You can edit almost every page by Creating an account. Otherwise, see the FAQ.

Foldingot

De EverybodyWiki Bios & Wiki
Aller à :navigation, rechercher


Les Foldingots sont des créatures fantastiques humanoïdes de la taille d'enfants, appartenant à l'univers de la saga Oksa Pollock[1]. Ils évoluent toujours en couple, un Foldingot et une Foldingote.

Ils apparaissent pour la première fois dans le tome 1 d'Oksa Pollock, L'Inespérée, co-écrit par Anne Plichota et Cendrine Wolf et publié aux éditions XO en 2010[2]. Ils sont présent dans chacun des six volumes de la saga littéraire[3],[4].

Caractéristiques physiques[modifier]

Le Foldingot mâle est d'un type plutôt petit et rondouillard, avec de grandes oreilles allongées à la manière d'un elfe ; son crâne est chauve, et il possède également de grands yeux, à l'instar de sa compagne. La Foldingote femelle est quant à elle grande et longiligne, et porte une petite houppette de cheveux jaune sur le sommet de la tête.

Les membres du couple affecté au service de Dragomira, la grand-mère d'Oksa, portent tous les deux des salopettes bleues.

Fonction[modifier]

Ces créatures sont relativement rares, car exclusivement affectées au service de la famille royale d'Edéfia (famille de la Gracieuse), le monde caché dont est originaire une partie de la famille d'Oksa Pollock.

Dans le livre, les Foldingots présents suivent donc la Gracieuse Dragomira, chassée d'Edéfia après le Grand Chaos. Officiellement, Dragomira n'est pas Gracieuse, c'est-à-dire reine du monde d'Edéfia ; cette responsabilité étant entre les mains de sa mère, Malorane. Cependant, après la fuite des Sauve-qui-peut dans le monde de Du-Dehors, le pouvoir de Malorane a en quelque sorte été transmis à sa fille, même si elle ne peut pas régner car se trouvant hors d'Edéfia.

Un autre couple de Foldingots se trouve chez Léomido, le frère de Dragomira.

Les livres mentionnent également une autre créature, l'Abominari, qui représente l'équivalent pour le peuple des Mainfermes de ce que les Foldingots sont pour la famille Gracieuse. Cependant, les Abominaris sont plutôt présentés comme des créatures agressives et virulentes, au corps squelettique et à la peau grisâtre :

"Là, une créature haute d'environ quatre-vingts centimètres se tenait face à la lucarne et griffait rageusement le verre. Elle se retourna en grognant. Dotée de petites jambes et de longs bras, le corps et la tête squelettiques recouverts d'une peau grisâtre exhalant une odeur passablement écœurante, la créature toisa d'un air mauvais tous ceux qui se trouvaient dans son périmètre." (Tome 1, chapitre 3)

Particularités[modifier]

Caractère[modifier]

Les Foldingots sont des créatures extrêmement douces, prévenantes et serviables, qui font preuve d'une fidélité et d'une admiration sans faille envers la famille à laquelle ils sont rattachés[5].

Liens possibles avec d'autres univers[modifier]

Néanmoins, leur cas n'est pas à confondre avec celui, très dégradant, des elfes de maison présents dans la saga Harry Potter. En effet, il n'est aucunement question ici de soumission servile, de violences domestiques et d'un statut social clairement inférieur aux êtres humains ; alors que les elfes de maisons sont traités comme des esclaves, et doivent donc être affranchis par leurs maîtres avec l'obtention de vêtements, les Foldingots sont naturellement affectées au service de la famille Gracieuse, et s'acquittent de leur tâche avec entrain. De plus, leurs conditions de vie, à l'instar d'une grande partie des créatures présentes dans l'univers d'Oksa Pollock, sont parfaitement calquées sur le respect qu'on leur doit.

Expression orale et inventivité[modifier]

Ce qui démarque particulièrement les Foldingots, et participe d'ailleurs à leur aspect comique ainsi qu'à l'attachement que le lecteur peut avoir pour eux au fil des livres, c'est leur imagination débordante ainsi que leur manière de s'exprimer particulièrement châtiée, qu'ils tirent souvent des ouvrages qu'ils lisent. Leur vocabulaire est très étendu, mais leurs phrases sont construites de manière alambiquée, ce qui donne lieu à des scènes très drôles. En termes de cuisine, ils peuvent également se montrer très inventifs, comme dans le premier tome lorsque la Foldingote de Dragomira propose des croque-monsieur cuits au fer à repasser.

Exemples de phrases dans les livres[modifier]

"L'Abominari a pratiqué la morsure sur la plante dénommée Goranov. [...] Nous avons sollicité une tentative d'empêchement, mais nos membres ont subi des rayures cuisantes." (Tome 1, chapitre 3 : Les retrouvailles)[6]

"La peur doit s'exclure de votre esprit, petite-fille de ma Gracieuse. [...] La domesticité de ma Gracieuse ne faisait pas la préméditation de provoquer l'effroi." (Tome 1, chapitre 21 : Le prix à payer)

"Le repas est arrivé à une préparation aboutie ! L'invitation à rejoindre la table est d'une promptitude immédiate, si votre volonté est active." (Tome 1, chapitre 36 : Le rebelle déchaîné)

"La Vieille Gracieuse ne doit pas faire l'oubli que les Foldingots ne pratiquent la communication de ce qu'ils savent que lorsque le questionnement est exprimé. [...] Une absence d'interrogation fait l'entraînement d'une absence de transmission." (Tome 2, chapitre 33 : La soustraction de la moitié)[7]

"Les Sauve-Qui-Peut ont fait la rencontre de grandes pertes, [...]. Les cœurs subissent la profonde souffrance. Cependant, le vôtre a la nécessité et le devoir de demeurer vaillant : la femme du fils de la Vieille Gracieuse et mère de la Jeune Gracieuse dispose d'une santé vacillante, mais son traitement est assuré avec bienveillance [...]." (Tome 2, chapitre 50 : Les absents)

"Les frontières d'Edéfia sont d'une grande opacité. [...] Votre domesticité échoue, son accès cérébral à Du-Dehors connaît l'inaptitude." (Tome 3, chapitre 51 : Une visite réconfortante)[8]

Descendance[modifier]

Il arrive quelquefois, même si l’événement est assez rare, qu'une naissance survienne. En effet, une Foldingote ne peut enfanter qu'une seule fois dans sa vie, ce qui donne par ailleurs des vertus apaisantes incroyablement puissantes au placenta ayant contenu des jumeaux. On appelle alors ce placenta magique la Nascentia, et sa fonction est de chasser les idées noires. Elle sera notamment utilisée à plusieurs reprises pour Oksa, ainsi que pour son ami Gus.

Le seul bébé Foldingot présent dans les livres est celui du couple de Léomido.

Notes et références[modifier]

  1. « Les livres », sur Anne Plichota et Cendrine Wolf (consulté le 6 février 2019)
  2. « Oksa Pollock », sur www.xoeditions.com (consulté le 6 février 2019)
  3. « Oksa Pollock, les 7 livres de la série », sur booknode.com (consulté le 6 février 2019)
  4. « Oksa Pollock, Tome 6 : La Dernière Étoile - Livre de Anne Plichota,Cendrine Wolf », sur booknode.com (consulté le 6 février 2019)
  5. Tabata, « Foldingot, Foldingote, Gétorix, Goranove et Devinaille... », sur Le blog de blogapartbd.over-blog.com (consulté le 6 février 2019)
  6. « Oksa Pollock, Tome 1 : L'Inespérée - Livre de Anne Plichota,Cendrine Wolf », sur booknode.com (consulté le 6 février 2019)
  7. « Oksa Pollock, Tome 2 : La forêt des égarés - Livre de Anne Plichota,Cendrine Wolf », sur booknode.com (consulté le 6 février 2019)
  8. « Oksa Pollock, Tome 3 : Le coeur des Deux Mondes - Livre de Anne Plichota,Cendrine Wolf », sur booknode.com (consulté le 6 février 2019)

Erreur Lua dans Module:Catégorisation_badges à la ligne 170 : attempt to index field 'wikibase' (a nil value).Erreur Lua dans Module:Suivi_des_biographies à la ligne 189 : attempt to index field 'wikibase' (a nil value).


Cet Article wiki "Foldingot" est issu de Wikipedia. La liste de ses auteurs peut être visible dans ses historiques et/ou la page Edithistory:Foldingot.