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Forçard

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Image représentant deux personnes Cette page explique l’histoire ou répertorie les différents membres de la famille Forçard.

La famille Forçard, d'ancienne noblesse d'origine écossaise (appelée Clan Fergus Mòr Mac Earca "scot" en gaélique écossais Fergus Mór mac Eirc , dont les origines remontent avant 500-5003), puis de noblesse Germanique en 1371 (élevée au titre de Chevalier dès 1036, Baron héréditaire en 1371 par le Duc de Bourgogne) et Pontificale 1595 (élevée au titre de comte)- Cette famille Princière écossaise est déjà noble à l'origine quand elle est arrivée d'Ecosse en premier lieu, puis en France après la chute du Clan. La famille va enfin s'établir en dernier lieu à Bâle en Suisse. Cette famille s'établira en Franche-Comté à Hautevelle (source généalogique du Beuchot). Elle posséda de nombreuses terres et seigneuries notamment celle de Rigney, Schauenbourg (suisse) Liestal (suisse). Cette famille compte beaucoup d'ecclésiastiques. On connaît également un roi d'Écosse nommé Fergus I er dont la famille proviendrait d'après les textes lointains de Norvège. La famille subsiste en France depuis plusieurs siècles (voir ensembl des références)

Fergus Ier de Dal Riada

Fergus Mór mac Eirc Forcard (Fergus Mòr Mac Earca en gaélique écossais) fils de Erc Forçard Mac For ssar Mór mac Eirc , était un roi légendaire de Dál Riata. Il fut le fils de Erc. Venant d'Irlande il aurait occupé le nord-ouest de l'Écosse et partagé sa conquête avec ses frères Loarn et Aongus.

[1]

Vers la fin du ve siècle, Erc mac Eochaid (mort vers 474), descendant de Caibre Riata (vers 220) le fils de l’Ard ri Érenn, Conaire Cóem (157-165), régnait sur le Dalriada petit royaume d'Irlande situé dans l'actuel Comté d'Antrim en Ulster. Selon le Senchus Fer n-Alban document généalogique du xe siècle, trois de ses six fils Fergus, Loarn et Oengus se mirent à la tête d’une expédition destinée à fonder ou plus sûrement à renforcer une colonie créée outremer. Bède de son côté au début du viiie siècle relate ainsi l’évênement :

« La Bretagne accueillit un troisième peuple les Scots. Ceux-ci émigrèrent sous la conduite de leur chef Reuda (i.e. Caibre Riata le fondateur d’un premier établissement, confondu avec son descendant Fergus Mór mac Erc 5 fils de Forçard ?), s’emparèrent, en négociant ou en usant de la force, des colonies, dont ils disposent toujours. On les appelle encore Dalreudins, du non de leur chef, car dans leur langue "daal" signifie une part »

Les Scots s’établirent dans le nord ouest de l’Écosse moderne. Fergus Mór mac Erc ou son frère Loarn mac Eirc fut peut être le premier roi indépendant de ce territoire qui restait une province irlandaise. Les trois frères se répartirent le pays et y établirent leur clan (Cinél ou Cenél) terme qui signifie d’ailleurs « apparenté ».

Le Duan Albanach accorde à Fergus Mór un règne de 27 ans. Seule sa mort fait l'objet d'une entrée en l'an 503 dans les Annales de Tigernach qui relèvent : « Mort de Fergus Mor mac Erc qui occupa une partie de la Bretagne avec les gens du Dalriada »

Postérité

Le Senchus Fer n-Alban n'attribue à Fergus Mór qu'un fils unique et successeur Domangart mac Fergusa. Ce dernier fut le père de Gabrán mac Domangairt éponyme du Cenél Gabráin et de Comgall mac Domangairt ancêtre du Cenél Comgaill.

L'importance posthume de Fergus Mor mac Erca en tant que fondateur du royaume dans le mythe national de l'Écosse médiévale et de la Renaissance est importante. Les souverains d'Écosse, de Kenneth Ier d’Écosse jusqu'à aujourd'hui se réclament descendants de Fergus Mór.

Fergus dans la littérature postérieure

Andrew Wyntoun dans sa chronique du début du xve siècle Orygynale Cronykil of Scotland indique que Fergus est le premier scot à régner en Écosse, et que Cináed mac Ailpín est son descendant. Il complète en précisant que Fergus apporte d'Irlande la Pierre de Scone et qu'il a comme successeur un fils nommé Dúngal. Une liste de roi suit elle est corrompue mais a des similitudes aves celles issues des premières sources.

Si l'œuvre de Wyntoun n'apporte que peu de complément aux récits initiaux, à la fin du xvie siècle Georges Buchanan dans son Rerum Scoticarum Historia en ajoute de nombreux, en suivant généralement Jean de Fordun. Dans cette version, les Scots sont chassés d'Écosse quand les Romains sous Magnus Maximus conquièrent toute l'Île de Bretagne. Son grand-oncle Eugenius Ier est tué par les romains et Fergus, Fergusius II dans le récit de Buchanan doit s'exiler en Scandinavie. Il combat ensuite avec les Francs, avant de retourner reconquérir ses domaines en Écosse. Il est tué lors d'un combat contre Durstus, roi des Pictes, et il a comme successeur son fils Eugenius II. Une tradition fait remonter l'origine du Clan Cameron au fils de la famille royale de Danemark qui assiste Fergus II lors de sa restauration en Écosse !

Le roi Jacques VI d'Écosse, partage le point de vue de Buchanan sur les origines de sa lignée, se décrivant lui-même dans des vers composés à l'attention de son épouse Anne de Danemark, comme l' « Heureux Monarque issu de la race de Fergus ». Jacques VI n'est pas le dernier souverain à partager cette croyance. La grande galerie du Palais de Holyrood à Édimbourg est décorée par 89 portraits de Jacob de Wet représentants les monarques écossais de Fergus à Charles II d'Angleterre.

Les partisans irlandais de Jacques II d'Angleterre souhaite la bien venue au roi à Kilkenny pendant la campagne de Guillaume d'Orange en Irlande, en déclarant, « Nous avons mené un Fergus en Écosse ; nous accueillons dans Jacques le Second l'héritier indubitable de Fergus par la descendance linéaire de cent dix têtes couronnées ».

Académie des Sciences et belles lettres de Besançon 1847

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(Avant 1036.) L'archevêque Hugues I " retire l'église de St-Martin de Tarcenay de la main des héritiers du chevalier Forçard, auquel l'un de ses prédécesseurs, Gerfroi, l'avait abandonnée à litre de précaire. Il se fait égale- ment restituer par le clerc Rodolphe, qui desservait celte église, le moulin prés de Jussan-Moutier ou de Jaragnoz. (V. ci-devant, 1036,13 août.) (Avant 1049.) Nous avons dit que le prélat avait donné aux cha- noines de l'église de SL-Jean-I'Evangéliste le tiers du droit de monnaie appartenant à son siège depuis l'époque du roi Charles - le - Chauve (1). Ajoutons ici qu'il exisle encore quelques rares monnaies de l'archevêque Hugues. Voici la description de l'une de ces pièces, d'abord resiée inconnue à M. Ed. Clerc, qui a reproduit le dessin de quelques autres dans son Essai sur l'Histoire de Franche-Comté, I, 274. Elle est en argent pur et pèse 19 grains. Une croix, accompagnée du nom latin de Hugues, ainsi placé : (descriptif de la croix; se rendre sur le document original pour voir le dessin ) .

H 1 G U I 0

avec l'inscription autour : CRISOPOLIS.—Revers:s. STE- PHANts.— Au centre : une main élevée et bénissante. (l) Ce droit, ainsi que le tonlieu dû au même monarque" fin de citation de l'extrait.

Peter Burckhardt-Forcart (1742-1817), membre du Petit Conseil de Bâle, député à la Diète, bourgmestre de Bâle. En 1812, il avait été landamman de la Suisse.

Correspondance Diplomatique de Pictet de Rochemont et de Francois D'ivernois publié par SHAG, - Page 41 et 43.

Claude I Dunoyer laissa une succession assez substantielle puisqu'outre les biens de Fontenay-le-Vicomte, il possédait quatre maisons ou hôtels à Paris, une rue Sainte-Croix-dela-Bretonnerie, une place Baudoyer et deux rue de la Tissanderie. L'ensemble des biens immobiliers fut estimé à 66 000 livres. Il laissa en tout et pour tout une succession estimée à 764 540 livres 18 sols, soit une fortune dans la moyenne de celle des parlementaires du moment4 . Nous sommes paradoxalement assez mal renseignés sur les fils et petit-fils de Claude I Dunoyer, Claude II et Claude-Jacques. Devenu receveur et payeur des rentes de l'hôtel de ville de Paris après la cession de la charge de secrétaire du roi de son père, Claude II mourut le 11 septembre 1697, au domicile loué à Jean-François Forçard, commissaire général aux saisies réelles, rue des Blancs-Manteaux. Il avait épousé Anne-Elisabeth du Moulin ou Dumoulin5.

5. Cf. Fr. Bluche, op.cit., supra note 1 et A.N., Y 14 886 : Scellés du 11 septembre 1697.

ETUDE HISTORIQUE DU DOMAINE DEPARTEMENTAL DE FONTENAY- LE-VICOMTE (91)

Bibliographie[modifier]

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  1. https://books.google.fr/books?id=zXQwAQAAMAAJ&pg=PA301&lpg=PA301&dq=forcard+fergus+roi&source=bl&ots=6LrCRLLRVG&sig=ACfU3U36E26rfHz3XszzJKF_rJDJaPT_LQ&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwiPrL7ousr1AhWizIUKHV6HB-MQ6AF6BAgdEAM
    https://books.google.fr/books?id=zXQwAQAAMAAJ&pg=PA301&lpg=PA301&dq=forcard+fergus+roi&source=bl&ots=6LrCRLLRVG&sig=ACfU3U36E26rfHz3XszzJKF_rJDJaPT_LQ&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwiPrL7ousr1AhWizIUKHV6HB-MQ6AF6BAgdEAM