You can edit almost every page by Creating an account. Otherwise, see the FAQ.

Cartel des Mines

De EverybodyWiki Bios & Wiki
Aller à :navigation, rechercher

Cartel des Mines
Description de cette image, également commentée ci-après
Logo du Cartel Paris 2025
Généralités
Sport Omnisport
Création 1961
Disparition Erreur Lua dans Module:Wikidata à la ligne 118 : attempt to index field 'wikibase' (a nil value).
Organisateur(s) Mines Paris – PSL en 2025
Éditions 50e édition en 2025
Périodicité Annuelle
Participants 1800
Disciplines 17 (Athlétisme, Badminton, Basket-ball, Boxe[note 1], Cheerleading, Échecs[note 1], Escalade, Football, Handball, Natation, Pétanque[note 1], Rugby, Tennis, Tennis de table, Trail, Ultimate[note 1], Volley-ball)
Statut des participants Amateurs
Site web officiel https://cartel2025.minesparis.psl.eu

Palmarès
Tenant du titre IMT Mines Alès (2024)
Plus titré(s) IMT Mines Alès (32 victoires)

Le Cartel des Mines, aussi appelé Cartel International des Mines ou simplement Cartel, est un tournoi sportif étudiant créé en 1961 et rassemblant les écoles des Mines d'Europe et du Maroc. Organisé alternativement par une des écoles participantes, cet événement les voit s'affronter chaque année durant trois jours au mois d'avril ou de mai dans une quinzaine de disciplines sportives. D'abord franco-français, l'événement s'est ouvert à l'international en 1981. L'école la plus titrée est l'IMT Mines Alès avec 32 victoires.

En 2024, le Cartel s'est déroulé à Nantes, du 25 au 28 avril. Douze écoles, avec la première participation de Télécom Paris, se sont affrontées sur 17 sports. Alès en est une nouvelle fois sorti vainqueur, sa 3e victoire d'affilée. En 2025, le Cartel aura lieu à Paris du 24 au 27 avril.

Histoire[modifier]

Genèse d'un groupement étudiant dans les années 1960[modifier]

Au début des années 1960, les étudiants des trois écoles des Mines de Paris, Nancy, Saint-Étienne et de l'École de géologie de Nancy éprouvent le besoin de réfléchir ensemble au modèle de leur enseignement et combattre ainsi les premières critiques adressées à l'encontre des grandes écoles d'ingénieurs. Un groupement est ainsi formé au sein de l'Union des grandes écoles (UGE), syndicat étudiant créé en 1947[o 1], appelé le « Cartel des Mines ».

La première manifestation de ce groupement des écoles des Mines et de Géologie est la publication annuelle d'une revue commune, nommée « Perspectives - Cartel des Mines », destinée à présenter les quatre écoles aux élèves des classes préparatoires. Trois éditions sont publiées de 1960 à 1962[o 2]. Par ailleurs, un premier événement rassemble quelques étudiants des écoles du Cartel des Mines : un voyage en URSS en septembre 1960 à la rencontre entre autres des étudiants des Instituts des Mines de Moscou et de Leningrad[1],[2].

Réception à l'Hôtel de Ville de Nancy, à l'occasion du premier tournoi du Cartel des Mines en 1961.

Du 13 au 16 mai 1961 est organisé à Nancy le premier événement rassemblant de façon plus large les étudiants des quatre écoles. Les mineurs et géologues de Nancy accueillent en effet une centaine d'élèves des écoles des Mines de Paris et de Saint-Étienne. Au programme de cette rencontre à la fois culturelle et sportive : un colloque d'une demi-journée traitant du problème de l'enseignement puis un relais pédestre par 12 à travers la ville sur 4 km 500, et enfin deux jours d'épreuves sportives : basket-ball, football, handball, rugby et volley-ball. Les Stéphanois remportent au bout du suspense ce premier tournoi sportif devant les Mines de Nancy[o 3]. Face au succès de cette manifestation, les écoles se promettent de poursuivre ces rassemblements, chaque année et par roulement, à Paris, Saint-Étienne ou Nancy[note 2]. Une deuxième édition a ainsi lieu à Paris l'année suivante les 28 et 29 mai[o 4],[3], à la suite du premier gala commun (cf le paragraphe ci-dessous). Le troisième tournoi du Cartel des Mines est organisé en février 1963 à Saint-Étienne. Dans le froid, la boue mais surtout dans la bonne humeur, les Mines de Saint-Etienne s'offrent une nouvelle victoire au classement général[o 5]. Dans ces premières années et notamment au « Cartel 64 » du 10 au 12 mai à Nancy, parallèlement aux épreuves sportives, se déroulent des rencontres beaucoup plus calmes et sérieuses, autour d'une table, au cours desquelles sont confrontés les enseignements distribués dans les quatre écoles[o 6]. Au Cartel 65 qui se déroule à Paris les 1er et 2 juin, Saint-Étienne s'impose de nouveau devant Nancy, Paris puis Géologie[o 7].

En parallèle du tournoi sportif, un gala commun appelé « La Nuit Noire » est organisé par les trois écoles des Mines à Paris au Palais de Chaillot, afin de permettre aux élèves ainsi qu'aux anciens de se rencontrer et de confirmer les liens existant entre ces trois écoles. Pour la première édition le 26 mai 1962, des élèves des écoles des mines d'Aix-la-Chapelle (Allemagne) et de Leoben (Autriche) sont également invités. La soirée a commencé par un spectacle alliant chanson, danseurs étoiles, variétés et à nouveau danse classique. Après une réception, la soirée s'est poursuivie jusqu'à l'aube par des bals qui se déroulaient dans différentes salles du Palais de Chaillot. Suite au succès de cette édition inaugurale, une deuxième Nuit Noire a lieu le 18 mai 1963 toujours au Palais de Chaillot. Elle rassemble les trois écoles des Mines ainsi que les élèves de l'École de géologie de Nancy. Le spectacle proposé est cette fois moins classique et met en valeur de jeunes artistes promis à un avenir radieux. Le bal fut animé par une soirée cabaret puis jusqu'à l'aube par deux orchestres. Après quelques éditions supplémentaires, cet événement n'a pas pu être pérennisé[4].

Pérennisation d'une compétition sportive annuelle[modifier]

À l'aube des années 1970, une décennie après les premiers événements rassemblant les étudiants des écoles des Mines et de Géologie, l'esprit Cartel des Mines n'a perduré que dans sa version sportive[5],[6]. Ainsi s'est pérennisé au mois d'avril ou de mai le tournoi annuel du Cartel des Mines où s'affrontent mineurs (Paris, Saint-Étienne, Nancy) et géologues (Nancy) au basket-ball, football, handball, rugby et volley-ball[o 8],[7]. Dans les années qui suivent, au fil des éditions, la compétition s'est agrandie, avec l'intégration des Mines de Douai et d'Alès en 1980, et s'est diversifiée avec l'ajout d'un plus grand nombre de sports (natation, judo, tennis, cyclisme, tennis de table notamment) et l'organisation des premiers tournois féminins au volley-ball puis au basket-ball. En 1981, à l'occasion de son organisation à Alès pour la première fois, le Cartel des Mines s'internationalise avec l'invitation d'écoles des mines allemandes (Bochum et Clausthal) et espagnoles (Madrid)[p 1]. Participeront également les années suivantes l'École des Mines d'Oviedo et la Royal School of Mines de Londres[p 2]. Les géologues de Nancy, pourtant initiateurs du Cartel des Mines avec les Mines de Paris, Nancy et Saint-Étienne, ne participent plus au Cartel après 1983 pour une raison inconnue. En 1985, l'évènement, qui voit alors s'affronter environ 500 mineurs, est organisé pour la première fois en dehors du sol français, en Espagne à Madrid. En 1987, l'École polytechnique de Turin participe pour la première fois au tournoi désormais nommé Cartel International des Mines[8]. Le Cartel a lieu pour la première fois en Allemagne lors de l'édition 89 à Bochum[9].

Record de la plus grande mêlée du rugby avec 854 étudiants, à l'occasion du Cartel 96 à Nantes.

Dans les années 1990, l'événement sportif prend de l'ampleur et son financement commence à augmenter. La cérémonie d'ouverture de Douai 1991 est marquée par l'arrivée des étudiants de la première édition de l'Eurotandem, voyageant en tandem depuis Madrid jusqu'à Douai en passant par plusieurs écoles des Mines pour la promotion du don du sang. La victoire de cette édition fut très serrée entre Alès et Douai et fut décidée à la pétanque au profit des Alésiens[10]. L'édition 1993 à Alès marque l'invitation pour la première fois des nouvelles Écoles des mines françaises situées à Nantes et Albi[p 3]. Cette année-là est organisée une cérémonie d'ouverture alliant le traditionnel défilé des délégations et un feu d'artifice en soirée. Les équipes d'Alès et Madrid étaient au coude à coude pour la gagne et c'est la victoire des Cévenols sur les Parisiens en rugby qui leur permit de conquérir un nouveau trophée[p 4]. Depuis plusieurs années déjà, la délégation alésienne marque régulièrement sa domination sur le classement général du Cartel grâce à une forte mobilisation autour du sport dans cette école tout au long de l'année et une présence dans l'intégralité des sports du Cartel, ce qui n'est pas le cas de toutes les écoles. Ses principaux adversaires pour le classement général sont Madrid entre les années 1980 et 1990, puis Nantes à partir des années 2000. En 1996, à l'occasion de la 23e édition du Cartel à Nantes, « la plus grande mêlée du rugby » est organisée avec pas moins de 854 étudiants. Ce record figura dans le Guinness des records jusqu'à qu'il soit battu[o 9]. En 1997, Oviedo crée la surprise en remportant à Paris son premier Cartel après avoir survolé les épreuves. Cette édition fut parrainée par Djamel Bouras, champion olympique de judo à Atlanta l'année précédente.

Les 11 délégations du Cartel 2023 aux Arènes du Tempéras à Alès.

Dans les années 2000 puis 2010, la nombre de participants croit significativement passant de 800 en 2003 à 1 600 en 2018. Ainsi les comités d'organisation voient de plus en plus grand et n'hésitent pas à louer un parc des expositions pour rassembler l'ensemble des participants lors des repas et des trois soirées du Cartel. Par ailleurs, une simple maison des élèves ne suffit plus à loger l'ensemble des étudiants et désormais les comités doivent réserver des chambres d'hôtel, des internats, campings ou grands gîtes. Quelques incidents viennent perturber certaines éditions comme en 2009 à Douai où les étudiants lancent une bataille de nourriture au milieu des fonctionnaires présents[10]. Lors du Cartel 2010 à Albi, la délégation madrilène est exclue une journée avant la fin du Cartel après des comportements injurieux et agressif des Espagnols. En 2013, lors de la 40e édition à Oviedo, une erreur dans le classement final est révélée quelques jours après la remise du trophée aux étudiants d'Alès. Des points ont en effet été oubliés à Madrid, qui leur auraient permis de remporter le tournoi, mais Alès est finalement maintenu vainqueur[11]. En 2015 à Nantes, les délégations de Madrid et Bochum sont exclues de l'événement pour des comportements inappropriés de leurs étudiants[o 10]. Après plusieurs éditions entachées de leurs mauvais comportements, les Madrilènes ne sont plus invités au Cartel pendant une décennie.

Au Cartel 2019, Alès échoue à réaliser la « décima », à savoir remporter dix Cartels d'affilée, Albi remportant son premier trophée à domicile. En 2020 et 2021, pour la première fois depuis de nombreuses décennies, le Cartel des Mines qui devait se dérouler à Alès n'a pas lieu en raison des restrictions de rassemblement liées à la pandémie de Covid-19. Alès récupère ainsi l'organisation de l'édition 2023. L'organisation de cette édition alésienne fut grandement saluée par les différents acteurs puisqu'aucun événement majeur n'est venu perturber son bon déroulement. Une des images fortes du Cartel 2023, qui rassemblait 1 800 étudiants, fut le rassemblement des délégations aux Arènes du Tempéras à l'occasion de la cérémonie d'ouverture[p 5].

Participants[modifier]

Écoles historiques invitées d'office[modifier]

Le 19 avril 1995 à Saint-Étienne, les onze écoles qui participent alors au Cartel, à savoir les sept écoles des Mines françaises (Albi, Alès, Douai, Nancy, Nantes, Paris et Saint-Étienne), l'Escuela de Ingenieros de Minas de Madrid, l'Escuela de Ingeniería de Minas d'Oviedo en Espagne, l'École polytechnique de Turin en Italie et la Technische Fachhochschule de Bochum en Allemagne, établissent un règlement immuable de la compétition destiné à uniformiser le règlement des différentes éditions. Ces onze écoles possèdent un droit de vote sur ce règlement et sur les sports invités.

Ces onze écoles sont invitées d'office au Cartel sauf en cas de sanction disciplinaire. Ainsi en 2012 après plusieurs éditions entachées de « comportements inacceptables », Madrid est suspendu du Cartel[12], avant d'être retiré définitivement de la liste des écoles invitées d'office quelques années plus tard. En 2020, Turin y est retirée également, l'école n'étant plus en contact avec le groupe et sa dernière participation remontant à 2009. Ce qui arrive également à Bochum et Oviedo quelques années plus tard, l'événement perdant ainsi ses écoles internationales historiques qui participaient au Cartel depuis les années 1980[note 3].

Ainsi désormais seules sept écoles de l'Institut Mines-Télécom sont invitées d'office au Cartel[13] :

Autres écoles invitées[modifier]

En plus des écoles invitées d'office, l'école organisatrice peut inviter autant d'écoles des Mines européennes qu'elle désire. Ainsi à partir des années 2000, lors de certaines éditions, de nouvelles écoles participent pour la première fois au Cartel. En 2002, à l'occasion de l'organisation du Cartel par Oviedo, Vigo est invité pour la première fois[5]. En 2008, Saint-Pétersbourg participe pour la première fois à un Cartel. En 2009, la délégation de Bochum vient avec des étudiants de Mons (Belgique) ce qui marque la première et unique participation de la faculté belge au tournoi[p 7]. En 2012, l'université AGH de Cracovie participe pour la première fois au Cartel. En 2014, le Cartel s'ouvre en dehors de l'Europe avec la participation de l'école marocaine Emines[14]. En 2015, l'école Télécom Bretagne est invitée au Cartel organisé à Nantes dans le cadre des échanges de l'Institut Mines-Télécom.

En 2022, alors que la pandémie de Covid-19 est toujours présente, seules des équipes françaises sont invitées à Saint-Étienne. Ainsi, l'École des Ponts fait sa première apparition dans le tournoi. De même l'année suivante, l'intégration dans le tournoi des autres écoles internes ou partenaires de l'IMT étant poussée par l'organisme, deux nouvelles écoles y participent pour la première fois : Télécom Saint-Étienne et EURECOM. En 2024, Télécom Paris fait à son tour son entrée dans le tournoi[note 4].

Sports et trophées[modifier]

Les sports présents au Cartel des Mines sont de deux types : il y a ceux permanents, présents à chaque édition, et les sports invités (au moins un par édition) laissés au choix du comité organisateur.

Les sports collectifs masculins et féminins (Groupe A) sont les suivants : Basket-ball, Football, Handball, Rugby et Volley-ball. Les sports individuels ou par équipes mixtes (Groupe B) sont les suivants : Badminton, Escalade, Relais Athlétisme (10x100 m), Relais Natation (10x50 m), Tennis, Tennis de table et Trail. Un sport invité peut être ajouté à cette liste en cas de forte demande lors des éditions précédentes.

Les sports invités doivent être choisis parmi ceux de la suite suivante : Cyclisme ou VTT, Échecs, Esport, Judo, Pétanque, Squash, Triathlon, Ultimate, Water-polo. D'autres sports invités peuvent être proposés, avec l'accord des deux tiers des écoles invitées d'office[13].

Le Cartel des Mines permet aux élèves de chaque école de s'affronter dans des compétitions sportives mais il permet aussi de s'affronter dans différents trophées tels que le trophée de la meilleure ambiance ou le prix du Fair-play délivré à la délégation avec le meilleur esprit sportif. Chaque année, le tournoi s'accompagne d'un défilé des délégations, de soirées, de DJ contests et d'un show pompom.

Attribution des points[modifier]

Pour établir le classement général d'une édition, des points sont attribués aux délégations en fonction de leur classement final dans chaque sport (masculin, féminin et mixte) et dans chaque concours[13].

Attribution des points par sport en fonction du classement final des délégations
Position  1er   2e   3e   4e   5e   6e   7e   8e   9e   10e+ 
Sport du Groupe A 24 18 14 12 10 8 6 4 2 1
Sport du Groupe B 18 13 10 9 7 6 4 3 1 1
Sport invité ou
concours annexe
(au nombre de n)
48/n 36/n 28/n 24/n 20/n 16/n 12/n 8/n 4/n 2/n

Palmarès[modifier]

Palmarès par école[modifier]

IMT Mines Alès est l'école ayant le plus gros palmarès avec 32 victoires en 43 participations[note 5]. Elle a également réalisé la plus longue série de victoires avec 9 victoires de suite de 2010 à 2018.

Bilan par école
Écoles Victoires Participations[note 6] Première participation Dernière participation
Drapeau : France IMT Mines Alès 32 43 1980 2024
Drapeau : France École des Mines de Saint-Étienne 5 54 1961 2024
Drapeau : Espagne Escuela de Ingenieros de Minas y Energía (ETSIME) – Universidad Politécnica de Madrid 3 32 1981 2015
Drapeau : France IMT Atlantique (ex-École des mines de Nantes[note 7]) 3 29 1993 2024
Drapeau : France Mines Paris – PSL 2 50 1961 2024
Drapeau : France IMT Nord Europe (ex-École des mines de Douai[note 8]) 2 43 1980 2024
Drapeau : Espagne Escuela de Ingeniería de Minas, Energía y Materiales (EIMEM) de Oviedo[note 3] 2 30 1985 2017
Drapeau : France Mines Nancy 1 54 1961 2024
Drapeau : France IMT Mines Albi-Carmaux 1 29 1993 2024
Drapeau : Allemagne Technische Hochschule Georg Agricola (Bochum) 0 37 1981 2019
Drapeau : Italie Politecnico di Torino 0 22 1987 2009
Drapeau : Espagne Escola de Enxeñaría de Minas e Enerxía (EEME) – Universidade de Vigo 0 16 2002 2019
Drapeau : France École nationale supérieure de géologie (ENSG) de Nancy 0 13 1961 1983
Drapeau : Maroc EMINES – Université Mohammed VI Polytechnique (Ben Guerir) 0 8 2014 2024
Drapeau : Royaume-Uni Royal School of Mines (RSM) – Imperial College London 0 2 1984 1986
Drapeau : Russie Université des mines de Saint-Pétersbourg 0 3 2008 2011
Drapeau : France École nationale des ponts et chaussées (ENPC) 0 3 2022 2024
Drapeau : Pologne Université des sciences et technologies (AGH) de Cracovie 0 2 2012 2014
Drapeau : France Télécom Saint-Étienne 0 2 2023 2024
Drapeau : France EURECOM 0 2 2023 2024
Drapeau : Allemagne Berg- und Hüttenschule Clausthal 0 1 1981 1981
Drapeau : France ISMEA Gardanne 0 1 2005 2005
Drapeau : Belgique Faculté polytechnique de Mons 0 1 2009 2009
Drapeau : France Télécom Bretagne[note 7] 0 1 2015 2015
Drapeau : France Télécom Paris 0 1 2024 2024

Palmarès par édition[modifier]

Le tableau suivant présente le podium au classement général de chaque édition. Pour les résultats complets année par année : voir ce tableau.

Détails par édition
Édition École organisatrice Année Vainqueur(s) Deuxième Troisième Réf.
Mines Nancy 1961 (du 13 au 16 mai) Saint-Étienne (1) Nancy Géologie [o 3]
Mines Paris 1962 (28 et 29 mai) Paris [o 4]
Mines Saint-Étienne 1963 (février) Saint-Étienne (2) Paris Nancy [o 5]
Mines Nancy 1964 (du 10 et 12 mai) Paris (1) Saint-Étienne et Nancy (ex-æquo) [o 6]
Mines Paris 1965 (1er et 2 juin) Saint-Étienne (3) Nancy Paris [o 7]
Mines Nancy 1969 [17]
Mines Paris 1970 [18]
Mines Paris 1973 Saint-Étienne (4) [o 12]
Mines Saint-Étienne 1974 (du 23 au 26 mai) Saint-Étienne (5) Nancy et Paris (ex-æquo) [p 9]
Mines Nancy 1975 Pas de classement général [7]
Mines Paris 1976
Intégration des Mines de Douai et d'Alès
7e édition Mines Paris 1980 (16 et 17 mai) Paris (2) Alès Saint-Étienne [p 8]
Ouverture à l'international
8e édition Mines Alès 1981 (du 28 au 31 mai) Alès (1) Paris Nancy [p 1]
9e édition Mines Saint-Étienne 1982 (mai) Alès (2) Paris Saint-Étienne [o 13]
10e édition Mines Nancy 1983 (du 12 au 15 mai) Nancy (1) [19]
11e édition Mines Douai 1984 (du 28 avril au 1er mai) Douai (1) Alès Nancy [p 10]
12e édition ETSIM Madrid 1985 (du 29 avril au 4 mai) Madrid (1) Douai Nancy [8]
13e édition Mines Paris 1986 (du 30 avril au 4 mai) Alès (3) Paris Madrid [8]
14e édition Mines Alès 1987 (du 6 au 10 mai) Alès (4) Madrid Douai [p 11]
15e édition Mines Saint-Étienne 1988 (du 11 au 15 mai) Alès (5) Madrid Douai [8]
16e édition FH Bergbau Bochum 1989 (du 13 au 17 mai) Madrid (2) Bochum Alès [9],[p 12],[o 14]
17e édition Mines Nancy 1990 (du 28 avril au 1er mai) Alès (6) Madrid Douai [o 15]
18e édition Mines Douai 1991 (du 17 au 19 mai) Alès (7) Douai Madrid [p 13],[o 16]
19e édition ETSIM Oviedo 1992 (du 29 avril au 3 mai) Alès (8) Oviedo Madrid [o 17],[20]
Intégration des Mines d'Albi et de Nantes
20e édition Mines Alès 1993 (du 6 au 9 mai) Alès (9) Madrid Douai [p 3],[o 18]
21e édition ETSIM Madrid 1994 (du 28 avril au 1er mai) Madrid (3) Douai Oviedo [p 14]
22e édition Mines Saint-Étienne 1995 (du 19 au 23 avril) Alès (10) Madrid Saint-Étienne [21]
23e édition Mines Nantes 1996 (du 23 au 27 avril) Alès (11) [p 15]
24e édition Mines Paris 1997 (du 16 au 20 avril) Oviedo (1) Alès Saint-Étienne [22],[o 19]
25e édition Mines Nancy 1998 (du 7 au 10 avril) Alès (12) Douai [o 20]
26e édition TFH Bochum 1999 (du 5 au 10 mai) Alès (13) Saint-Étienne Bochum [p 16]
27e édition Mines Douai 2000 (du 13 au 16 avril) Alès (14) et Douai (2) (ex-æquo) Nantes [o 21]
28e édition Mines Albi-Carmaux 2001 (du 12 au 15 avril) Alès (15) Albi Saint-Étienne [p 17],[p 18],[23]
29e édition ETSIM Oviedo 2002 (du 4 au 7 avril) Alès (16) et Oviedo (2) (ex-æquo) Nantes [p 19]
30e édition Mines Alès 2003 (du 10 au 13 avril) Alès (17) Saint-Étienne Nantes [s 1],[24]
31e édition ETSIM Madrid 2004 (du 21 au 24 avril) Nantes (1) Madrid Alès [s 2],[25]
32e édition Mines Saint-Étienne 2005 (du 21 au 24 avril) Alès (18) Nantes Saint-Étienne [s 3]
33e édition Mines Nantes 2006 (du 27 au 30 avril) Nantes (2) Alès Saint-Étienne [s 4],[26]
34e édition Mines Paris 2007 (du 19 au 22 avril) Alès (19) Nantes Madrid [27],[28]
35e édition Mines Nancy 2008 (du 1er au 4 mai) Alès (20) Nantes Nancy [s 5],[o 22]
36e édition Mines Douai 2009 (du 16 au 19 avril) Nantes (3) Alès Douai [s 6],[p 20],[29]
37e édition Mines Albi-Carmaux 2010 (du 6 au 9 mai) Alès (21) Nantes Albi [s 7],[p 21],[30]
38e édition TFH Bochum 2011 (du 23 au 26 avril) Alès (22) Nantes Albi [s 8],[31]
39e édition Mines Alès 2012 (du 26 au 29 avril) Alès (23) Nantes Douai [s 9],[p 22]
40e édition ETSIM Oviedo 2013 (du 11 au 14 avril) Alès (24) Madrid Nantes [s 10],[p 23],[p 24]
41e édition Mines Saint-Étienne 2014 (du 24 au 27 avril) Alès (25) Saint-Étienne Nantes [p 25],[32]
42e édition Mines Nantes 2015 (du 11 au 14 avril) Alès (26) Nantes Albi [s 11],[33],[p 26]
43e édition Mines ParisTech 2016 (du 21 au 24 avril) Alès (27) Albi Nantes [s 12]
44e édition Mines Nancy 2017 (du 28 avril au 1er mai) Alès (28) Albi Douai [s 13]
45e édition IMT Lille Douai (Douai) 2018 (du 3 au 6 mai) Alès (29) Lille Douai Atlantique [s 14],[p 27]
46e édition IMT Mines Albi-Carmaux 2019 (du 25 au 28 avril) Albi (1) Alès Lille Douai [p 28]
IMT Mines Alès 2020 Annulé en raison de la pandémie de Covid-19 [s 15]
2021
47e édition Mines Saint-Étienne 2022 (du 21 au 24 avril) Alès (30) Saint-Étienne Nord Europe [s 16]
48e édition IMT Mines Alès 2023 (du 27 au 30 avril) Alès (31) Saint-Étienne Albi [s 17],[p 29]
49e édition IMT Atlantique (Nantes) 2024 (du 25 au 28 avril) Alès (32) Atlantique Saint-Étienne [s 18],[p 30]
50e édition Mines Paris 2025 (du 24 au 27 avril) [34]

Organisation et financements[modifier]

L'organisation du Cartel des Mines est attribuée chaque année à une école participante différente. Les étudiants de l'école recevante s'occupent de l'organisation. Ainsi un comité d'organisation est monté environ 18 mois avant l'événement, organisé généralement autour d'un bureau de 6 étudiants : un président, 3 vice-présidents, un trésorier et un secrétaire général. Viennent s'ajouter une vingtaine de managers ayant chacun un périmètre : sports, soirées, restauration, communication, vidéos, relations extérieures, sécurité, logistique, transport, hébergement, partenariat, cérémonie/animation, application. Enfin, au moment de l'événement plusieurs centaines de bénévoles issus de l'école organisatrice s'assurent du bon déroulement de l'édition.

Les principaux financements proviennent chaque année des frais d'inscription des étudiants, de l'école organisatrice, du Bureau des élèves de l'école organisatrice, des collectivités territoriales accueillant l'événement et des entreprises partenaires.

Le budget de l'événement a fortement progressé au fil des ans en raison de l'inflation mais également de l'augmentation progressive du nombre de participants.

Évolution du nombre de participants et du budget du Cartel (certaines données sont manquantes).

Logos de différentes éditions[modifier]

Le logo du Cartel est propre à chaque édition mais quelques caractéristiques du tournoi se retrouvent sur plusieurs logos. Ainsi, pour marquer sa dimension européenne, les logos des éditions 2007 à 2010 mettent en valeur la carte de l'Europe. À partir de 2012, le nom du tournoi sur le logo est simplifié avec le simple terme « Cartel ». De plus, on retrouve désormais les couleurs olympiques sur le logo.

Notes[modifier]

  1. 1,0 1,1 1,2 et 1,3 Sport invité de l'édition 2025
  2. Avant cet événement en 1961, Saint-Étienne et Nancy organisaient déjà des matches inter-écoles, une fois chez l'un, une fois chez l'autre[o 4].
  3. 3,0 et 3,1 L'Escuela de Ingeniería de Minas, Energía y Materiales (EIMEM) de Oviedo a fermé définitivement en septembre 2023, ses enseignements et diplômes étant transférés à l'Escuela Politécnica de Mieres[p 6]. L'école des Mines d'Oviedo a participé à 30 éditions du Cartel de 1985 à 2017, a accueilli 3 éditions en 1992, 2002 et 2013 et a remporté 2 éditions en 1997 à Paris et en 2002.
  4. Les écoles Télécom disputaient jusqu'en 2016 leur propre tournoi appelé Inter Télécom[15], qui s'est arrêté avec les fusions d'écoles en 2017 (Mines Nantes-Télécom Bretagne et Mines Douai-Télécom Lille)[16].
  5. Un nombre plus élevé de victoires d'Alès est parfois avancé mais ce serait alors contradictoire avec la première participation d'Alès au Cartel en 1980, mentionnée à l'époque par le Midi libre entre autres[p 8]. De plus, la demande des étudiants alésiens à participer au Cartel n'aurait été exprimée qu'en 1978[o 11].
  6. Les nombres de participations sont approximatifs, les participants à l'intégralité des éditions n'étant pas connus.
  7. 7,0 et 7,1 Les Mines de Nantes et Télécom Bretagne ont fusionné en 2017 pour former l'IMT Atlantique[16].
  8. Les Mines de Douai et Télécom Lille ont fusionné en 2017 pour former l'IMT Lille-Douai[16], devenu IMT Nord Europe en 2021.

Sources[modifier]

Ouvrages[modifier]

  1. Cahiers Reconstruction : pour un socialisme démocratique, pour une culture sociale (no 1960 - II), (lire en ligne), p. 37
  2. Perspectives 1962 Cartel des mines, coll. « Regards sur la France » (no 16),
  3. 3,0 et 3,1 Grandes écoles à Nancy (no 2), (lire en ligne)
  4. 4,0 4,1 et 4,2 La Mine Noire, journal des élèves de l'École des Mines, (lire en ligne)
  5. 5,0 et 5,1 Grandes écoles à Nancy (no 6), (lire en ligne)
  6. 6,0 et 6,1 Grandes écoles à Nancy (no 10), (lire en ligne)
  7. 7,0 et 7,1 Grandes écoles à Nancy (no 12), (lire en ligne)
  8. (es) Infominas (no 5), (lire en ligne)
  9. Gilles Lazuech, L'exception française : Le modèle des grandes écoles à l'épreuve de la mondialisation, Presses Universitaires de Rennes, coll. « Le sens social », , 308 p. (ISBN 978-2-8684-7397-4, lire en ligne), p. 185
  10. (es) Infominas (no 9), (lire en ligne)
  11. Cécile Turion, L'école des mines d'Alès de 1841 à nos jours, Phénix, , 651 p. (ISBN 978-2-7458-1032-8), p. 611
  12. Grandes écoles à Nancy (no 31), (lire en ligne)
  13. Bulletin périodique de liaison - Association amicale des anciens élèves ENSTIMA (no 166), (lire en ligne)
  14. Le Douaisien, bulletin de l'association amicale des anciens élèves de l'École des Mines de Douai (no 42), (lire en ligne)
  15. Le Douaisien, bulletin de l'association amicale des anciens élèves de l'École des Mines de Douai (no 46), (lire en ligne)
  16. Le Douaisien, revue trimestrielle de l'association amicale des anciens élèves de l'École des Mines de Douai (no 50), (lire en ligne)
  17. Le Douaisien, revue trimestrielle de l'association amicale des anciens élèves de l'École des Mines de Douai (no 54), (lire en ligne)
  18. Minalès (no 210-211), (lire en ligne)
  19. Rétrospective 1997 - Mines de Douai (lire en ligne)
  20. Porte-Mines, l'actualité hebdomadaire du personnel et des élèves de l'École des Mines de Douai (no 176), (lire en ligne)
  21. Porte-Mines, l'actualité hebdomadaire du personnel et des élèves de l'École des Mines de Douai (no 267, 268, 269 et 271), 4, 14, 21 avril et 5 mai 2000 (lire en ligne)
  22. La Lampe nouvelle génération - La Lettre d'informations de L'Ecole des Mines de Nancy (no 4), juillet/août 2008 (lire en ligne), p. 5

Articles de presse[modifier]

  1. 1,0 et 1,1 « Un événement sportif et universitaire : huitième Cartel des Mines à Alès », Le Petit Cévenol,‎ (lire en ligne, consulté le 30 juillet 2022)
  2. « Alès remporte « son » Cartel des mines », La Marseillaise,‎ (lire en ligne [PDF], consulté le 25 mars 2022)
  3. 3,0 et 3,1 « Le sport en fête », La Marseillaise,‎ (lire en ligne [PDF], consulté le 3 juin 2022)
  4. « Alès à l'arraché », Midi libre,‎ (lire en ligne [PDF], consulté le 3 juin 2022)
  5. Corentin Migoule, « FAIT DU SOIR La folie furieuse du "Cartel des Mines" colore les arènes d'Alès », Objectif Gard,‎ (lire en ligne, consulté le 30 décembre 2024)
  6. (es) « Golpe de gracia a la Escuela de Minas de Oviedo: el Principado aprueba la supresión del centro », La Nueva España,‎ (lire en ligne, consulté le 30 décembre 2024)
  7. « Le Cartel des écoles des mines a réuni 1200 étudiants autour du sport et de la fête », La Voix du Nord (éd. Douai),‎ (lire en ligne [PDF], consulté le 30 juillet 2022)
  8. 8,0 et 8,1 « Le sport à l'école des mines d'Alès : un nouvel esprit pour un nouveau départ », Midi libre,‎ (lire en ligne, consulté le 3 juin 2022)
  9. « L'École des mines de Saint-Étienne remporte le Cartel 74 », ?,‎ (lire en ligne [PDF], consulté le 28 décembre 2022)
  10. « Cartel des mines : Douai l'emporte chez lui », Nord Matin,‎ 6-7 mai 1984 (lire en ligne, consulté le 25 mars 2022)
  11. « 14e Cartel des mines : Rien que des vainqueurs », Midi libre,‎ (lire en ligne [PDF], consulté le 25 mars 2022)
  12. (de) « Sieg ist noch möglich », WAZ,‎ (lire en ligne)
  13. « Le XVIIIe cartel des mines : L'Europe sur terrains de sport », Nord Matin,‎ 19-20 mai 1991 (lire en ligne [PDF], consulté le 30 juillet 2022)
  14. « Cartel des Mines : coup d'envoi », La Tribune,‎ (lire en ligne, consulté le 4 juin 2022)
  15. « Des joutes sportives et un record », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le 3 juin 2022)
  16. « École des mines d'Alès : nouvelle victoire au XXVIe Cartel des mines », Pays cévenol,‎ (lire en ligne, consulté le 3 juin 2022)
  17. « Une grande fête du sport européen », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne, consulté le 25 mars 2022)
  18. « Alès s'impose devant Albi », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne, consulté le 4 avril 2017)
  19. (es) « Triunfo de los «mineros» de Oviedo », La Nueva España,‎ (lire en ligne, consulté le 1er juin 2022)
  20. « Le Cartel 2009 des écoles des Mines se déroule à Douai du 16 au 19 avril », L'Observateur,‎ (lire en ligne, consulté le 27 mai 2022)
  21. Alexandre Pauwels, « Albi. Les étudiants mettent l'ambiance », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne, consulté le 27 mai 2022)
  22. « 2 000 étudiants au printemps 2012 : l'école des Mines prépare son Cartel », Midi libre,‎ (lire en ligne, consulté le 27 mars 2022)
  23. (es) « Un millar de estudiantes participarán en las jornadas deportivas de la Escuela de Minas », El Comercio,‎ (lire en ligne, consulté le 31 mai 2022)
  24. (es) « La ciudad da el testigo olímpico a Saint Étienne », La Nueva España,‎ (lire en ligne, consulté le 1er juin 2022)
  25. Clement Goutelle, « Quatre journées stéphanoises pour 1300 étudiants venus de toute l'Europe », Le Progrès,‎ (lire en ligne, consulté le 1er juin 2022)
  26. « Les Écoles des Mines d'Europe et du Maroc défilent à Nantes », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le 1er juin 2022)
  27. Élise Forestier, « Plus d'un millier de futurs ingénieurs débarquent à Douai! », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le 27 mai 2022)
  28. « Albi. Les étudiants des Mines se défient », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne, consulté le 27 mai 2022)
  29. Corentin Migoule, « ALÈS Cartel des Mines 2023 : la Coupe reste à la maison ! », Objectif Gard,‎ (lire en ligne, consulté le 30 avril 2023)
  30. Pascal Roche, « Sportif et festif, le rassemblement de 1.800 élèves ingénieurs à Nantes », France Bleu,‎ (lire en ligne, consulté le 28 avril 2024)

Sites web du Cartel[modifier]

Autres références[modifier]

  1. « Impressions de voyage en U.R.S.S. » [PDF], sur mines-saint-etienne.org, (consulté le 31 mai 2022)
  2. « Archive Voyage en URSS Cartel des Mines 1960 », sur mines-paris.org, (consulté le 31 mai 2022)
  3. « Bulletin municipal officiel de la Ville de Paris », sur Gallica, (consulté le 10 septembre 2023)
  4. Maurice Veilex et Hervé Jacquemin, « 1962, la Nuit Noire », sur Mines Saint-Étienne (consulté le 25 mars 2022)
  5. 5,0 et 5,1 (es) « Cartel de Minas », sur minaseenerxia.uvigo.es (consulté le 3 avril 2022)
  6. (de) « Allgemeiner Studierendenausschuss », sur asta.thga.de (consulté le 3 avril 2022)
  7. 7,0 et 7,1 « Quand deux Mineurs parlent de foot », sur inter-mines.org, (consulté le 3 avril 2022)
  8. 8,0 8,1 8,2 et 8,3 « Résumé des Cartels des années 80/90 » [PDF]
  9. 9,0 et 9,1 « Brochure XVIe Cartel des Mines Bochum 1989 » [PDF]
  10. 10,0 et 10,1 « Histoire - Cartel 2018 », sur cartel2018.com (consulté le 25 mars 2022)
  11. (en) « Communiqué officiel - Oviedo 2013 » [PDF], (consulté le 21 août 2022)
  12. [PDF] « Règlement officiel du Cartel des mines d'Alès 2012 », sur cartel2012-ales.fr (consulté le 3 avril 2022)
  13. 13,0 13,1 et 13,2 « Règlement du Cartel des Mines 47e édition » [PDF] (consulté le 3 avril 2022)
  14. « Emines participe pour la première fois au Cartel des Mines », sur Emines Blog, (consulté le 27 mars 2022)
  15. « Inter Télécom 2016 - Saint Étienne », sur Facebook (consulté le 8 mai 2024)
  16. 16,0 16,1 et 16,2 Laura Makary, « Institut Mines-Télécom : les nouveaux statuts officialisent les fusions », sur L'Étudiant, (consulté le 8 mai 2024)
  17. « Cartel Mines Nancy 1969 », sur Calaméo, (consulté le 25 avril 2024)
  18. « Cours de L'ecole Et Options 1967 70 », sur Calaméo, 2019–11-04 (consulté le 29 avril 2024)
  19. « Brochure Cartel des Mines Nancy 1983 » [PDF]
  20. (es) Una Escuela con Historia, « Cartel des MInes. », sur Facebook,
  21. « Nouvelle victoire au Cartel des mines » [PDF],
  22. (es) Una Escuela con Historia, « Cartel des Mines. Paris 1997. Edición 24. », sur Facebook,
  23. « Bilan sportif saison 2000-2001 » [PDF], sur EMA.fr,
  24. « Les Elèves de l'EMA remportent le 30ème Cartel des Mines 2003 » [PDF], sur EMA.fr,
  25. « Cartel des mines à Madrid : Victoire de l'école des mines de Nantes » [PDF], sur EMN.fr,
  26. « Le Cartel des mines investit Nantes » [PDF], sur EMN.fr,
  27. « Cartel des Mines 2007 » [vidéo], sur Dailymotion
  28. « 25e victoire de l'Ecole au Cartel des Mines », sur ema.fr (consulté le 31 mai 2022)
  29. « Cartel 2009 : 4 jours... inoubliables ! », sur mines-douai.fr
  30. « Le Cartel des Mines », sur ENSTIMAC.fr
  31. (de) « Presse-Information - Cartel des Mines 2011 » [PDF], sur idw-online.de, (consulté le 27 mars 2022)
  32. « Cartel des Mines, 41e édition à Saint-Etienne », sur journaldesgrandesecoles.com, (consulté le 27 mars 2022)
  33. « Quand toutes les Écoles des Mines d'Europe et du Maroc se rassemblent à Nantes », sur mondedesgrandesecoles.fr, (consulté le 27 mars 2022)
  34. « Trailer Cartel des Mines 2025 » [vidéo], sur YouTube, (consulté le 9 mai 2024)

Voir aussi[modifier]

Articles connexes[modifier]

Liens externes[modifier]

Erreur Lua dans Module:Catégorisation_badges à la ligne 170 : attempt to index field 'wikibase' (a nil value).Erreur Lua dans Module:Suivi_des_biographies à la ligne 189 : attempt to index field 'wikibase' (a nil value).