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Sud-Ouest pyrénéen

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Entre océan Atlantique et mer Méditerranée, les Pyrénées contiennent la majeure partie de la frontière entre la France et l'Espagne depuis plus de trois siècles. Le massif montagneux des Pyrénées, et ses piémonts français et espagnol, constituent le sud-ouest pyrénéen, vu d'Europe continentale où le sud-ouest européen comprend le Midi de la France, les Pyrénées et la péninsule ibérique. Sud-ouest aussi vu de France, mais il s'agirait plutôt du nord-est, vu d'Espagne : car si le versant nord des Pyrénées est la base du sud-ouest pyrénéen français, leur versant sud est celle du nord-est espagnol.

Si l'Espagne et la France sont deux Etats centralisés depuis plusieurs siècles, les relations entre régions frontalières sont très anciennes[1]. La frontière franco-espagnole (négociée entre les monarchies française et espagnole au XVIIe siècle, puis aboutie au XIXe siècle) avait d'ailleurs clivé, aux deux extrémités de la chaîne, dans des territoires basques ou catalans. Le développement des régions, et des coopérations transfrontalières, ouvre de nouvelles pages.

Histoire des relations franco-espagnoles[modifier]

La première séparation historique des Pyrénées comme limite est celle mise en place par l'Empire romain entre ses provinces gauloises et hispaniques[1]. Près de 1700 ans plus tard, les royaumes de France et d'Espagne signent, le , le traité des Pyrénées qui sera précisé par les traités de Bayonne conclus au XIXe siècle : traité de Bayonne (1856) le , traité de Bayonne (1862) le , traité de Bayonne (1866) le et le . Le tracé de la frontière franco-espagnole est au voisinage de la ligne de crête des Pyrénées, sauf au Pays basque où la frontière est notamment le fleuve côtier Bidassoa sur une dizaine de kilomètres jusqu'à son embouchure.

Au début du XIXe siècle (1808-1814), les relations franco-espagnoles sont marquées par la Guerre d'indépendance espagnole[2] sous Napoléon Ier. L'émigration espagnole en France est notable dès le XIXe siècle. La première guerre carliste (1833-1840) amena en France plus de 15 000 exilés[2].

Exil des républicains en traversant les Pyrénées, après la victoire de Franco lors de la guerre civile Espagnole de 1936-1939. Durant l'Occupation, les Pyrénées sont inversement une filière d'exil pour des minorités persécutées par le troisième Reich et ses alliés.

Après la mort de Franco (1975) puis le rétablissement de la démocratie, l'Espagne et le Portugal entrent dans la Communauté économique européenne (ancêtre de l'Union européenne) le

Géographie régionale[modifier]

Montagnes[modifier]

Article détaillé : Pyrénées.

Les Pyrénées sont une chaîne de montagnes du sud-ouest européen. Elles s'étendent en longueur selon une direction est-ouest sur une distance d’environ 430 kilomètres depuis la mer Méditerranée jusqu'au golfe de Gascogne (de Biscaye pour les espagnols). L'Andorre est une petite principauté des Pyrénées, située entre la France et l'Espagne.

La chaîne des Pyrénées traverse deux régions et six départements français : d’est en ouest les régions Occitanie(départements Pyrénées-Orientales, Aude, Ariège, Haute-Garonne et Hautes-Pyrénées) et Nouvelle-Aquitaine (département Pyrénées-Atlantiques). Côté sud des Pyrénées, elle traverse quatre Communautés autonomes d’Espagne et sept députations provinciales ou provinces d'Espagne : d’est en ouest la Catalogne (provinces de Gérone, Barcelone et Lérida), l'Aragon (provinces de Huesca et Saragosse), la Navarre (avec une seule province, de même nom) et le Pays basque (Guipuscoa).

Piémonts[modifier]

Article détaillé : Piémont pyrénéen.

Les altitudes du relief montagneux permettent de tracer l'extension du massif pyrénéen. Où s'arrête le piémont ? Au bord de l'Èbre coté espagnol, de la Garonne ou du Massif central coté français ? Il s'agit du dépôt dans les plaines des débris de l'érosion de la chaîne des Pyrénées, charriés par les cours d'eau pyrénéens. Le bassin de l’Adour et la Garonne avec ses affluents pyrénéens, couvrent le territoire entre Garonne et Pyrénées. Les autres affluents de la Garonne ont leur source dans le Massif central. Les territoires et rivières du bassin Adour-Garonne sont situés dans les régions Nouvelle-Aquitaine et/ou Occitanie.

Le bassin de l'Aude, fleuve pyrénéen côtier qui débouche en mer Méditerranée, est contenu dans la région Occitanie. L'Èbre traverse les quatre communautés autonomes espagnoles. (Pays basque, Navarre, Aragon, Catalogne) limitrophes des Pyrénées. L'Aragon est lui-même un affluent de l'Èbre.

Plusieurs vignobles sont cultivés sur des coteaux du piémont pyrénéen aquitain, sous la double influence de l'Atlantique et des Pyrénées[3] : Irouléguy (AOC), Jurançon (AOC), Madiran (AOC) et Pacherenc du Vic-Bilh, Saint-mont (AOC), Tursan (AOC)Armagnac (eau-de-vie), ... Le piémont méditerranéen nord (bassin de l'Aude) fait partie du domaine des vignobles/vins de Languedoc, dont Corbières (AOC), Minervois (AOC), ...

Coopérations régionales transfrontalières[modifier]

Communauté de travail des Pyrénées[modifier]

La Communauté de travail des Pyrénées (CTP) est un organisme interrégional de coopération transfrontalière, créé en 1983 après la Convention-cadre sur les coopérations transfrontalières du Conseil de l’Europe. La CTP regroupe l'Andorre et toutes les régions, françaises ou espagnoles, frontalières au nord et au sud des Pyrénées.

Les membres de la Communauté de travail des Pyrénées sont la principauté d'Andorre, les communautés autonomes espagnoles d’Aragón, Catalogne, Pays basque et Navarre, et, à l'origine, les régions françaises Aquitaine, Languedoc-Roussillon et Midi-Pyrénées. Depuis, la loi a modifié le périmètre[4] des régions françaises à partir du  : la région Aquitaine antérieure a fusionné avec les ex-régions Limousin et Poitou-Charentes pour devenir Nouvelle-Aquitaine, tandis que Languedoc-Roussillon et Midi-Pyrénées ont fusionné pour devenir Occitanie. Les régions françaises de Nouvelle-Aquitaine et Occitanie succèdent ainsi depuis 2016 aux anciennes régions françaises membres depuis l'origine de la CTP.

Traité de Bayonne (1995)[modifier]

Le traité de Bayonne du est relatif à la coopération transfrontalière entre collectivités territoriales. Il s’applique, du côté espagnol, aux quatre régions communautés autonomes d'Aragón, Catalogne, Pays basque et Navarre, et du côté français, aux régions frontalières (alors Aquitaine (ancienne région), Languedoc-Roussillon et Midi-Pyrénées) devenues Nouvelle-Aquitaine et Occitanie.

Ce traité de coopération franco-espagnol a permis à la CTP, organisme au.départ consultatif, de se doter vers 2005 d’une personnalité juridique en adoptant le statut de consorcio (ou communauté transfrontalière de collectivités)[5].

Groupements européens de coopération territoriale[modifier]

Définition du sud-ouest européen dans la politique régionale de l’Union européenne : « le Programme européen Interreg Sudoe soutient le développement régional dans le sud-ouest de l'Europe » ; « Interreg Sudoe, fait partie de l'objectif européen de coopération territoriale, connu sous le nom d'Interreg, entre régions éligibles de différents pays participants du sud-ouest européen . Les régions éligibles sont l'ensemble des Communautés autonomes espagnoles (sauf les Iles Canaries), les régions du sud-ouest de la France (Auvergne, Occitanie et Nouvelle Aquitaine), les régions continentales du Portugal, le Royaume-Uni (Gibraltar) et la Principauté de l'Andorre »[6].

Le groupement européen de coopération territoriale (GECT) est un instrument de coopération mis en place par le Parlement européen et le Conseil européen, en juillet 2006. Doté de la personnalité juridique, il a pour vocation de répondre aux difficultés rencontrées dans le domaine de la coopération transfrontalière et de faciliter et promouvoir la coopération transfrontalière, transnationale et interrégionale entre ses membres. Il n'est pas limité aux régions et est ouvert à d'autres collectivités territoriales.

GECT pyrénéens[modifier]

Sept GECT transfrontaliers franco-espagnols ont été signés entre 2009 et 2015, trois ont fusionné en 2018 dans un nouveau GECT

Nom du GECT Date de création Composition
GECT Pyrénées-Méditerranée Catalogne, Îles Baléares (Espagne) ; Languedoc-Roussillon, Midi-Pyrénées (France)
GECT Hôpital de Cerdagne[A 1] Services de santé en Espagne et en France
consorcio (tunnel Aragnouet-Bielsa)[A 2] Communauté Autonome d’Aragon (Espagne) ; Conseil départemental des Hautes-Pyrénées (France)
GECT Hautes Pyrénées Huesca Pirineos[A 3] Diputación Provincial de Huesca (Espagne) ; Conseil départemental des Hautes Pyrénées (France)
GECT Espace Pourtalet[A 4]. (Espagne) et (France)
GECT Pyrénées-Cerdagne (France) et (Espagne)
GECT « Eurorégion Nouvelle-Aquitaine-Euskadi-Navarre » Pays basque, Communauté forale de Navarre (Espagne) ; Nouvelle-Aquitaine (France)
GECT Pays d'Art et d'Histoire Transfrontalier Les vallées Catalanes du Tech et du Ter (France) et (Espagne)
GECT Pirineos-Pyrénées[7] Diputación Provincial de Huesca, Communauté Autonome d’Aragon (Espagne) ; Conseils départementaux des Pyrénées-Atlantiques et des Hautes-Pyrénées (France)
  1. Ce GECT fournira des soins médicaux à environ 30 000 habitants de part et d'autre de la vallée de Cerdagne. Ce GECT, contrairement aux autres, a été prévu pour une durée de 10 ans automatiquement prorogés si un État participant au GECT ne s'y oppose (GECT 2009, p. 103-116).
  2. Ce consorcio fusionne dans le GECT Pirineos-Pyrénées en mars 2018
  3. Ce GECT fusionne dans le GECT Pirineos-Pyrénées en mars 2018
  4. Ce GECT fusionne dans le GECT Pirineos-Pyrénées en mars 2018

Objectifs de développement[modifier]

Transports routiers[modifier]

Les deux autoroutes françaises en direction des Pyrénées, l'A9 coté méditerranéen et l'A63 coté Atlantique, drainent chaque jour des milliers de camions, entraînant des embouteillages croissants. Le trafic se répand aussi sur les routes nationales. Au total, en 2005 plus de 5 millions de camions passaient chaque année les frontières pyrénéennes. Les Pyrénées sont un massif compact, difficilement franchissable ailleurs qu’à ses extrémités - (le Perthus (A9) et Hendaye/Biriatou (A63) ; distantes (en ligne droite) d'environ 400 km, elles concentrent 95 % du trafic routier lourd[5].

Routes nationales, cols transfrontaliers : col du Perthus (altitude : 290 m) , col du Pourtalet (1794 m), col du Somport (1632 m).

Dans la zone centrale du massif, deux tunnels de traversée routière (non autoroutière) des Pyrénées sont le tunnel routier du Somport (altitude : (France) 1116 m) inauguré en , et le tunnel Aragnouet-Bielsa (altitude : (France) 1821 m ) mis en service en . Le tunnel du Somport débouche en France sur la vallée d'Aspe, et le tunnel d’Aragnouet-Bielsa sur la vallée d'Aure. L’augmentation de la circulation de poids lourds entraîne une gêne et des protestations croissantes des populations riveraines[8],[9]. De plus, des accidents de poids lourds sont souvent à déplorer en vallée d'Aspe.

Transports ferroviaires[modifier]

Les voies ferrées classiques en service passent, comme les autoroutes, aux extrémités de la chaîne des Pyrénées ; une traversée centrale reste un projet. Face à la saturation croissante des transports routiers, plusieurs projets ambitieux sont nés : lignes LGV entre France et Espagne libérant des lignes classiques pour le fret, nouvelle ligne de train destinée en priorité au fret, remise en état et réouverture de la ligne de Pau à Canfranc (frontière).

Lignes LGV : la liaison TGV entre Perpignan et Figueras a été décidée avec creusement d’un nouveau tunnel mené dans les temps. Cependant, le retard de trois ans dans l’achèvement de la voie ferrée coté espagnol, et un trafic passagers sensiblement inférieur aux attentes, ont amené la société concessionnaire à déposer son bilan[10]. La ligne devait être reprise par une coentreprise publique franco-espagnole.

Le projet de tracé d’une nouvelle ligne LGV dans le Pays basque côtier français a entraîné une levée de boucliers, et le projet est passe d’être abandonné, au profit d’une rénovation de la ligne classique.

Le grand projet de traversée centrale des Pyrénées pour une ligne de fret aurait un coût de 4 à 8 milliards € (estimation 2010)[11]. Ce n’est pas la moindre difficulté.

Energie[modifier]

De nombreux sites (vallées) pyrénéens ont été équipés en barrages et centrales hydroélectriques, qui historiquement ont eu pour fonction d’alimenter les chemins de fer (SNCF). La Société hydroélectrique du Midi (SHEM) exploite près de 50 centrales hydroélectriques situées dans les Pyrénées et dans le Massif central, et qui sont une importante source d’énergie renouvelable. Côté espagnol, de grands travaux publics (barrages et lacs de retenue) ont eu pour objectif la maîtrise de la ressource en eau pour l'irrigation.

Tourisme[modifier]

Espaces naturels[modifier]

Article détaillé : Espaces protégés des Pyrénées.

Trois parcs nationaux (un français et deux espagnols) sont présents dans le massif des Pyrénées. Est présent aussi, dans la région Occitanie, le parc national des Cévennes situé au sud du Massif central.

Pays Dénomination Date/année d'inauguration Surface (ha) Région(s) ou Communauté autonome
France Parc national des Pyrénées 45 700[A 1] Nouvelle-Aquitaine et Occitanie
Espagne Parc national d'Ordesa et du Mont-Perdu 15 608 Aragon
Espagne Parc national d'Aigüestortes et lac Saint-Maurice 14 119 Catalogne
  1. Zone centrale du Parc

De nombreux parcs naturels régionaux sont présents dans le massif des Pyrénées ou dans les zones de piémont des régions frontalières, françaises ou espagnoles. Le tourisme d'été en montagne connait un net regain, favorisé par la présence de parcs naturels à proximité[12].

Sentiers de randonnées[modifier]

Trois sentiers de grande randonnée traversent les Pyrénées d'ouest en est : le GR 10 côté français, le Gr 11 (espagne) côté espagnol et la Haute randonnée pyrénéenne. Il faut mentionner, depuis bien longtemps, les chemins de Compostelle, par lesquels les pèlerins de l'Europe entière convergeaient pour franchir les Pyrénées et se diriger vers Saint-Jacques-de-Compostelle.

Ski[modifier]

Stations de ski des Pyrénées : une importante clientèle espagnole se rend dans les stations françaises. L'altitude moyenne et la latitude des stations des Pyrénées, conjuguées à une accélération du réchauffement climatique, soulèvent des interrogations pour l'avenir de ce tourisme d'hiver.

Enseignement et culture[modifier]

Universités[modifier]

Les villes universitaires des régions Nouvelle-Aquitaine et Occitanie sont : Bordeaux ; Bayonne et Pau ; La Rochelle ; Limoges ; Poitiers ; Toulouse ; Perpignan ; Nîmes et Montpellier. Limites de la notion de piémont pyrénéen ? Bordeaux est riveraine de la Garonne près de son embouchure, la Rochelle, Limoges et Poitiers sont au nord de Bordeaux.

Pays Région ou Communauté autonome Ville Métropole régionale Dénomination Université(s)
France Nouvelle-Aquitaine Bordeaux oui Universités de Bordeaux
France Nouvelle-Aquitaine Pau Université de Pau et des pays de l'Adour (UPPA)
France Nouvelle-Aquitaine Bayonne Université de Pau et des pays de l'Adour (UPPA)
France Occitanie Toulouse oui Universités de Toulouse
France Occitanie Montpellier oui/non[A 1] Universités de Montpellier
France Occitanie Nimes Université de Nîmes
France Occitanie Perpignan Université de Perpignan
  1. oui avant le nouveau découpage régional de 2015

Les villes universitaires (du Nord-Est) en Espagne : Bilbao et Saint-Sébastien ; Pampelune ; Saragosse ; Gérone, Lleida, Tarragone et Barcelone.

Pays Région ou Communauté autonome Ville Métropole régionale Dénomination Université(s)
Espagne Pays basque Bilbao Université du Pays basque
Espagne Pays basque Saint-Sébastien Université du Pays basque
Espagne Navarre Pampelune oui Université publique de Navarre ; Université de Navarre
Espagne Aragon Saragosse oui Université de Saragosse
Espagne Catalogne Barcelone oui Université autonome de Barcelone ; Université de Barcelone
Espagne Catalogne Gérone Université de Gérone
Espagne Catalogne Lleida Université de Lleida
Espagne Catalogne Tarragone Université Rovira i Virgili

Coopérations transfrontalières

De par sa proximité géographique avec l'Espagne, l'Université de Pau et des pays de l'Adour (UPPA) développe des coopérations universitaires transfrontalières aussi bien dans le domaine de l'enseignement que de la recherche. Les modalités de coopération en formation, formation doctorale et recherche, sont en place notamment avec l'université du Pays basque, l'université de Saragosse et l'université publique de Navarre, toutes les trois en Espagne.

Ainsi, le 30 janvier 2017, l’UPPA et l’Université de Saragosse ont signé à Jaca (communauté autonome d'Aragon, Espagne) un nouvel accord-cadre de coopération[13]. Le 7 juillet 2017, l’UPPA et l’Université du Pays basque (UPV/EHU) ont signé à Bayonne (Pyrénées-Atlantiques) un nouvel accord-cadre de coopération[14]. Il en est de même avec l'Université publique de Navarre[15].

L’Université de Perpignan dite Via Domitia (UPVD) participe à de nombreux projets de coopération transfrontalière, européenne et internationale[16].

Langues[modifier]

Le long de la chaîne des Pyrénées et d'ouest vers est, en Espagne se parlent (en plus de l'espagnol) coté sud : basque (communauté autonome basque et nord de la communauté forale de Navarre) ; aragonais (Haut-Aragon) et catalan (Catalogne) ; se parlent (en plus du français) coté nord : basque ; gascon, languedocien (occitan) et catalan. En Espagne, le basque et le catalan sont langues co-officielles, respectivement, au Pays basque et en Catalogne. Ces deux langues sont parlées de part et d'autre de la frontière franco-espagnole, avec le statut de langue régionale en France. Il s'y ajoute le gascon parlé aussi dans le Val d'Aran.

Notes et références[modifier]

  1. 1,0 et 1,1 Christian Rico, Pyrénées romaines. Essai sur un pays de frontière : (IIIe siècle av. J.-C.- IVe siècle ap. J.-C.), Casa de Velázquez, , 418 p. (ISBN 84-86839-74-2)
  2. 2,0 et 2,1 Jordi Canal (dir.), Histoire de l'Espagne contemporaine : De 1808 à nos jours, Armand Colin, , 340 p. (ISBN 978-2-200-61460-7)
  3. « SUD-OUEST - Le piémont Pyrénéen », sur Guide Hachette des Vins
  4. Patrick Roger, « Ces nouvelles régions en quête d’identité », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  5. 5,0 et 5,1 Michel Garicoïx et Stéphane Thépot, « La traversée des Pyrénées au menu du sommet franco-espagnol », le Monde,‎ (lire en ligne)
  6. « Interreg Sudoe »
  7. « Territoire "Pirineos-Pyrénées" », sur mission opérationnelle transfrontalière (consulté le 7 mars 2019)
  8. Jean Testemale, « Face aux camions, la vallée d'Aspe se réveille et se révolte », La République des Pyrénées,‎ (lire en ligne)
  9. « Trop de poids lourds en vallée d'Aure : la mairie d'Aragnouet lance une pétition », la Nouvelle République des Pyrénées,‎ (lire en ligne)
  10. Jean-Michel Gradt, « LGV Perpignan-Figueras : TP Ferro en faillite », Les Echos,‎ (lire en ligne)
  11. Laurent Vissuzaine, « Comment traverser les Pyrénées sans camions », La République des Pyrénées,‎ (lire en ligne)
  12. Pascal Baud et Serge Bourgeat, Dictionnaire de géographie, Hatier, , 608 p. (ISBN 978-2-218-97141-9)
  13. « Signature d'un accord-cadre de coopération entre l’UPPA et l’Université de Saragosse à Jaca »
  14. « Renouvellement de la convention de partenariat entre l’UPPA et l’Université du Pays basque »
  15. « Signature d'un accord-cadre de coopération UPPA/Université Publique de Navarre »
  16. « Projets de Coopération transfrontalière et internationale »

Compléments[modifier]

Articles connexes[modifier]

Liens externes[modifier]

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