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Coaching

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Le coaching[1] ou accompagnement est un accompagnement personnalisé cherchant à améliorer les compétences et la performance d'un individu, d'un groupe ou d'une organisation, grâce à l'amélioration des connaissances, l'optimisation des processus et des méthodes d'organisation et de contrôle.

Le coaching est le métier de l'accompagnement du dialogue entre le client et son coach. Il permet au client, par la construction de ces échanges, de trouver sa solution, c'est-à-dire, celle la plus adaptée à ses capacités, croyances, enjeux ou à sa situation. La notion de « coaching », manquant de contours légaux, elle peut être utilisée par certains sans réelle compétence.

Pendant longtemps le « développement personnel » a été défini comme un outil de manipulation[2]. Depuis peu les mentalités tendent à évoluer, la pratique du coaching personnel ayant connu un énorme bond en avant et de nombreux livres en font maintenant l'apologie.

Histoire et enjeux du coaching[modifier]

Le terme « coaching »[modifier]

L'entreprise américaine de transport Tallyho Coaching en 1889

Le sens premier de « coach », « grande voiture à chevaux » fabriquée à Kocs en Hongrie au XVIe siècle, appelée coche en français, a amené, vers 1830, le sens figuré « instructeur / formateur », dans l'argot de l'Université d'Oxford, pour désigner un tuteur, un mentor, qui « transporte » l'élève vers un examen ; le sens « entraîneur sportif » serait apparu vers 1861[3].

En France, la Commission générale de terminologie et de néologie recommande l'usage, dans le domaine « santé, médecine et psychologie » du terme « guidance », dans le domaine « économie et gestion d'entreprise », « mentorat », dans le domaine du sport, « instructions par signes »[4],[5]. Pour sa part, le Grand dictionnaire terminologique québécois[6] propose en outre, selon les domaines, les termes « accompagnement », « pilotage », « direction d'athlètes ».

Les pré-coachs[modifier]

Les pré-coach sont des coachs avant la lettre, c’est-à-dire avant l’utilisation du mot « Coach ».

Socrate : actif vers 399 av. J.-C.  il est souvent cité avec sa maïeutique permettant d’accoucher les esprits en usant de séries de questions et d'ironie socratique[réf. nécessaire][7].

Milton Hyland Erickson : actif entre 1930 et 1980. Il intervenait outre son activité de psychiatre dans ce qui ressemble fortement à des coachings de vie par ex.: augmenter la performance sportive ou bien Jeune homme ayant du mal à trouver un travail ( cas316 et 305 in Thérapie hors du commun W.H.O'Hanlon et A.L.Hexum). Il n’utilisait l’hypnose formelle que dans 50% de ses séances ( selon J.A. Malarewicz in 14 leçons de Thérapie Stratégiques 1998 ESF Editeur). Selon ses exégètes (Ernest Rossi, Jay Haley) Il utilisait une conversation anodine, appelée hypnose sans hypnose ou hypnose conversationnelle sans transe pour aider le changement de son client. Cette conversation pouvait d’ailleurs porter sur des sujets anodins. De nombreux écrits relatent ses dialogues de coaching durant des séances transcrites qui permettent d’apprécier les stratégies de coaching mise en place .

Histoire du coaching[modifier]

Le mot « coaching », désigne une activité orientée vers l'accompagnement et l'épanouissement de la personne coachée. Les différentes activités sont dirigées par une personne appelée coach.

Le coaching est apparu aux États-Unis au début des années 1960. Il plonge ses racines dans la cybernétique (à partir de 1942), l'école de Palo Alto (à partir de 1953) et le New Age (à l'Institut Esalen en Californie, à partir de 1961)[8] et l'observation de thérapeutes comme Milton Erickson, Virginia Satir ,Fritz Perls.

L'usage du mot coaching est apparu en France et en Europe au milieu des années 1990, en provenance d'Amérique du Nord. Le mot « coaching » désigne un processus pédagogique d'apprentissage. Les précurseurs de cette approche, Tim Gallwey et John Whitmore ont décrit leurs méthodes d'accompagnement spécifique dans le monde du sport dès les années 1980 en évoquant « the inner game ». Le best seller Le guide du coaching écrit par John Whitmore (un des fondateurs de l'EMCC) a fortement contribué à la divulgation du concept dans ces années-là. En France, outre le cabinet Transformation qui a ensuite éclaté en plusieurs structures et a donné naissance à Transformance et Mozaik International en 1995, IFOD et le DÔjÔ ont été les premières écoles de coaching jusque dans les années 2000. De nombreuses autres écoles se sont ensuite développées répondant ainsi à une forte demande de formation.

En 2016 apparait en France le E-coaching. Par le biais de visioconférences et grâce à la création de plateforme de coaching en ligne créées par des entreprises spécialisées, le coaching évolue et abandonne progressivement la notion de présentiel qui caractérisait ses débuts. C'est un changement profond qui apporte de nouvelles perspectives sur les techniques d'enseignement.

Le coaching de la personne peut également avoir un objectif pratique : la meilleure organisation de son logement. On parle alors de Home organizing pour désigner le coaching centré sur l'habitation de la personne.

La première association de coachs en France a été créée en 1996.

Les accords de Bologne ont permis aux fédérations internationales de coaching, de passer une convention avec l’Union Européenne pour une reconnaissance d’un métier auto-régulé.

Le 31 octobre 2019, 2 fédérations internationales ([EMCC France, ICF-France), 2 associations professionnelles françaises (Société Française de Coaching (SFCoach) et PSF) et un syndicat (SynPAAC), à travers le Syndicat Interprofessionnel des métiers de l’Accompagnement, du Coaching et de la Supervision, SIMACS, ont intégré la Branche_BETIC (Bureaux d’Etudes Techniques, cabinets d’Ingénieurs conseils et sociétés de Coneil) en rejoignant la fédération patronale CINOV (Ingénierie – Conseil – Numérique).

Enjeux du coaching[modifier]

Le coaching permet de réaliser un accompagnement professionnel[9]. On parle aussi d'accompagnement opérationnel ou encore d'accompagnement personnel au changement, hors de la sphère strictement professionnelle.

Le coaching se distingue clairement du mentorat par le positionnement. En coaching, l'accompagnateur (« coach ») se situe aux côtés de la personne accompagnée (coaché) dans une position d'égalité. Le mentor est généralement un supérieur hiérarchique, a un rôle de guide, et agit dans le cadre de fonctions plus spécifiées.

Deux approches distinguent le coaching du mentorat :

  • le recours possible à des techniques telles que la PNL, l'Analyse transactionnelle, les neurosciences cognitives ou la Gestalt-thérapie. Il est à noter que certains positionnent le coaching hors de ce référentiel psychologique et situent ce métier plutôt dans un contexte centré sur l'atteinte d'objectifs ambitieux, comme dans le sport de haut niveau ;
  • le côté marketing de l'emploi du terme anglo-saxon, qui a pour but de faire apparaître cette activité sous un aspect « actualisé » ; en effet, des praticiens font remonter ces pratiques jusqu'à Socrate avec sa maïeutique. Néanmoins, une tendance de fond consiste à préférer remplacer le terme « coaching professionnel » par « accompagnement professionnel ».

Le coach est en position haute sur le processus de changement[10], mais en position basse sur le contenu pour aider la personne coachée à progresser en autonomie. Tandis que le mentorat est suppose de la part de l'accompagnant une position haute, un statut de guide.

La confusion entre ces deux types d'accompagnement est induite par la traduction officielle du terme « coaching » qui est devenu dans sa francisation « mentorat ».

Il faut aussi distinguer le coaching : - du conseil, d'une part : le coaching se situe du côté de la personne accompagnée, le conseil se situe du côté de l'organisation ; - et de la psychothérapie, d'autre part : le coaching travaille généralement une demande[11] clairement identifiée sur le « ici et maintenant » sur une durée courte tandis qu'une psychothérapie (fortement influencé en France par la psychanalyse) travaille sur le passé dans une durée le plus souvent longue.

Cependant, la philosophie est l'une des racines du coaching, dans la mesure où elle est un exercice autonome de la raison, même quand celle-ci est guidée par le dialogue ou par la maïeutique socratique. Savoir poser les problèmes, trouver par soi-même des solutions variées, faire progresser une façon de voir les choses et la vie, font partie intégrante du coaching comme de la philosophie[12].

La déontologie du coaching : paradoxe, limites et solutions[modifier]

L’objet de ce paragraphe est de développer les enjeux déontologiques du coaching et présenter les solutions et bonnes pratiques qui permettent d’en contrôler les dangers potentiels. Cette profession n'est pas règlementée[13].

Plusieurs associations de coaching proposent des référentiels de compétences décrivant les aptitudes et connaissances requises pour pratiquer le coaching, tel le Syndicat professionnel des métiers du coaching (SPMC), la Société française de coaching (SF Coach), certaines certifient aussi les écoles de coaching professionnel, telles l'International Coach Federation et l'European Mentoring and Coaching Council, là ou le SPMC préconise plutôt le respect et l'utilisation des démarches qualités existantes et le recentrage du débat sur les conditions d'exercice du Métier.

La FFCPro, a eu une démarche originale en construisant un référentiel de compétences qui a donné lieu à une certification indépendante validée par AFNOR Certification, dénommée « AFAQ Compétences », qui a été arrêtée. L'AFNOR ayant fait le choix de se recentrer sur une démarche plus globale avec la norme ISO26000.

Le paradoxe du coaching et la déontologie[modifier]

Malarewicz définit la déontologie[14] : « l’ensemble des règles de fonctionnement qu’une profession se donne à elle-même, pour tenter de résoudre tout ou partie des problèmes éthiques que peuvent rencontrer ses membres ».

La question de déontologie[15] est d’autant plus primordiale pour le coaching que celui-ci peut être considéré comme une pratique paradoxale[16]. On veut en effet aider quelqu’un à devenir autonome précisément en proposant une intervention extérieure. Cela pose de nombreuses questions sur la position du coach par rapport au coaché et sur les règles qui régissent cette interaction. Mais chaque coach doit avoir un code de déontologie sur lequel il s'appuie pour bien coacher et qu'il se doit de respecter impérativement...

Quels enjeux déontologiques pour la relation de coaching ?[modifier]

Le coaching présente certains dangers potentiels inhérents à toute prestation intellectuelle mais du fait de la proximité de la relation — et de la méconnaissance même du coaching — ces difficultés se trouvent exacerbées. Le problème le plus évident, qui est commun au conseil, est celui de la confidentialité : le coaché livre souvent des informations très personnelles sur sa personne ou des informations critiques sur ses collègues ou son organisation (cas du coaching tripartite). Ces informations peuvent être utilisées contre la personne coachée si elles ne sont pas gardées confidentielles. La confidentialité est très importante pour le coaché. La question se pose principalement lorsque le coaché n'est pas le payeur (l'entreprise) et lorsque l'entreprise utilise des coachs en interne.

De plus, de par la posture du coach, le coaching peut en théorie présenter un risque de manipulation du coaché comme dans toute relation ou message entre des individus[17]. En principe ce risque de manipulation est faible puisque la prestation de coaching elle-même est limitée dans son objet (contrat définissant les objectifs) et dans le temps (un coaching se limite en général à 15 à 20 séances soit sur moins d’un an et doit éviter la construction d'une relation de dépendance)[18]. Il est a priori aussi indispensable pour une organisation de faire appel à plusieurs coachs avec des cursus variés afin d’éviter d’être dépendant d’un seul individu. Ces problèmes sont à priori réduits car contrairement à une relation asymétrique (celui qui sait et celui qui ne sait pas) la relation coach-coaché est basée sur un lien d’égal à égal, qui vise de plus à donner toute l’autonomie au coaché.

Le coaching présente aussi certaines limites spécifiques aux relations d’aides ou liées aux psychothérapies même si le coaching ne doit pas être confondu avec ces pratiques. On peut entre autres citer les plus connues : sentiment de puissance ou transfert/contre–transfert.

« En thérapie, c’est le mécanisme par lequel le patient reporte sur le thérapeute les sentiments inconscients de tendresse ou d’affection (transfert positif), de peur ou d’hostilité (transfert négatif) qu’il éprouve pour une autre personne. […] Face au transfert, celui-ci réagit par le contre-transfert qui caractérise les sentiments et émotions qu’il éprouve en retour»[19].

D’autres problèmes particuliers se posent notamment dans le cas d’un coaching tripartite entre le prestataire (coach), le bénéficiaire (coaché) et le financeur (entreprise) : que faire quand les objectifs du coaché et de l’entreprise ne coïncident pas ? Au coach de bien prendre en compte le code de déontologie pour déterminer s'il accepte de conduire le coaching ou non, et dans quelles conditions.

Le coaching peut présenter des risques de dérives sectaires s'il est utilisé par des sectes (le problème est similaire avec des organismes étatiques ou privés s'ils opèrent à l'insu des coachés) : lutte anti-sectes en France[20] sans que des cas significatifs soient pourtant relevés en France.

Selon la profession du coaching, ce risque serait d’autant plus limité que les coachs sont souvent des professionnels indépendants ou des membres de petits cabinets et ne constituent donc pas de grand groupes organisés.

Éléments de solutions : comment encadrer la pratique du coaching ?[modifier]

Les solutions pour encadrer la pratique du coaching et limiter les risques peuvent être mises en œuvre sur quatre niveaux :

  • Au niveau du coach et du coaché ;
  • Au niveau du groupe de pratique du coach ;
  • Au niveau des associations de coachs ;
  • Au niveau d'organismes indépendants de certification.

Tout d’abord au niveau de la relation coach-coaché, le contrat de coaching permet d’encadrer les dérives. Ce contrat est de préférence écrit et adapté aux besoins de la personne coachée. Il se révélera d’autant plus indispensable dans le cas d’un coaching tripartite. Par ailleurs, le coach peut présenter en annexe la charte de déontologie à laquelle il se réfère.

Ensuite au niveau du groupe de pratique, le coach peut bénéficier d’une supervision c’est-à-dire « un coaching de coach »[21]. Plus généralement, « la supervision peut être définie comme la rencontre qui s’effectue généralement entre deux personnes exerçant la même activité professionnelle et travaillant sur une même situation »[22]. Cela permet d’introduire un tiers dans la relation coach-coaché et donc de limiter certains effets indésirables comme le contre-transfert. Dans certains pays, comme l’Allemagne, les pratiques d’intervision (échange de pratiques à plusieurs) semblent plus développées que celle de supervision.

Les associations de coaching sont des lieux d’échanges pour les praticiens. Par exemple, le SPMC encourage systématiquement ses membres à rejoindre un groupe de pairs. Elles défendent par ailleurs certaines recommandations pour les professionnels regroupées sous forme de chartes de déontologie. Il existe donc plusieurs chartes de déontologie. Le SPMC en a recensé 12 à ce jour. Elles devraient faire en 2013 l'objet d'une analyse et d'une publication collective, de façon à faire émerger les convergences collectives et souligner les spécificités de chaque association/fédération.

Ces documents relèvent d’un esprit commun et présentent de fortes similitudes (respect de la confidentialité, contrat écrit, supervision). Pourtant ils peuvent aussi présenter des différences significatives d’une association à une autre comme au sujet du télé-coaching ou du respect des organisations demandeuses. Ces codes restent des documents génériques et doivent bien sûr être adaptés aux spécificités de la demande de la personne coachée ainsi qu’à celles de la pratique professionnelle du coach.

Ainsi, le coaching est une démarche rigoureuse qui nécessite une formation, l'inscription dans un réseau de pair, une supervision chaque fois que nécessaire et des principes professionnels clairs.

Dans tous les cas, au-delà des mécanismes décrits ci-dessus, il conviendra de faire appel à son bon sens et ne pas hésiter à se référer, en cas de doute, à une des instances précités.

Formation et diplômes[modifier]

Le métier de « coach en développement personnel » et les professions liées ne sont pas réglementés et leur exercice est libre en France (« accessible sans diplôme particulier » selon la fiche Rome K1103 de Pôle Emploi[23]).

Il existe des formations diplômantes de Coach professionnel, inscrites au RNCP. Le Coach professionnel intervient en tant qu’expert dans trois directions fondamentales que sont le coaching d’organisation, le coaching d’équipe et le coaching individuel, Un référentiel de compétences existe et il est recommandé au Coach Professionnel d'adhérer au Code de déontologie d'une Fédération.

En France, 3 associations contribuent à la professionnalisation et à la reconnaissance de ce métier : EMCC France (2189 adhérents en mars 2020), ICF (821 adhérents), SFcoach (197 adhérents), (données novembre 2018).

Cependant, il s'agit d'une simple reconnaissance entre pairs, sans validation extérieure par l’État ou par des instances scientifiques ou universitaires indépendantes.

Dérives et risques[modifier]

Le coaching n'a aucune définition institutionnelle et le titre de coach n'est pas protégé juridiquement : n'importe qui peut donc se proclamer « coach » et exercer sous cette bannière sans formation particulière, avec tous les risques que cela comporte[2]. Il n'existe aucune régulation de cette activité ni aucune évaluation de son efficacité[2].

Les coachs s'adressant généralement à des personnes vulnérables, le risque de manipulation mentale et d'abus de faiblesse est grand : de nombreux charlatans s'attirent ainsi des centaines d'affidés dont ils profitent financièrement en échange d'une gratification narcissique très illusoire[2].

Le coaching est enfin un des terrains de prédilection des mouvances à dérive sectaire : environ 10% à 20% des signalements à la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires concernent le coaching[2]. Par ce biais, des entreprises entières ont pu tomber sous la coupe de gourous dangereux voire de sectes comme la Scientologie[2].


Notes et références[modifier]

  1. Le terme de mentorat est recommandé en France par la Délégation générale à la langue française et aux langues de France, Journal officiel du , voir FranceTerme, dans le domaine d'économie et gestion d'entreprise.
  2. 2,0 2,1 2,2 2,3 2,4 et 2,5 « Les dérives du coaching », sur France Inter, .
  3. OnlineEtymology.com.
  4. « Le mot « coach » sur le site de [[France Terme]] », sur culture.fr (consulté le 7 décembre 2018)
  5. « Recommandation (officielle) sur les équivalents français du mot coach », sur legifrance.gouv.fr, (consulté le 7 décembre 2018)
  6. GDT.
  7. Kasper REVIDEL, « Socrate Jacotot la maïeutique et le coaching », (consulté le 30 avril 2019)
  8. Baptiste Rappin, « Essai philosophique sur les origines cybernétiques du coaching », Communication et organisation, n° 46, 2014, lire en ligne.
  9. sources : DGLF, base de donnée CRITER et le grand dictionnaire terminologique.
  10. Patrice Fornalik, « Coaching : la courbe du changement », Ekilium,‎ (lire en ligne, consulté le 13 novembre 2017)
  11. « De l’importance de la demande en coaching – Le métier de coach », sur www.ekilium.fr.
  12. Coaching et philosophie, Joël Figari, Diotime, Revue internationale de didactique de la philosophie, no 42, octobre 2009, CRDP de Montpellier (http://www.educ-revues.fr/diotime/Acheter.aspx?iddoc=39041&pos=3).
  13. Le Coaching, un métier non réglementé et professionnalisé.
  14. Malarewicz, Systémique et entreprise, Village Mondial, (ISBN 2-7440-6161-1), p. 146.
  15. Patrice Fornalik, « Comment reconnaître un coach professionnel ? », sur www.ekilium.fr.
  16. Philippe Bigot, Les paradoxes du métier de coach, FR, YOUman, (lire en ligne).
  17. Petit traité de manipulation à l'usage des honnêtes gens, Joule et Beauvois, Presses Universitaires de Grenoble, 2004, (ISBN 2706110449).
  18. Foire aux questions, Site Web International Coach Federation France, Item 8 et 15, FAQ.
  19. Le coaching, Caby, 2002, De Vecchi., p. 171.
  20. « Êtes-vous coach ou psy ? », Prevensectes.com, Source mentionnée Le Point 2003, http://prevensectes.com/former18.htm.
  21. Le coaching, Higy-Lang C. et Gellman C., 2000, Éditions d’Organisation.
  22. Sybil Persson, « Aspects Relationnels du coaching : supervision et transfert », 2008, YOUman.fr.
  23. « Fiche Rome K1103 - Développement personnel et bien-être de la personne », sur www.chambre-syndicale-sophrologie.fr.

Annexes[modifier]

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Bibliographie[modifier]

Années 2000

Années 2010

Articles connexes[modifier]

Coachings spécialisés[modifier]

Liens externes[modifier]



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