Famille Bostmembrun

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Famille Bostmembrun
Blasonnement D'argent, argent, au chêne de sinople, englanté d'or.
Devise (la) « Ore Virgo, Corde Leo »
Branches Famille du Bos (VIIe siècle)
Famille du Boismontbrun (XVe siècle)
Famille de Bostmembrun de Boismontbrun (XIXe siècle)
Période VIe – XXIe siècle Famille subsistante
Pays ou province d’origine Auvergne
Gênes
Allégeance Royaume des Francs
Royaume de France
Royaume de Castille
Empire de France[Lequel ?]
Fiefs tenus Duché de Gêne
Comte d'Auvergne
Vicomte de Marseille
Baron de Montbrun
Baron d'Empire
Fonctions militaires Caporal
Capitaine
Garde du Roi
Mousquetaire
Officiers généraux
Fonctions ecclésiastiques Évêque
Archevêque
Agent général du clergé de France
Récompenses civiles Ordre de Saint-Jean de Jérusalem
Ordre du roi
Ordre de la Toison d'or
Ordre de Malte
Légion d'honneur
Récompenses militaires Croix de la Grande Guerre
Croix au camp de Boulogne
Preuves de noblesse
Admis aux honneurs de la Cour Louis XIV, Charte de 1686

La famille Bostmembrun[1] est une famille française originaire d'Auvergne[1]. Elle a formé plusieurs branches très médiatisées[pas clair], dont certaines subsistent actuellement[réf. nécessaire]. Elle a donné d'illustres personnages[non neutre] en particulier à la France et à l'Espagne ainsi qu'à l'Italie.

Anthroponymie[modifier]

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La maison du Bos tire son nom du latin vulgaire et du vieux français Bos[2], (« lieu planté d'arbres »). Le nom de la Famille s'est écrit, du Bois (forme ça 1100), du Bos (forme ca 1160), du Bosc (forme ca 1180), du Bost (forme ca 1660), et di Bosco ou del Bosco en Italie et en Espagne. Le nom sera traduit selon la langue et la zone géographique où la famille s'installera.
  • Germanie Franque issu d'un a. b. frq. : bŏsk
  • Saxe : busc en 937, busch, busk aux XIIe et XIIIe siècles.
  • Pays-Bas (néerlandais, Francique) : busch, bosch
  • Angleterre (anglais, langes celtiques) : busch, busk
  • Neustrie, Bourgogne et Austrasie (Latin médiévale) : boscus en 704.
  • Catalogne et Italie du Nord (langue gallo-romaine) : bosque en 878 et 895.
  • Suisse romande : bŭsk, bŏscu, bŏsci, bŏscus.
  • Bavière : büis
  • Gaule (etym.) : boskos[2]

Il est ainsi difficile de retrouver et de regrouper toutes les branches de la famille.

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Origines[modifier]

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La maison de Bos prétend remonter au VIIe siècle, sous la fin du règne de Pépin III « le Bref » maire du palais de Neustrie et d'Austrasie puis roi des Francs, et le début du règne de Charlemagne, sacré empereur d'Occident. Elle est originaire d'Auvergne, en pleine période de troubles.

En Effet, après la chute de l'Empire Romain d'Occident, Gênes est occupée par les Ostrogoths jusqu'à la reconquête de l'Italie par Justinien en 553 et l'Auvergne est occupée par les Wisigoths. L'Auvergne est dans une lutte continuelle pour se rendre indépendants. Ainsi les peuples finirent peu à peu par réussir et déjà Charles II le Chauve, roi des Aquitains.

Quand les Lombards envahissent l'Italie en 568, l'évêque de Milan se réfugie à Gênes mais les Lombards du roi Rothari prennent Gênes et la Ligurie vers 643.

En 774, le royaume lombard est annexé par l'Empire carolingien. C'est ainsi que le premier comte carolingien de Gênes, puis Duc est Aymar[3]du Bos, qui reçoit le titre de praefectus civitatis Genuensis, il doit alors partir d'Auvergne pour s'installer à Gênes. À ces troubles politiques, se rajoutent pendant ces siècles de grandes calamités.

Grégoire de Tours évoque au VIIIe siècle de nombreuses épidémies. Aymar doit retourner en Auvergne, qui est victime des incursions musulmanes. Les Sarrasins ravagent plusieurs régions à plusieurs reprises, pillant et détruisant les villes. À cette époque, les remparts romains détruits par les Lombards sont reconstruits.

C'est dans ce brouillard que le comte Aymar ou Adhemar du Bos, vassaux Carolingiens, seigneur du Bos et Duc de Gênes[3], ami de Guy 1er, vicomte d'Auvergne, font ensemble alliance de leurs territoires en Auvergne. II est assez difficile de définir quelles étaient à cette époque les divisions territoriales de l'Auvergne. Indépendamment du comté d'Auvergne, qui semble dans les textes du temps désigner tantôt l'ensemble du pays d'Auvergne, tantôt les possessions des comtes d'Auvergne proprement dits, il y avait certainement d'autres comtés.

Aymar du Bos meurt en Corse en combattant les Sarrasins. Il fut cité dans les chartes de 811 et 940[3].

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Histoire[modifier]

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Du VIIe siècle au XIIIe siècle, les Bos n'ont de cesse de consolider et d'élargir leur assise territoriale, par alliances, acquisitions, héritages, Legs, échanges, dans toute l'Auvergne, le Dauphiné et en Forez.

Au Xe siècle des arrangements sont faits avec le vicomte de Marseille, ainsi tour les membres de la famille prenaire le titre de vicomte ou de co-vicomte qui fut après plusieurs invasions laissées intégralement au vicomte du Marseille[3].

Au XIIe siècle, la branche primaire de la famille s'installe à Clermont sous la protection des comtes d'Auvergne.

La famille donna le 38e évêque du Puy. Adhémar légat du Pape et promoteur de la première croisade, lequel entraîna à sa suite, dans l'armée du comte de Toulouse, huit mille hommes presque tous originaires du Velay et de l'Auvergne[3].

En 1095, la famille du Bos répond à l'appel de Clermont du Pape Urbain II, après avoir évoqué les malheurs et souffrances des chrétiens d'Orient, persécutés par les Turcs seldjoukides. Guy du Bos se met en route pour Jérusalem, presque immédiatement, comme de nombreux seigneurs, partent de tout le royaume, dont le comte d'auvergne Guillaume VI, et de nombreux autres seigneurs auvergnats. Ils prendront Jérusalem en 1099.

C'est ainsi qu'avec Guillaume VI, comte d'Auvergne, après avoir participé à la première croisade, que les comtes d'Auvergne vont entrer en conflit avec le roi de France, son voisin septentrional, et ils vont ainsi être les premiers vassaux auvergnats à affronter son suzerain lors des premières interventions du roi de France dans des territoires plus méridionaux.

En 1199, Astorg du Bos fut l'un des Seigneurs garants de la promesse faite par Guillaume VII dit le Jeune ou le Grand , Dauphin d'Auvergne, d'observer les clauses du testament de la comtesse de Monferrand sa mère[1].

Du XIIIe au XVe siècle, il y a la division du pays d'Auvergne ou plutôt des familles qui ont régné sur elles, il y a alors plusieurs terres autonomes. La famille reçoit alors le titre de castellanus, Châtelains, le chef de famille est alors administrateur féodal territorial, chargé de faire prévaloir les prérogatives du monarque (droits banaux) sur la noblesse et gens d'Église. La famille acquit la châtellenie du Bos et dispose d'agents subalternes comme : vice-châtelain, lieutenant (locumtenens), métral chargé d'une métralie, subdivision de la châtellenie et le curial chargé des attributions fiscales et faisant rentrer le produit des amendes et des revenus.

En 1256[1], Hugues et Guéraud du Bos, chevaliers, sont nommés par Bernard VII, Seigneurs de la Tour, et Bertrand son frère, pour aller chercher aux habitants de Saint-Amand, les deniers qu'ils doivent payer au fournier seigneurial.

Jourdain du[1]Bos après avoir donné aux habitants de Tripoli leur autonomie, et le protectorat génois, il assista avec Pierre de Trivières à une donation faite de Marguerite de Lavergne, dame de Chalus-Lambron, à Ebles de chabannes, en 1288[1].

Quand la Terre d'Auvergne, qui devient en 1360 le duché d'Auvergne, par les terres confisquées par le roi, qui comprennent la majeure partie de la Haute-Auvergne et une large part de la Basse-Auvergne. La famille perd son empreint dans la région.

Au XVe siècle, une partie de la famille du Bos se refugie en Picardie, notamment : Honoré du Bos, seigneur de Drancourt ; Antoine du Bos[1] et Louis du Bos, seigneur de Hurts et seigneur de Belloy ; et le Grand Antoine du Bos, seigneur de Flers et de Malassife aussi Trésorier de France, Phillippe du Bos, Capitaine, lieutenant d'infanterie & de chevau-légers de la Garde du Roy ; Étienne du Bos, Trésorier de France. Ils furent inscrits à l'armorial de 1450.

En 1481, Athine de St-Préjet-d'Allier épousa , noble Louis Gauthier damoiseau du Boismontbrun, seigneurs d'Annonay, veuf et père d'un fils nommé Robinet Gauthier, auquel la dame de St-Préjet sa belle-mère légua tous ses biens. La famille acquit le prieuré de Saint-Préjet relevait de l'abbaye de la Chaise-Dieu et plus de 2 000 hectares de terre dont 20 hameaux[3].

Au XVe siècle, la famille prend un autre tournant et entre dans la clandestinité pendant la guerre de Cent Ans.

En 1540, Jacques et Gabriel du Boismontbrun, ce dernier père de Louis du Boismontbrun, s'installent près de St-Romain, et alliances avec les ducs de Bourgogne[3].

Au XVIIe siècle, Guillaume de Bostmembrun pris place à la Cour de Louis XIV. Il fit enregistrer ses armes à l'Amorial general de 1696[1].

La famille crée en 1760 la maison de Coutellerie : Dézulier-Bostmembrun dans la capitale du couteau, Thiers.

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Montbrun[modifier]

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Durant la guerre de Cent Ans, la famille s'allie au roi de France, Charles VII ainsi qu'au roi de Castille, Jean II. Certains rentrent même dans la bande d'écorcheurs de Rodrigue de Villandrando, comte de Ribadeo et de Valladolid, seigneur d'Ussel. Sans emploi, la bande de Villandrando s'établit en Languedoc où elle se livre au pillage. Charles VII envoie son fils le dauphin pour rétablir l'ordre mais Villandrando passe en Espagne appelé par le roi de Castille pour réprimer un soulèvement général. Villandrando resté en Espagne, Salazar ramène ses troupes en France et s'établit dans le Lauragais. Guinot du Bos ou du Bois, seigneurs de Salers, s'allie à Jean de Salazar, fameux capitaine espagnol, mercenaire au service de Charles VII, dit « le Victorieux » ou « le Bien Servi », roi de France.

Guinot[1] prit d'assaut, en 1452, le château de Montbrun, chef-lieu d'une baronnerie importante, situé dans la vallée de Mars, commune de Méallet, élection de Mauriac, et défenduspar sont seigneurs Maurinot de Montclar, qui tenait pour les ennemis du Roi de France. Ce château, imprenable sans artillerie, barrait le passage de l'armée. Une transaction fut passée entre Maurinot de Montclar et Guinot du Bos, qui depuis ce fait d'armes ajouta à son nom celui de -MONTBRUN et adopta celui de Boismontbrun[1].

La famille du Bos s'appellera à partir de ce jour : Famille du Boismontbrun et Guinot du Bos : Baron Guinot du Boismontbrun[1].

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Periode Hugenot[modifier]

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Au XVIe siècle, la famille du Boismontbrun étant tenu en Auvergne, voit une grande émigration de Protestants arrivé dans la région sous Henri de Bourbon. Une grande partie de la famille fidèle à l'esprit du calvinisme, se convertit, et s'instrument dans cette stricte morale, selon les préceptes de la Réforme. Alors la famille donne un Capitaine huguenot du nom de Capitaine de Bos. La famille fait alors alliance avec la famille de Peyre.

À Issoire et à Brioude, les guerres de religion laissent des traces irréparables. La prise en 1575 par le Capitaine Merle avec le Capitaine de Bos, huguenot, elle est ensuite ravagée par les troupes catholiques du duc d'Anjou lors de sa reprise.

La famille se reconvertit rapidement au catholicisme à la fin du siècle et essaye d'oublier cette période.

Le nom Boismontbrun[1] est alors dénaturé à la suite de la longue émigration de protestantisme, à la fin du XVIIe siècle, est devenue Bostmontbrun, puis Bostmembrun (nom actuel de la famille)[1].

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Révolution Française[modifier]

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Au XVIIIe siècle, à la veille de la Révolution, l'Auvergne est une province avant tout conservatrice, profondément imprégnée d'une foi catholique vivante et populaire qui suit un mode de vie traditionnel, la province semble être en stagnation culturelle, agricole et industrielle. Mais petit à petit elle se montre favorable aux idées nouvelles qui s'y manifestèrent sans beaucoup de troubles. La prise de la Bastille, le 14 juillet 1789, déclenche en Auvergne une onde de choc de l'événement parisien. La noblesse de la Haute et de la Basse Auvergne face à la rumeur de grandes bandes de voleurs, est en panique. La famille n'est plus qu'appelée : famille Bostmembrun. (nom de la famille actuellement). La famille se devise alors en deux.[Information douteuse] [?]

Première Division[modifier]

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Déchu, une partie de la famille rejoint la coutellerie à Thiers et s'implante à Saint-Rémy-Sûr-durolle.

La famille multiplie les maisons dont :

  • Dozolme-Bostmembrun, coutellerie, Thiers ;
  • Bost-Rossignol & Fils, coutellerie Thiers ;
  • Dubost-Besson (Etabl.), coutellerie, Saint-Rémy-Sûr-durolle ;
  • Bostmembrun Oncle & neveu, coutellerie, Saint-Rémy-Sûr-durolle ;
  • Bostmembrun-Roussel, coutellerie, Thiers ;
  • Roddier-Bost, coutellerie, Thiers.

La famille de couteliers pris part aux expositions nationale & universelle :

  • Bostmembrun, de Saint-Rémy-Sûr-durolle, couteaux de table et de cuisine.
  • Bostmembrun, de Saint-Rémy-Sûr-durolle, fabrique avec de l'acier fondu de France de bons couteaux de table.
  • Bostmembrun oncle et neveu, à Saint-Rémy-Sûr-durolle, couteaux de table et de cuisine, couteaux fermants.

En 1899, Pierre-Antoine Bostmembrun à Limoges et les époux Dézulier à Thiers sont arrêtés pour fabrication de fausse monnaie. L'affaire cesse brutalement, les plaintes sont abandonnées.

La famille reste dans la coutellerie jusque-là Grande Guerre, et se rétablit à Clermont-Ferrand sur la Terre de leurs ancêtres.

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Deuxième Division[modifier]

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L'autre partie de la famille, s'installe à Paris. Sous le Directoire, la famille Bostmembrun devient une grande famille de militaires. La Première apparition de la famille est celle du capitaine Bost-Montbrun, du 64e régiment de ligne qui après la victoire de Marengo, écrit au consul Bonaparte.

« Consul, quelles bornes veux-tu maintenant mettre à ta gloire ? Vainqueur des premières puissances de l'Europe, que te faut il de plus ? un sceptre ? il deviendrait l'écueil où tôt ou tard tu te briserais. Ta réputation est faite, consolide tes triomphes. Consul, crois-moi, je suis ton ami ; ne confie plus rien aux événements : une seule action grande, sublime et digne de toi, peut mettre le sceau à ta gloire, donner la paix à l'Europe, et te faire des amis dans toutes les parties du monde. Vole au-devant du légitime héritier du trône ; dis-lui : Sire, je viens remettre en vos mains le sceptre des Bourbons, dont un crime atroce avait dépouillé votre famille. Je vous le remets dans toute sa splendeur. La victoire a cicatrisé une partie de ses plaies, et la sagesse de votre règne fera le reste. Venez parcourir les rangs d une armée de braves que j'ai longtemps conduits à la victoire, et qui sont encore prêts à mourir pour le service de votre majesté. Maintenant, Consul, si la véritable gloire a des charmes pour toi, elle va devenir ton patrimoine. Un bonheur pur et sans mélange devient ton partage, et moi j'aurai le doux plaisir de voir le premier homme de son siècle chargé de biens et d'honneurs. »

Bonaparte en recevant cette lettre fut très ému. Par cette lettre le capitaine Bost-Montbrun fait de Bonaparte, l'un des premiers capitaines du monde.

Bost-Montbrun fut un bon Français, est un véritable ami de Bonaparte, qu'il décora même de la croix au camp de Boulogne. Le Capitaine fut tué durant la bataille d'Austerlitz, le 2 décembre 1805.

Le 19 octobre 1866 M. Pierre-Annet-Felix Bostmembrun ; officier d'artillerie en retraite, receveur particulier des finances à Saint-Calais dans la Sarthe, né à Thiers (Puy-de-Dôme), obtient auprès de M. le Garde des sceaux, ministre de la justice, Pierre Jules Baroche d'obtenir l'autorisation d'ajouter à son nom patronymique celui de de Boismontbrun de ses ancêtres, et de s'appeler à l'avenir Bostmembrun de Boismontbrun.

La famille Bostmembrun s'appelle à ce jour : Famille de Bostmembrun de Boismontbrun.

La famille voit alors passer de vaillants soldats :

  • Henri-Charles-Marie-Genès de Bostmembrun de Boismontbrun, officier durant la Grande Guerre.
  • Pierre-Marie-Alfred-Adrien de Bostmembrun de Boismontbrun, caporal au 18e territorial d'infanterie. Tué, le 13 mai 1916, dans les tranchées de Tilloloy (Somme).

Citation : mortellement blessé, le 15 mai 1916, enaccomplissant courageusement son devoir.

  • Pierre-Annet-Félix de Bostmembrun de Boismontbrun, Lieutenant d'artillerie durant les campagnes d'Italie, Receveur particulier des finances à Saint-Calais[1].

La Famille fit partie des Salons de Napoleon III et de Louis-Philippe.

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Travaux[modifier]

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Atlas du capitaliste[modifier]

Atlas du capitaliste[4], années 1797-1865 (1866-1867 et 1868), par Pierre-Annet-Félix de Bostmembrun de Boismontbrun.[Information douteuse] [?]

Four de verrerie[modifier]

Brevet sur la fusion du verre : le 23 aout 1876, Four de colonne centrale pour la verrerie et les autres industries qui se servent de creusets ouverts ou fermés. (Céramique), par Pierre-Annet-Félix de Bostmembrun de Boismontbrun.[Information douteuse] [?]

Fonctions ecclésiastiques[modifier]

Principalement la Branche Adhémar de Monteil[3] :

Evêque du Puy-en-Velay

  • Adhémar de Monteil du Bos (de Monteil),

Evêques de Saint-Paul-Trois-Châteaux

  • Aimar ou Adhémar du Bos (de Monteil), 1112-1119
  • Hugues Adhémar du Bos (de Montier de Rochemaure), 1328-1348
  • Guillaume Ademar du Boismontbrun (de Monteil de Grignan), troisième fils de Giraud XII, dix-huitième baron de Grignan, nommé en 1483 recteur du Comtat Venaissin par le pape Sixte IV, mort vers 1516.

Evêque de Metz

  • Aymar Adhémar de Monteil de La Garde du Bos (de La Garde), 1327-1361[3]

Evêque d'Orange

  • Guyot Adhémar du Boismontbrun, 1466-1468[3]

Archevêques d'Arles

  • François Adhémar de Monteil de Grignan du Boismontbrun (de Monteil de Grignan), 1644-1689[3]
  • Jean-Baptiste Adhémar de Monteil de Grignan du Boismontbrun (de Monteil de Grignan), neveu du précédent, 1689-1697[3]

Agent général du Clergé de France

  • Jacques Adhémar de Monteil du Boismontbrun (de Monteil de Grignan) (Arles), 1641-1645[3]

Chanoines-comtes de Brioude

  • En 1350 et en 1470.

Prêtre Catholique et Théologiens

  • Jean-Baptiste Dubos (1670-1742)
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Notes et références[modifier]

  1. 1,00 1,01 1,02 1,03 1,04 1,05 1,06 1,07 1,08 1,09 1,10 1,11 1,12 et 1,13 Ludovic Drigon de Magny, Armorial de la France (OCLC 1039007883, lire en ligne)
  2. 2,0 et 2,1 « Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales », sur www.cnrtl.fr (consulté le 31 décembre 2019)
  3. 3,00 3,01 3,02 3,03 3,04 3,05 3,06 3,07 3,08 3,09 3,10 3,11 et 3,12 (en) « Heraldrys Institute of Rome », sur Heraldrys Institute of Rome (consulté le 31 décembre 2019)
  4. « Catalogue général des livres imprimés de la Bibliothèque Nationale », sur Lexikon des gesamten Buchwesens Online (consulté le 31 décembre 2019)

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