||||
Albums de la série Ric Hochet | ||||||||
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Planche finale datée de 1980 | ||||||||
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Le Scandale Ric Hochet est le 33e tome de la série de bande dessinée Ric Hochet.
Personnages[modifier]
Ric et ses alliés[modifier]
- Ric Hochet
- Commissaire Bourdon
- Inspecteur Ledru
- Nadine
Les témoins et les suspects[modifier]
- Christian Letellier, importateur
- Mme Lantier et sa fille
- Alain Carnot, étudiant, voleur qui dit avoir été blessé par Ric
- Julia Carsan, actrice
- Bernard Virelles, chroniqueur judiciaire TV
- Maître de Lavigne, avocat de Lucia Carsan
- Daniel Deloncle, publicitaire
- Lebet, médecin
Lieux[modifier]
- Paris et ses environs
Résumé[modifier]
Mise en place de l'intrigue[modifier]
Cette section résume les planches 1 à 12.[1]
Un homme commet un vol violent dans un ascenseur, puis quitte les lieux. Ric le pourchasse. L'homme tire sur un passant, dont on apprendra plus tard qu'il s'appelle Christian Letellier. Quelqu'un prête un revolver à Ric, qui vise de manière à éviter le bandit. Mais ce dernier tombe au sol, peut-être touché par Ric. En fin de compte, Ric est accusé d'avoir agressé le voleur et d'avoir tenté de le tuer. Ceci est d'autant plus étrange que Christian Letellier, en réalité, n'a pas été blessé, que l’arme utilisée par Ric ne comportait que des balles à blanc et que celui qui avait remis l'arme à Ric a disparu.
Plus tard, à l'hôpital, Alain Carnot, le voleur qui dit avoir été blessé par Ric, affirme qu'il n'a rien fait de mal mais que c'est Ric qui a tenté de le tuer. Ric souhaite interroger une témoin des faits, Mme Lantier. Il se rend à son domicile et apprend par sa fille sexagénaire que Mme Lantier est en train d'être interviewée à la télévision par Virelles, le célèbre chroniqueur judiciaire. Ric et Nadine quittent les lieux. Plus tard, une voiture ressemblant à celle de Ric fonce sur Mme Lantier, revenue de la télévision, et la blesse grièvement. Bourdon vient informer Ric de ce développement inattendu. Quelqu'un frappe alors à la porte. Cette dernière est bloquée et une explosion de gaz se produit. Ric et Bourdon pensent qu'il s'agissait d'une diversion ou d'une menace.
Ric accusé d'être un agresseur fou[modifier]
Cette section résume les planches 13 à 33.[2]
Alain Carnot rencontre Bourdon et affirme avoir été blessé par Ric. Plus tard, Ric reçoit un appel téléphonique de Bourdon lui demandant de se rendre immédiatement au 35 avenue de la Forêt : un fou criminel terrorise plusieurs personnes. Sans tarder, Ric se rend à l’adresse indiquée et pénètre dans le vaste domaine au centre duquel se trouve un château. Il aperçoit une calèche dirigée par un homme masqué ; la calèche traîne derrière elle un corps et poursuit une jeune femme. En réalité, il ne s'agissait pas d'une attaque, mais d'une répétition d'une scène pour la télévision : la jeune femme « poursuivie » s'appelle Lucia Carsan et est actrice. Les autres personnes sont des acteurs ou professionnels du cinéma. Au moment où l'on emporte Lucia Carsan, quelqu'un photographie Ric et s'enfuit. Ric ne peut pas le poursuivre : on a dégonflé les pneus de sa Porsche. Quelqu'un a tracé sur le pare-brise de sa voiture les mots : « Le Maestro ». Ric comprend que quelqu'un l'a attiré dans ce traquenard en imitant la voix de Bourdon.
Plus tard, le quotidien la Presse sort un article assassin sur Ric, accusé d'avoir blessé une jeune actrice. Les autres magazines à sensation s'emparent aussi de l'affaire.
Par la suite, le magazine La Presse accuse Ric d'avoir engagé Alain Carnot pour commettre un faux holp-up, dans un but publicitaire : Ric « fabriquerait ses propres exploits ».
Ric décide d'aller rendre visite à Lucia Carsan pour lui expliquer les tenants et aboutissants de ce sinistre canular dont tous deux ont été victimes. Mais chez la jeune femme, la lumière s'éteint et Lucia a été griffée près du cou. Elle accuse Ric de l'avoir agressée.
Ric apprend ensuite que quelqu'un a lancé, en usurpant son identité, une campagne publicitaire « Ric Hochet - Redresseur de torts numéro 1 » auprès de l'agence marketing dirigée par Daniel Deloncle. Cette campagne a été payée et ne peut pas être arrêtée.
Ric reçoit un appel téléphonique du Maestro, qui lui annonce que Nadine a été enlevée et se trouve dans un immeuble en ruine dont il lui donne l'adresse. Immédiatement, Ric se rend sur le site : Nadine n'est pas là, mais le Maestro est là, qui le menace avec un pistolet. Ric parvient à se délivrer sans toutefois mettre l'homme hors d'état de nuire.
Plus tard, alors qu'il se trouve à La Rafale, Ric est endormi par un produit soporifique placé dans sa machine à écrire. Peu après, le chroniqueur Bernard Virelles est agressé dans son bureau par le Maestro. Bien que Ric se défende d'avoir commis cette agression, on lui fait remarquer que l'on a retrouvé ses empreintes digitales sur le téléphone de Virelles.
Ric est « au fond du trou » et ne sait pas comment se sortir de cette situation.
Agressions de Lavigne, Deloncle et Bourdon[modifier]
Cette section résume les planches 34 à 40.[3]
Lavigne, avocat de Lucia Carsan, dit avoir été agressé par Ric Hochet alors qu'il faisait son jogging.
Ric décide d'aller voir le publicitaire Deloncle. Ce dernier reçoit un appel téléphonique du Maestro. Peu de temps après, alors que Ric se trouve à ses côtés, Deloncle accuse ce dernier de lui avoir donné un coup à l'estomac.
Bourdon explique à Ric qu'il a reçu l'ordre de l'interpeller : le chef de la PJ pense que Ric est lui-même le Maestro ! Un événement étrange se produit alors : Bourdon a le sentiment que Ric vient d'essayer de le tuer en tirant un coup de feu à travers sa poche d'imperméable. Ric s'enfuit et décide d'aller se cacher dans le pavillon de chasse de maître de Lavigne, la « planque idéale » selon lui. Mais le Maestro sait où il s'est caché, et fait Ric prisonnier. À cette occasion, Ric découvre que le Maestro est en fait trois personnes !
Dénouement et révélations finales sur l'identité de Maestro[modifier]
Cette section résume les planches 41 à 44.[4]
Ric est emprisonné dans une chambre forte, dont la combinaison s'ouvre avec les trois premières lettres du vrai nom de Maestro. Celui-ci est en fait deux personnes, Julia Carsan et Alain Carnot qui sont en réalité frère et sœur. Le duo agissait, en lien étroit avec Christian Letellier, pour le compte de la Mafia. Bourdon et Ledru interviennent et procèdent à l'interpellation des malfaiteurs. Dans la scène finale, Ric et Bourdon avouent à Nadine que les agressions de Lavigne et de Deloncle avaient réellement été faites par Ric, qui avait décidé de tenter cette parade pour tester ces personnes. Bourdon était d'accord pour ce subterfuge.
Notes et références[modifier]
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