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Construction identitaire de l'adolescent en contexte familial transnational

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La construction identitaire de l'adolescent en contexte familial transnational renvoie à la manière dont les adolescents issus de l’immigration, c'est-à-dire ceux qui sont arrivés tout petits ou qui sont nés dans le pays d’accueil de leurs parents, construisent leur identité. Cette thématique s'intéresse au conflit auquel sont confrontés ces jeunes dans le processus de construction de leur identité, aux problèmes de reconnaissance qui en découlent, à la crise identitaire que cela engendre et, enfin, à la possibilité d’une sortie de ce conflit. Cette réflexion s’inscrit dans le cadre théorique de la sociologie des migrations, et plus particulièrement la sociologie de l'immigration.

Introduction[modifier]

L’adolescence est une période charnière dans la construction de l’identité. C’est un moment où le jeune est davantage susceptible de vivre d'importantes remises en question sur le plan identitaire. Celles-ci sont d’autant plus complexes lorsqu’elles qu’elles s’opèrent dans un contexte familial transnational.

Traditionnellement, comme le souligne Daniel Calin, la dimension sociale de notre identité est assurée par un sentiment d’appartenance à des groupes sociaux plus ou moins larges, dans lesquels notre généalogie nous a objectivement inscrit[1]. Cependant, l’émigration induit des changements importants à la fois dans les rapports familiaux, dans l’inscription territoriale mais aussi dans le rapport aux normes et valeurs. Tous ces bouleversements se répercutent sur le sentiment d’appartenance et de ce fait sur l’identité même de l’individu, et ce surtout lorsque ce dernier est un adolescent.

Selon Daniel Calin, les parents migrants seraient moins en proie à des altérations identitaires. En effet, ces derniers ont grandi et construit leur identité dans un contexte culturel plus homogène : celui du pays d’origine. Selon l'auteur, cela leur confère une certaine « identité de base »[1]. À noter toutefois que, dans le pays d’accueil, les « différences identitaires »[2] de ces parents migrants sont parfois vécues dans la douleur. Néanmoins, la situation de leurs enfants s’avère plus compliquée dans la mesure où ceux-ci doivent construire leur identité sur deux plans. Le premier se situe au sein de la cellule familiale, où se diffuse la culture liée au pays d’origine des parents et de la communauté d'origine. Le second plan se situe à l’extérieur de la cellule familiale, où les jeunes sont confrontés à une autre culture, une autre histoire et une autre langue. Ces jeunes disposent donc d’un panel de références auxquelles ils peuvent s’identifier[2].

Sociologie de l’immigration[modifier]

Les premiers travaux en sociologie de l’immigration sont apparus au début du XXe siècle dans le contexte de l’École de Chicago[3]. Ces recherches marquent également la genèse de la sociologie américaine qui s’intéresse au devenir des migrants dans une société d’accueil[4].Trois de ces analyses font encore référence dans le domaine:

William Thomas analyse le phénomène d’immigration à partir du cycle « organisation - désorganisation - réorganisation ». Dans son travail sur l'immigration polonaise, il met en évidence comment un nouveau contexte social refaçonne l’identité de l’immigré[5].

Park et Burgess mettent en place le « cycle des relations raciales » dans lequel ils distinguent quatre phases : la compétition, le conflit, l'accommodation et l'assimilation. Mais cette modélisation sera remise en cause à partir d'enquêtes sur les Noirs qui révèlent que la dernière étape est affectée par la discrimination raciale[5].

Louis Wirth se situe dans la continuité des travaux de Burgess. Il réalise une monographie du quartier juif (The Ghetto)[Lequel ?] à travers ce travail, il met en évidence l'hétérogénéité interne de cet espace mais également sa fonction identitaire[5].

En Europe, et principalement en France, l’intérêt pour ce champ de la sociologie est apparu plus tardivement, vers la fin des années 1970[6]. Jusque-là, pour reprendre la formule de Dominique Schnapper, « la France est un pays d'immigration qui s'ignore »[5]. En définitive, le sociologue Abdelmalek Sayad apporte un nouveau regard sur le phénomène de l'immigration. Il traite de l'émigration - immigration comme un « fait social total » pour reprendre la formule de Marcel Mauss[5]. L’immigré n’est plus uniquement perçu comme celui qui « naît » sur le sol français[pas clair], marqué par les "écarts" de langage ou de comportement ; sa situation migratoire est davantage pensée en relation avec les contextes sociaux, celui du pays d'origine et celui de la société d'accueil[7].

Pluralisme américain vs unitarisme français[modifier]

L’histoire d’un pays influence la perception du phénomène migratoire ainsi que son interprétation sociologique. Les États-Unis se considèrent plutôt comme une terre d'accueil d'immigrés alors que la France se voit davantage comme un pays d'asile et non d’immigration, persuadée de son homogénéité culturelle. La différence entre ces deux pays réside principalement dans la conception même de leur identité nationale plus que de l'histoire de l'immigration en elle-même[8]. De la définition de l’identité nationale découle également celle de l’altérité, de l’étranger, qui varient dans l’espace et dans le temps. On assiste donc à des variations terminologiques pour désigner le phénomène migratoire. En anglais, on parle plutôt du processus d’assimilation tandis qu’en France, on parle plutôt d’intégration[9].

Paradigme de l’assimilation[modifier]

Le paradigme de l’assimilation domine le cadre théorique de la sociologie de l’immigration dès son émergence en 1920 dans le contexte américain. Ce paradigme part du présupposé selon lequel, au fil du temps et des générations, les populations issues de l’immigration se rapprocheraient de plus en plus des natifs au point de devenir indiscernables par rapport à ces derniers[4].

Paradigme de l’intégration[modifier]

La littérature française quant à elle met plutôt l’accent sur une « tradition française » d’intégrer les immigrés (Schnapper, 1991 et 1999)[4]. Ce paradigme s’inspire à la fois de la théorie durkheimienne de l’intégration, tout en étant antagonique à celle-ci, dans la mesure où dans la sociologie de l’immigration, l’intégration ne s’applique non pas à l’ensemble de la société mais à l’individu[10]. Selon Abdelmalek Sayad, l'intégration suppose l'intégrité de la personne fondue mais non pas dissoute dans le groupe, alors que l'assimilation équivaut, se dit-on, à la négation et à la disparition de cette intégrité[11].

Identité conflictuelle[modifier]

On le sait, l’identité est un « processus, un objet que nous construisons petit à petit dans le contact avec les autres, par identifications et différenciations successives à ce qu’ils sont, à ce que nous croyons qu’ils sont et à ce que nous percevons de l’image qu’ils ont de nous »[12]. Si un tel processus de construction identitaire peut être une source de conflit pour tout individu, il l’est davantage pour les adolescents issus de l’immigration. En effet, ils sont sans cesse pris dans une tension entre le désir de s’identifier aux systèmes de valeurs et aux codes culturels que les parents leur transmettent, au risque d’être regardés comme « différents » par les autres, et d’autre part, la tentation d’adopter les codes culturels étrangers et se voir ainsi rejetés par la communauté ethnique à laquelle appartiennent leurs parents.

Le jeune adolescent[Quoi ?] est ainsi confronté dans la durée à vivre selon deux codes culturels différents, parfois contradictoires, voire irréconciliables. Tiraillé, il doit en permanence réévaluer ses croyances, ses choix et ses références en fonction du contexte ; mais il doit également se resituer afin d’inclure de nouvelles perspectives identitaires, jusqu’à se questionner sur son appartenance à un groupe et sa reconnaissance par ce dernier.

Problème de reconnaissance : « étranger d'ici et là-bas »[modifier]

Apprendre à vivre avec deux cultures différentes sans savoir trouver son chemin peut engendrer une crise identitaire chez l’individu ; car s’identifier à un groupe ne veut pas forcément dire être accepté par ce groupe et vice versa. Le fait de se voir accepté ou exclu peut jouer un rôle dans notre auto-identification et dans notre auto-exclusion[13]. Le regard de l’autre peut s’avérer dangereux car s’il peut être valorisant, il peut être aussi destructeur. L’autre a souvent une image d’un individu qui n’est pas conforme à la réalité.

Pourtant, on le sait, « chaque individu tient à présenter de lui-même une image positive, socialement valorisée (la « face »), qui est censée le représenter et qu’il entend voir admise, respectée et entérinée par les autres »[12]. Or c’est précisément là que se situe la souffrance de l’adolescent des parents migrants en ce qui concerne son identité. Il a le sentiment de ne pas être reconnu comme il l’aurait souhaité à travers l’image qu’il renvoie de lui-même.

C’est, par exemple, l’expérience que Philippe, un jeune belge de 15 ans d’origine burundaise, né au Burundi et arrivé en Belgique avec sa famille à l’âge de 5 ans, nous a confiée. À certains moments de sa vie, il ne se sent pas vraiment reconnu belge. Et cela, malgré les efforts qu’il conjugue d’intégrer les codes culturels belges. Et lorsqu’à l’âge de 13 ans, il se rend dans son pays d’origine en vacances, il est également regardé comme étranger. En effet, son accent l’accuse, ses habitudes font ressortir son côté « européen ». Aux yeux de ses anciens copains, il est européen, alors que devant les belges, il reste un étranger. Par conséquent, il ne sait plus vraiment qui il est, ni où il peut se sentir chez lui. Il a beau faire l’effort de naviguer entre les deux codes culturels, il ne semble reconnu ni par les uns ni pas les autres. C’est ce sentiment qui est à l’origine du malaise qui, comme l’expliquent Aissaoui Laëtitia et De Sousa Myriam parlant des jeunes immigrés de la deuxième génération en France, naît du fait que ces derniers « sont qualifiés d’ “étrangersˮ non seulement en France mais aussi dans le pays d’origine des parents » (2008, p. 19).

Philippe est en réalité victime d’un double rejet ; rejet de la part de ses anciens amis du pays d’origine tout autant que de la part de ses compatriotes belges. Car, on lui refuse la définition identitaire à laquelle il estime avoir droit ; rejet que Picard traduit comme suit : « Tu n’es pas ce que tu veux me faire croire que tu es » (Picard, p. 78), une phrase qui peut se révéler très dévastatrice.

Crise identitaire[modifier]

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On entend bien que se trouver en situation d’appartenance biculturelle peut être très difficile à vivre pour les jeunes issus de l’immigration. Déjà le fait d’immigrer est un bouleversement dans la construction identitaire d’une personne. Les parents de ces jeunes sont considérés comme étrangers car ils sont nés et ont vécu dans un autre pays. Leur culture est complètement différente quand ils atterrissent en Europe. Ils ont conscience de leurs différences identitaires bien que celles-ci leur posent parfois quelques problèmes.

Que les parents se sentent « étrangers » puisqu’en la réalité ils le sont, il n’y a rien d’anormal. Pour les jeunes de la deuxième génération, par contre, la situation est un peu différente. Serait-il juste de dire qu’ils sont « étrangers » dans le pays où ils sont nés, où ils ont été scolarisés et où ils grandissent et dans lequel ils envisagent de s’établir pour le reste de leur vie ?

Cette crise identitaire engendrée par la biculturalité ne se vit pas qu’en dehors du cercle familial. Il arrive aussi qu’à l’intérieur de la maison, les différents codes culturels entrent en confrontation. Thérèse Locoh illustre cette confrontation dans une recherche menée sur des adolescents en France issus des parents africains.

La méconnaissance de la culture africaine par exemple de la part des éducateurs brouille la piste des parents dans le processus d’intégration de leurs enfants. En effet, dans le souci de faire des enfants migrants de bons produits de l’intégration, certains professionnels des structures socio-éducatives oublient ou ignorent souvent la culture que les parents transmettent à leur progéniture dans l’intimité du cadre familial. Les notions de liberté, de libre expression sont transmises aux adolescents. Ceux-ci profitant des espaces de pouvoir qui leur sont ainsi offerts, vont essayer d’imposer ces valeurs à leurs parents qui ignorent l’existence de telles dispositions. Ces derniers, offusqués de voir en permanence leur autorité défiée deviennent soit démissionnaires soit violents. Les adolescents migrants qui sont au courant des lois sur la protection des mineurs vont faire abusivement recours à celles-ci ; dans certains cas ils obtiennent gain de cause, c’est ce que Porcedo (1993) appelle une « instrumentalisation de la culture du mensonge »[14]. On aboutit alors au paradoxe où les parents sont privés d’autorité sur leurs enfants de peur que ceux-ci ne fassent appel aux juges ou autres professionnels.

Le moins que l’on puisse dire, c’est que les adolescents qui essaient ainsi de tirer parti des « avantages » de la culture européenne en arrivent à mettre à mal le rôle parental. Car les codes de la culture d’origine ne sont plus règles du pays d’accueil nécessairement relayées par les règles du pays d’accueil de leurs parents. Du coup, les parents ne savent tout simplement plus comment éduquer leurs enfants. Ainsi sombrent-ils parfois dans le laxisme ou au contraire basculent-ils dans une sévérité excessive quitte à, dans une peur, semer la peur dans l’esprit de l’adolescent. Ce qui ne fera qu’aggraver la crise identitaire de ce dernier.

À côté des parents défenseurs farouches de la culture du pays d’accueil, d’autres cas de figure existent qui militent plutôt en faveur de l’acculturation présentant à ses propres enfants la culture européenne comme « meilleure » voire « supérieure » à la sienne. Ces derniers peuvent facilement accueillir la leçon, mais ils peuvent aussi sombrer dans la révolte notamment quand ils se trouveront être victimes du racisme.

Voie de sortie : vers le transculturalisme ?[modifier]

Devant la souffrance identitaire qu’éprouvent les jeunes dont la culture est à mi-chemin entre celle que leur transmettent leurs parents et celle qu’ils tentent d’acquérir dans le pays d’accueil[2], plusieurs chercheurs et sociologues ont cherché à trouver une solution vers laquelle se tourner.

Les recherches faites par Camilleri et Visonneau sur le modèle de la socialisation et l’enculturation des jeunes de la seconde génération peuvent nous apporter une lumière. « D’après ces auteurs, la dynamique identitaire nécessite une négociation du sens, de la valeur et d’autrui. Elle a une double fonction, à savoir la fonction ontologique et pragmatique. Par la fonction ontologique de la dynamique identitaire, l’individu investit une structure de sens et de valeurs qui lui procure son unité interne. Par la fonction pragmatique, il tente de s’adapter aux exigences de l’environnement tout en négociant ce qu’il veut être »[pas clair][15]. La solution que proposent ces auteurs ne montre pas précisément comment elle pourrait résoudre la crise identitaire.

D’autres voies susceptibles de mener à la résolution du conflit sont également possibles. La première pourrait consister à s’imprégner de la culture du pays d’accueil afin de s’identifier le plus possible aux autochtones. Une telle identification poussée trop loin pourrait conduire à l’acculturation qui peut comporter le risque pour la culture des groupes venus d’ailleurs d’être phagocytée par la culture locale, ce qui peut générer un conflit identitaire[pas clair].

L’autre voie pourrait être celle qui est attentive à la coexistence simultanée des deux cultures, à savoir celle du pays d’origine des parents et celle du pays d’accueil dans le chef d’un individu. Mais un problème surgit ici qui avait déjà été pointé par Aissaoui et De Sousa. Si les parents ont un pays d’origine parce qu’immigrés, que dire de leurs enfants né au pays d’accueil ? Ce serait quoi leur pays d’origine ? N’est-ce pas leur pays de naissance[2] ? Plutôt que parler de « biculturalité » ne devrions-nous pas nous situer au contraire dans « une vision transculturelle qui permettrait de dépasser les obstacles qui freinent la compréhension de l’autre, de l’étranger »[16]. C’est la société actuelle qui doit migrer vers cette perspective qui lui permettra d’accueillir ces jeunes issus d’un métissage culturel, ethnique et d’apprécier la richesse qu’un tel métissage peut représenter.

Mais il y a lieu d’aller encore un peu plus loin en se demandant finalement s'il est réaliste aujourd'hui de prétendre être le produit d’une culture homogène. Au final, ne sommes-nous pas tous traversés par des cultures diverses et variées du fait de multiples contacts que nous avons avec ceux qui sont de cultures étrangères à la nôtre ? Celles-ci ne manquent pas d’influencer notre propre culture.

Références[modifier]

  1. 1,0 et 1,1 Calin, D., Construction identitaire et sentiment d'appartenance, (lire en ligne)
  2. 2,0 2,1 2,2 et 2,3 Aissaoui – De Sousa, p.19., « « Etranger ici, étranger là-bas”. Le discours identitaire des jeunes issus de l’immigration en France » », Synergies Monde n°5,‎ , p19
  3. Simon Houle « ENTRE ICI ET LA-BAS Construction identitaire des jeunes issus de l'immigration de Québec » Mémoire Université Laval, 2010, p. 15
  4. 4,0 4,1 et 4,2 « Mirna Safi, « Penser l’intégration des immigrés : les enseignements de la sociologie américaine », », sur Sociologie [En ligne], N°2, vol. 2 | 2011, mis en ligne le 16 juin 2011 (consulté en consulté le 13 novembre 2017)
  5. 5,0 5,1 5,2 5,3 et 5,4 Ducheny Marie., « Andrea Rea et Maryse Tripier, Sociologie de l'immigration, (collection «Repères »), 2003 [compte-rendu] », Les Annales de la recherche urbaine, N°96, Urbanité et liens religieux.,‎ , p170
  6. 10 Simon Houle « ENTRE ICI ET LA-BAS Construction identitaire des jeunes issus de l'immigration de Québec » Mémoire Université Laval, 2010, p. 19
  7. « Hammouche Abdelhafid. Abdelmalek Sayâd une figure de u sociologie de l'immigration. pp. 77-78; Fait partie d'un numéro thématique : Des Amériques noires », sur Hommes et Migrations, n°1213, mai-juin 1998 (consulté le 10 novembre 2017)
  8. « 14 14Nancy L. Green L'immigration en France et aux Etats-Unis. Historiographie comparée [article] Vingtième Siècle, revue d'histoire Année 1991 Volume 29 Numéro 1 pp. 67-82 », sur persee (consulté le 8 novembre 2017)
  9. « Safi Mirna, « Penser l'intégration des immigrés : les enseignements de la sociologie américaine », Sociologie, 2011/2 (Vol. 2), p. 149-164. DOI : 10.3917/socio.022.0149. », sur Cairn
  10. « Intégration et assimilation Extrait du livre Dictionnaire des dominations par Collectif Manouchian », sur Les mots sont importants.net
  11. « 1Abdelmalek Sayad « Qu'est-ce que l'intégration ? » Hommes et Migrations Année 1994 Volume 1182 Numéro 1 pp. 8-14 », sur Persee
  12. 12,0 et 12,1 « Picard Dominique, « Quête identitaire et conflits interpersonnels », Connexions, 2008/1 (n° 89), p. 75-90. DOI : 10.3917/cnx.089.0075. URL : », sur Cairn
  13. « Laëtitia Aissaoui & Myriam De Sousa, « Etranger ici, étranger là-bas”. Le discours identitaire des jeunes issus de l’immigration en France », Synergies Monde n° 5 - 2008 pp. 17-27. »
  14. Ferdinand Ezembe, « La construction de l’identité chez les adolescents issus de l’immigration africaine. Migrations et Société, Vol. VIII, n°44, Mars-Avril, 1996. » (consulté le 25 décembre 2020)
  15. « Laëtitia Bouche-Florin, Sara Marie Skandrani et Marie Rose Moro "La construction identitaire chez l’adolescent de parents migrants. Analyse croisée du processus identitaire." Santé mentale au Québec 321 (2007): 213–227. DOI : 10.7202/016517ar », sur Erudit
  16. Ibid.

Voir aussi[modifier]

Articles connexes[modifier]

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