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Famille Barres

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D'azur, au chevron d'or, accompagné de trois coquilles de même, deux en chefs et une en pointe, écartelé en suit de diverses alliances
Armes de la famille Barres

Maison des plus anciennes et des plus importantes de Gascogne et du Sud de la France, issue de Jean et Guillaume Barres considéré comme le plus grand chevalier français du Xe siècle, la famille Barres a donné son nom à la tour des Barres, bâtie depuis près de 600 ans, et elle y faisait sa résidence depuis un temps immémorial. Cette famille a fourni un maréchal de France, des gentilshommes de la maison du roi, et a fait des alliances avec les maisons les plus illustres.

Elle se divise en deux branches :

  • La branche des barons de Saint- Martin, puis comtes de Saint-Martin en 1587.
  • La branche des barons de Fleurance, puis marquis de Fleurance en 1618.

Généalogie[modifier]

  • Jean Barres, premier du nom, noyé à la rupture du pont d'Epte, sous Philippe-Auguste, l'an 1180.
  • Guillaume Barres, premier du nom, chef de cavalerie, fit, sous Philippe-Auguste, tant d'exploits de guerre dans la France et dans la Terre Sainte, que l'histoire le qualifie le plus renommé chevalier qui fut lors en France. Il rapporta de son voyage de la Terre-Sainte, en 1196, une sainte épine de la couronne de Notre-Seigneur, laquelle était encore de nos jours en grande vénération au bourg de Saint-Martin, qui appartenait à la famille des Barres. Il épousa Isabeau de Pacy, fille de Pierre II, seigneur de Pacy et de Nanteuil-le-Haudouin, issu de l'illustre maison de Châtillon. De ce mariage vinrent :
    • Jean, deuxième du nom, qui suit ;
    • Isabelle, mariée à Robert de Dreux, quatrième du nom, seigneur de Bagnaux, descendant de Robert de France, comte de Dreux, cinquième fils de Louis VI, dit le Gros, roi de France.

Du XIIe au XVIe siècle[modifier]

  • Jean Barres, deuxième du nom, élevé à la dignité de maréchal de France, en 1318, marié à Helissans, dame de Chaumont-sur-Yonne, fille unique et héritière de Guillaume, sire de Prunay ; elle vivait encore en 1347. De ce mariage vinrent :
    • Pierre Barres, chevalier, lequel épousa Alays. Ils affranchirent, d'un commun accord, leurs hommes de Chaumont et de Ville-Blouyn, de toute servitude, et eurent deux fils, Guillaume et Guy ;
    • Jean, qui suit.
  • Jean Barres, troisième du nom, vivait en 1328 ; il épousa Clémence de Dreux, de la même famille que la précédente, et veuve de Gauthier de Nemours, seigneur d'Achènes. Elle eut de son mariage avec Jean des Barres :
  • Denis Barres, premier du nom, coseigneur de Saint-Martin, puis qualifié de premier seigneur dudit lieu, par transaction de 1490 on ignore le nom de sa femme, mais il laissa pour fils :
  • Denis Barres, deuxième du nom, chevalier, seigneur de Saint-Martin, consentit des actes en 1528 et 1540 ; il épousa demoiselle Barbe de Gan, de laquelle il laissa :
    • Jean, quatrième du nom, dont l'article suit ;
    • Nicole, mariée à Henri de Dardenet, écuyer, seigneur de Marchainville. De ce mariage vint Simonette de Dardenet, mariée à Laurent de Marcheville, écuyer, seigneur de Feraulmont.
    • Perrette, mariée à Balthazar de Susemont, écuyer.
  • Jean Barres, quatrième du nom, chevalier, seigneur de Saint-Martin ; il épousa Claudine de Balthazard, de laquelle il laissa :
    • Denis, troisième du nom, dont l'article suit ;
    • Anne, morte sans enfants ;
    • Paschalle, religieuse.
  • Denis Barres, troisième du nom, chevalier, seigneur de Saint-Martin, gentilhomme ordinaire de la maison du roi, et gouverneur pour Sa Majesté des villes de Saulieu ; de Dourdan, de Mantes et Meulan ainsi qu'il est constaté par plusieurs lettres-missives des années 1589, 1594, 1595, etc., adressées à Denis des Barres, par le roi Henri IV et le sieur de Tavannes, et par un certificat du duc de Guise, donné à Poitiers le 13 janvier 1616, portant que ledit sieur des Barres avait servi près de lui, en 1615, en qualité de lieutenant de l'artillerie. Il avait épousé Antoinette de Vornay, fille de Pierre de Vornay, conseiller et maître-d'hôtel du roi, capitaine-lieutenant des gardes-du-corps de Sa Majesté. De ce mariage vinrent :
    • Claude, premier du nom, qui suit ;
    • Hubert Barres, prieur de Bouconvilliers, doyen de l'église de Langres, lequel renonça à toutes successions paternelles ou maternelles, en faveur de Claude Barres, son frère aîné, par acte du 9 février 1621.
    • Jeanne, Claude et Catherine, qui font la même renonciation, par acte du 13 octobre 1621.

Du XVIIe siècle à la Révolution française[modifier]

  • Claude Barres, premier du nom, chevalier, seigneur de Saint-Martin et de Bréchainville, qualifié, dans un acte de l'an 1618, de gentilhomme de la maison du roi et de commissaire de son artillerie. II obtint du roi une pension de deux mille livres en récompense de ses services et de ceux de son père ; il mourut vers 1632, et avait épousé : 1re : le 11 janvier 1621, Claude de La Venue ; 2e : le 3 mars 1631, Michelle Hedelin de Chauffours, fille de noble Claude Hedelin, conseiller du roi, lieutenant-général et particulier, civil et criminel, au bailliage et duché de Nemours. Du premier lit vinrent :
    • Denis ;
    • Catherine, tous deux morts jeunes. du deuxième lit :
    • Claude, deuxième du nom, qui suit :
  • Claude Barres, deuxième du nom, chevalier, comte des Barres, baron de Marat, seigneur de Saint-Martin, Dommarien et de Bréchainville ; il épousa, en premières noces, le i juillet 1675, Marguerite Gouffier, fille de Louis Gouffier, duc de Rouannois, comte de Maulevrier et pair de France, et de Claude Éléonore de Lorraine, fille du duc d'Elbeuf ; laquelle Marguerite Gouffier était veuve d'André de Chastillon, marquis d'Argenton. Il n'en eut point d'enfants ; et, en secondes noces, Anne Le Moine, de laquelle il eut :
    • Claude Barres, chevalier, seigneur et baron de Marat, mort le 25 décembre 1753. Il avait épousé Claudette Delcey de Récourt, de laquelle il eut trois filles : 1re Anne-Nicole, morte sans alliance ; 2e Gabrielle-Rose, mariée à Philibert-Charles Pietrequin, écuyer, seigneur de Prangey ; 3e Anne, mariée à Nicolas de Serrey, écuyer, seigneur de Guyouvelle.
    • Jean-Baptiste Barres, chevalier, seigneur de Bréchainville, né le 29 juin 1688, marié à Élisabeth Delcey de Récourt, sœur de la précédente, de laquelle il eut Pierre-Claude-Antoine Barres, mort sans postérité, à Goussaincourt, quoi-qu'ayant été marié deux fois : 1er avec N*** d'Arbois ; 2e avec Marguerite Doublot. Il avait eu deux sœurs, mortes en bas âge.
    • Pierre-Antoine, comte Barres, dont l'article viendra :
    • Deux filles, mortes en bas âge.
  • Pierre-Antoine, comte Barres, chevalier, seigneur de Bréchainville, officier de cavalerie, tué à Donawerth, en 1742, avec son fils aîné, qui servait dans le même régiment que lui. Il avait épousé Rose-Claire de Ville, morte le 6 octobre 5754 ; elle était fille de M. de Ville, écuyer, gouverneur des château et citadelle de Coiffy. De ce mariage vinrent :
    • Étienne, officier de cavalerie, tué à Donawerth, sans avoir été marié ;
    • Pierre, officier dans les armées du roi, tué à Rocoux, sans avoir été marié ;
    • François, officier au régiment de Montmorin, mort en juillet 1770, sans alliance ;
    • Pierre-Nicolas, dont l'article suit ;
    • Charlotte, mariée à Louis Préot de La Joncière, écuyer ; elle mourut le 21 février 1763.
    • Jeanne-Louise Barres, née le 5 janvier 1726, dite MADAME BARRES, supérieure-générale de tous les couvents de l'institut de l'Enfant-Jésus. Ses vertus, sa haute piété et son noble dévouement pour les pauvres, lui ont mérité à sa mort (8 avril 1764) les regrets de tous les gens de bien.
  • Pierre-Nicolas, comte Barres, chevalier, capitaine d'infanterie, chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis, reçut plusieurs blessures au service du roi, et mourut le 4 juin 1798. Il avait épousé : 1re Marie-Caroline Chatelain de Pronville, de laquelle il n'eut point d'enfants ; 2e le 25 janvier 1774, Jeanne-Catherine Monginot, fille de noble Jean-Baptiste Monginot, lieutenant-particulier à Langres, et de demoiselle Marguerite Baudin. De ce mariage, vinrent :
    • Pierre-Antoine-Alexandre-Auguste, dont l'article suit ;
    • Élisabeth-Félicité, morte en bas âge.
  • Pierre-Antoine-Alexandre-Auguste, comte Barres, chevalier, né le 24 janvier 1775, obtint de M. d'Hozier de Sérigny, juge d'armes de la noblesse de France, un certificat, en date du 19 mai 1785, qui atteste qu'il avait la noblesse requise pour être admis au nombre des gentilshommes, élèves de l'école royale-militaire. Le dévouement de M. le comte des Barres pour l'auguste maison régnante, s'est manifesté dans sa province en diverses circonstances, et lui a attiré à plusieurs reprises des persécutions dont il ne peut que s'honorer. Il a été député, en 1814, par la ville de Langres, pour féliciter Sa Majesté Louis XVIII sur son avènement au trône. Il a épouse, le 14 novembre 1796, demoiselle-Marguerite-Agnès Thevenot, sa cousine germaine maternelle, morte le 4 juin 1813. De ce mariage sont issus :
    • Hugues-Auguste, né à Coiffy, en septembre 1797, mort quatre jours après sa naissance ;
    • Claude-Auguste, né à Coiffy, le 14 avril 1800.
    • Anne-Louise, née à Coiffy, le 22 octobre 1801 ;
    • Joséphine, née à Langres, le 27 mars 1805.

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