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École Albert-Einstein

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L’école Albert-Einstein est une école élémentaire publique de l’académie de Créteil à Ivry-sur-Seine, à l'architecture remarquable, associée à un Centre de Loisirs intégré à l’école, le CLAE. Elle fait partie de la zone IV (1969-1982) de la rénovation du centre-ville d’Ivry-sur-Seine (1962-1986), œuvre majeure des architectes Renée Gailhoustet (1929-2023) et Jean Renaudie (1925-1981), cette partie de la rénovation étant plus précisément confiée à Jean Renaudie. Sa construction résulte d'une intense discussion entre la municipalité, les architectes, les pédagogues et les futurs utilisateurs (parents, enseignants et futurs élèves). L'école est réalisée en collaboration avec l'architecte Nina Schuch. Elle a le statut « d’École Ouverte »[1]. Elle répond à une « charte éducative » conventionnelle. Son architecture, marquant un tournant majeur dans la réflexion sur les bâtis scolaires, a été qualifiée de révolutionnaire à sa construction par Fernand Leriche[2], maire-adjoint de 1965 à 1977 et ami de Paul Langevin[3]. Aujourd'hui, c'est une école d’application[4] , classée REP (réseau d’éducation prioritaire[5]).

Bâtiment[modifier]

L’école Einstein[6] est située 9 allée du Parc à Ivry-sur-Seine (94200). L’école élémentaire mesure 3 700 m2, elle comprend 12 classes, une bibliothèque centre de documentation (B.C.D.), salle audiovisuelle, un studio d’enregistrement, une salle de restauration, une cuisine, un bureau pour la direction, un espace de repos pour le personnel de service, une salle des maîtres, un bureau pour le médecin scolaire, un bureau pour l’assistante sociale, une infirmerie, un Centre de Loisir Associé à l'École, (le CLAE) de 800 m2 comportant une salle d’activités manuelles, un atelier, une salle d'activités physiques. La cour de récréation, accessible directement depuis les classes, mesure 1 330 m2 et les terrasses arborées accessibles, 1 360 m2. L’ensemble architectural mesure 4 550 m2. Le coût de la construction est de 8 426 763 francs répartis en 7 203 532 francs pour l'école et 1 223 231 francs pour le CLAE (valeur septembre 1978)

Construction

  • Programme: École Élémentaire de 12 classes et CLAE associé (Centre de Loisirs Associé à l'École)
  • Économiste: Cabinet Jean-Pierre Tohier
  • Bureau d’études techniques : BERIM
  • Entreprise: SVITONE
  • Maître d’ouvrage : Ville d’Ivry-sur-Seine
  • Aménageur: OPHLM d’Ivry
  • Référence cadastrale: F168
  • Pétitionnaire du Permis de construire: Ville d’Ivry-sur-Seine
  • Dépôt du Permis de construire: 28 septembre 1978
  • Service instructeur du Permis de construire: DDE du Val-de-Marne
  • Agrément de la préfecture du val-de Marne: 13 juin 1979
  • Livraison: 1982

Histoire[modifier]

Un terrain de politique municipal privilégié[modifier]

Lorsque la Mairie communiste d’Ivry-sur-Seine décide de la rénovation de son centre-ville, en 1969, elle a besoin de nouveaux locaux scolaires afin de répondre à l’accroissement de la population dû aux nouvelles constructions, elle a besoin aussi de s’adapter à de nouvelles et profondes dispositions en matière scolaire, prises à la suite des évènements de mai 1968, telles que l’instauration du tiers-temps, la réforme du temps hebdomadaire d’enseignement[7] et l’obligation de la mixité scolaire[8] (qui n’oblige plus aux doubles locaux garçons/ filles). Longtemps considérée comme le bastion du communisme municipal, elle cherche aussi, localement, à concrétiser les visées politiques du PCF en matière d’éducation, dans la perspective d’une arrivée au pouvoir de l’Union de la gauche. Elle veut reprendre la main sur ses équipements locaux et les mettre au service de l'ensemble de sa population.En 1975, la construction de la nouvelle école est décidée. La municipalité en délègue la construction à l’Office Public d’Habitation (HLM), alors dirigée par Raymonde Laluque[9], très impliquée dans le bon aboutissement de la rénovation.

Mouvements pédagogiques de l’Éducation Populaire[modifier]

Le Groupe Français d’Éducation Nouvelle (GFEN) est très implanté à Ivry et participe à un profond mouvement de réflexion chez des enseignants et au sein du conseil municipal. Il promeut une nouvelle façon d'apprendre, plaçant l'enfant au cœur de son apprentissage. Il veut en finir avec la pédagogie traditionnelle où un instituteur dominant, en position frontale, enseigne à des élèves qui écoutent, se taisent et écrivent. A l'époque, le bâti scolaire est marqué par cette pédagogie (salles de classes rectangulaires et couloirs rectilignes, estrade pour un maître dominant favorisant la surveillance). Le mobilier scolaire participe à ce mode pédagogique : bancs et pupitres de bois, souvent soudés, accueillant deux élèves, entravant la liberté de mouvement et contraignant les corps à une position immobile, disciplinée, censée favoriser l'écoute.

Réponse de l'architecte[modifier]

Jean Renaudie, assisté de Nina Scuch, veut préparer les conditions d'un changement dans la nature même de sa proposition architecturale. Il écrit[10]:

« Il n’y a pas d’architecture innocente, sans signification, sans conséquence […] les espaces et les formes produits par l’architecture de l’école, par leurs caractères attractifs, par leurs possibilités de découvertes, doivent, chez l’enfant, stimuler la sensibilité à l’espace, le développement de l’imagination et de la personnalité. »

Voulant mettre le futur bâtiment au service des utilisateurs, il demande que soit instituée une concertation de toutes les parties prenantes.

La concertation[modifier]

Le 28 septembre 1978, lors du conseil municipal décisionnaire, il est spécifié que les principes de construction de la future école devront prendre en compte les exigences d’une pédagogie nouvelle impossible à appliquer dans l’architecture de l’école Robespierre, jugée à la fois « ...trop vétuste et mal adaptée aux méthodes modernes d’enseignement ». La municipalité s'entoure d’une équipe de pédagogues du Groupe Français d’Éducation Nouvelle, alors dirigé par Robert Gloton[11], dont elle partage les points de vue en matière d'éducation. Une équipe d’une quarantaine de personnes (composée d’enseignants des écoles d’Ivry, de parents d’élèves du secteur, d’animateurs des centres de loisirs, de personnels de services, de médecins scolaires, et d’assistants sociaux), est constituée pour formuler les besoins. Jean Renaudie rencontre aussi les enfants et il les interroge sur "l'école de leur rêve".

Les comptes rendus de cette consultation qui dure presque deux ans sont joints à l’Avant-Projet Sommaire de la construction et ils en sont une partie constituante. Trois axes de travail sont tracés en lien avec le projet architectural : travail sur les dispositions d’ensemble, contenus pédagogiques et statut de cette école, et constitution d’une équipe pédagogique adaptée. 

Les choix[modifier]

Au cours des débats des choix sont faits : choix d’une École Ouverte[1], sectorisée comme toutes les autres afin de ne pas créer une école élitiste, salles de classes au service d’une pédagogie de projet, volonté de la disparition du Maître unique au profit d’une Équipe Pédagogique incluant tous les adultes de l'école, place prépondérante faite au livre, espaces spécifiques pour les conseils de classe d’élèves[12], place effective pour les sciences et les nouvelles technologies. La question du bien-être des enfants est centrale[13].

La municipalité fera un effort financier en donnant aux animateurs des horaires plus larges que dans les autres écoles (6 heures par jour), sur le temps scolaire à proprement parler, ce qui leur permet le travail avec les enseignants sur des projets communs. L'inspectrice de l’Éducation Nationale, Annie Lotroïcq, trouve les moyens de concilier le système rigide de nomination des enseignants avec leur implication à un projet pédagogique[14]. L’Éducation Nationale nommera un maître supplémentaire afin de permettre le fonctionnement décloisonné et les ateliers scientifiques. Un stage pédagogique de trois semaines (composé des futurs enseignants, et d’animateurs du CLAE) est organisé au printemps 1982, il débouche sur une « Charte Éducative », signée par toutes les parties prenantes. Remise à jour régulièrement, cette Charte est toujours en vigueur en 2024.

Vue générale. L’école est insérée dans la cité du Parc. On y accède par de multiples chemins piétonniers.

Réalisation[modifier]

Jean Renaudie apporte ses propositions, comme autant de réponses, et qui sont autant d'innovations dans l'Histoire du bâti scolaire. Il décentre concrètement le maître dans le rapport avec les élèves et entend favoriser les pédagogies nouvelles. Il emploie des techniques architecturales pour ouvrir les espaces. Il installe une BCD au cœur de l'école, cherche la mouvance, l'interpénétration et la possibilité d'évolution des espaces. Il donne sa place aux corps et au bien-être des utilisateurs.

Principes architecturaux[modifier]

Jean Renaudie, refusant la norme orthogonale porteuse d'idéologie, aucune classe n'est rectangulaire, aucune n'est identique et aucune n'a d'estrade. Chacune possède plusieurs espaces différenciés : espace de regroupement, coin atelier pour l'enseignement scientifique, petits forums pour les "conseils de classe enfants". Certaines ont des mezzanines.

Techniques favorisant l’ouverture et la multiplicité des usages[modifier]

Jean Renaudie emploie les techniques de béton banché et de piliers porteurs, techniques qui ouvrent l’espace. Il utilise des matériaux nobles : briques rouges, bois de hêtre, céramiques. La lumière naturelle est privilégiée grâce à un système de vitrages hauts donnant un éclairage zénithal aux locaux, des lanterneaux et des vitrages inclinés en pyramide donnant sur les jardins intérieurs. L’école s’étend sur deux niveaux accessibles par un réseau d’escaliers et de pentes douces accessibles aux fauteuils roulants. 

La place donnée aux livres[modifier]

L’ensemble du bâti est organisé autour de la BCD (bibliothèque - centre de documentation), cœur de l’école. Cette BCD est un lieu sans porte, ni murs, ouvert, reliant ainsi tous les autres espaces. Un chemin serpente parmi les livres et les documents, tous à portée de main d’enfants dans des casiers de bois colorés. À la demande des enfants, des espaces confortables, moquettés sont aménagés afin de pouvoir lire allongés.

Mouvance et plasticité[modifier]

Jean Renaudie cherche l’adaptabilité maximum des locaux à de nouveaux usages. Les classes sont modulables grâce à des parois mobiles, favorisant l’enseignement à plusieurs maîtres. Aucune n’est identique à l’autre et aucune n'est rectangulaire, Jean Renaudie refusant la norme orthogonale porteuse d'idéologie[15]. Chacune possède plusieurs espaces différenciés : coins ateliers pour l’enseignement scientifique, et un petit forum pour les conseils de classe-enfants. Certaines classes ont des mezzanines.

Place du corps et bien-être[modifier]

Chaque classe a un point d'eau et un WC. L'école comprend une salle pour le médecin scolaire, une pour l'assistante sociale, une pour l'infirmerie.

Le mobilier[modifier]

Le mobilier (tables et chaises) est individuel et léger, visant à répondre à l’exigence de bien-être et de liberté de mouvement des enfants. Des tables plus grandes sont réservées aux ateliers et au travail en groupe. Des placards de bois colorés recouvrent les murs, libérant les espaces.

Les équipements spécifiques[modifier]

La salle de restauration, en longueur et avec des recoins, est équipée de petites tables hexagonales. Elle permet les repas dans un cadre intime en petits groupes, rompant avec les longues tablées impersonnelles.

L'espace cuisine attenant autorise le fonctionnement d'un self-service, innovation importante : la "cantine" devenant "restauration scolaire". Les enfants se servent seuls sur des plateaux et ils ont le choix parmi des plats.

A proximité de l'entrée, se situe le bureau de la directrice, une salle des maîtres pour le travail collectif de l'équipe pédagogique et le repos, une salle pour la gardienne, et un vaste lieu, chaleureux pour l'accueil confortable des parents.

Il y a aussi une grande salle audiovisuelle en gradin, un local informatique, un local photos, un studio d'enregistrement radiophonique. C'est là qu'est créée une radio-scolaire : Radio-Cartable" qui donnera lieu à de nombreux projets pédagogiques d'un rayonnement très large dépassant le niveau local.

A cette époque, ces différents locaux sont rares ou inexistants.

Les demandes spécifiques des enfants[modifier]

Pouvoir s'isoler, avoir des coins secrets, avoir des lieux de récréation à multiples facettes, telles ont été les autres demandes. Ainsi naissent le "Labyrinthe", le "Chemin des amoureux", la cour de récréation à plusieurs niveaux comportant arcades, bancs, petits préaux, recoins et terrasses.

Le Centre de Loisirs[modifier]

 Le Centre de Loisirs intégré dans les locaux sans délimitation précise possède de nombreux espaces diversifiés : atelier, salle d'activités physiques, espace de bricolage ou de réunions. Une ouverture directe se fait sur la cité du Parc. La petite ménagerie, imaginée par les enfants, ne verra pas le jour pour des raisons de praticité évoquée.

Végétation[modifier]

Comme dans l’ensemble de leurs constructions, les architectes ont lié la construction à la présence constante de la nature[16]. La végétation est présente dans tous les différents espaces : une petite orangerie avec des arbres exotiques relie locaux scolaires et CLAE. Elle fait le lien aussi entre intérieur et extérieur : les classes possèdent une serre cultivable au vitrage incliné et une ouverture directe sur la cour arborée. Les terrasses végétalisées sont prévues pour être utilisées pour le jardinage et les plantations d’arbres. À ce jour, elles sont toujours utilisées à cet effet par les enfants. Ces plantations sont inscrites par Jean Renaudie dans le projet architectural. 

Intégration dans la cité[modifier]

L'école est reliée aux logements proches de son secteur, l'ILN (Immeuble à Loyer Normal) Casanova et la cité Maurice Thorez par un réseau d'allées piétonnes et de placettes. Les enfants peuvent venir à l'école à pieds, sans rue à traverser. Un chemin de ronde, en surplomb, fait le tour de la cour de récréation, celle-ci s'étageant sur plusieurs niveaux. Les parents peuvent voir les enfants jouer. Le CLAE a des ouvertures particulières vers la cité, dans une visée d'utilisation possible du bâtiment en dehors des temps scolaires. Intégrée parfaitement dans l'ensemble de la cité du Parc, l'école présente la même structure collinaire en étoile, signature de l'architecte.

L'inauguration[modifier]

L'école Albert Einstein est ouverte (septembre 1982) après la mort de l'architecte. C'est "L'Atelier Jean Renaudie" (1982-1985), créé après son décès et composé de Renée Baray, Hugues Marcucci, Géronimo Padron-Lopez, Serge Renaudie et Nina Schich qui finalise la construction. L'inauguration donne lieu à une grande cérémonie portée par la municipalité comme une victoire politique.

Si l’idée d’une école réellement ouverte sur la cité, pour prendre aux mots le concept pédagogique d'École Ouverte, une école sans barrières ni murs extérieurs, a été finalement abandonnée pour des raisons liées à la sécurité, il reste un bâtiment fourmillant d’attentions aux utilisateurs, d'innovations et de possibilités d’adaptations aux besoins, visionnaire quant au bien-être des utilisateurs et à la présence du végétal.

Répercussions[modifier]

Patrimoine architectural de réputation internationale, l'école Albert-Einstein d’Ivry-sur-Seine attire régulièrement des pédagogues, des chercheurs en sciences de l’éducation, des architectes et étudiants du monde entier. Ses bâtiments sont étudiés dans les écoles d'architecture, tant en France qu'à l'étranger. Sa visite fait partie de plusieurs "promenades" lors des journées du patrimoine ou de balades culturelles. Ses terrasses végétalisées sont un exemple à l'heure de la réflexion sur les changements climatiques et les réponses à y apporter dans les villes très urbanisées. Sa cour est proposée pour des sites de tournages cinématographiques (Hunger games la Révolte, partie 2). Elle est utilisée pour son caractère esthétique par des évènements artistiques[17].

Notes et références[modifier]

  1. 1,0 et 1,1 « École ouverte », sur www.education.gouv.fr/ecole-ouverte-4664
  2. « Leriche Fernand », dans « Le maitron, dictionnaire biographique - Mouvement ouvrier - Mouvement social », sur maitron.fr/spip.php?article24509
  3. « Ivry sur Seine le souffle de l’histoire », 1984, Messidor, Paris, (ISBN 2-201-01630-5)
  4. Question N° : 43838 sur https://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-43838QE.htm
  5. « Guide pratique pour la direction de l’école primaire – L’école primaire dans l’éducation nationale – L’éducation prioritaire », Ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, sur Guide_direction_ecole_1_fiche_l-education_prioritaire_360397.pdf
  6. « École élémentaire d'application Albert Einstein », sur ecole-elementaire-d-application-albert-einstein.html
  7. « La pédagogie primaire entre 1945 et 1970 : l'impossible réforme ? », Pierre Kahn, dans Le Télémaque 2008/2 (n° 34), pages 43 à 58, sur www.cairn.info/revue-le-telemaque-2008-2-page-43.htm
  8. « Loi n°75-620 du 11 juillet 1975 relative à l'éducation», sur www.education.gouv.fr/loi-ndeg75-620-du-11-juillet-1975-relative-l-education-3716
  9. « Laluque Raymonde », dans « Le maitron, dictionnaire biographique - Mouvement ouvrier - Mouvement social », sur maitron.fr/spip.php?article73595
  10. « La ville est une combinatoire »(Jean Renaudie Movitcity édition)
  11. « Robert Gloton (1906-1986) : un artisan de l’Éducation nouvelle dans l'enseignement public ? », dans « Éducation et socialisation. Les cahiers du CERFEE », sur journals.openedition.org/edso/8543
  12. « Mettre en place un conseil de classe en élémentaire », sur etreprof.fr/ressources/6/mettre-en-place-un-conseil-de-classe-en-elementaire
  13. https://www.cnesco.fr/
  14. Ivry ma ville 103, juin 1982, sur https://www.calameo.com/read/000008101d4741a43f850
  15. Citation Renaudie dans « Architecture Mouvements Continuité », n°45, mars 1978
  16. « Comment Ivry a lancé l'architecture écolo », Le Parisien, 19 mars 2016, sur www.leparisien.fr/val-de-marne-94/comment-ivry-a-lance-l-architecture-ecolo-19-03-2016-5639951.php
  17. « Étoiles partielles - Nefeli Papadimouli », Exposition 21.04. — 02.07.23, Le Crédac, sur credac.fr/artistique/etoiles-partielles

Voir aussi[modifier]

Articles connexes[modifier]

Bibliographie[modifier]

Filmographie[modifier]

Liens externes[modifier]

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