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Jean-Jacques Charbonier

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Jean-Jacques Charbonier
Description de l'image Jean Jacques Charbonier.jpg.
Naissance
Saint-Gaudens Drapeau de la France France
Activité principale
Auteur, médecin, conférencier
Auteur
Mouvement Thèse de l'EMI
Genres
Paranormal et parapsychologie

Jean-Jacques Charbonier, né le à Saint-Gaudens, est un médecin anesthésiste réanimateur français, connu pour ses recensions de témoignages validant selon lui l'hypothèse de vie après la mort, l'expérience de mort imminente et l'existence d'une conscience indépendante de l'activité neuronale. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages sur le sujet, anime régulièrement des conférences et participe à diverses émissions de radio et de télévision.

Biographie[modifier]

Selon ses déclarations dans le numéro 110 de la Revue de l'au-delà[1], à l'âge de neuf ans, Jean-Jacques Charbonier aurait vécu une guérison miraculeuse à Lourdes après une fracture polyfragmentaire de la tête humérale consécutive à une lourde chute en jouant au ballon dans la cour d'école. Son bras immobilisé par un plâtre durant plusieurs mois a impliqué une rééducation relativement difficile de la fin de l'été au début de l'hiver. Jean-Jacques Charbonier propose alors de se rendre à Lourdes, « un sentiment très fort au plus profond de son être ». Au retour, son épaule était toujours douloureuse mais il déclare s'être senti plus serein et à la fin du voyage de retour, avoir ressenti une chaleur irradiante lui donnant l'espoir d'une guérison miraculeuse. Le lendemain, son épaule lui semblait redevenue normale. La radiographie confirmera la bonne guérison. Cette conviction d'avoir vécu un guérison miraculeuse l’a marqué toute sa vie et il dit avoir gardé depuis une dévotion pour Marie.

Jean-Jacques Charbonier ne fait cependant pas partie des 68 miraculés de Lourdes reconnus officiellement[2].

Lors de ses conférences[3] ainsi que dans son ouvrage Les 7 bonnes raisons de croire en l'au-delà[4], Jean-Jacques Charbonier explique comment il est passé du rationalisme acquis au cours de son cursus universitaire à son adhésion aux hypothèses de la survivance de la conscience après la mort[3]. Alors qu'il se destinait à être médecin généraliste, il fut confronté lors d'une intervention au sein d'une équipe du SAMU, à la nécessité d'intervenir sur un jeune homme d'une vingtaine d'années accidenté en danger de mort, incarcéré dans son véhicule jusqu'à la taille. Cette personne avait une hémorragie et dans ce cas il est important de compenser la perte de sang par une transfusion. En raison de son trac dû à l'inexpérience, le docteur Charbonier ne parvenait pas à trouver la veine afin de le perfuser. Il observa alors les pupilles de la victime se mettre en mydriase, signe que cette personne était en arrêt cardiaque. À ce moment, il ressentit physiquement une présence qui partait du corps de la personne en arrêt cardiaque, présence qui le frôla et qu'il qualifia de joyeuse et vivante. À la suite de cette expérience, il décida de poursuivre des études complémentaires afin d'être anesthésiste-réanimateur.

Depuis, il publie des ouvrages et organise des conférences sur le thème de la mort et des expériences de mort imminente.

Ouvrages et conférences[modifier]

Thème général[modifier]

Jean-Jaques Charbonier présente ainsi son travail : « Bien que de formation scientifique, et exerçant une spécialité médicale très technique, j'ai pu finalement admettre que la mort n'est qu'un passage obligé vers une destination inconnue. Malheureusement, la vérité sur l'après-vie n'est pas une évidence pour tout le monde. Je dis malheureusement, car cette attitude est un puissant réconfort pour affronter les moments difficiles de la vie[5] ». » Les expériences de mort imminente (EMI) et la possibilité pour l'esprit d'exister indépendamment de la matière et d'influer sur elle, constituent des thèmes récurrents de ses ouvrages et conférences[6],[Note 1]. Cette conviction de l'existence de l'esprit en dehors de la matière le conduit à défendre dans ses ouvrages l'idée d'une possibilité de contact avec les morts, jugeant que la précision et la justesse des détails données ou des phénomènes au cours de séances médiumniques, comme la xénoglossie ou l'écriture inversée, lui paraissent exclure la possibilité de supercherie[7]. Jean-Jacques Charbonier déclare reconnaître néanmoins qu'il y a des imposteurs, comme dans d'autres disciplines, mais que cela ne doit pas jeter le discrédit sur toute une profession[8].

Dans ses travaux, Jean-Jacques Charbonier mentionne une fréquence de 18 % de cas d'EMI lors d'arrêt cardiaque. Plusieurs études ont traité de la fréquence des expériences de mort imminente. Ces études ont fait l'objet d'une méta-analyse en 2008 au sein de l'Université de Liège[9]. Selon cette méta-analyse, réalisée par Marie Thonnard et al., la fréquence des EMI varie de 2 % à 12 %. L'étude de Pim van Lommel en 2001[10] rapporte que sur 344 patients interrogés, 62 (18 %) avaient certains souvenirs de la période d'inconscience et 41 d'entre eux (12 %) ont expérimenté une EMI de base. Parnia en 2001 en rapporte 6 %[11] et Greyson en 2003 en rapporte 2 %[12]. Par ailleurs, en 2011, une nouvelle étude réalisée par Vanessa Charland-Verville en rapporte 5 %[13]. La différence réside dans la méthodologie, van Lommel utilisant le questionnaire WCEI établi en 1980 alors que les trois autres utilisent un questionnaire plus nuancé, celui de Greyson établi en 1983.

Idéation de la conscience hors du cerveau[modifier]

Les livres et les conférences de Jean Jacques Charbonier constituent une synthèse d'observations de témoignages, principalement sur les expériences de mort imminente, qu'il décrit de la manière suivante et dont le cas le plus emblématique est selon lui celui de Pamela Reynolds[14] :

  1. Certaines personnes tombées dans le coma pendant une période plus ou moins longue ont connu un arrêt complet de leurs fonctions cérébrales.
  2. Ces périodes d'arrêt du cerveau ont été mesurées et enregistrées scientifiquement (allusion au cas Reynolds, voir le paragraphe ci-dessous).
  3. Après avoir repris connaissance, ces personnes auraient pu précisément décrire les événements qui se sont déroulés autour d'elles pendant l'arrêt de leurs fonctions cérébrales.[réf. nécessaire]
  4. Dans certains cas, ces personnes ont affirmé être sorties de leur corps et ont pu raconter, dans le détail, des événements qui se déroulaient en dehors de leur chambre d'hôpital.[réf. nécessaire]
  5. En conclusion, la conscience d'une personne et certaines facultés de perception existeraient indépendamment de l'activité cérébrale. Autrement dit, le cerveau ne génèrerait pas la pensée et celle-ci se situerait en dehors du cerveau tout en étant reliée à lui. Ces constatations tendraient à démontrer selon Jean-Jacques Charbonier, la réalité de l'esprit et son existence possible en dehors du corps physique.

Il est important de noter, comme le souligne le Dr Gerald Woerlee dans le magazine Skeptic[15],[16], que le Cas de Pamela Reynolds ne permet pas d'affirmer que la conscience existe lorsque l'activité du cerveau est nulle. Pour servir son discours, Charbonier prend la liberté de déplacer l'expérience de sortie du corps de Pamela Reynolds durant la phase d'arrêt d'activité cérébrale[17], soit deux heures vingt après le début des perceptions sensorielles avérées. À ce moment, l'opération est dans sa phase préparatoire, l'activité cérébrale est toujours présente.

Dans Les 7 bonnes raisons de croire à l'au-delà, page 57, Charbonier modifie une seconde fois le cas Reynolds en affirmant que le Potentiel évoqué auditif (PEA) mesuré durant l'opération était aussi plat que l'EEG avec pour conséquence l'impossibilité d'entendre le moindre son. Cette affirmation souligne en réalité une non compréhension du rôle de cette technique. Elle permet de vérifier l'intégrité du tronc cérébral durant toute l'opération. Un signal plat indiquerait un problème. L'absence de réponse au niveau du tronc cérébral n'a duré que durant les quelques minutes nécessaires pour enlever l'anévrisme[15],[16]. Quant à l'affirmation de Charbonier que Pamela Reynolds ne pouvait rien entendre, Woerlee démontre en se référant aux détails opératoires que Pamela Reynolds percevait deux sons différents émis dans chacune des oreilles, à droite un cliquetis à 11,3 clics par seconde émis à 95 dB et à gauche un son blanc à 40 dB. Les cliquetis occupaient au plus seulement 12,46 % de son audition et de la capacité de traitement du tronc cérébral. Cette durée lui laissait suffisamment de temps et de capacité neuronale pour percevoir d'autre sons. Concernant le son blanc émis à gauche, il n'empêche pas l'audition des sons supérieur à 40 dB, ce qui est le cas des phénomènes auditifs qu'elle a perçu, le niveau sonore d'une conversation étant compris entre 60 et 70 dB, le niveau sonore de l'écoute de musique est compris entre 70 et 85 dB. Par conséquent, ni les cliquetis ni le son blanc avec les paramètres décrits n'inhibent la perception sonore par conduction aérienne ou osseuse (Reynolds décrit la perception sonore par conduction osseuse de la perceuse pneumatique qui a servi à préparer les quatre ouvertures nécessaires à la découpe de la boîte crânienne).

Nature des expériences de mort imminente selon Jean-Jacques Charbonier[modifier]

Les ouvrages de Jean-Jacques Charbonier sont centrés sur l'étude des expériences de mort imminente qu'il préfère appeler « expériences de mort provisoire » (EMP). Pour lui, la mort clinique est définie par l'arrêt du fonctionnement cérébral et cet état peut être vérifié objectivement par l’enregistrement d’une activité électrique neuronale nulle se traduisant par un électroencéphalogramme plat[18]. Selon Charbonier, l'électroencéphalogramme devient plat dans les quinze secondes qui suivent un arrêt cardiaque et étant donné qu’il existe une période incompressible d’au moins deux minutes pour porter les premiers secours, Jean-Jacques Charbonier souligne que toutes les victimes d’arrêt cardiaque ont connu une mort clinique[19]. Il mentionne que dans une étude de Pim van Lommel publiée en 2001, 18% des sujets réanimés d’un arrêt cardiaque racontait avoir vécu une expérience de mort imminente[10]. Pour le docteur Charbonier, celui dont le cœur est arrêté n’est pas proche de la mort mais est réellement mort[20]. Le déni parfois constaté concernant ces expériences s'explique selon lui soit par un manque d'informations, soit par le phénomène de la dissonance cognitive : les témoignages d'EMP rentrent en dissonance au niveau des cognitions en raison de deux phénomènes connexes : la dissociation du corps et de la conscience, de la matière et de l’esprit, la possibilité de survie à la mort biologique[21].

Caractéristiques des expériences de mort imminente selon Jean-Jacques Charbonier[modifier]

Pour Jean-Jacques Charbonier, les récits d'expérience de mort imminente qu'il a étudiés présentent, selon ses termes, ces caractéristiques principales :

  • le sentiment d’être étranger à son corps physique et la frustration produite par l’impossibilité de toucher des objets[22] ;
  • la télépathie ou transmission de pensée d’une personne à une autre sans communication par les voies sensorielles : tout se passe comme si l'« expérienceur » (néologisme désignant une personne qui connaît une expérience de mort imminente), était capable de recueillir et d’émettre avec une surprenante aisance, les pensées[23],[24] ;
  • la rétrocognition : la capacité de se souvenir de toute sa vie dans les moindres détails semble être aussi relativement constante dans les différents récits ; donne lieu à une autocritique où les actions vécues a priori insignifiantes prennent leur véritable valeur[25] ;
  • la précognition : il arrive plus rarement que l’« expérienceur » reçoive dans son expérience des informations concernant le futur[26] ;
  • le tunnel : le passage dans le tunnel est l’étape suivante et l’« expérienceur » est aspiré par une force invisible à vitesse élevée dans un puits de pénombre ; les épisodes de rétrocognition ou précognition peuvent être vécus avant ou après le tunnel[27] ;
  • la lumière : elle resplendit au bout du tunnel et éclaire l’étape suivante où prédominent un sentiment d’amour inconditionnel et d’omniscience ; à ce moment des rencontres se font avec des défunts[28]. Cet amour associé à la lumière n'a rien de commun avec l’amour terrestre qui est un attachement possessif, exclusif, pouvant entraîner des sentiments négatifs comme la jalousie, la colère, la haine. La lumière est aussi associée à l'omniscience[29] ;
  • la limite : elle est matérialisée par un symbole significatif ; les « expérienceurs » ne sont pas autorisés à dépasser cette ultime frontière de non retour[30] ;
  • le retour se fait avec tristesse ; la douleur physique et la souffrance psychique reviennent après à une expérience décrite comme extraordinaire[31] ;
  • l'impact de l'expérience : les quelques millièmes de secondes de ce contact avec la lumière paraissent à de nombreux « expérienceurs » plus importants que le vécu d’une vie entière ; celui qui a connu cette transformation ne sera plus comme avant : il se détache des valeurs matérielles, sera davantage tourné vers les autres, vers la communication, les missions humanitaires et caritatives. Quelquefois l’entourage ne reconnaît plus la personnalité de celui qui est est passé si près d’un décès tant le changement est radical[32]. Le sujet pourra mettre des années voire des décennies avant d’oser en parler[32].

Par ailleurs, Jean Jacques Charbonier a régulièrement pris position en faveur de l'hypothèse d'une communication possible avec les défunts[33].

Critique du matérialisme par Jean-Jacques Charbonier[modifier]

Pour Charbonier, les hypothèses matérialistes sur la conscience sont des théories fumeuses[34] affirmées sans preuves rationnelles et non démontrées[35]. À l'occasion de la sortie en octobre 2015 de son livre La mort expliquée aux enfants, il dira qu' « on ne naît pas matérialiste, on le devient. Notre éducation nous contraint à ce dogme dangereux qui nous pousse à croire que nous ne sommes QUE de la matière. »[36]. En septembre 2013, Jean-Jacques Charbonier réagissait à un article qui montre que bien que l'activité corticale diminue rapidement après un arrêt cardiaque, les structures internes du cerveau présentent une augmentation de la conscience matérialisée par l'augmentation d'oscillation gamma durant les 30 secondes qui suivent l'arrêt cardiaque[37]. Cette publication lui fera dire que « nous assistons à l’effondrement des valeurs matérialistes de notre monde et que ce monde là qui s’écroule sous nos yeux dans des postures pitoyables produit d’ultimes ruades avant d’abandonner une partie qui, on le sait, est perdue d’avance[38]. »

Critiques[modifier]

Les thèses sur la vie après la mort, notamment celles de Jean-Jacques Charbonier, sont cependant fortement critiquées par la communauté scientifique. Du point de vue majoritaire, les prétendus événements observés lors d'une expérience hors du corps n'ont jamais été objectivés scientifiquement, ils ne reposent que sur des témoignages jugés fragiles sur le plan de la preuve.

Point de vue scientifique général sur la thèse de l'EMI[modifier]

Le professeur Stephen Laureys, chercheur au COMA Science Group (Centre de recherche du Cyclotron, Université de Liège, Belgique), relève par exemple que le cerveau durant un coma n'est pas à l'arrêt. L'analyse par PET-scan du cerveau lors d'un coma indique qu'il conserve une activité physiologique résiduelle qui le différencie d'un cerveau mort[39]. Lors de la reprise de connaissance, les patients qui ont fait une EMI ont des souvenirs oniriques dont l'impression forte de réalité est liée à l'état chaotique des réactions physiologiques cérébrales[40]. La communauté scientifique objecte également que la mesure par électro-encéphalogramme ne concerne que l'activité corticale, or, les processus de mémorisation implique des structures cérébrales plus profondes situées dans le système limbique. La mesure par PET scan indique clairement que, lors d'un arrêt cardiaque ou d'un coma, le cerveau conserve une activité métabolique diminuée de moitié par rapport à un cerveau pleinement conscient. Il a par ailleurs été démontré que le cerveau possède des mécanismes de protection lors d'une privation d'oxygène. Cette neuroprotection contre l'ischémie est induite, notamment, par l'hamartine[41]. Un modèle animal a été établi pour analyser l'état de conscience chez les mammifères lors des premières dizaines de secondes de la mort clinique. Les résultats expérimentaux permettent d'observer une augmentation généralisée et transitoire de l’activité cérébrale associée à une forte excitation cérébrale. Au début de la mort clinique, de nombreuses signatures électriques déjà connues de la conscience dépassent les niveaux identifiés dans l’état de veille, ce qui suggère que le cerveau est capable d’une activité électrique organisée au cours de la phase précoce de mort clinique[42]. Enfin, si l'EEG devient isoélectrique dans les 10 à 20 secondes après un arrêt cardiaque, Shailesh Bihari et Venkatakrishna Rajajee ont démontré en 2008 qu'une activité corticale accompagnée d'une pleine conscience peut toutefois être rétablie durant les soins apportés lors de la réanimation si la fréquence et l'amplitude du massage cardiaque externe sont correctement appliqués [43].

Critiques des thèses de Charbonier[modifier]

Pour le Dr Jean-Pierre Jourdan, directeur de la recherche médicale de l'association IANDS-France, la grande majorité des communications sur les EMI sont fantaisistes, il en dénonce l'exploitation commerciale et relève l'escroquerie de la médiumnité et de la transcommunication instrumentale [44]. Se sachant visé par cette critique, Jean-Jacques Charbonier répond sur la blogosphère que « Jean-Pierre Jourdan pense être dans les 1 % de ceux qui détiennent la vérité sur les EMI. Je ne sais pas comment il évalue ce pourcentage, mais il est vrai que je suis en désaccord avec lui sur beaucoup de points[45]. »

Le chercheur en parapsychologie et mathématicien universitaire Yves Lignon, lui reproche de se positionner en « chercheur scientifique » alors que ses ouvrages ne proposent que des compilations de témoignages plus ou moins bien documentés ; d'utiliser l'argument d'autorité en se servant de son statut social de médecin pour faire du prosélytisme en faveur d'une hypothèse transcendante donc non-rationnelle ; de travestir le sujet d'une thèse de doctorat en faisant croire au grand public que son hypothèse d’une conscience intuitive extraneuronale a fait l'objet d'une étude approfondie et la valide alors que l'objet n'est qu'une étude analytique transversale portant sur le questionnaire de Greyson afin de corréler les EMI éventuelles avec des antécédents médico-chirurgicaux et leurs traitements habituels [46],[47].

Bibliographie, filmographie[modifier]

Filmographie[modifier]

  • L'expérience de mort imminente, S17 Productions, 2006
  • NDE: un envol vers la lumière, Debowska Productions, 2006
  • L'après-vie existe, Debowska Productions, 2006
  • Les morts nous parlent[Note 2], Debowska Productions, 2006
  • Le mystère de l'anesthésie, Debowska Productions, 2007
  • NDE et TCI, Debowska Productions, 2007
  • TCI : la Divine connexion, Debowska Productions, 2008
  • Au-delà : des soignants parlent enfin, Debowska Productions, 2008
  • Retour dans l’Au-delà, de Marc-Laurent Turpin, mesure-6 Films, 2008
  • NDE, le saut dans l’inconnu, de Marc-Laurent Turpin, mesure-6 Films, 2009
  • Télékinésie et psychokinésie, Debowska Productions, 2009
  • Voyages et récits de l’Au-delà, l’expérience de mort provisoire, Debowska production, 2009
  • Médecine et médiumnité, Débowska productions, 2009
  • Médecine et spiritisme, Débowska productions, 2009
  • Le secret du bonheur, Débowska production, 2011
  • Médiums d'un monde à l'autre, PCT cinéma télévision, 2012

Bibliographie[modifier]

  • Coma dépassé, CLC Plein Soleil, La Motte d'Aigues, 2001
  • Derrière la lumière, CLC Plein Soleil, La Motte d'Aigues, 2002
  • Eternelle jeunesse, CLC Plein Soleil, La Motte d'Aigues, 2004
  • L'après-vie existe, CLC Plein Soleil, La Motte d'Aigues, 2006
  • La mort décodée, éditions Exergues, 2007
  • Les preuves scientifiques d'une vie après-vie, éditions Exergues, 2008
  • Histoires incroyables d'un anesthésiste réanimateur, Le Cherche Midi, Paris, 2010.
  • La médecine face à l'au-delà, éditions Guy Trédaniel, 2010
  • Les 7 bonnes raisons de croire à l'au-delà, éditions Guy Trédaniel, 2012.
  • 7 buenas razones para creer en el mas alla, éditions Guy Trédaniel, 2012.
  • Les 3 clés pour vaincre les pires épreuves de la vie, éditions Guy Trédaniel, 2013.
  • "4 Regards sur la mort et ses tabous", éditions Guy Trédaniel, 2015
  • "La mort expliquée aux enfants mais aussi aux adultes", éditions Guy Trédaniel. 2015
  • "La Conscience Intuitive Extraneuronale", éditions Guy Trédaniel, 2017
  • "Cette chose...", éditions First. 2017

Diverses collaborations[modifier]

  • Dieu, Einstein…et nous, Blum J. éd. Alphée, 2006
  • Données médicales sur les N.D.E (near death experience) et apport à la description des derniers instants de vie, Thèse de doctorat en médecine, Quevarec Erwan, Hôpital Bichat Paris, 2007[48]
  • Actes du colloque international de Martigues sur les expériences de mort imminente, éd. S17Productions, 2007
  • Tout commence après éd, CLC Morzelle J., 2007.
  • Signes de Survivance, en collaboration avec C. Barbé, éditions Kymzo, 2009.
  • La mort n'est pas une terre étrangère, en collaboration avec S. Allix, éditions Albin Michel, 2009.
  • Nos animaux familiers ont-ils une âme ?, en collaboration avec Dutillet J., éditions Exergue, 2010.
  • La science et les phénomènes de l’au-delà, en collaboration avec Jean Pierre Girard, éditions Alphée, 2010.
  • NDE magazine, rédactions d'articles à chaque parution trimestrielle depuis sa création en février 2011.
  • La revue de l'au-delà, rédactions d'articles à chaque parution mensuelle depuis 2008.
  • Parasciences, rédactions d'articles à chaque parution trimestrielle depuis 2010.
  • La science et les phénomènes de l'au-delà, en collaboration avec J.P. Girard, E. Randsford, M. Beauregard, R. Petit, J. Morisson, éditions Véga, 2013.
  • Quand la mort arrive. Une enquête à la frontière de la vie, en collaboration avec C. Anselme, éditions de la Martinière, 2013.
  • Facteurs associés aux expériences de mort imminente dans les arrêts cardio respiratoires réanimés, Lallier François. Thèse de doctorat en médecine, CHU Reims, 2014.
  • Colloque international : La conscience et l'invisible, à la Mutualité, Paris, le 4 février 2017.

Prix littéraires[modifier]

  • Prix de l'académie francophone 2002 décerné en son Xème concours international pour le roman "Coma dépassé"[réf. nécessaire]
  • Prix du Dr Soubiran 2012 décerné par l'académie du Languedoc pour "La médecine face à l'au-delà"[réf. nécessaire]

Annexes[modifier]

Articles connexes[modifier]

Liens externes[modifier]

Notes et références[modifier]

Notes[modifier]

  1. Ceci amène le docteur Charbonnier à faire connaître en France des expériences comme celles du Global Consciousness Project menées à l'Université de Princeton.
  2. À ne pas confondre avec l'ouvrage portant le même titre et rédigé par le Père François Brune.

Références[modifier]

  1. La Revue de l'Au-delà, 110, février 2007.
  2. « Les Miraculés de Lourdes », sur fr.lourdes-france.org.
  3. 3,0 et 3,1 Conférence sur les 7 bonnes raisons de croire en l'au-delà, Association du Chemin, Youtube, 18 avril 2012, cf. 0:41.13 à 0:45.10.
  4. Jean-Jacques Charbonier, Les 7 bonnes raisons de croire en l'au-delà, p. 234.
  5. Jean-Jacques Charbonier, L'après-vie existe, introduction, page 8.
  6. Jean-Jacques Charbonier, Les Preuves scientifiques d'une Vie après la vie, éd. Exergue, 2011, p. 148.
  7. Jean-Jacques Charbonier, Les Preuves scientifiques d'une Vie après la vie, éd. Exergue, 2011, p. 165.
  8. Jean-Jacques Charbonier, Les 7 bonnes raisons de croire à l'au-delà, éd. Guy Trédaniel, p. 47, p. 125 et p. 126.
  9. M. Thonnard, C. Schnakers, M. Boly, M.A. Bruno, P. Boveroux, S. Laureys, A. Vanhaudenhuyse, « Expériences de mort imminente : phénomènes paranormaux ou neurologiques ? » Rev Med Liege 2008; 63(5-6):438-444
  10. 10,0 et 10,1 (en) P. van Lommel, R. Van Wees, V. Meyers, I. Elferih, [apollos.ws/near-death-experience/Near-death%20Experience%20in%20Survivors%20of%20Cardiac%20Arrest.pdf « Near-death experience in survivors of cardiac arrest: a prospective study in the Netherlands »] Lancet 2001;358(9298):2039-49. PMID 11755611.
  11. (en) Parnia S, Waller DG, Yeates R, Fenwick P. « A qualitative and quantitative study of the incidence, features and aetiology of near death experiences in cardiac arrest survivors » Resuscitation 2001;48:149-156. PMID 11426476
  12. (en) Greyson B. « Incidence and correlates of near-death experiences in a cardiac care unit » Gen Hosp Psychiatry 2003;25(4):269-276. PMID 12850659
  13. Vanessa Charland-Verville, « Experience subjective », sur www.coma.ulg.ac.be, Non publié, p. 30
  14. Jean-Jacques Charbonier, Les 7 bonnes raisons de croire à l'au-delà, éd. Guy Trédaniel, p. 49-50.
  15. 15,0 et 15,1 (en) Woerlee GM (2005) « An anaesthesiologist examines the Pam Reynolds story; Part 1: Background considerations » The Skeptic vol 18, no 1.
  16. 16,0 et 16,1 (en) Woerlee GM (2005) « An Anaesthesiologist Examines the Pam Reynolds Story; Part 2: The Experience » The Skeptic vol 18, no 2.
  17. Jean-Jacques Charbonier, Les 7 bonnes raisons de croire à l'au-delà, éd. Guy Trédaniel, p. 51-52.
  18. Jean-Jacques Charbonier, Les 7 bonnes raisons de croire à l'au-delà, éd. Guy Trédaniel, p. 44.
  19. Jean-Jacques Charbonier, Les 7 bonnes raisons de croire à l'au-delà, éd. Guy Trédaniel, p. 45.
  20. Jean-Jacques Charbonier, Les 7 bonnes raisons de croire à l'au-delà, éd. Guy Trédaniel, p. 46.
  21. Jean-Jacques Charbonier, Les Preuves scientifiques d'une Vie après la vie, éd. Exergue, 2011, p. 15.
  22. Jean-Jacques Charbonier, Les Preuves scientifiques d'une Vie après la vie, éd. Exergue, 2011, p. 81-82.
  23. Jean-Jacques Charbonier, Les Preuves scientifiques d'une Vie après la vie,  éd., 2011, p. 84-85
  24. J.-J. Charbonier, Les sept bonnes raisons de croire à l'au-delà, J'ai lu (édition), 2012 .
  25. Jean-Jacques Charbonier, Les Preuves scientifiques d'une Vie après la vie, éd. Exergue, 2011, p. 85.
  26. Jean-Jacques Charbonier, Les Preuves scientifiques d'une Vie après la vie, éd. Exergue, 2011, p. 86.
  27. Jean-Jacques Charbonier, Les Preuves scientifiques d'une Vie après la vie, éd. Exergue, 2011, p. 87.
  28. Jean-Jacques Charbonier, Les Preuves scientifiques d'une Vie après la vie, éd. Exergue, 2011, p. 89.
  29. Jean-Jacques Charbonier, Les Preuves scientifiques d'une Vie après la vie, éd. Exergue, 2011, p. 90.
  30. Jean-Jacques Charbonier, Les Preuves scientifiques d'une Vie après la vie, éd. Exergue, 2011, p. 91.
  31. Jean-Jacques Charbonier, Les Preuves scientifiques d'une Vie après la vie, éd. Exergue, 2011, p. 92.
  32. 32,0 et 32,1 Jean-Jacques Charbonier, Les Preuves scientifiques d'une Vie après la vie, éd. Exergue, 2011, p. 93.
  33. Jean Jacques Charbonier, Les preuves scientifiques d'une vie après la vie, Édition Exergue, Paris, 2008, chapitre « Communiquer avec les morts ».
  34. Jean-Jacques Charbonier, Histoires incroyables d'un anesthésiste-réanimateur, chapitre "un monde entre deux mondes".
  35. Jean-Jacques Charbonier, Les 7 bonnes raisons de croire en l'au-delà, p. 70, p. 200.
  36. Jean Jacques Charbonier, « Message sur Facebook à l'occasion de la sortie du livre La mort expliquée aux enfants », sur Facebook, (consulté le 13 novembre 2016).
  37. Jimo Borjigin, UnCheol Leed, Tiecheng Liu, Dinesh Pal, Sean Huff, Daniel Klarr, Jennifer Sloboda, Jason Hernandez, Michael M. Wang, and George A. Mashour, Surge of neurophysiological coherence and connectivity in the dying brain, PNAS, vol. 110 no. 35, pp. 14432–14437.
  38. https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=10151658624901429&id=104006841428&substory_index=0.
  39. (en) Steven Laureys, « Science and society: death, unconsciousness and the brain » Nature Reviews Neuroscience 2005;6:899-909. PMID 16261182 DOI:10.1038/nrn1789
  40. (en) Thonnard Marie, Charland-Verville Vanessa, Brédart Serge, Dehon Hedwige, Ledoux Didier, Laureys Steven, Vanhaudenhuyse Audrey, « Characteristics of Near-Death Experiences Memories as Compared to Real and Imagined Events Memories » PLoS ONE 2013;8(3):e57620. PMID 23544039 DOI:10.1371/journal.pone.0057620
  41. Michalis Papadakis, Gina Hadley, Maria Xilouri, Lisa C Hoyte, Simon Nagel, M Mary McMenamin, Grigorios Tsaknakis, Suzanne M Watt, Cynthia Wright Drakesmith, Ruoli Chen, Matthew J A Wood, Zonghang Zhao, Benedikt Kessler, Kostas Vekrellis and Alastair M Buchan, Tsc1 (hamartin) confers neuroprotection against ischemia by inducing autophagy, Nature Medicine 19, 351–357 (2013).
  42. (en) Jimo Borjigin, UnCheol Lee, Tiecheng Liu, Dinesh Pal, Sean Huff, Daniel Klarr, Jennifer Sloboda, Jason Hernandez, Michael M. Wang et George A. Mashour, « Surge of neurophysiological coherence and connectivity in the dying brain », Proc Natl Acad Sci U S A.,‎ (PMID 23940340, résumé).
  43. Shailesh Bihari, Venkatakrishna Rajajee, Prolonged Retention of Awareness During Cardiopulmonary Resuscitation for Asystolic Cardiac Arrest, Neurocritical Care, December 2008, Volume 9, Issue 3, p. 382-386.
  44. Anne Jeanblanc, « EMI : ne pas exploiter l'improuvable », Le Point,‎ (lire en ligne, consulté le 7 décembre 2013).
  45. Jean-Jacques Charbonier, « Il faut parler et donner de l'amour aux comateux. », sur www.facebook.com, 2013 (06:34) (consulté le 7 décembre 2013) : « JJ Charbonier « Je pense deviner de quel médecin vous voulez parler. Il pense être dans les 1 % de ceux qui détiennent la vérité sur les EMI. Je ne sais pas comment il évalue ce pourcentage, mais il est vrai que je suis en désaccord avec lui sur beaucoup de points » … « le médecin en question est un médecin généraliste qui n'a aucune expérience des comateux ; cependant il est dans les 1 % de ceux qui savent. No comment… » … « ce médecin généraliste (…) clame haut et fort que la télépathie n'existe pas, que la médiumnité est une fumisterie, que la TCI est un attrape gogo, qu'on ne pouvait pas communiquer avec les comateux, que j'étais un charlatan qui racontais des c... sur les NDE et que 99 % des personnes qui parlent de NDE disent des c… ! » Jacques Lupin : « Bon, arrêtons de jouer au chat et à la souris. Si je ne me trompe pas, on parle du président de Iands-France. » JJ Charbonier « J'accepte moi aussi la diversité car elle est le moteur de discussions argumentées. Mais les insultes publiques ne grandissent pas leurs auteurs ; je ne pense pas être un charlatan qui raconte des c… sur les NDE. Je ne pense pas que tous les médiums sont des escrocs, que la télépathie n'existe pas, qu'il est inutile de parler aux comateux qui sont comme des légumes. Je ne pense pas non plus faire partie des 1 % des personnes qui détiennent la vérité. Ce manque d'humilité me sidère ! Comment peut on cautionner de pareilles attitudes ? J'ai d'excellentes relations avec IANDS Québec et il ne faut surtout pas leur parler de “ce médecin de campagne directeur de recherche auto proclamé qui par son manque d'ouverture d'esprit fait plus de mal que de bien aux NDE” Ce n'est pas moi qui le dit… » »
  46. http://leslecturesdeflorinette.over-blog.com/2017/03/la-conscience-intuitive-extraneuronale-dr-jean-jacques-charbonier.html
  47. François Lallier, Facteurs associés aux expériences de mort imminente dans les arrêts cardiorespiratoires réanimés, Thèse de doctorat de l'université de Reims, http://www.sudoc.fr/183004965
  48. Erwan Quevarec, « Données médicales sur les N.D.E (near death experience) et apport à la description des derniers instants de vie », sur sudoc.abes.fr, (consulté le 24 janvier 2013) : « Les expériences de mort imminente (NDE en anglais pour Near Death Experience) ne sont pas connues de la plupart des médecins malgré leur véracité et leur ancienneté. Le premier relevé dans la presse médicale date de 1866. Depuis des études de cas ont eu lieu et un certain nombre de faits qui mériteraient d'être connus dans le cadre de la prise en charge globale de nos patients qui vont tous mourir à coup sûr un jour ou l'autre. L'étude des NDE est, depuis 30 ans, une approche médicale scientifique des derniers instants de la vie et elles ont été, depuis 1980, le sujet de 9 thèses médicales françaises et de nombreux articles parus dans des journaux à comité de rédaction médical. En juin 2006, la revue de littérature montre qu'une NDE est une entité nosographique particulière, pas forcement pathologique, et ne survenant pas forcément lors de situations de détresse vitale immédiate. Elle touche une population psychiatriquement représentative, ayant un intérêt pour les phénomènes paranormaux ou religieux (sans connaître l'existence des NDE), ayant plus fréquemment ressenti des impressions de déjà-vu ou d'état modifié de la conscience (sans présumer de l'origine) et ayant un taux relatif de sommeil paradoxal élevé pour un temps moyen de sommeil bas et une plus grande capacité d'absorption hypnotique. L'expérience a une composante dissociative et est influencée par l'état d'esprit antérieur ainsi que par l'appartenance culturelle et les croyances religieuses du témoin. Le rescapé en sortira transformé s'il ne refoule pas son expérience. Son espérance de vie est statistiquement plus courte qu'un non "Connaisseur" ayant subi le même traumatisme. Dans notre société moderne étudier la mort est encore tabou, mais les choses sont en évolution et la connaissance des NDE et donc du déroulement des derniers instants de la vie permet d'aider de nombreux malades. De plus ces connaissances peuvent aider à l'accomplissement adéquat individuel du travail de deuil qui est, en 2007 encore, la cause de nombreux troubles psychiques »

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